jacques halbronn Election et consommation.

jacques halbronn Election et consommation LE consommateur est de facto un emprunteur, il se sert de ce qui lui est prposé sur le plan matériel comme culturel. Or, toute consommation est le symptome dune dépendance/. Le mélomane voue un culte au compositeur Il s'agit pour nous de repenser le rappmrt entre celui qui valide une certaine domination entérinée par une certaine consommation et celui qui créen'est il pas en porte à faux avec un certain consensus? Celui qui est antérieur est supérieur, d’où le déni d’antériorité, de ce vers quoi tout converge, se recoupe. Dans le cas de la langue françàise, il est clair que l’on tend à en minimiser le role au moyen de toutes sortes d’expédients. Au nom de la Science, l’on nous propose un modéle standardisé, « phonologique ». Pour notre part, le consommateur joue un rôle majeur mais qui ne saurait etre confondu avec celui du ^producteur, ‘est en ce sens que l’électeur n’est pas l’élu/ Il importe que chacun se trouve à la place qui lui correspond, sinon il y à la fois risque de double emploi et de carence structurelle, d'où un double risque de dysfonctionnement et d'échec. Nous dirons que il importe de redonnert tuute sa place au consommateur et de ne pas confondre les rôles. Un bon consommateur n'est pas pour autant un créateur inspiré. Un bon créateur nz saura pas nécessairement jugzr équitablement ses rivaux