Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
.
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mardi 30 novembre 2021

Jacques Halbronn Epistémologie et la Recherche Astrologique (R..A.) Astrologie et anti-astrologie au prisme du biais cognitif

Jacques Halbronn Epistémologie de la Recherche Astrologique (R.A.). Astrologie et anti-astrologie au prisme du biais cognitif. Le biais cognifitif caractérise un certain parti pris aussi bien pro que anti. Il consiste à ne conserver que les facteurs allant dans le sens d'une certaine démonstration. On négligera tout ce qui ne "colle" pas avec l'objectif poursuivi et l'on retiendra tout ce qui vient conforter son point de vue. Dans les deux cas, l'on observe une certaine précipitation dans les conclusions tant positives que négatifs, selon le biais adopté. Cette précipitation se manifeste par l'absence de "double check", tant dans un sens que dans un autre. Autrement dit, on ne prendra pas la peine de vérifier, de recouper tant ce qui est positif quand le biais est négatif que ce qui est négatif quand le biais est positif. D'expérience, l'on sait que souvent une première impression ou expérience ne tiendra pas face à de nouvelles recherches, ce qui montre que l'on aura été victime de quelque forme de contingence. Un bon systéme peut avoir des ratés et un mauvais systéme peut être sauvé par quelque coincidence. Nous aborderons deux cas de figure: I tenir compte des variables Le rejet d'un systéme en bloc est difficilement acceptable. Cela fait penser à quelqu'un qui n'y connait rien en mécanique et qui abandonne un véhicule parce qu'il ne "marche" pas alors qu'il suffirait d'intervenir sur telle ou telle pièce pour que cela fonctionne. Il importe donc que le critique "en bloc" fasse la preuve de sa connaissance de la dite "mécanique" à savoir qu'il soit capable d'expliquer la cause d'une panne, en jouant sur les diverses variables, ce dont généralement le dit critique est bien incapable. II tenir compte de l'excés de précision ou d'imprécision Un autre cas de figure explique l'échec comme la réussite d'un diagnostic ou d'un pronostic en raison d'une mauvaise formulation, soit un excés ou une absence de précision. Dans le cas d'André Barbault, en ce qui concerne 1989, on observe une précision insuffisante quant à la nature de l'événement à venir. Or, selon notre approche, un cycle comporte alternativement des phases contradictoires, ce qui exige de la part de l'astrologue qu'il opte entre le type d'évenementialité attendu. Tout prouve, selon nous, qu'en 1953-55, quand l'année 1989 fut avancée, que Barbault entendait que 1989 verrait la victoire du bloc communiste. Or, le moins que l'on puisse dire, c'est que ce ne fut pas le cas. Ici, la précision visait le bloc communiste mais l'imprécision touche à ce qui lui arriverait, le premier point masquant le second. Mais l'on peut aussi signaler une trop grande précision qui aura conduit, cette fois, à l'échec. Toute la question est de savoir à quel seuil de précision et d'imprécision l'astrologie doit accéder, ce qui est un vaste débat épistémologique. Parmi les astrologues, beaucoup rejettent les ""orbes" au nom d'une insuffisance de précision (cf. l'AC B de Roger Héquet). Or, cela reviendrait à réduite la saison du printemps, au 0° Bélier alors que le printemps s 'étend jusqu'au 0° Cancer, du moins dans l'hémisphère Nord. Là encore, on pense à André Barbault qui semble avoir une vision très étroite de l'impact d'une configuration avant de basculer en sens inverse avec son indice cyclique, passant d'une extréme à l'autre entre 1964 (La crise mondiale) et 1967 (les astres et l'Histoire) JHB 30. 11. 21

dimanche 28 novembre 2021

jacques Halbronn L'astrologie cyclique et les adjectifs qualificatifs

Jacques Halbronn L’astrologie cyclique et les adjectifs qualificatifs L’astrologie ne peut faire l’économie de l’usage des adjectifs: il n’y a pas un seul type de guerre, un seul type de phase. L’erreur de Barbault aura été d’opposer guerre et paix dans son indice cyclique au lieu de distinguer entre les différents types de guerre. La confrontation entre blocs n’est pas du même ordre que celle entre nations. L’Europe aura connu ces deux cas de figure: celle des blocs Est et Ouest et la dislocation interne à chaque bloc. Cela correspond à deux types de phase, l’équinoxiale et la solsticiale, respectivement. Tout comme dans la gestion des langues, il vaut mieux utiliser différents adjectifs que différents noms, tout comme il vaut mieux utiliser forme positive et négative d’un même adjectif plutôt que de se servir d’adjectifs étymologiquement différents. En ce qui concerne la Recherche Astrologique, il vaut mieux se servir d’un modéle théorique, cohérent, ce qui implique une régularité sinusoidale des phases – ce qui n’était pas le cas de l’indice cyclique- avec un début et une fin de phase coincidant avec le début et la fin d’une autre phase et ce n’est pas l’application d’un modéle bancal, sur le papier, qui permettra de valide celui-ci car dans la pratique, bien des facteurs aléatoires peuvent intervenir susceptibles de fausser la perception des phases. On prendra le cas de l’appel du 18 juin de De Gaulle, il faut le situer non pas dans une réaction de nation contre nation mais de bloc contre bloc, c’est pourquoi il parle des Alliés face à l’invasion allemande de l’Europe. En 1940, on est en phase équinoxiale et en 1944 on passe en phase solsticiale. De même en 1953, on est en phase équinoxiale de bloc contre bloc alors qu’en 1989, on était en phase solsticiale, qui voit les blocs s’effondrer, comme c’est le cas actuellement en une nouvelle phase solsticiale, avec le Brexit.

samedi 27 novembre 2021

Jacques Halbronn Pour des Etats Généraux de la Recherche Astrologique en 2022

Jacques Halbronn Pour des Etats Généraux de la Recherche Astrologique en 2022 Avec l'approche de la prochaine phase équinoxiale de Saturne,débutant en juin 2025, soit dans un peu plus de 3 ans, et pour 7 ans, nous préconisons une période préparatoire, afin d'être en mesure de proposer un nouveau modéle astrologique au public des étudiants, des patients se tournant vers l'astrologie et qu'Yves Lenoble appelle des "astrophiles". L'on peut certes continuer à "chercher" à satisfaire une certaine demande stéréotypée d'astrologie, ce qui comporte un certain avantage financier, y compris dans le domaine de l'édition astrologique. Le terme "Recherche astrologique" aura été selon nous "galvaudé" depuis des décennies, et figure ou a figuré dans l'intitulé de diverses associations et structures astrolologiques (GERAS, CEDRA, MS, CURA) ou encore ARIANA (Association pour la Recherche et l'Information en Astrologie Naturelle de Richard Pellard, ), l'ARRC (Association pour la Recherche des Rythmes Cosmiques d'Yves Lenoble sans parler du Laboratoire d'Étude des Relations entre Rythmes Cosmiques et Psychophysiologiques des Gauquelins ou du CEBESIA ( Centre Belge pour l'Etude Scientifique des Influences Astrales) de G. L. Brahy. Quant aux Anglosaxons, ils ont notamment l'ISAR, l'International Society for Astrological Research) mais que recouvre-t-il dans les faits? On trouve sur le site du CURA (qui reprend en anglais la forme Astrological Research) du regretté Patrice Guinard (1957 -2021) le texte suivant datant de 2001 "Projet de constitution d'un fonds pour la recherche en astrologie Demain verra-t-il l’avènement d' une astrologie dans les universités? Les astrologues ne le souhaitent pas dans leur majorité, encore qu'ils aiment citer Jung à l'envi sur cette question. L'obstacle principal n'est pas de nature cognitive, mais de nature idéologique. Il est particulièrement puissant dans les pays de vieille culture académique, comme la France, mais beaucoup moins dans des cultures jeunes. Cependant, lors des prochaines décennies, l'université sera probablement amenée à s'intéresser de près à l'astrologie. Le phénomène est amorcé à Southampton, à Seattle, à Saragosse, et un vaste projet national est en discussion dans les universités indiennes. Qu'un astronome prestigieux comme Percy A. Seymour, de l’université de Plymouth, ait pris la décision, sinon le risque, d'opiner en faveur de l'astrologie est un signal fort, comme ma thèse (1993), soutenue dans le cadre du département de philosophie de Paris I, à la Sorbonne -- une première mondiale, en ce sens qu'un modèle astrologique original y a été défendu. Le moment est venu pour l'astrologie au moins pour trois raisons. 1. Le vide laissé par la faillite du freudisme et du marxisme, espace psycho-critique vacant et vecteur privilégié du développement d'une astrologie qui a vocation de le devenir -- psycho-critique. 2. L'immense potentiel historique du passé astrologique, encore peu exploré, car l'histoire culturelle qui a nié l'existence de l'astrologie se heurte désormais à son omniprésence historique, laquelle implique une réorganisation totale de l'histoire des cultures. 3. Enfin le chaos auquel mène la pensée matérialiste moderne dont je prévois -- non en tant qu'astrologue! -- l'effondrement à moyen terme. La reconnaissance de l'astrologie n'a pas d'importance en soi. L'astrologie a toujours entretenu par le passé des rapports conflictuels avec les autres courants dominants du savoir, à Rome comme à Babylone. Ce qui compte, c'est que se développe un espace pour la recherche érudite, que les nouveaux astrologues acquièrent les outils intellectuels qui leur permettront de rivaliser avec les courants dominants du savoir. Le dessein du CURA n’est d’ailleurs pas d’éduquer les astrologues "en exercice", ce qui serait oeuvrer en pure perte, mais de faire naître des vocations pour qu’une réflexion de type matriciel puisse irriguer d’autres disciplines. Car sans cette appartenance à une recherche de type universitaire -- ce qui ne signifie pas que l'espace universitaire soit considéré comme le seul légitime -- l'astrologie sera incessamment confondue avec les lamentables commerces horoscopiques qui en défigurent l'image aux yeux d'une intelligentsia consentante et souvent ignorante en la matière. L'âge d'or de l'astrologie est devant elle. Je ne sais si "les astrologues" ou ceux qui revendiquent ce statut, en tireront profit. J'ai proposé en février dernier ( cf. "L'astrologue et le charlatan", http://cura.free.fr/docum/10!guina.html ) une taxe sur les cours et les consultations, mais d'abord sur les horoscopes de journaux, services minitel et assimilés, afin de rassembler des fonds pour la recherche (bibliothèque, édition, enseignement). Les astrologues "professionnels", de consultation et/ou de formation, s'accordent, du moins dans leurs déclarations, sur le fait que "l'astrologie des horoscopes et des prédictions" divulguée par les médias, dans les journaux et dans les magazines populaires, ou encore à travers d'autres supports, dessert la cause astrologique et décrédibilise son image. Ces "horoscopes" des signes solaires, des décans, et autres pratiques assimilées, n'ont strictement rien à voir avec la recherche, et ne sont qu’une caricature grotesque de l'astrologie. Leurs auteurs ne sont pas, le plus souvent, les mêmes que ceux qui donnent des cours et des consultations, ou encore ceux qui publient le résultat de leurs activités dans les quelques rares revues spécialisées existantes. Aussi je préconise que ces faiseurs, qui logiquement devraient être poursuivis pour exercice illégal d'une discipline, si l'astrologie avait un statut officiel reconnu, soient mis à contribution financière pour l'avènement de cette reconnaissance. Celle-ci passe nécessairement par la recherche et par la mise en place de cadres permettant à celle-ci de se développer. Toute activité déclarée du genre "horoscope" ou "prédiction" paraissant dans des médias (de type journaux non spécialisés, émissions radio et TV, Minitel, Internet…) devra être taxée, à hauteur de 10 à 15%, par l'administration fiscale et reversée à la recherche astrologique. Des personnes qualifiées (à part égale: universitaires et représentants des milieux académiques, responsables des principales écoles astrologiques, chercheurs indépendants qui auront fait leurs preuves dans la recherche astrologique) seront mandatées pour la gestion de ce budget et la mise en place, en rapport avec l'université, d'activités visant à véritablement engager l'astrologie dans la voie de la recherche, qu'elle soit d'ordre historique, psycho-statistique, biophysique, anthropologique ou philosophique. Les fonds budgétaires seront d'abord attribués à la constitution d'une véritable bibliothèque de consultation, et pourront être ensuite destinés à l'édition (traductions d'ouvrages historiques, fac-similés, sauvegarde du patrimoine astrologique), puis à l'amélioration de l'enseignement associatif et à la création d'un pôle de recherche de type universitaire. Cette taxe ne signifie pas que seraient légitimés les commerces exercés au nom de l'astrologie, mais qu'il y a un prix à payer pour avoir le droit d'en user. Les personnes, astrologues ou non, qui souhaitent affirmer ce projet et appuyer, avec le CURA, les démarches à entreprendre auprès des autorités culturelles, sont priées de me contacter." Ce projet date d'il y a 20 ans et nous avons eu le loisir d'observer ce que son rédacteur, Patrice Guinard, entendait par là même si depuis, il se sera surtout investi dans son "corpus Nostradamus", au vu de ses publications, ce qui semble bien indiquer que la "recherche astrologique" n'était plus son objectif principal, ce qui mériterait déjà en soi une (psych)analyse. Pour notre part, il y a un certain nombre de points sur lesquels nous aimerions débattre tout en reconnaissant que nous avons dans notre colimateur les travaux de Jean Pierre Nicola né en 1929, et de ses disciples dont Françoise Hardy et le nommé Guinard et que nous connaissons depuis 1967, à Paris alors qu'il avait fait paraître depuis peu sa Condition Solaire.(cf son Pour une astrologie moderne, Paris, Seuil, 1977) . Au risque de caricaturer sa démarche, nous dirons que Nicola et cie entendent conserver et préserver le cadre général de l'astrologie tout en le reformulant au moyen d'un certain effort terminologique, frisant parfois le jargon, tendance que l'on retrouve d'ailleurs chez Guinard et avant lui chez un Dom Néroman (décédé en 1953) Autrement dit, dans ce "mouvement conditionaliste", (COMAC) l'on garde l'ensemble des planétes connues de notre systéme solaire, l'on perpétue la division en 12 secteurs de l'écliptique (Zodiaque), tout comme le thème natal et ses maisons et aspects tant et si bien que l'amateur d'astrologie n'y sera guère dépaysé. On peut parler d'un ravalement de l'édifice astrologique : est-ce là sur quoi doit déboucher la RA, la Recherche Astrologique, titre d'une revue fondée par Denis Labouré, à Saint Etienne? Or, pour nous, la RA doit aller bien plus loin qu'un tel "lifting"! Elle doit conduire l'astrologie à réfléchir sérieusement sur la nature de son lien avec l'astronomie et notamment avec le méta-langage dont elle use et qui est trop souvent assimilé à la dimension scientifique de l'astronomie. Un tel questionnement est le grand absent du catalogue proposé par Guinard, comme si cela n'avait pas lieu d'être. On veut bien renommer les planétes et les signes, avec notamment le sigle RET, établir un nouvel encodage mais on ne doit pas "toucher", nous laisse-t-on entendre, aux fondamentaux que sont les planétes et la division en 12 des cycles, même si Guinard a proposé de passer à 8 secteurs pour les maisons. Nous relevons dans le projet Guinard cette attaque classique de la part des astrologues qui se veulent "sérieux" contre les horoscopes de presse, en considérant qu'il y a là un consensus à partir duquel il faudrait partir " Les astrologues "professionnels", de consultation et/ou de formation, s'accordent, du moins dans leurs déclarations, sur le fait que "l'astrologie des horoscopes et des prédictions" divulguée par les médias, dans les journaux et dans les magazines populaires, ou encore à travers d'autres supports, dessert la cause astrologique et décrédibilise son image" Mais que reproche-t-on à cette "astrologie des horoscopes" mise au pilori tant par les astrologues que par les astrosceptiques comme Serge Bret Morel? Probablement, une certaine simplification qui ne passe plus par le thème natal individuel, calculé à partir d'un acte d'état civil. On ne peut s'empêcher d'y voir un réflexe corporatif puisque le savoir faire de la lecture de la carte du ciel personnelle se trouverait ipso facto dévalué et cette carte ne pourrait plus servir de miroir, de mandala. L'idée de classer les gens par catégories serait donc barbare et ne correspondrait pas à la "réalité", le destin étant décidément quelque chose qui ne se partage pas. Il est vrai qu'un tel postulat justifie l'utilisation d'une pléthore de facteurs, comme le notait, il y a soixante ans André Barbault (De la psychanalyse à l'astrologie) car ainsi, aucun "thème" ne sera identique. Pourtant, les statistiques de Gauquelin tendraient à montrer qu'il existerait des types planétaires sinon des types zodiacaux. L'erreur souvent commise à ce sujet tient à ce que l'on croit que les horoscopes de presse seraient fondés sur le signe solaire mensuel alors qu'ils tiennent compte des aspects que le soleil natal entretient avec le ciel non plus natal mais celui du moment considéré (ce qui rapproche de l'astrologie horaire). Autrement dit, l'horoscope est lié à la question des transits, d'où le rôle des décans qui permettent d'affiner le diagnostic, en passant de 12 à 36 secteurs. Guinard va donc un peu vite en besogne quand il fustige les décans: "Ces "horoscopes" des signes solaires, des décans, et autres pratiques assimilées", l'ancien usage des décans n'ayant rien à voir avec cette pratique et attribuant à chaque décan une planéte, un peu à la façon des domiciles et autres "dignités". En fait, l'astrologie prévisionnelle ne peut pas être individuelle tant il est évident que nous vivons des choses en commun. D'un point de vue scientifique, rappelons qu'il n'est de science que du général. Un André Barbault(1921-2019) se sera efforcé depuis 1967; de simplifier pour parvenir à un vecteur unique, son "indice cyclique" en combinant les cycles de 5 planétes, de Jupiter à Pluton, en renouvelant la théorie médiévale des "grandes conjonctions". En fait, ne faudrait-il pas aller dans le sens d'une économie de moyens et d'une élégance des modéles, suivant en cela le principe du rasoir d'Occam? En prolongeant la démarche de Barbault, qui ne tient même plus compte de la spécificité des planétes ni des signes, prix à payer selon lui pour parvenir à une structure épurée, l'on devrait se demander quelles sont les autres moyens d'y parvenir en respectant cette fois une égalité de durée entre les périodes, ce qui n'est absolument pas respecté par le dit "indice". C'est bien beau de vouloir garder toutes les planétes anciennes et "nouvelles"(inconnues des Anciens et cela vaut jusqu'à la fin du XV IIIe siècle) mais la moindre des choses est de respecter une cyclicité cohérente et égale. En abandonnant le cycle Saturne Neptune qui avait au moins le mérite d'un certain ordre numérique et permettait de structurer le cycle à partir de la succession des aspects), Barbault introduisait un certain chaos tel un éléphant dans un jeu de quilles. Il faut d'ailleurs se demander si l'on peut valider un tel dispositif combinatoire en mettant en avant quelques corrélations heureuses. Selon nous, la démarche scientifique doit impérativement exiger certaines conditions à remplir avant toute expérimentation sauvage. A l'occasion de ces Etats Généraux de la RA, nous pensons qu'il importe de poser la question des rapports Astrologie-Astronomie. Selon nous, le systéme astrologique a été au départ conçu avec un seul et unique cycle planétaire et certainement pas avec une "résultante" de 5 planétes dont trois restèrent inconnues de notre Humanité. des millénaires durant. (cf notre Astrologie selon Saturne, 1994) Au vrai, Patrice fait preuve d'une certaine naiveté quand il écrit plus haut " comme ma thèse (1993), soutenue dans le cadre du département de philosophie de Paris I, à la Sorbonne -- une première mondiale, en ce sens qu'un modèle astrologique original y a été défendu." Il oublie que le mérite en revient à sa directrice de thèse Françoise Bonardel qui a bien voulu accepter et défendre son travail pour des raisons qui sont les siennes et au fond Guinard aura été instrumentalisé. Rappelons qu'"elle a fait partie du jury de la thèse controversée de sociologie soutenue en 2001 à la Sorbonne par l'astrologue Élizabeth Teissier.". Quant à se référer au "département de philosophie de Paris I Sorbonne, il s'agit d'une formule quelque peu abusiv car François Bonnardel est signalée comme " Professeur de Philosophie des religions " et à notre connaissance la philosophie des religions est une branche très particulière qui s'apparente à l'ethnologie et l'Histoire, l'astrologie a sa place depuis longtemps.

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Jacques Halbronn Son commentaire sur les résolutions du Congrès sur l'enseignement astrologique, Paris, 1978

Jacques Halbronn Son commentaire sur les résolutions du Congrès sur l’enseignement astrologique; Paris, 1978 Il y a plus de 40 ans se tint à Paris un congrès international sur l’enseignement astrologique dont emanèrent de questions parues dans le Guide de la Vie Astrologique 1984, pp. 52-53, dans le cadre d’une commission pédagogique. Huit points avaient finalement été mis en avant que nous nous proposons de commenter en 2021. On s’arretera sur le point 7: Est-il souhaitable d’enseigner dans les établissements astrologiques parallélement à l’astrologie des techniques comme la morphopsychologie, la graphologie, le Tarot, le Yi King, la numérologie, la géomancie, la chirologies, la Kabbale? Notre commentaire en 2021: Etant donné qu l’astrologie que nous préconisons aujourd’hui ne se veut pas individuelle mais générale, sur la base de phases d’une certaine durée, il nous semble heureux de proposer ses services à d’autres pratiques divinatoires, médiumniques, de bien être, ce qui éviterait que l’on utilisât l’astrologie à mauvais escient,notamment avec l’interprétation du thème astral individuel. L’astrologie doit être proposée à toutes sortes de praticiens lesquels l’inscriront comme fondement pour leurs processus respectifs, en complément.. On peut certes envisager une astromancie, dont le thème serait le support. Pour nous, l’astrologie est faite avant toute pour « coacher » les leaders dont les phases impacteront ceux qui gravitent autour d’eux.

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vendredi 26 novembre 2021

Jacques Halbronn Les phases solsticiales et la décomposition des empires

Jacques Halbronn Les phases solsticiales et la décomposition des empires Nous avons beaucoup insisté sur l’impact des phases équinoxiales de Saturne depuis la Seconde Guerre Mondiale, mais il ne faudrait pas négliger qu’entre deux phases équinoxiales s’intercale une phase solsticiale comme ce fut le cas en 1989-91 avec les effets que l’on sait. On s’intéressera ici à l’intervalle solsticial entre 1944 et 1952 en Europe et à l’intervalle solsticial entre 1974 et 1980, au Proche Orient. I La période 1944-1952 La période équinoxiale qui vit la victoire des Alliés contre le Troisiéme Reich, laissa la place à un moment conflictuel avec l’URSS, à un partage de l’Europe en deux blocs, ce qui est de type solsticial. Wikipedia »La conférence de Yalta est une réunion des principaux responsables de l’Union soviétique (Joseph Staline), du Royaume-Uni (Winston Churchill) et des États-Unis (Franklin D. Roosevelt). Elle s’est tenue du 4 au 11 février 1945 dans le palais de Livadia, situé dans les environs de la station balnéaire de Yalta en Crimée. Elle a été préparée par la conférence de Malte du 31 janvier au 2 février 1945, où les États-Unis et le Royaume-Uni se sont concertés pour présenter un front uni à Staline sur la planification de la campagne finale contre les troupes allemandes et japonaises et sur la limitation de la progression de l’Armée rouge en Europe centrale. » A partir de la nouvelle phase équinoxiale de 1953, on voit se forger la Communauté européenne mais aussi un reste de colonialisme avec l’affaire de Suez(1956).. Quant à la phase solsticiale suivante, elle sera le théatre d’épreuves de force , autour de Berlin et de Cuba (1961-62) dont André Barbault ne semble pas avoir pris toute la mesure dans ses travaux tant prospectifs que rétrospectifs. II La période 1974-1988 La période qui fit suite à la Guerre des Six Jours (juin 1967) avec les occupations et annexions que l’on sait, aura été suivie par le retrait israélien du désert du Sinaï, à la suite des initiatives de Sadate. Mais en 1988, 14 ans plus tard, c’est la première Intifada, en une nouvelle phase solsticiale, qui est en total décalage avec le climat équinoxial des années 67-68, que nous avons connu, lors de notre période israélienne, au lendemain immédiat de la Guerre,où les esprits n’étaient pas échauffés, avec une cohabitation (faussement ) prometteuse. JHB 26 11 21

Jacques Halbronn Sur sa double formation en cyclologie et en bibliographie

jacques Halbronn sur sa double formation en cyclologie et en bibliographie L’astrologie ne doit pas s’allier à l’Histoire mais à la Sociologie contrairement à ce que pensait un André Barbault, décédé en 2019 car l’Histoire offre une dimension anecdotique, epiphénoménologique qui ne reléve pas du champ déterministe de l’Astrologie. L’Histoire introduit toutes sortes d’artefacts qui ne sont le plus souvent que des leurres qui font prendre les vessies pour des lanternes si bien que la recherche astrologique aurait bien tort d’accorder trop d’importances à de telles représentations. Pour notre part, nous revendiquons une double formation: d’une part, le goût des cycles, des récurrences et de l’autre, la conscience des contingences, des contrefaçons et d’ailleurs, une grande part de notre cursus universitaire aura concerné cette deuxiéme voie, notamment en ce qui concerne la bibliographie des Centuries nostradamiques et la dénonciation de fausses chronologies, d’où d’ailleurs nos disputes avec feu Patrice Guinard, décédé en 2021 (cf le Corpus Nostradamus, site Cura.free.fr) lequel lui aussi avait exploré les deux pistes en question. Mais, par ailleurs, dans Clefs pour l’Astrologie, (Ed Seghers) ouvrage paru en 1976, c’est bien de cyclologie qu’il s’agissait, notamment en Astrologie Mondiale, même si nous publiâmes en paralléle des travaux en Histoire de l’Astrologie et en Sociologie du milieu astrologique, tout en ayant conscience que ces deux orientations se complétaient mais aussi différaient considérablement, ce qu’André Barbault n’avait apparemment pas compris, lui qui accorda trop d’importance à certaines constructions historiques telles que les « guerres mondiales », notion qui ne tient guère au niveau cyclologique. Il ne distingua pas, de son vivant, entre guerres civiles et guerres de conquête et préféra opposer guerre et paix, ce qui était partir d’un mauvais pied car il existe toujours un certain état de guerre si ce n’est que cela ne désigne pas un seul et même phénoméne. La guerre civile est solsticiale alors que la guerre de conquéte est équinoxiale selon la terminologie cyclique qui est la notre et le premier devoir du chercheur en astrologie est de distinguer ces deux cas de figure, sur un mode dialectique. Quant à l’idée d’une astrologie qui désignerait des espaces spécifiques, comme l’a cru Barbault en associant le cycle Saturne-Neptune à la Russie, cela reléve d’une vision « histoire-géographie » de l’Astrologie, assez scolaire. L’Astrologie, bien au contraire, ne peut s’affirmer qu’en montrant qu’elle ne dépend pas d’une telle approche et qu’au même moment des situations proches peuvent se présenter dans des régions du globe bien différentes tout comme des situations comparables peuvent s’observer à des siècles de distance. Ne nous enfermons donc pas, astrologiquement, dans des temps et des espaces trop circonscrits et adoptons une conception relativiste du monde.

Jacques Halbronn L'Union Européenne doit investir dans la recherche astrologique

Jacques Halbronn L’Union Européenne doit investir dans la recherche astrologique. S’il y a un ensemble qui devrait accorder la plus grande importance à la recherche astrologique, c’est bien l’Union Européenne dont le sort dépend directement de l’alternance des phases solsticiales et équinoxiales, des vaches grasses et des vaches maigres (cf Livre de l’Exode). Cela lui permettrait de négocier le passage d’une phase à l’autre, de façon plus scientifique au lieu de naviguer à vue. Le Brexit s’inscrit à l’évidence dans une phase solsticiale, marquée chaque fois par un certain repli identitaire. En fait, toutes proportions gardées, il n’y a pas structurellement de différence entre la période 1989-91 et la période actuelle. Dans les deux cas, Saturne se situe sur l’axe solsticial, il revient en fait au même endroit du ciel, en Capricorne. Que les conséquences n’aient pas été strictement identiques, nous permet de distinguer entre Sociologie et Histoire, cette dernière introduisant un élément conjoncturel qui échappe au déterminisme astrologique. Il importe de comprendre qu’en astrologie, tout est cyclique et en ce sens la notion de « guerre mondiale » n’est pas pertinente en ce qu’elle n’est pas inclusive car ce qui compte pour l’astrologie, c’est la récurrence et pas sur un ou deux coups mais sur un très grand nombre. ¨Pour l’astrologie, l’occupation allemande du continent européen ne se distingue pas de la création d’une Communauté Européenne, un demi cycle de Saturne plus loin. Certes, quand Gouchon établit son « indice » à la fin des années 40, il ignorait ce qui allait se jouer lors de la décennies suivante avec la mise en place du « Marché Commun ». En revanche, André Barbault, quand il reprend à son compte en 1967, le dit indice, était censé tenir compte de ce qui s’était joué à l’Ouest de l’Europe, ce qui correspondait d’ailleurs au passage de Saturne en phase équinoxiale en 1953 et qui ne pouvait aucunement se réduire aux enjeux soviétiques comme il l’avait cru avec son cycle Saturne Neptune de 36 ans qui n’est en fait qu’un sous produit du cycle de Saturne de 28 ans. Dès lors, il eut convenu de démystifier la notion de « Guerre Mondiale » et situer cette « Guerre » au sein d’une cyclicité de 15 ans en 15 ans, celle du semi cycle de Saturne. Par conséquent,au prisme de l’Astrologie EQSOLS, il serait bon de signaler l’entrée dans une nouvelle phase équinoxiale en 2025, ce qui devrait faciliter, pour le pire comme pour le meilleur, la création ou le renforcement de blocs supranationaux de façon à éviter des mesures radicales dues à un manque d’anticipation.

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jeudi 25 novembre 2021

jacques Halbronn La question des oppositions et des axes en astrologie

Jacques Halbronn La question des oppositions et des axes en astrologie Nous voudrions montrer dans la présente étude que l’astrologie ne saurait faire l’impasse sur l’aspect d’opposition car l’opposition est assimilable à une conjonction bis tout comme l’équinoxe d’automne l’est à l’équinoxe de printemps car l’astrologie est censée décanter et réduire, au sens alchimique du terme, les données astronomiques. L’opposition met ainsi en évidence l’idée de semi-cycle. Le semi cycle de Saturne est donc de 14 ans, soit deux fois sept ans, ce qui se retrouve dans le songe de Pharaon, dans le Livre de l’Exode avec les 7 années de vaches grasses suivies de 7 années de vaches maigres. En ce sens, quand on étudie, comme le fait André Barbault le cycle Saturne Neptune, l’opposition est tout autant à considérer que la conjonction, ce qui donne deux périodes de 18 ans chacune. Or, il semble que Barbault n’ait pas accordé à l’opposition Saturne Neptune – ce qui correspond à une sorte de syzygie au niveau soli-lunaire, à un alignement- suffisamment d’importance, si ce n’est pour l’échéance de 1971, avec l’opposition Saturne Neptune, 18 ans après la conjonction de 1953, ce qui lui permettait d’annoncer une échéance importante pour la dite année 1971 (cf la crise mondiale 1965 Ed Albin Michel) Comme ce que Barbault en attendait ne s’est pas produit, il aura préféré ne plus s’intéresser à l’opposition. Or, cette dégradation de l’aspect d’opposition se ressent dans les Astres et l’Histoire (Ed Pauvert 1967) où l’opposition n’est nullement placée au même niveau que la conjonction mais apparait comme une sorte d’anti-conjonction susceptible de faire remonter la courbe de l’indice cyclique. C »est dire que la dite courbe dépend pleinement du statut de l’opposition. Mais, le probléme de l’opposition ne se posait-il pas déjà chez Gouchon, avec son « indice de concentration planétaire »articulé sur les 2 « guerres mondiales »? Mais si l’on admet que l’opposition est le relais de la conjonction, la démonstration ne tient plus car le profil du graphique s’en trouve sensiblement changé. Mais refuser d’accorder à l’opposition l’importance qu’elle mérite, c’est se condamner à se servir de cycles planétaires trop longs comme 36 ans au lieu de 18 ans pour Saturne-Neptune (cf supra) et donc de disposer d’un nombre deux fois plus restreint d’échéances évenementielles, ce qui peut se révéler commode puis que cela limite d’autant le travail de corrélation. Un autre probléme « oppositionnel » se pose à la pensée astrologique : celui des axes saisonniers, ce qui permet de structurer un cycle planétaire non plus en associant deux planétes entre elles mais en suivant une planéte et les moments de conjonction avec les axes équinoxiaux et solsticiaux. Cette fois, on aura compris, qu’il n’est pas question pour nous d’opposer les deux équinoxes entre eux par delà les questions climatiques. Le temps qu’une planéte met pour aller d’un équinoxe à l’autre ou d’un solsiice à l’autre est à la base de l’idée de semi cycle exposée plus haut. Non seulement, nous n’accordons pas d’importance au découpage en 12 (Dodécaisme) mais nous nous contentons de deux temps (et non de quatre). Là encore, André Barbault semble bien ne pas avoir voulu accordé la moindre importance au passage d’une planéte sur les axes saisonniers, obnubile qu’il est par son idée de « cycle planétaire », exigeant la combinaison de deux astres, ce qui introduit des durées de cycles incompatibles avec les nombres propres aux révolutions sidérales, telles que reprises dans la Loi de Titius Bode sur les distances au sein du systéme solaire. On dira que le respect des oppositions et des axes permet de « plier » l’astronomie en deux volets. Nous ajouterons que cela permet de ne disposer que d’un seul vecteur planétaire au lieu de l’ensemble de 5 planétes, de Jupiter à Pluton, qui sert de socle à l’indice cyclique et l’on sait ce qu’il est advenu en 2006 de la « planéte » Pluton, désavouée par les astronomes. Nous avons montré que le cycle Saturne Neptune pouvait se réduire au cycle « saisonnier » de Saturne, les conjonctions Saturne Neptune ayant coincidé à plusieurs reprises avec la conjonction de Saturne avec les axes équinoxiaux ou solsticiaux, alternativement. Or, Barbault – et ceux qui ont emboité ses pas- se trouvent dans l’incapacité à distinguer deux conjonctions de Neptune entre elles, puisqu’ils ne distinguent pas entre une conjonction avec l’axe équinoxial et une conjonction avec l’axe solsticial. Celle de 1953 était équinoxiale, celle de 1989 solsticiale et la prochaine à nouveau équinoxiale. Si l’on admet que ces deux axes se complétent, au sein de cycles de 15 ans, il est clair qu’ils n’annoncent pas de situations comparables. Or, faire une prévision où l’on ne distingue pas entre les deux temps d’un cycle, c’est annoncer une chose et son contraire, indifféremment. JHB 25 11 21

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mercredi 24 novembre 2021

JAcques HAlbronn La théologie plus: le 7 prolonge le 6. Le SHabbat , 7e jour

jacques HAlBRONN La théologie plus: le 7 prolonge le 6 La théologie "plus" est celle qui vient s'ajouter à la théologie première, celle des philosophes et des astrophysiciens. Le chapitre II du Livre de la Genése est le manifeste de la théologie plus. S'ajoute aux Six Jours de la Création du premier chapitre un septiéme jour, le Shabbat célébré par les Juifs en accord avec la théologie "plus". DE même, Saturne, la septième planéte, vient s'ajouter aux six premières (Soleil Lune, mercure, Vénus, Mars et Jupiter. Saturne est la planéte de l'astrologie laquelle est le fer de lance de la théologie plus..Les astrologues qui se servent des six premières planétes sont dans l'erreur. Seule la planéte appelée Saturne fait sens au regard de la théologie plus. Le nom de Saturne dans le Sefer Yetsira est Shabtay, ce qui renvoie évidemment au Shabbat/ Saturne est lié à la Nouvelle Alliance.(cf Jérémie XXXI). Le même chapitre II de la Genése traite de la "création" de la femme. On y dit qu'elle sera une aide (Ezer), donc une addition. La femme n'est pas réduite à la procréation comme chez les animaux où c'est l'homme, le mâle, qui permet à la femme d'enfanter. La femme aide l'homme à se réaliser en tant que créateur. Echange de bons procédés. Genèse - Chapitre 2 - בְּרֵאשִׁית א וַיְכֻלּוּ הַשָּׁמַיִם וְהָאָרֶץ, וְכָל-צְבָאָם. 1 Ainsi furent terminés les cieux et la terre, avec tout ce qu'ils renferment. ב וַיְכַל אֱלֹהִים בַּיּוֹם הַשְּׁבִיעִי, מְלַאכְתּוֹ אֲשֶׁר עָשָׂה; וַיִּשְׁבֹּת בַּיּוֹם הַשְּׁבִיעִי, מִכָּל-מְלַאכְתּוֹ אֲשֶׁר עָשָׂה. 2 Dieu mit fin, le septième jour, à l’œuvre faite par lui; et il se reposa, le septième jour, de toute l’œuvre qu'il avait faite. ג וַיְבָרֶךְ אֱלֹהִים אֶת-יוֹם הַשְּׁבִיעִי, וַיְקַדֵּשׁ אֹתוֹ: כִּי בוֹ שָׁבַת מִכָּל-מְלַאכְתּוֹ, אֲשֶׁר-בָּרָא אֱלֹהִים לַעֲשׂוֹת. {פ} 3 Dieu bénit le septième jour et le proclama saint, parce qu'en ce jour il se reposa de l’œuvre entière qu'il avait produite et organisée. ד אֵלֶּה תוֹלְדוֹת הַשָּׁמַיִם וְהָאָרֶץ, בְּהִבָּרְאָם: בְּיוֹם, עֲשׂוֹת יְהוָה אֱלֹהִים--אֶרֶץ וְשָׁמָיִ יח וַיֹּאמֶר יְהוָה אֱלֹהִים, לֹא-טוֹב הֱיוֹת הָאָדָם לְבַדּוֹ; אֶעֱשֶׂה-לּוֹ עֵזֶר, כְּנֶגְדּוֹ. 18 L’Éternel-Dieu dit: "Il n’est pas bon que l’homme soit isolé; je lui ferai une aide digne de lui." On nous dit parfois que l'astrologie est condamnée par la Bible. C'est la pire des contre vérités et nous renvoyons au Livre de l'Exode où l'on parle de deux périodes de 7 ans, l'une avec les vaches grasses, l'autre avec les vaches maigres (Songe de Pharaon interprété par Joseph), ce qui correspond à un demi-cycle de la planéte Saturne soit 28/2. C'est dans ce sens qu'il faut comprendre les premiers versets du Livre de la Genése: Dieu créa le Ciel et la Terre, en fait "'avec la Terre, car cela forme un binome. La théologie plus implique que le Ciel gouverna la Terre, par l'intermédiaire de Saturne, considérée traditionnellement comme la planète des Juifs. Et les Juifs sont le vecteur principal de l'ordre selon la théologie "plus". JHB 24 11 21

Jacques Halbronn André Barbault et son astrologie pansémique inclassable

André Barbault et son astrologie pandémique inclassable par Jacques Halbronn Yves Lenoble dans son récent ouvrage écrit :’Il y a trente ans André Barbault annonçait une pandémie mondiale pour 2020 après avoir prédit, entre autres, dès 1955 la chute de l’Empire soviétique en 1989! !L’astrologie s’est en effet toujours voulu annonciatrice des grands événements de l’Histoire. Ainsi, le cardinal d’Ailly et Nostradamus avaient prévu très longtemps à l’avance la révolution de 1789. Et d’ores et déjà, les prochains rendez-vous planétaires du XXIè siècle sont annoncés… » Or, de tels propos font probléme et ne nous semblent pas servir la cause de l’astrologie et il ne nous semble pas qu’André Barbault (décédé en 2019) aurait souscrit à une telle présentation. On peut lire sous la plume de Fabrice Pascaud le texte suivant: André BARBAULT : APERÇU sur les PANDÉMIES « Je ne saurais que trop vous recommander la lecture de cet article intitulé « Aperçu sur les pandémies » d’André Barbault, rédigé en juin 2011. Dans cet article à la page 6, André Barbault annonce de façon claire, nette et précise la forte probabilité d’une pandémie en 2020/2021. Aucune ambiguïté dans les propos ! il précise de surcroît les conséquences économiques qui en découleraient » Il faudrait déjà que l’on se mette d’accord: C’était il y a 10 ans ou 30 ans, comme l’affirme Lenoble? Si Barbault n’avait pas produit, à 90 ans, cet article de juin 2011, quel serait donc son bilan? Est ce que l’astrologie, selon Barbault, dépend de ses interprétes ou bien de ses penseurs, de ses concepteurs? Or, il nous semble que pour Barbault, l’important, c’était le systéme et qu’un systéme qui ne fonctionnerait que par celui qui l’aurait élaboré n’aurait pas grand intérêt, d’où son graphique paru dès 1967 -(Les astres et l’Histoire) et qui est censé fonctionner bien au delà de sa personne! Qu’en serait-il si un autre que Barbault avait produit un tel pronostic à partir de ses travaux (cf notre étude La légende dorée du prophétisme, de Nostradamus à André Barb ault) Est ce qu’A. B. a annoncé comme le prétend Lenoble ’ ‘La chute de de l’empire soviétique pour 1989. »? D’abord, l’empire soviétique ne s’est pas effondré en 1989 mais à une date ultérieure et ensuite, il avait simplement annoncé un tournant important et si l’on en croit son ouvrage de 1963 « La crise mondiale. 1965′, parue donc bien après sa prévision pour 1989, parue au milieu des années cinquante, Barbault n’était pas disposé en 1955 à annoncer la fin de l’URSS lui qui annonçait en 1963 que l’URSS rejoindrait les USA lors de l’opposition Saturne-Neptune de 1971. Rappelons que l’Yonne Républicain où Barbault publia , fin 1953 sa première étude sur la Conjonction Saturne Neptune était d’obédience communiste affirmée. En réalité, tout indique que dans l’esprit de Barbault, du moins quand il écrit dans les années cinquante-soixante, 1989 aurait du renforcer la cause communiste et non l’inverse. Rappelons aussi que cette fameuse annonce pour 1989 n’aura trouvé aucun écho dans la revue L’Astrologue que Barbault dirigeait, tout au long de la dite année 1989, ce qui signifie qu’il n’aurait plus alors parié un kopeck sur la fameuse conjonction, lui qui s’était converti entre temps à l’indice de concentration planétaire, hérité de Gouchon et de Caslant et qui l’avait fait annoncer une troisiéme guerre mondiale pour le début des années 80 alors que le pic de la menace dans ce sens avait été 1961-62 qu’il n’avait pas vu venir: crise de Berlin, crise de Cuba. Quant à rappeler la prévision pour 1789, associée à la Révolution Française- seule référence rapportée par Lenoble outre l’exemple Barbault- elle date de 1414 et de la vogue de la théorie des conjonctions Jupiter Saturne, héritée d’Albumasar (vers 900). Elle est reprise dans l’Epitre à Henri II, qui est un faux posthume calqué sur une précédente épitre adressée au Roi de France. Or, l’on observe que Lenoble ne prend pas la peine d’exposer les techniques qui auront permis de formuler telle ou telle prévision et se contente de dire qu’Un tel avait prévu ceci ou cela alors que dans tous les cas, il y a un systéme qui sous-tend de telles annonces et c’est ce systéme qui importait à Barbault et non telle interprétation ponctuelle qui, à elle seule, ne saurait valider le dit système alors même que les autres applications du dit systéme sont décevantes. Une hirondelle ne fait pas le printemps. Par ailleurs, nous avons montré que l’idée de focaliser une configuration sur telle ou telle partie du globe n’était pas recevable en la circonstance car l’enjeu est justement de montrer que l’on retrouve les mêmes effets en plusieurs parties. D’ailleurs, Barbault aura fini par prendre le contre pied de cette méthode puisque par la suite, il a voulu annoncer des événements à un niveau mondial comme le rappelle Lenoble à propos de la pandémie! Il a changé son fusil d’épaule. Cela dit, André Barbault avait bel et bien exposé sa démarche dans la revue L’Astrologue. numéro 177. (Ier trimestre 2012) Voici un extrait de cet article: « Pour revenir aux pandémies et en remontant le siècle écoulé, les quatre crises de 1918, 1954, 1968 et 1982 sautent aux yeux, les deux considérables ayant été la première, la fameuse « grippe espagnole » qui a fait, dit-on, 25 millions de morts, et la dernière où s’est installé le Sida, lequel est encore plus dévastateur et continue d’être meurtrier. Depuis, il y eut aussi une faible poussée grippale en 2009, tout contre le dernier indice cyclique le plus bas (2010). Il se pourrait bien que nous soyons sérieusement menacés d’une nouvelle pandémie au cap de 2020-2021, à la pointe la plus basse de l’indice cyclique de tout ce XXIe siècle, avec le quintette des lentes rassemblées sur une centaine de degrés, une conjonction Jupiter-Saturne-Pluton pouvant plus particulièrement, et même spécifiquement, se prêter au « tissu » de ce déséquilibre. Il n’en demeure pas moins que cette configuration puisse aussi transférer son noyau de dissonances au terrain des catastrophes géophysiques, sans épargner en dernier lieu la scène des affaires internationales, Nature et Société étant indistinctement touchées. » On notera que cette prévision est sans rapport avec le cycle Saturne-Neptune et donc il semble problématique de rappeler ce qui s’est passé en 1989 car celle reléve d’une technique d’un tout autre ordre abandonnée par Barbault depuis le début des années soixante dix. Quid du repli stratégique de Barbault concernant son « indice cyclique » réduit à annoncer des pandémies? On est loin de l’exaltation politique de 1974 quand Barbault interpellait la presse, lors du Congrès de Paris de 1974 quant aux proches échéances à venir avec une « descente » de sa courbe. On nous explique à présent que c’était le SIDA qui était au rendez- vous en 1982. Rappelons que pour nous, une théorie astrologique doit comporter des phases égales, ce qui n’est pas le cas de l’indice cyclique. Sans un substrat numérique rigoureux, qui est propre à tout cycle astronomique, on déraille. Barbault en combinant les cycles tue la cyclicité car une addition de cycles ne donne pas de cycle cohérent d’un point de vue structurel. Observons la série concernée: « 1918, 1954, 1968 et 1982″ Entre 1918 et 1954, entre 1954 et 1968; entre 1968 et 1982, entre 1982 et 2020. Cela donne les intervalles suivants: 36 ans, 14 ans, 14 ans et encore 36 ans si l’on arrondit. ce qui donne un total de 100 ans environ entre 1918 et 2020. C’était en revanche le cas du cycle Saturne Neptune qui se reproduisait tous les 36 ans, sauf qu’il correspondait en fait, comme on l’a montré, au passage de Saturne, tous les 7 ans, alternativement, sur l’axe équinoxial et sur l’axe solsticial. A ce propos, l’on notera qu’en 1953, Saturne était sur l’axe équinoxial alors qu’en 1989 il passait sur l’axe solsticial. Or, il ne semble pas que Barbault ait pris la peine de distinguer entre les effets des deux « conjonctions », ce qui faisait que son pronostic pour 1989 pouvait vouloir dire une chose et son contraire, ce qui est un peu génant pour un pronostic! Resterait donc à l’actif de Barbault son étude « pandémique », produite in extremis. Il est possible que Barbault ait découvert un cycle de 100 ans(cf supra) ce qui expliquerait qu’un siècle après 1918, l’on arrive à 2020; de la grippe espagnole au COVID 19…. On pense à Michel Gauquelin découvrant une astrologie paralléle, liée à l’heure de naissance. Autant dire deux astrologies aux antipodes l’une del’autre et que nous serions tentés de qualifier de marginales et inclassables., l’une comme l’autre, s’articulant assez mal épistémologiquement avec les fondamentaux saisonniers de l’astrologie , Gauquelin ne se référant pas aux saisons et s’appuyant sur les seules maisons et Barbault, pas davantage, suivant en cela l’exemple de Kepler.

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dimanche 21 novembre 2021

Jacques Halbronn Pour une émission astrologique, le dilmanche matin sur France Culture

Jacques Halbronn Pour une émission astrologique le dimanche matin sur France Culture Nous écoutons le dimanche matin les émissions dites ‘religieuses » sur France Culture, comme « talmudiques » (un peu après 9 heures) de Marc Alain Ouaknine suivie de celle consacrée à la Maçonnerie etc et nous nous sommes dits récemment que l’astrologie aurait sa place au sein d’un tel panorama « spirituel » et notamment l’astrologie telle que nous l’avons développée en ses rapports avec la théologie. Nous faisons donc, par la présente, acte de candidature auprès de la direction de la programmation de la chaîne. Cela ouvre ipso facto un débat autour du statut présent de l’astrologie et nous avons eu plusieurs occasions, au cours de notre carrière, de porter les couleurs de l’astrologie. De 1976, avec Clefs pour l’Astrologie jusqu’en 1993 avec l’article ‘ »Astrologie » de l’Encyclopaedia Universalis et l’année suivante avec une exposition à la Bibliothèque Nationale (site Richelieu) « Astrologie et Prophétie ». Donc, il s’agirait de déterminer ce qui pourrait faire obstacle à une représentation, dans tous les sens du terme- de l’Astrologie dans le cadre en question. Pour nous, en effet, l’astrologie peut tout à fait être le socle d’une nouvelle théologie pour le XXIe siècle car c’est l’existence même d’un rapport entre les hommes et les astres qui renvoie à l’idée d’un créateur, d’une intervention « divine ». 21. 11 2
Jacques Halbronn Théologie: distinguer entre le « monde » et l’ »univers ». Il importe, selon nous, de relier le mot « monde » à une certaine théologie et le mot « univers » à une autre, sous peine de générer bien des confusions. En hébreu, ‘Olam » signifie ‘monde mais il est souvent traduit, notamment dans la liturgie judaique par « univers », ce qui nous semble anachronique si on entend ce terme au prisme de note connaissance actuelle du « cosmos ». Le terme « monde » nous semble plus raisonnable. Nous l’avions employé en 1985 : Le monde juif et l’astrologie (Ed Arché, Milan). Ce terme peut aussi bien décrire un systéme fermé que renvoyer à la totalité du connu et de l’inconnu, ce que recouvre peu ou prou le mot « univers ». Or, il semble que la plupart des discours théologiques utilisent ces deux termes indifféremment, ce qui est tout à fait regrettable, à nos yeux. Pour nous, le monde renvoie à un ensemble relativement limité et circonscrit. Nous pensons que c’est dans ce sens qu’il convient de comprendre le premier verset du Pentateuque (Torah) Genése I א בְּרֵאשִׁית, בָּרָא אֱלֹהִים, אֵת הַשָּׁמַיִם, וְאֵת הָאָרֶץ. 1 Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. IL conviendrait, pour bien faire, dire « notre ciel » et « notre terre » plutôt que d’utiliser l’article défini et d’ailleurs ne parlait-on pas, avec Fontenelle, de « la pluralité des mondes ». Il nous semble bien plus raisonnable de considérer une « création » ayant une finalité dans le temps et dans l’espace qu’une création qui reléverait de l’in-fini. Cette « création » de notre monde implique une épistémologie distincte de celle d’une cosmologie s’attachant à l’universel. Pour nous, le « dieu » qui nous intéresse est celui qui s’est occupé de « notre » monde, à l’instar d’un sculpteur oeuvrant à partir d’une matière première qui sera transfigurée. On évitera donc la surenchère visant à faire de « notre » dieu, le dieu de l’univers « tout entier » comme on l’entend si souvent de nos jours, dans la sphère « monothéiste », toutes obédiences confondues. Ce dieu, architecte non pas de l’Univers -comme disent les francs maçons- mais de notre « monde », n’est en effet point réductible ni à une problématique d’un « premier mobile » voire d’un big bang ni aux diverses constructions humaines telles que les lois que nous édictons, que les monuments que nous édifions. Nous avons proposé de qualifier ce « monde » de ‘Surnature » car il s’agit d’un complément, d’un prolongement, d’un arrangement de la « Nature » et assimiler notre monde à l’univers, c’est nier l’apport du créateur de notre monde, c’est à dire de notre ciel et de notre terre. Le fait ,dans le premier verset du Pentateuque, de traiter de ce binome Ciel-Terre, renvoie à l’astrologie, laquelle associe la Terre à un certain Ciel chargé d’organiser, de régir notre Temps. Vouloir parler d’un dieu de l’univers s’occupant de notre Terre nous semble bien disproportionné alors que cela fait sens à une plus petite échelle. o

Jacques Halbronn Réflexions sur l'organisation du temps constitutionnel à l'aune de l'astrologie EQSOLS

Jacques Halbronn : Réflexions sur l’organisation du temps constitutionnel, à l’aune de l’astrologie EQSOLS De quelle façon, l’astrologie peut-elle contribuer à repenser le droit constitutionnel dans son rapport au temps cyclique? Est-il raisonnable de la part des chercheurs en astrologie de prendre pour repére le calendrier électoral? Il y a certes des analogies entre la démarche du droit constitutionnel instaurant des mandats d’une durée constante et celle d’une astrologie disposant de cycles planétaires de durées diverses mais l’astrologie n’est elle pas en mesure de fixer des échéances qui lui soient propres au lieu d’emprunter une temporalité qui n’en émane point? Au prisme de l’astrologie EQSOLS, on ne saurait en effet confondre périodes équinoxiales et solsticiales, ce qui nous conduit à penser que le scrutin ne devrait pas être le même dans les deux cas. En phase équinoxiale, le suffrage direct, « universel » semble approprié car l’équinoxialité est nivelante et place tout le monde sur le même pied si bien que l’élite est noyée au milieu des individus lambdas. En revanche, en phase solsticiale, c’est le scrutin indirect qui convient le mieux, à savoir que le chef, le président, est désigné par ses pairs. Cette analyse correspond à notre distinction entre leaders simples, et archi-leaders, le leader éxerçant un pouvoir sur un certain espace et l’archi-leader étant capable d’impacter un ensemble de leaders « simples. Il conviendrait donc de faire alterner, de sept ans en sept ans, le mode direct et indirect. » On pourrait même ajouter que le suffrage direct serait réservé à des électeurs féminins alors que le suffrage indirect, en deux temps, le serait à des électeurs masculins, ce qui impliquerait que le suffrage direct comprendrait des électeurs féminins et des élus, hommes, lesquels seraient voués à participer à un suffrage indirect. JHB 21 11 21

samedi 20 novembre 2021

Jacques Halbronn La crise politique est épistémologique. Quelle "science politique"?

Posté par nofim le 20 novembre 2021 Jacques Halbronn La crise politique est épistémologique. Quelle « science politique »? Selon nous, la « science politique » n’aura pas su fournir les outils appropriés, nécessaires à l’élaboration d’institutions viables, d’où la formule « crise épistémologique ». Elle s’est contentée de décrire en renonçant à prescrire et l’on ne saurait guère affirmer que cette « science » aura fait progresse en France, le passage du septennat au quinquennat, l’élection présidentielle précédant les législatives, ne nous semblent pas aller dans la bonne direction, sans parler du recours au suffrage universel pour l’élection « directe » du président de la République, depuis 1965.(du fait de la réforme constitutionnelle de 1962). Il est vrai que cette « science politique » n’aura pas cru bon d’explorer et d’exploiter les possibilités cyclologiques objectives, préférant enteriner et encourager de facto, de façon démagogique et finalement anarchiste, l’idée selon laquelle l’on pouvait structurer le temps politique de façon arbitraire, dans le culte subjectif de la République souveraine. On observe ainsi que l’on confond allégrement les causes et les conséquences quand il s’agit d’expliciter un phénoméne social. Tout au plus s’aventurera-t-on à parler de la question de l’âge des leaders. A ce propos, où en est la science du leadership? Pour notre part, nous avons récemment proposé de distinguer les leaders moyens et les arché-leaders, ces derniers ayant autorité sur les premiers. Pour nous, le peuple choisit entre les leaders moyens, ordinaires, lesquels se réunissent pour élire un super-arché-leader, ce qui était l’esprit de la Constitution de la Ve République avant la réforme de 62 déjà mentionnée. D’aucuns soutiennent que le suffrage universel « direct » confère toute sa légitimité au président ainsi élu.Or, selon nous, l’archi leader est le « primus inter pares » et doit être désigné par un collége de quelques milliers de membres, comprenant les parlementaires et autres élus..C’est sur cette base que De Gaulle devint le premier président de la Ve République et l’on ne saurait affirmer que son élection au suffrage universel, en 1965 lui ait conféré une plus grande légitimité, quand on connait la suite des événements en 1968 et 1969 (même s’il y eut le sursaut des legislatives du fait de la dissolution du mois de juin 68 (à peine un peu plus d’un an avant les précédentes de 1967) qui n’eurent aucun effet institutionnel sur la présidence puisque ce n’était plus le Parlement qui participait à l’élection du Président. Crise épistémologique tenant au refus de recourir à un quelconque modéle cyclique qui n’aurait pas été déterminé par les représentants des citoyens , dispositif considéré comme le « moins pire ». Il est vrai que de nos jours, il ne fait pas bon de parler, sous quelque forme que ce soit, de ce qui pourrait ressembler à de l’astrologie. Comment imaginer que le calendrier de nos institutions puisse être tributaire d’un savoir « paria »? On serait la risée du monde! Quel dilemme! Il nous faudrait donc nous résigner à un bricolage dérisoire qui n’aurait pour lui que d’avoir été fixé par « nous »! Vanité des vanités! On entre donc dans ce XXe siècle, voué à une technologie de plus en plus pesante avec ce pauvre instrument constitutionnel, datant dans son principe, de la fin du XVIIIe siècle, aux Etats Unis et en France, au lendemain de la Révolution. Et face à ce défi, nous ne disposons que d’une vision enfantine du découpage du temps qui ne repose sur rien d’autre que notre bon vouloir collectif, ce qui varie en outre d’un pays à l’autre, dans une extréme cacophonie. On joue aux apprentis sorciers! Etrangement, personne ne s’en offusque comme si cette question était secondaire. Ceux qui entendent changer la constitution n’ont pas de nouveaux critères à proposer. On est là face à un tabou sociétal. Pourtant, le cycle de 7 ans, en vigueur depuis le début de la IIIe République, au lendemain de la Commue, se justifié mieux cycliquement que celui de 5 ans qui a été adopté au début de ce nouveau siècle. Par quel miracle le temps de notre constitution s’ajusterait-il à quelque cyclicité « scientifique »? L’on peut certes douter de telle ou telle forme de cyclologie mais est ce une raison pour ne pas investir des fonds dans ce domaine de recherche, sous prétexte de l’existence de pratiques jugées superstitieuses? La cyclologie serait elle la dernière roue de la charrette, le parent pauvre des sciences sociales? JHB 20 11 21

Jacques Halbronn La problématique autour de la lettre "U" dans le milieu astrologique : universitaire ou unifié?

Jacques Halbronn La problématique autour de la lettre « U » dans le milieu astrologique : Universitaire ou Unifié.? Nous avions déjà réfléchi sur le ‘RA » présent dans le sigle de plusieurs associations astrologiques, depuis le GERAS (1974) jusqu’au CEDRA (1986) et au CURA.(1999), le RA du RAO signifiant en revanche Rassemblement des Astrologues. Ce RA renvoyait à « Recherche en Astrologie » et il faudrait d’ailleurs se demander en quoi aura consisté un tel programme. Signalons aussi la revue de Denis Labouré (Saint Etienne), « La Recherche Astrologique »/ Penchons-nous, cette fois, sur la portée du « U’ dans des associations comme le MAU (1975) et le CURA(1999) De fait, si en 1975, le U de MAU signifiait Universitaire, ce U allait assez vite changer de sens en indiquant « Unifié » au lieu d’Universitaire. En 1999, Patrice Guinard, décédé en septembre dernier, reprendra le U au sens d’universitaire pour son Centre Universitaire de Recherche Astrologique. Ce changement que nous avions décidé tenait au fait que le MAU avait gagné en peu de temps une position centrale, fédérative, dans le milieu astrologique, ce qui correspond en Astrologie EQSOLS à une phase équinoxiale alors que le U pour Universitaire correspondrait plutôt à une phase dite solsticiale.* Or, il semble bien que depuis quelque temps, au regard du U la tendance » universitaire » tende à l’emporter sur la tendance « unificatrice », ce qui nous éloigne du milieu astrologique dont nous ne sommes plus d’humeur à sauvegarder l’unité, comme cela avait été encore le cas, au précédent passage solsticial de Saturne, il y a une quinzaine d’années.(cf le Colloque de novembre 2004 et la création de notre chaine Teleprovidence, actuellement sur You Tube) en 2008) Certes, le milieu astrologique nous intéresse-t-il encore mais d’un point de vue historique et ethnologique et plus encore peut être d’un point de vue cyclologique au prisme de l’alternance des phases de 7 ans. D’où la création de la BINA, la Bibliothèque Internationale de Numérisation Astrologique, engagée par Dominique T. et l’exploitation des fonds de la Bibliotheca Astrologica, rebaptisée BURA, ce qui fait réapparaitre le U d’Universitaire: la Bibliothèque Universitaire de Recherche Astroloiogiques dont nous assurons désormais une série de « Publications ». On aura compris que pour nous l’heure n’est plus à une gestion paresseuse du milieu astrologique mais bien à une entreprise vigoureuse de nouveaux paradigmes, déjà mise en oeuvre dans ce Manifeste que furent nos « Clefs pour l’Astrologie » (Paris, Seghers 1976, Claves de la Astrologia, Madrid, EDAF,1978) vingt ans avant le « Manifeste » (1999) du regretté Patrice Hervé Guinard, décédé 30 ans après Michel Gauquelin. Nous pu observer, en effet, que les idées mise en avant en 1976 n’ avaient pas connu qu’elles eussent mérité, il y a donc plus de 40 ans, notamment dans la place accordée aux axes équinoxiaux et solsticiaux au niveau cyclologique. L’exemple de Serge Bret Morel est assez édifiant, lui qui fut le lieutenant d’Alain de Chivré, à la FDAF, passé, avec un certain succés, dans le camp des « astrosceptiques ». Quant à nous, rappelons que nous nous sommes orientés dès les années 80 vers le prophétisme, ayant soutenu en 1999 et 2007 deux thèses universitaires »’cf Article Wikipedia) Par ailleurs, nous avons mené des recherches en linguistique et en critique biblique (étant par ailleurs docteur en Etudes Orientales, 1979), couvrant ainsi un spectre où l’astrologie trouvait de nouvelles perspectives interdisciplinaires.(cf le Colloque sur la Dualité, Paris, mai 2000, Cahiers du CERIJ, association que nous avons fondée en 1978, Cercle d’etudes et de Recherche sur l’Identité Juive). Pour nous, astrologie et théologie sont devenues indissociables, d’où le nouveau concept de ‘Surnature » que nous avons décliné depuis peu. Si nous devons organiser à l’avenir des colloques, ce sera sur les bases de notre modéle cyclologique (EQSOLS) et de la théologie de la Surnature.

Jacques Halbronn Une nouvelle acception des congrès astrologiques proposée par Yves Lenoble

Jacques Halbronn : Une nouvelle acception des congrès astrologiques proposée par Yves Lenoble On reléve sur les sites et écrits d’Yves Lenoble deux propositions éminemment discutables. Et l’on peut parler de diffamation, de contre-vérités et de fake news au regard de l’histoire du milieu astrologique francophone. Première pièce Yves Lenoble | Le site des astrophiles http://www.yveslenoble.com « Il a organisé de 1991 à 2003 le congrès des astrologues et astrophiles français « . Commentaire: Yves Lenoble aura modifié sensiblement à partir de 1991 la notion de congrès astrologique telle qu’elle s’était imposée depuis une quinzaine d’années. D’ailleurs, il emploie l’expresson « congrès des astrologues et astrophiles », ce qui dénote une vision hybride car sous le terme astrophiles, il vise les éléves en astrologie voire les clients de astrologues et de fait la composition du public ne comporte qu’une faible minorité d’astrologues, en dehors de ceux qui sont payés pour donner une conférence d’une certaine durée alors que la régle voulait que les congrès réunissent avant tout des astrologues confirmés et cette régle remontait déjà aux années trente, avec le congrès de Paris de 1937. Les astrologues ne figurant pas au programme étaient l’exception, ce qui réduisait le nombre d’astrologues présents à une douzaine dans des salles de plusieurs centaines de places. Etrangement, le Salon de l’Astrologue qui était adjoint à ces congrès rassemblait nombre d’astrologues dans leurs stands mais lesquels ne participaient pas à la dynamique des dits congrès. Par ailleurs, pendant les années considérées, on compte un certain nombre de congrès d’astrologues mais apparemment Lenoble n’aura pas pris la peine de lire notre « Guide astrologique » (Ed Laurens 1997) qu’il ne mentionne pas dans ses « indications bibliographiques ». Citons en 1995, le Congrès de Nantes organisé par l’ADREA (FDAF) d’Alain de Chivré, en 1996, le Congrès de Lyon, organisé par le CEDRA et les Congrès tenus sous l’égide du MAU, en 1991 à Montluçon, en 1992 à Angouléme, en 1993 à Dijon, en 1995 à Paris ou encore les congrès d’Astrologos (Gilles Verneret) , sur Lyon en 1995 et 1996, et encore sur Lyon, en 1998 (RAO). Que dire en décembre 2000 du Congrès CURA (Guinard)-MAU à Paris (qui fut filmé). Enfin, en 2000, à Montpellier, la FAES,(Fédération des Astrologues de l’Europe du Sud) dont faisait partie Lenoble organisera un congrès. (cf le Guide de la vie astrologique, 2006) Deuxiéme pièce »Yves Lenoble : Le 1er congrès a eu lieu en 1990,(…) Car en 1990, le milieu astrologique était pauvre en échanges et en rencontres . C’était même l’inertie » Autrement dit, avant 1990 il ne se passait rien de bien dynamique en France « en échanges et rencontres ». Or, étrangement, les années qui précédérent 1990 avaient été particulièrement riches si ce n’est l’absence du dit Lenoble dans certaines d’entré elles. On signalera les congrès MAU de Paris de 1987, 1988, 1989 et dans ce dernier congrès Yves Lenoble était d’ailleurs intervenu (cf l’enregistrement vidéo). Ou bien si l’on suit Lenoble, ce n’étaient pas des congrès selon son gout avec trop de débats qui feraient mauvaise effet sur les « astrophiles » qui étaient la source de revenu et il ne fallait pas cracher dans la soupe! Il serait trop long de rappeler ici les dizaines de rencontres qui se tinrent à partir du congrès de Paris (ISAR, JIAPs) de 1974 (cf leGuide de la Vie Astrologique. Paris, Trédaniel, 1984) dont le Congrès d’Orléans de Denise Daprey FEA en 1985 ou celui de Cannes de Danièle Rousseau, proche de Lenoble, FFA) Faut il signaler, entre autres, les actes des colloques de Metz et de Toulouse (1982), ou encore le congrès de Nantes de 1983 ‘(avec Alain de Chivré)? Et puis, bien évidemment, Lenoble se garde bien de parler de la période 2004-2011 qui fut celle de la télévision astrologique Teleprovidence du MAU, à la suite du super colloque de novembre 2004, entièrement filmé= et auquel il participa. Avec le recul, la place de Lenoble pour les 40 ans allant de 1974 à 2014 nous apparait comme d’une importance tout à fait moyenne et il était nécessaire de le remettre à sa place. Il ne reste d’ailleurs de ses congrès que des Actes et fort peu de documents audiovisuels. Comme nous l’avons écrit ailleurs,avec Lenoble, c’est la revanche des profs d’astro sur les chercheurs, avec l’avantage de profiter d’une manne financière permettant de recruter quelques intervenants, souvent d’ailleurs abonnés d’une année sur l’autre. Nous demandons, à toutes fins utiles, donc instamment au sieur Yves Lenoble de corriger les lacunes de ses présentations donnant une image déformée de la vie astrologique, car cela tombe sous le coup de la diffamation..

vendredi 19 novembre 2021

Jacques Halbronn L'astrologie ne saurait se contenter d'une anthropologie primaire

jacques Halbronn L’astrologie ne saurait se contenter d’une anthropologie primaire. Il est parfois tentant pour le « chercheur » en astrologie (le fameux « RA » des sigles associatifs) de prendre pour argent comptant les qualifications en vigueur et de s’efforcer de les corroborer au moyen de quelque référentiel cosmique. on connait le cas Gouchon-Barbault à propos des deux « guerres mondiales » dont ils ont voulu (dé)montrer que ces deux événements correspondaient à des configurations astrales du même ordre. (cf l’indice cyclique, exposé en 1967 dans les Astres et l’Histoire). Récemment, nous avons été tenté de rapprocher les deux « génocides » du XXe siècle, la Shoah des années 41-45 et le massacre de Tutsis au Rwanda en quelques mois de l’année 1994. Probablement, certains astrologues parviendraient ils à trouver des points communs, astralement, à ces deux moments dramatiques, et ce d’autant plus que les outils dont ils disposent sont confus et diffus. En revanche, si l’on se sert d’un modéle bien défini et univoque, l’on s’aperçoit que ces deux drames n’obéissent point à la même « logique ». Encore faut -il pour cela disposer d’une grille anthropologique suffisamment étayée, ce qui, là encore, est loin d’être sûr! Or, selon notre anthropologie, il nous faut impérativement distinguer entre les tensions horizontales et les tensions verticales et la Shoah reléve d’une conflictualité verticale alors que le génocide rwandais reléve d’une conflictualité horizontale, comme nous nous en sommes expliqués en différents textes et vidéos. par conflictualité horizontales, entendons une forme de xénophobie se développant entre deux espaces culturels bien distincts, deux populations bien déterminées et repérables. En revanche, la conflictualité verticale pose de tout autres problémes et reléve de ce que nous appelons la « Surnature » (voir également nos travaux sur ce thème). Autrement dit, les clivages « verticaux » ne seraient pas le fait des humains que nous sommes mais d’un ordre transcendantal, même s’il s’ancre sur un substrat « naturel », la Surnature se servant nécessairement d’un fondement « naturel ». Autant la suppression ou le rejet d’un ensemble horizontal n’affecte pas nécessairement l’ensemble qui en est l’auteur, autant la suppression ou le rejet de type vertical risque fort d’apparaitre comme suicidaire: on se tire un coup dans le pied. Un exemple évident concerne le fait masculin et le fait féminin. Aucune société ne saurait se permettre d’éliminer sa population masculine ou sa population féminine, encore que de nos jours, rien ne semble plus impossible tant l’on affirme que rien ne vient fondamentalement distinguer celles-ci. Dans le cas de Juifs, certains contesteront -y compris et peut être surtout parmi les juifs- que ceux-ci reléveraient d’une dimension »verticale », étant donné que le sionisme entend revendiquer une « horizontalité », comparable à celle d’autres « peuples ». l’on voit que le débat anthropologique autour de la verticalité n’est pas simple et qu’il peut être tentant de ne pas s’y hasarder. Mais a-t-on vraiment le choix de faire l’impasse sur ce sujet épineux au risque d’hypothéquer précisément la recherche astrologique. C’est bien, en tout cas, le talon d’Achille de la dire recherche de ne pas se mesurer à de tels questionnements. Ainsi, nous observons au prisme du cycle saturnien que la Shoah eut lieu en phase équinoxiale alors que l’anéantissement d’un million de Tutsis correspond à une phase solsticiale. La phase équinoxiale nie l’ordre solsticial et la phase solsticiale ne reconnait pas l’ordre horizontal. En phase équinoxiale, il y a un nivellement par le bas alors qu’en phase solsticiale, ce sont les différences culturelles de type horizontal qui ne font pas sens. JHB 19 11 21

Jacques Halbronn L'impact du MAU sur la vie astrologique en suisse (1979è1981). Le cas de Claude Weiss

PUBICATIONS DE LA BIBLIOTHEQUE UNIVERSITAIRE DE RECHERCHE ASTROLOGIQUE jacques Halbronn L’impact du MAU sur la vie astrologique en Suisse (1979-1981) Le cas de Claude Weiss (né en 1941°) Notre propos vise à montrer dans quelle mesure le MAU aura impulsé la carrière de Claude Weiss dans la vie astrologique helvétique, à partir des congrès organisés sur Genéve. Nous signalons que nous avions fait la connaissance de Claude Weiss lors du Congrès de l’ISAR dont nous étions un des protagonistes, à Paris, en septembre 1974, en compagnie du Zurichois Bruno Huber avec lequel il organisera les congrès de Lucerne et de Zurich, à partir de 1981. Dans nos archives, nous relevons que le congrès de Genéve du 31 aout au 3 septembre 1979 porte la mention, dans ses programmes: « »organisé par le Mouvement Astrologique Unifié et Astrodata. » Or, Astrodata est le nom d’une société dirigée par Claude Weiss. Lieu: le grenil Centre des Unions Chrétiennes. . Le relais local était : le Centre d’Etudes d’astrologie et de dynamique mentale de R .Werner qui nous aida à nous implanter à Genéve et par la suite, nous eumes affaire à Charles Aubert puis à Francine Mercier qui épousera Robert Gouiran alias Georges De Villefranche, rencontré lors de nos congrès genevois. . Présentation Hommage à Jean-Jacques Rousseau. Un des thèmes essentiels de cette manifestation sera astrologie et Littérature avec Jean Charles Pichon : les précis ridicules, d’Ezéchiel à Junf (un systéme universel de déduction prophétique), avec Guy Le Clercq (Bruxelles) qui a énormément travaillé à rassembler des dates de naissance d’écricains et à les classer, avec André L’Eclair spécialiste des problémes de cosmologie dans la littérature classique (Rome), avec Arnold Waldstein, auteur d’un ouvrage sur John Dee, avec Jacques Halbronn, qui a achevé une thèse sur Astrologie et Judaisme chez les principaux penseurs juifs espagnols (…) Une place réservée au Genevois Eric Weil mais aussi à Michel Barbey, auteur d’un ouvrage nécessaire su les domifications (…) Une partie en langue allemande est également prévue pour le dimanche avec Claude Weiss (Bâle) etc/ Dimanche 2 septembre: Claude Weiss, Les révolutions solaires (en allemand éventuellement) Eric Weil, L’astrologie horaire (en allemand, éventuellement) Il importe de souligner que ce premier congrès suisse prévoyait des interventions en allemand et que nous eumes la visite du président de l’association autrichienne, Sandor Belcsak. Par ailleurs, Pierre Heckel, de Metz, était bilingue comme Weiss et Weil. L’année suivante, 9-14 juin 1980, le MAU organisa un deuxiéme congrès à Genéve; « semaine astrologique » thème: l’Astrologie et le corps humain. Ouverture par Charles Aubert ‘(Institut d’Astrologie appliquée. Genéve Mercredi Rencontre avec Claude Weiss (Bâle). Les révolutions solaires. L’orientation des couples. Les sels de Schussler. En 1981, Weiss organisera le premier d’une série de 4 congrès en Suisse alémanique. Lisons ce qui est écrit sur une notice le concernant (Wikipedia)! « »Through the 1980s and 1990s, Weiss became a dominant voice in the German-speaking astrological community. He is a popular lecturer, has written a number of books, and edits a periodical, Astrologie Heute. He has helped organize four world astrological congresses and has served as president of the Swiss Astrological Association. ’ »" En 1984, c’est lors de l’un de ces congrès que prit forme le projet d’une Fédération Française d’Astrologie (FEA) que présidera Daniéle Rousseau, ce qui conduira au Congrès de Cannes, en décembre 1985 Un. troisiéme congrès « annuel » genevois eut lieu en 1981, les 19-21 juin, sous l’égide du « Mouvement Astrologique de Suisse Romande et des provinces française limitrophes., présidé par Francine Mercier Ajoutons qu’en 1981, se tint à Luxembourg, grâce à Jean Nicolas Sheuer, son Secrétaire général, un Congrès de la Fédération Internationale des Astrologues de langue française (FIALF); siége à Luxembourg, structure que nous avions fondée en 1980 lors du congrès de Bruxelles,le XXe du MAU/. Le Conseil d’administration comportait outre Labouré, Heckel, Aubert, Jacques Egé avec lequel nous avions organisé un Colloque à Lille, en 1978 et Jacques de Lescaut qui nous avait aidé à organiser celui de Bruxelles en 1980. Sur une photo, l’on retrouve, à Luxembourg Charles Aubert, Francine Mercier, Denis Labouré, et Maurice Charvet/

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jeudi 18 novembre 2021

Jacques Halbronn Sociologie. Entre l'arché et le peuple, ll y a le leader ordinaire.

Jacques Halbronn Sociologie. Entre l'Arché et le peuple, il y a le leader ordinaire. Après avoir introduit la notion de Surnature, laquelle se situe entre la Nature et la construction humaine, nous proposeront ici une autre nation essentielle, celle d'Arché, c'est à dire de ce qui est devant et avant, de la monarchie à l'archéologie. Celui qui est contre l'Arché est un "anarchiste". La phase solsticiale, en anthropocosmologie ou Astrologie EQSOLS, est celle du retour de l'Arché lequel s'était peu ou prou éclipse en phase équinoxiale. En ce sens, on dira que la phase "SOLS" remet les gens à leur juste place et enléve le plumes du geai qui s'était paré de celles du paon (cf La Fontaine). Le geai, c'est l'image du leader médiocre, du "petit" chef par opposition au grand chef. On prendra pour exemple la question des langues car elle permet de bien poser le probléme de la hiérarchie des langues. Qu'est ce donc qu'une "arché-langue" et en quoi se distingue -t-elle d'une langue ordinaire? L'arché-langue a de l'autorité sur un ensemble de langues, chacun d'entre elles, à son niveau exerçant une certaine domination sur les esprits. De même l'arché-leader domine des leaders lesquels, chacun à leur niveau, sont dotés d'un certain pouvoir. Systéme à trois niveaux: tout en bas, le vulgum pecus, plus haut le pouvoir d'encadrement et au sommet, le super-pouvoir qui s'exerce sur ceux qui jouissent d'une quelconque portion de puissance. En phase solsticiale, tous les leaders se réunissent sous l'autorité du super leader lequel respecte leurs différences et faite régner une certaine coexistence, pour quelque temps, ce qui permet de créer des liens, des convergences, des synergies, tout en respectant les repéres objectifs de différenciation. A contrario, en phase équinoxiale, l'on y affirme la fin des différences, ce qui est une façon de déclarer que l'on a plus besoin de l'arché-leader si ce n'est que tôt ou tard, les clivages réapparaitront et ce faisant se manifestera l'urgence de faire à nouveau appel l'arché-leader,pour instaurer un ordre non pas par le nivellement mais par une répartition des tâches et des roles, selon les compétences de chacun. Sur le plan linguistique, on prendra l'exemple de la langue française, que nous considérons comme une arché-langue, c'est à dire une langue qui est capable d'avoir une emprise sur d'autres langues, en ce sens que plusieurs langues lui empruntent un certain nombre de ses traits, lexicaux, morphologiques, phonologiques, ce qui contribuer de facto à les rapprocher entre elles. Au sein de cet "empire" du français, l'on citera l'anglais, l'allemand, le russe et l'arabe parlé du Maghreb sans oublier le rôle du français comme mode de communication dans des milieux hétérogénes comme dans le cas de l'Afrique, marquée par ailleurs par le tribalisme ethnique. Il ne s'agit pas ici de compter le nombre de locuteurs s'exprimant dans un français "classique" mais du nombre de ceux qui ont emprunté au français tel ou tel trait, tel ou tel corpus. En ce sens, l'anglais, notamment, reléve de l'empire du français, comme archi-langue, donc s'inscrit au sein de la francophonie,ce qui englobe la francographie, tant il est vrai que l'écrit peut susciter une diversité de phonies, l'unité se situant bien plus au niveau de l'écrit que de l'oral. Il importe de comprendre à quel point il est nécessaire de ne pas prendre les vessies pour des lanternes et de se méfier des leaders qui tentent de se faire passer pour des arché-leaders ou des langues pour des arché-langues. Au niveau ethnologique, nous travaillons sur certaines communautés comme celle des astrologues du monde francophone et, dans nos travaux, nous parvenons à montrer ce qui distingue clairement le petit du grand leader. Mais l'on peut prendre l'exemple de la V e République quant à l'évolution de son systéme électoral. En effet, le président de la République n''a pas été élu au commencement de ce régime comme il le sera par la suite, à partir de 1965, du fait de la réforme constitutionnelles de 1962 établissant le suffrage universel pour l'élection du président de la République au lieu de passer par un"collége électoral"" d'élus, de notables, donc de leaders élisant un super-leader en connaissance de cause. Etrangement, l'on entend souvent des propos qui soutiennent fort abusivement, que l'élection au suffrage universel est la meilleure façon de déterminer qui sera l'arché-leader. Selon nous, c'est là un bien pauvre raisonnement car le super leader doit être reconnu par ses pairs, primus inter pares et c'est le petit leader qui impactera le public anonyme. On nous explique: " À l’origine, le président de la République était élu au suffrage universel indirect par un collège comprenant environ 80 000 grands électeurs. Ce collège était composé des parlementaires (députés et sénateurs), des conseillers généraux et d’élus municipaux. Afin d’éviter une trop grande inégalité dans la représentation des communes, les conseils municipaux des grandes villes désignaient des grands électeurs supplémentaires, tandis que la représentation des petites communes était limitée à leur seul maire". Il importe donc d'en revenir à l'esprit initial de la Ve République qui impliquait que le Parlement soit élu avant le Président puisque c'est le Parlement qui avait pour tâche de contribuer à l'élection du Président. Or, non seulement, il y a eu la réforme de 1962 mais en plus avec l'instauration du quinquennat la pratique d'une élection présidentielle précédant celle des chambres et non plus émanant de leur sein! Pour en revenir à notre terrain du milieu astrologique, nous avons pu observer à quel point certaines erreurs de "casting" avaient été fatales, notamment dans les entreprises "fédérales" quand on voyait des leaders de bas de gamme prendre l'habit de maxi-leaders. On reconnaitra notamment l'arché leader par son double registre, à la fois de rassemblement dans l'ici et maintenant et dans son aptitude à embrasser la longue durée, par la réforme des pratiques corrompues. Quand l'arché leader est en phase solsticiale, il va rassembler autour de lui toute une diversité et quand il est en phase équinoxiale, il se situera le support intemporel de l'écrit. Un arché leader devra donc à la fois, en même temps, être dans l'omniprésence et dans l'omniscience, capable de ne rien négliger ou oublier, ne confondant pas équité et égalité. JH B 18 11 21

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Jacques Halbronn: 1991-2021 A trente ans d’intervalle: décés de Michel Gauquelin et Hervé Patrice Guinard,nés à 29 ans d’écart: 1928 et 1957 . Leurs deux noms commencent par la lettre G. Jolie synchronie! Deux annonces surprenantes à quasiment 30 ans d’intervalle, l’une survenue le 29 mai 1921 et l’autre le 9 septembre 2021 avec des naissances quasiment, elles aussi, à 30 ans d’intervalle, respectivement le 13 novembre 1928 et le 4 novembre 1957, donc avec des soleils presque conjoints en scorpion. Nous avons bien connu l’un et l’autre lesquels ont participé à nos colloques. Pour Michel Gauquelin, ce fut en 1987 et 1988, Pour Hervé (plus tard Patrice) Guinard, dès 1983, à Nantes, puis à Angouléme (1992) et à Dijon (1993), sans parler de Paris et Toulouse. Dans les deux cas, on trouvera des vidéos sur notre chaîne de la Subconscience-Téléprovidence. En décembre 2000 un important congrès CURA-MAU s’était tenu à Paris: Frontières de l’astrologie. Nous avions assisté à sa soutenance de doctorat en 1993, à la Sorbonne. Guinard avait beaucoup fréquenté notre bibliothèque de la rue de la Providence dans les années qui précédèrent la dite soutenance et nous avons le reléve de sa main des ouvrages empruntés. Guinard avait notamment exploité nos recherches concernant Eustache Lenoble, dont l’Uranie était parue en 1697 (cf un premier article dès 1987, dans la revue Astralis reprise par Maurice Charvet dans les conditions que l’on connait. Cela dit, par la suite, Guinard se consacrera essentiellement au « Corpus Nostradamus », domaine où nous l’avions précédé sinon initié et il aura publié surtout dans ce domaine. Au niveau astrologique, il était passé par l’Astrologie Conditionaliste de Jean-Pierre Nicola dont il entendait prolonger la recherche et la réflexion (cf son « Manifeste ») I Michel Gauquelin Lorsque Gauquelin décéde, au printemps 1991, un de ses livres doit être publié par nos soins, ce sera en 1992 les Personnalités planétaires. On lira son compte rendud(dans « Aspects de l’Astrologie »)de notre essai « La pensée astrologique » (in Histoire de l’Astrologie de Serge Hutin, Artefact 1986) où Gauquelin reconnait notre travail d’explication de ses résultats statistiques. D’où une publication posthume qui nous valut des déboires avec son fils Daniel et sa famille (dont nous avons traité ailleurs) II Patrice Guinard décéde au même âge que Gauquelin, à peu de choses près, dans des conditions que nous ignorons encore à l’heure où nous écrivons. Nous avons été le premier en France à signaler sa mort (laquelle fut d »abord signalée en anglais: AFAN | Association for Astrological Networking a retweeté Jacques Halbronn: 1991-2021 A trente ans d'intervalle: décés de Michel Gauquelin et Hervé Patrice Guinard,nés à 29 ans d'écart: 1928 et 1957 dans ASTROLOGIE _oLkrFtz_normal Chris Brennan @chrisbrennan7 · 4 nov. I just learned that the French astrologer Patrice Guinard passed away in September, and his ashes were laid at the cemetery today on his birthday. His CURA website has been an important archive and international resource for astrologers for years: http://cura.free.fr Curieusement, à la date où nous écrivons, son décés n’est pas encore signalé sur son site cura.free.fr. Ce décés pose le probléme des archives qui avaient été confiées à Guinard en 2010, à savoir la collection de documents photocopiés de la Bibliotheca Astrologica et nous ignorons ce qu’il va en advenir, ce qui risque de poser probléme avec les héritiers. Il serait en tout cas facheux que ces milliers de pages soient perdues, égarées ou détruites et pour notre part, nous considérons qu’il serait bon que nous les récupérions dans les meilleurs délais ou que ce fonds « Halbronn » soit pris en charge par une structure compétente, en mesure de les mettre à la disposition des chercheurs. Guinard avait notamment mis en ligne en 1999 lors de la création du CURA notre CATAF, Catalogue Alphabétique des Textes Astrologiques Français. JH 18 11 21B

mardi 16 novembre 2021

Jacques Halbronn Nouvelles réflexions sur les processus équinoxiaux et solsticiaux en astrologie

Jacques Halbronn Nouvelles réflexions sur les processus équinoxiaux et solsticiaux en Astrologie Il nous est apparu nécessaire d'affiner nos descriptions de ce phénoméne duel et du rôle des leaders dont nous n'avons pas assez précisé la dimension cyclique. Nous dirons que l'équinoxialité correspond à la dimension sociale du leader et que la solsticialité correspond à sa dimension intellectuelle. Autrement dit, le leader est un Janus, à double face et c'est d'ailleurs ce qui le définit. S'il ne présente qu'une seule de ces faces, il n'est leader qu'à moitié et n'appartient pas au club des archi-leaders tel que nous l'avons exposé ailleurs sur NOFIM et sur notre chaîne You Tube. Ces considérations évitent de donner l'impression d'une discontinuité du leadership en indiquant que ce leadership se manifeste successivement et alternativement sur différents plans, ce qui peut déconcerter. Nous dirons donc que la phase solsticiale du Leader se situe dans la verticalité tandis que l'équinoxial reléve de l'horizontalité et qu'il se doit d'assurer dans les deux cas de figure. La phase équinoxiale est, comme on l'a annoncé, horizontale, "sociale", "spatiale", c'est l'occasion pour le leader d'occuper une place notable dans le domaine qu'il s'est choisi, de faire preuve d'une certaine forme d'omniprésence alors que la phase solsticiale serait plutôt marquée par la revendication de quelque omniscience. La phase solsticiale de par sa verticalité implique l'exercice d'une démarche critique des modéles dominants existants alors que la phase équinoxiale s'apparente davantage à une approche ethnologique, où il s'agit de faire coexister de la diversité tout en la relativisant. Le congrès est certainement le lieu privilégié d'une telle organisation et articulation de l'espace social. Autrement dit, tantôt le leader se démarquera du consensus social en phase verticale, tantôt, il se mettra au service de la société sous sa forme présente. Ce qui conduira à changer ses rapports avec le milieu concerné, en alternant le froid et le chaud tout comme le fait le cycle des saisons. L

lundi 15 novembre 2021

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samedi 13 novembre 2021

Jacques Halbronn Astrologie. Comprendre le contraste entre les équinoxiaux et les solsticiaux

jacques Halbronn Astrologie . Comprendre le contraste entre les équinoxiaux et les solsticiaux. Pour celui qui observe la marche du monde, il est évident qu'il existe deux temps en alternance. Très tôt, nous avions été frappés par le fait que les empires se font et se défont et par la suite, nous avons remarqué qu'il existait des phases de sept ans et enfin que Saturne correspondait à ces phases si l'on découpait son cycle en 4. Le probléme qui se posa alors pour nous était celui du modéle astronomique car dès que l'on associait Saturne à une autre planéte, le nombre sept disparaissait, son cycle passait à 20 ans avec Jupiter ou à 36 ans avec Neptune et ainsi de suite. Mais, il ne nous fallut pas longtemps pour déterminer que le découpage du cycle de Saturne n'impliquait pas qu'on le combinât avec une autre planéte, elle même mobile mais bien plutôt avec un point fixe. Parmi les points fixes, trois possibilités: les planétes dans le thème natal, les étoiles fixes et les axes équinoxiaux et solsticiaux et nous envisageâmes ces différentes options tour à tour, encore et encore tant au niveau théorique que pratique. Il nous fallut approfondir par ailleurs la signification accordée à la notion d'équinoxialité et de solsticialité. Quant aux astrologue que nous avions l'occasion d'observer en société, force était de constater qu'ils n'étaient pas du tout à l'aise avec les diverses méthodes existantes au point de renoncer à s'y référer entre eux, réservant l'astrologie à leurs éléves et à leurs patients, ce qui relevait d'une forme de contre transfert, se prenant au jeu. Ci -dessous quelques pistes pour prendre la mesure de la dualité en question et paradoxalement, il est peut être plus difficile de penser de façon binaire que sur une base 4 ou 12 car notre cerveau sature au delà du 2 lequel lui correspond idéalement. Nous dirons que la phase solsticiale respecte et reconnait les clivages de temps et d'espace alors que la phase équinoxiale se permet de les établir, de les fixer, et d'en changer à volonté. En ce sens, l'équinoxialité n'adhère pas à l'idée de transcendance et n'accepte que ce qu'elle a elle même inventé alors que la solsticialité serait plutôt dans la découverte. L'on retrouve ainsi le conflit entre les "lois" qui viennent d'en haut et celles qui viennent d'en bas. Pour les solsticiaux, il importe de donner, de trouver du sens, à des structures préétablies alors que pour les équinoxiaux, l'on instaure des structures correspondant à un certain contexte ici et maintenant. Nous dirons que l'équinoxialité entend dépasser les clivages de temps, de sexe, de race, d'astre en recourant au Droit alors que la solsticialité s'efforce de donner du sens à de tels clivages, une raison d'être. Le solsticial n'est pas dans le déni des différences, le temps n'est pas uniforme pas plus que l'espace et on ne joue pas impunément avec le temps ni avec l'espace, lesquels ne sont pas malléables à merci, à notre guise. JHB 13 11 21

Jacques Halbronn Sur ses relations avec André Barbault 1972-1976

Publications de la BURA (Bibliothèque Universitaire de Recherche Astrologique) Jacques Halbronn Sur ses relations avec André Barbault 1972-76 André Barbault 16 juillet 1972 Je vous accuse réception de votre « bombe » du 13 et ne vous laisse pas plus longtemps sans reponse. (il s’agit des Remarques Astrologiques de Morin de Villefranche). En ce qui concerne la Bibliothèque du CIA j’ai mis de coté plus du double de pièces que vous avez en votre possession (..) IL est bien naturel qu’ayant découvert le document vous ayez la joie et la récompense d’en être le présentateur (…) Vous pourriez avoir une publication dans » Bibliotheca Hermetica » (..) Je serai en mesure de sortir dans la revue ». Note: c’est en effet dans cette collection dirigée par René Alleau, que paraitront en 1975 les dites Remarques Luc. Decaunes (dir de la Collection « Clefs », 22. 12 1973 » Votre proposition de collaboration pour « Clefs » m »intéresse. Puisque votre manuscrit est prêt, je vous suggère que vous me le communiquiez en lecture, sans engagement de la part de l’éditeur évidemment Luc Decaunes, 10 mars 1974 « Je vous dirai que ce manuscrit m’intéresse. Il est « écrit », il a du ton et du mordant et se situe à un niveau intellectuel nettement supérieur à ce qu’on peut lire en ce domaine. Il m’a changé agréablement des niaiseries emphatiques que m’a soumis, il y a quelques mois un auteur dont je préfére taire le nom (note: il s’agit d’André Barbault) (..) Je vais remettre votre manuscrit avec une note favorable à sa publication » Note: l’ouvrage paraitra au début de 1976 et André Barbault en fera la critique dans la revue L’Astrologue, ce qui se terminera par une condamnation en 78 pour diffamation par voie de presse. André Barbault, 24 novembre 1976 Lettre adressée à Paul Colombet. Société Astrologique de France ». ».Jacques Halbronn , pourtant présent au sein du Conseil du CIA, lors de cette création, a déposé une officielle déclaration de constitution d’une Société Astrologique de France, doublant donc la notre (…) Cet acte constitue purement et simplement une escroquerie morale qui remet en question l’existence même de notre Société Astrologique de France » Note: le changement de nom avait été voté à l’Assemblée générale extraordinaire du 6 mai 1975 puis entérine par le CA du 24 septembre 1976, c’est à dire, plus d’un an plus tard! On rappellera que le nom de Société Astrologique de France était le nom d ‘une Association fondée dans les années vingt, présidée par le Colonel Maillaud. Cette SAF était présente en 1953 au congrès International de Paris et il était assez étrange que le CIA s’appropriât le nom de cette association déjà déclarée depuis des décennies.(cf notre dossier sur la SAF, sur la plateforme SCRIBD). Par ailleurs, Paul Colombet avait d’abord annoncé (n+7 de la revue Trigone, organe du CIA (du fait que Barbault s’était approprié en 1968 le titre de L’Astrologue, initialement organe du dit CIA) dont nous étions le rédacteur en chef) que le CIA s’appellerait Union Française d’Astrologie, titre déjà utilisé; finalement, le nom qui sera choisi fut Société Française d’Astrologie (SFA)

Jacques Halbronn Sur son rôle dans la programmation des intervenants au Congrès ISAR de mai 1975 à Morristown, New Jersey, USA.

Jacques Halbronn Sur son rôle dans la programmation des intervenants au Congrès ISAR de mai 1975 à Morristown, NJ, USA. Posté par nofim le 13 novembre 2021 Publications de la Bibliothèque Universitaire de Recherche Astrologique BURA Jacques Halbronn Sur son rôle dans la programmation des intervenants au Congrès ISAR de mai 1975, à Morristown, New Jersey, USA. L’année 1974 fut celle du premier d’une longue série, jamais interrompue depuis, de Congrès, jusqu’à ce jour. Non seulement, nous mimes le Congrès sur ses rails dans le cadre de l’ISAR, l’International Society for Astrological Research en accord avec le CIA (dont nous fumes remercie en juin 74 par un coup d’Etat nous privant de notre titre de Vice Président obtenu l’année précédente/. Sur ces entrefaites, nous fumes élus comme Executive Secretary de l’ISAR et chargé de la préparation du congrès suivant, devant se dérouler cette fois aux USA à Morristown, du 17 au 24 mai/ Nous n’avions pu assister à cette rencontre en raison de la création de notre Mouvement Astrologique Universitaire. Lettre d’Udo Rudolph (Allemagne) 7 mars 1975 « I am ready on principle to visit your next ISAR Conference at Morristown. (…) I am also ready to give annoucements about your Conference etc Lettre de E.I. K. Esser (Pays Bas) 17 janvier 1975 » Be (con) gratulated with the new task of Exec. Secr. of the ISAR/ It’s a honor. First of all we will announce this Symposium in the next Urania. Lettre d’Henry Weingarten (New York USA) Dear Jacques Halbronn Thank you for your kind invitation to speak at the ISAR convention May 17-24. Unfortunantely, I must decline (…) We don not think highly of ISAR etc » Lettre de Baldur Ebertin 23 janvier 1975 ’Many thanks for your kind invitation to attend the ISAR Convention on May, in Morriswtown. » Le 13 décembre 1975, nous recevions l’avis suivant : Resolved that Jacques Halbron’term as ISAR’s Executive Secretary be terminated with the possibility kept in minde he may later appointed National Vice President of Israel fort ISAR’ » «