Jacques halbronn L’astronomie et le 12, l’astrologie et le 16.

Jacques halbronn L’astronomie et le 12, l’astrologie et le 16. Il est essentiel de différencier astrologie et astronomie et l’entreprise n’aura pas été poussée assez loin jusqu’à présent. Nous avons déjà insisté sur la nécessité de ne pas accorder d’importance excessive aux données proprement astronomiques brutes et cela vaut tout particulièrement depuis la découverte d’Uranus en 1781, ce qui aura « noyé » l’astrologie. Il y a toute une tradition qui part du 7 pour aller vers le 1 et c’est ainsi qu’un seul jour de la semaine est sanctifié, comme le Shabbat dans les X Commandements ou le Dimanche dans le christianisme. Mais cela vaut aussi pour la théorie des aspects et pour la subdivision de l’écliptique. Les astronomes divisent celui ci en 12 secteurs, ce qui a donné les 12 constellations zodiacales, sur la base des 12 rencontres soli-lunaires au cours d’une année terrestre. Cela a constitué la base des aspects de sextiles (60°) et de trigones (120°) qui sont des multiples de 30°, soit 360/12. Or, selon nous, l’Astrologie doit adopter une division non pas en 12 mais en 16 secteurs, ce qui donne des aspects de 45°, 90° mais aussi de 22°30 et de 67°30. Il est hors de question de combiner syncrétiquement les deux systèmes comme on le fait couramment de nos jours tant en astrologie individuelle qu’en mondiale. L’astrologie, selon nous, est un science de précision et même une science exacte et la prévision astrologique exige que l’on dispose des bons; des justes intervalles. Faute de quoi, les prévisions s’en trouveraient faussées, avec des échéances prématurées ou trop tardives. Ce qui distingue le 12 et le 16 tient au principe de binarité, c’est à dire de dédoublement: on divise un cercle en 2, puis en 4, puis en 8, puis en 16, le 12 n’apparaissant point dans une telle série. IL importe également de comprendre que les aspects se divisent en deux groupes. Il y a un temps pour la Rigueur (Séfira « Din ») et un temps pour l’Indulgence (Séfira Hessed) Si l’on divise le cercle en 4 et en 8, cela donne les aspects de carré 90° et de semi-carré ’45°) Sur une base de 28 ans (cycle de Saturne), cela détermine des périodes de 3 ans et demi et ce sont là les seules échéances que l’astrologie se doit de considérer avec les basculements périodiques qui s’en suivent, tous les 1280 jours. (soit 640 (8×80) jours multipliés par 2) Il importera donc à l’avenir pour les astrologues de renoncer à la division en 12 tout comme aux planétes au delà de Saturne, et en vérité de s’en tenir au seul Saturne et à ses aspects aux axes équinoxiaux et solsticiaux (point gamma). C’est là tout l’enjeu de la nouvelle phase « Din » qui implique une mue et un délestage périodiques JHB 04 07 25