Site de l'Association La Vie Astrologique (ex Mouvement Astrologique Universitaire). 8, rue de la Providence. 75013 Paris/ Une approche historico-critique de la littérature astrologique.
Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)
Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
.
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vendredi 17 octobre 2025
jacques halbronn L'Astrologie septénale : un audit du calendrier électoral français de 1974 à 2002 soit un cycle de Saturne.
jacques halbronn L'Astrologie septénale : un audit du calendrier électoral français de 1974 à 2002 soit un cycle de Saturne.
Nous avons fini par établir sur une base désormais définitive que la phase Din était favorable à la Gauche et la phase Hessed à la Droite, ce qui nous permet de porter un jugement enfin pertinent sur la vie politique française pour la période 1974 à 2002. Notre publication 'L'Astrologie selon Saturne" (1994-1995) s'inscrit tout à fait dans cette période. Il s'agissait pour nous, à l'époque, de suivre Saturne lors de son approche du point vernal (0° bélier) En fait, nos résultats ciblèrent plutot le passage de Saturne en poissons. Or, un tel passage est particulièrement problématique si l'on valide nos dernières conclusions, à savoir le basculement de la Droite vers la gauche lors du passage des poissons au Bélier. Cela nous conduira à une critique de la démarche constitutionnelle qui accorde un mandat d'un certain nombre d'années sur la base d'une élection se tenant à un moment donné. On avouera qu'il s'agit là d'une aberration comme on va pouvoir le constater ci-après,
En 1995, Chirac est élu Président de la République en phase Hessed, ce qui est tout à fait logique. Mais cette phase hessed va assez vite se terminer avec le passage de Saturne en bélier en 1996 qui va favoriser le camp adverse et l'on sait qu'en 1997, à la suite d'une dissolution, c'est le PS de Jospin qui va gagner les législatives. Il y a là une crise systémique. En fait, dès 1993, on a eu une cohabitation, grâce à Saturne en signe mutable, avec Balladur Premier Ministre sous Mitterrand, et il aurait fallu considérer que cette phase ne pouvait durer au delà de 1996,ce qui a bel et bien été le cas, si ce n'est que Chirac avait été élu en 1995 pour 7 ans! On observe que le calendrier électoral aura été mis à mal par la dissolution, non prévue constitutionnelllement,, mais que cela aura permis de se mettre en accord avec le cycle de Saturne, si ce n'est que de toute façon, des législatives devaient se tenir en 1998, cinq ans après 1993, soit la durée des mandats de députés.
En 2002, Jospin se présentera à l'élection présidentielle et sera battu, Saturne se situant à la fin du signe du taureau qui vaut déjà pour une phase Din.(la frontière étant à 15° du signe fixe) Dans son article, repris ci- dessous, le journaliste Bernard Delattre, dès 2002, analyse les "raisons de la défaite de Lionel Jospin" si ce n'est qu'il ne fait pas entrer l'astrologie dans le débat; Il est vrai que notre Astrologie Septénale n'était pas encore tout à fait au point à l'époque!
Nous avons sur la table une série de dates assez concluantes. 1981, 1988 phase Din. Mais en 1995, Saturne n'est pas encore passé en bélier, ce ne sera le cas qu'en avril 1996, d'où la réussite de Chirac devant Jospin lequel prendra sa revanche, comme on l' a vu, en 1997. En 2002, Saturne se trouve en signe mutable et c'est la chute de Jospin dépassé par Chirac mais aussi par Jean Marie Le Pen. On voit que la série des 7 années - en phase avec le septénnat- aura été bousculée par le glisssement (rétrograde) de Saturne du Bélier vers les Poissons, ce dont il eut fallu tenir compte si l'on avait maitrisé les données astrologiques.
La mort de Pompidou en 1974 allait déjà mettre à mal en apparence le calendrier électoral du septénnat mais en fait cela aura pour effet d'accorder le dit calendrier avec le cycle de Saturne, du moins jusqu'en 1995, On nous objectera que Mitterrand aurait dû être élu en 194 face à VGE, puisque Saturne était alors en signe cardinal, au cancer, à la sortie des Gémeaux; En fait, le scrution eut lieu au moment même du passage des Gémeaux au Cancer, et donc la victoire de VGE se joua sur un fil, comme le montre d'ailleurs l'écart très faible de voix entre les deux candidats du second tour.
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Les raisons de la défaite de Lionel Jospin par
PAR BERNARD DELATTRE ( paru dans La Libre Belgique 2002)
"Plusieurs facteurs expliquent l'échec du candidat socialiste. Des lacunes dans le traitement du dossier de l'insécurité par son gouvernement à un problème d'image austère en passant par la dispersion des voix de la gauche plurielle
Lionel Jospin a perdu 2,6 millions de voix depuis 1995. Que s'est-il donc passé ? Passage en revue des raisons d'une déroute.
1. Un bilan insuffisant.
A maints égards, le bilan de l'équipe Jospin est assez bon. Sur le plan de l'insécurité, il est faible, ni plus ni moins. Mais la surenchère faite autour de cette question par la droite et les médias ont fait passer ce volet de son bilan pour exécrable. Sans nuances, l'opinion a suivi.
2. Une campagne monomaniaque.
Chirac a fait exclusivement campagne sur l'insécurité. Cela a évidemment fragilisé Jospin et contribué à la hausse de Le Pen.
3. La montée de la gauche"ultra´
Dix pc environ de l'électorat trotskiste sont constitués d'anciens électeurs du PS déçus par la participation gouvernementale et la gauche plurielle. C'est vraisemblablement la marge qui a manqué à Jospin pour se hisser au second tour.
4. Une gauche"plurielle´ éparpillée.
"Si Taubira ne s'était pas présentée, Le Pen ne serait pas au second tour´, disait-on au Parti socialiste, dimanche. C'est peu aimable pour la candidate radicale, mais c'est un peu vrai: si Jospin avait bénéficié ne fût-ce que de ses 2 pc, il se serait hissé au second tour. Christiane Taubira n'est bien sûr pas seule en cause. Si Jean-Pierre Chevènement, par exemple, n'avait pas quitté le giron"pluriel´, Jospin aurait atteint les 20 pc et fait jeu égal avec Chirac.
5. Un électorat démobilisé.
L'abstention a été élevée chez les jeunes et dans l'électorat populaire. Or, en 2002 contrairement à 1995, les sondages promettaient leurs suffrages à Jospin. En outre, la démobilisation de l'électeur a atteint des niveaux astronomiques dans plusieurs bastions historiques du PS (Nord, etc.).
6. Les erreurs de campagne.
Lionel Jospin a commis de sérieuses gaffes (l'âge de Chirac, sa "naïveté´ sur l'insécurité, etc.). En outre, avant de faire marche arrière - trop tard -, il a dérouté son électorat en optant d'emblée pour un positionnement centriste, alors que cette posture correspond généralement au second tour.
Pendant sa campagne, il s'est également peu servi de ses ministres les plus populaires.
7. Un problème d'image.
Malgré ses efforts, Jospin n'est pas parvenu à casser son image d'homme compétent, sérieux et rigoureux certes, mais aussi terne, voire austère. Du coup, à peine un électeur sur cinq a voté pour lui en raison de sa personnalité (lire ci-contre).
8. Une actualité peu porteuse.
Ces deux derniers mois, Jospin a été peu servi par l'actualité. Quand des faits divers dramatiques ne remuaient pas le couteau dans la plaie sécuritaire, les événements du Proche-Orient renforçaient la légitimité présidentielle de Chirac.
9. La"malédiction de Matignon´.
Pour la petite histoire - cette tradition ne vaut évidemment pas règle -, Lionel Jospin échoue dans sa tentative de conquérir l'Elysée comme avant lui deux Premiers ministres sortants: Jacques Chirac en 1988 et Edouard Balladur en 1995. La transition du statut de chef de gouvernement à celui de présidentiable est particulièrement difficile à gérer". JHB 17 10 25
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