samedi 23 août 2025

jacques halbronn Astrologie Septénale. le bon moment des ruptures et des réconciliations et les contretemps

jacques halbronn Astrologie Septénale. le bon moment des ruptures et des réconciliations et les contretemps Notre astrologie n'est pas passive mais active, elle détermine la bonne attitude opportune à adopter et déconseille les démarches contre-productives qui d'ailleurs risquent de compromettre les prévisions. Entendons par là que chaque phase implique un certain comportement, faute de quoi on court à l'échec. Etre intransigeant en phase Hessed n'est guère conseillé tout comme ne pas renoncer à des relations compromettantes risque de se révéler facheux en phase Din. Si l'on étudie, par exemple, la rupture du "Programme Commun" en 1977-78 - période dont nous avons été un témoin privilégié(1977-78)- en période Hessed - l'intransigeance de Georges Marchais apparait comme une explication probable. Saturne est en lion, comme à notre naissance, c'est à dire qu'il détermine le début d'une phase Hessed (laquelle débute à 15°de chaque signe fixe, quand Saturne la transite) Sur le web "Pourquoi le Parti communiste français a-t-il fait échouer les négociations portant sur l’actualisation du Programme commun en septembre 1977, provoquant la rupture de l’Union de la gauche et la défaite électorale de mars 1978 ? Christophe Batardy revient sur les interprétations (intervention de Moscou, crispation électoraliste) de l’attitude a priori peu cohérente du PCF et les complexifie en mettant en lumière les effets pervers de la médiatisation inédite des négociations et en interrogeant l’influence de « l’affaire Marchais », un procès convoquant la mémoire de la Seconde Guerre mondiale dont les effets politicopsychologique au sein du PCF ont sans doute été sous-estimés. Le 12 juillet 1972, le Parti communiste français (PCF), le Parti socialiste (PS) et certains radicaux  adoptent un Programme commun de gouvernement, très vite désigné sobrement sous le nom de Programme commun. Les trois organisations y indiquent vouloir appliquer une « démocratie politique et économique » pour le cas où elles parviendraient au pouvoir. C’est la première fois depuis le congrès de Tours de 1920 que socialistes et communistes s’entendent sur un programme aussi abouti en vue de gouverner ensemble. Ce texte marque à ce point les années 1972-1977 qu’il est possible de parler d’un « moment Programme commun». Après les élections municipales de 1977, qui constituent un triomphe pour les listes d’Union de la gauche, s’ouvre une période de discussion sur l’actualisation du Programme commun, car le texte est jugé vieillissant. Aussi, de mai à la fin du mois de septembre 1977, de nombreuses réunions trilatérales ponctuent l’agenda politique des partis de gauche. Après les discussions au sein du Groupe des quinze, qui réunit cinq représentants de chaque organisation de juin à juillet, ont lieu en septembre des « rencontres au sommet », ainsi nommées car elles rassemblent les leaders de chacune des organisations : Georges Marchais pour le PCF, François Mitterrand pour le PS et Robert Fabre pour les radicaux de gauche. Les dernières discussions tenues au siège du PCF, place du colonel Fabien, se soldent par un échec le 23 septembre 1977 au matin. Le désaccord porte officiellement sur le nombre de nationalisations à mentionner dans une version actualisée du texte . Si, de septembre 1977 aux législatives de mars 1978, le Programme commun reste toujours une référence, il n’est pourtant plus partagé. Le PS et le PCF éditent ainsi séparément une version actualisée du texte . En mars 1978, la gauche perd les élections législatives alors qu’elle était donnée gagnante par tous les instituts de sondage jusqu’à quelques jours avant le premier tour. La désunion affichée à gauche depuis six mois explique sans doute la défaite surprise des partis signataires du Programme commun." Autrement dit, le changement de phase génére des résistances, des réactions, des peurs, des retards dans l'adaptation à une nouvelle mentalité. Lors de l'entrée dans une nouvelle phase Hessed; il faut se préparer à mettre de l'eau dans son vin, à renoncer à des principes par trop rigides au risque de tout faire capoter que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privée. Inversement, lors du passage de Saturne dans une nouvelle phase Din, il n'est pas bon de transiger trop longtemps et il faut prendre des mesures le plus tôt possible pour mettre fin à une situation quelque peu douteuse. On pense à l'Affaire Benalla: sur le web "Alexandre Benalla, ancien chargé de mission au service de l'Elysée, est définitivement condamné dans l'affaire des violences du 1er mai 2018. Son pourvoi en cassation a été rejeté ce mercredi. L'affaire avait marqué le début des scandales lors du premier mandat d'Emmanuel Macron." Or, à cette époque, Saturne est en phase Din (début du Capricorne) et Macron ne prendra pas certaines mesures d'éloignement assez promptement. Cela dit, l'exception confirme la régle: en phase Din, l'on doit envisager des ruptures et en phase Hessed la réconciliation, le pardon, tout en sachant qu'aucune solution ne vaut indéfiniment; JHB 23 08 25

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