Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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dimanche 10 janvier 2021

Jacques HAlbronn LEs trois écueils de la prévision astrologique. Le cas Barbault

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Le cas Barbault « Jacques Halbronn Enquéte sur « l’histoire de la prévision » de Barbault pour 1989 Jacques Halbronn Les trois écueils de la méthode prévisionnelle en Astrologie. Le cas Barbault Posté par nofim le 10 janvier 2021 Les 3 écueils de la méthode prévisionnelle en Astrologie. Le cas Barbault par Jacques Halbronn Les trois écueils sont les suivants: ne pas choisir la bonne configuration céleste, ne pas déterminer le bon mode d’emploi; ne pas définir correctement les phases. Ensuite se pose le problème des explications alternatives permettant d’analyser autrement certains faits, ce qui relève de l’interdisciplinarité.. I La bonne configuration céleste Quels sont les astres dont il convient de se servir en Astrologie? DE nos jours, la question semble reglée: tout ce qui appartient au système solaire ferait sens pour l’Astrologie, y compris la transplutonienne Eris, chère à Yves Lenoble.(http://www.yveslenoble.com/2017/12/06/faut-il-utiliser-la-transplutonienne-eris/ Or, une astrologie qui s’intéresse aux planétes invisibles à l’oeil nu, ce qui est le cas à partir de Neptune (voire d’Uranus) et au delà , inconnues des anciens astronomes mais tout simplement de la perception sensorielle de notre Humanité, est une astrologie hors sol, qui ne tient pas compte du rôle de l’Humanité dans l’activation du monde céleste. On bascule alors dans une sorte de prophétisme astronomique qui ferait des astronomes les annonciateurs des temps nouveaux , chargés de baptiser les nouveaux venus. L’on sait que le septénaire aura laissé à l’écart nombre de divinités de l’Olympe lesquelles auront été repéchées à partir de la fin du XVIIIe siècle, ce qui vaut aussi pour les astéroides entre Mars et Jupiter dont Cérés et ses soeurs. On connait le probléme qui s’est posée au sujet de Pluton et de son déclassement (2006). Il faut interroger la mythologie pour y voir un peu plus clair: Saturne avale ses enfants à l’exception de Jupiter, ce qui refléte exactement le cas des dieux exclus du septénaire. Autrement dit, le narratif mythologique se calque sur l’histoire de l’astronomie et de l’astrologie. Le cas de Saturne est également remarquable, en ce qu’il est exclus de l’Olympe par Jupiter. Il ne reste donc plus que six astres, Lune, Soleil, Mercure, Vénus, Mars et Jupiter, soit un « sénaire » dont nous avons raconté les pérégrinations dans d’autres textes et vidéos au sujet des maitrises planétaires.. Cela dit, l’on mentionnera pour mémoire les grandes conjonctions Jupiter -Saturne dont la formulation est l’oeuvre d’Albumasar au Xe siècle, fascinée par les perspectives séculaires. Autrement dit, le cycle Saturne – Neptune mis en avant par Barbault, notamment à propos de 1989, fait doublement problème, puisqu’il associe deux planètes extérieures au sénaire et qui ne devraient donc pas entrer en ligne de compte, introduisant d’ailleurs une cyclicité démesurée, ce qui aura conduit certains astrologues à couvrir des périodes de plusieurs siècles, par le biais des conjonctions.. Autrement dit, le débat autour de 1989 c’est aussi celui autour des planètes au delà de Jupiter et en tout cas de Saturne? Avec Jupiter comme astre le plus lointain à utiliser en astrologie, l’on est à l’abri de telles tentations vertigineuses sur le long terme. Nous retrouvons alors une astrologie à dimension humaine avec un Jupiter maitre de l’Olympe avec son cycle de 12 ans, soit deux fois six, en analogie avec les 12 mois de l’année et donc les 12 signes zodiacaux. En fait, nous serions favorables à une astrologie cyclique purement jupitérienne dont le partenaire cyclique n’est pas à recherche dans le ciel mais sur terre, au niveau du ciel natal. On laissera ici de côté l’astropsychologie non prévisionnelle et non cyclique validée par Gauquelin. II Le bon mode d’emploi Barbault, -on le notera – ne s’intéresse pas au thème natal de Staline ni dans son ensemble ni dans aucune de ses parties. Il se contente de noter après coup que Staline meurt sous la conjonction Saturne Neptune, qui avait présidé à la révolution d’ »Octobre » 1917. On est donc ici dans un traitement des configurations célestes qui fait abstraction des astralités des leaders, ce qui signifie que les choses restent les mêmes quel que soit le profil du leader. Un tel postulat mérite réflexion. et nous semble marqué par une certaine idéologie communiste privilégiant le système sur la personne. On l’a encore observé récemment avec les Gilets Jaunes très méfiants à l’égard de tout leader de leur propre mouvement. Avec l’astrologie version Barbault – du moins celui des années Cinquante, l’importance accordée aux transits sur le thème d’un personnage quel qu’il soit fait problème en Astrologie Mondiale. Il ne faudrait donc pas que l’astrologie encourage un quelconque culte de la personnalité. En bref, Barbault ne veut pas admettre qu’une configuration céleste ne peut être lue que par le biais du thème natal- analysé d’une manière ou d’une autre- des différents leaders en présence. Ce qui crée le lien entre le Ciel et la Terre. En fait, la position de Barbault n’est pas aussi tranchée puisqu’il s’intéresse du moins dans son texte d’avril 1953 « Mort de Staline », paru dans son bulletin Astrologie moderne, au thème de Malenkov, tout en se plaignant de l’incertitude des données de naissance et c’est cette incertitude qui aura pu motiver une approche ne prenant pas le – thème en considération. Or, si Barbault avait accepté cette inconnue (x) du thème natal, il ne se serait pas lancé dans une prévision à long terme laquelle ne pouvait qu’ignorer les données astrales des leaders à venir. C’est donc toute la question des prévisions à longue échéance qui est ici sur la sellette: II La définition des phases Batbault affirme que la conjonction termine et commence un cycle. Cela se discute. En effet, l’analogie avec les équinoxes et les solstices s’impose tout comme avec le cycle soli-lunaire. Or, la pleine lune correspond à l’axe conjonction Opposition et donc la demi lune au carré! Le printemps préxcéde l’Eté et la dualité équinoxiale correspond justement à cette ambivalence fin de cycle début de cycle dont parle Barbault à propos de la conjonction!. Il y a donc déjà dans les qualifications des phases une erreur manifeste chez cet auteur! C’est donc le carré Saturne-Neptune qui aurait du enclencher un nouveau cycle et non la conjonction. Le printemps a d’ailleurs été choisi comme commencement de l’année jusqu’à la fin du XVIe siècle et la ligne équinoxiale est le vecteur de la nouvelle année dans le judaisme. IV Les alternatives L’astrologue prisonnier d’un certain système ne sera guère disposé à rechercher d’autres approches des « faits » que celles qui lui sont familières. C’est ainsi que 1989 n’aurait pas d’autre lecture possible que celle susceptible de valider un certain modèle car si cela devait valider autre chose, cela ne l’intéresserait pas, cela ne compterait pas. Tout se passe comme si le monopole des événements de 1989 avait été accordé à un certain brevet, à titre exclusif.. C’est tout ou rien. Depuis 30 ans, il aurait quand même valu la peine de confronter les modes d’explication à ce sujet, dans le cadre notamment d’une commission, d’un colloque, d’une Académie en se demandant en outre en quoi doit consister la validation d’un cycle, ce qui renvoie à notre point III supra. A propos du cycle Saturne-Neptune, il a ainsi été signalé par André Barbault lui-même, que l’opposition à mi-parcours en 1971 n’avait pas été concluante en termes prévisionnels. alors que c’est en analogie avec la pleine lune ! C’est d(ailleurs à la suite de cet échec qu’aura été mentionné pour la première fois dans le Pronostic Expérimental en Astrologie (Payot) l’article de janvier 1953 dans l’Yonne Républicaine, paru 20 ans plus tot!. Pour notre part, nous acons montré que le carré de Jupiter au Soleil de Gorbatckew, avec sa perestroika, sa Glasnost était en mesure de rendre compte de ce qui s’est passé. Petites causes grands effets.. Mais la mort de Staline n’était-elle pas en soi un événement très banal en soi à savoir le décés d’un être vivant? Et d’ailleurs, Barbault n’a jamais prétendu avoir prédit cette mort si ce n’est que cette mort pouvait passer pour la cause du changement annoncé. C’est ici l’effet qui détermine la cause! Car il serait erroné de croire que des effets considérables devraient dépendre de cycles de grande importance en termes de durée. JHB 10 01 21

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