Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
.
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vendredi 26 avril 2024

jacques halbronn Réflexions sur les Charmes secrets de l'astrologie d'olenka de Veer (1985)

jacques halbronn Réflexions sur "les charmes de l'astrologie" d'Olenka de Veer (1985, Ed Philippe lebaud) Cet ouvrage nous semble assez typique de la mentalité actuelle des astrologues en France et ailleurs à la fois par ce qu'il comporte et par ce qu'il ne comporte pas. L'auteur y évoque, entre autres, des textes d'une chercheuse, Jacqueline Bousquet, il y a donc une quarantaine d'années et se référe aux liens entretenus entre les humains et le système solaire,à la solidarité avec l'univers, à l'"interrelation entre tout ce qui vit sur terre et toutes les étoiles du ciel" (pp. 120 et seq) On fait appel à Jean Charon. Selon nous, il y là un chainon manquant, à savoir l'"agent", au sens aristotélicien du terme, qui aura permis cette connexion, passage du signifiable au signifié par le biais du signifiant/significateur, pour reprendre notre ternaire post/néo-saussurien. c'est comme croire que Notre Dame de Paris se serait construite sans intervention d'un "dessein intelligent" Olenka de Veer aborde la question du thème de naissance individuel(p.125), ce "moment unique" exigeant, insiste-t-elle, la plus grande précision de l'heure de l'accouchement; on y parle du "bain" composé de mélanges d'ondes planétaires;(p. 126) L'auteur passe ensuite au travail que doit fournir l'astrologue en vue d'une consultation., au temps que cela lui prendra/ A l'entendre, cela s'apparente à tous ces métiers d'écoute, où le client vient se soulager, autour de toutes sortes de supports, de la voyance à la psychanalyse. Or, pour nous, tel n'est pas le bon créneau pour l'astrologie laquelle dispose d'autres moyens, d'autres conditions; Ce qui nous choque le plus, ici,c'est cet artisanat alors que l'astrologie a une vocation politique, au sens plein du terme, plus dans la gestion du global, du social que du cas particulier; l'astrologie devrait être accessible à tous, sans besoin de passer par un astrologue, elle doit fournir des modéles simples, intelligibles et l'astrologie des média nous parait plus proche de ce rôle dans sa méthodologie, même si nous ne la validons pas quant à ses outils. Bien plus, si l'astrologie doit être connue de tous, cela ne signifie pas pour autant qu'elle concerne directement tout un chacun; tout indique que seule une élite est immédiatement impactée, ce qui élimine l'idée d'un thème de naissance individuel. Certes, l'idée du thème bon pour tous constitue un fonds de commerce inépuisable pour le praticien de l'astrologie; Cela vaut aussi pour les cours d'astrologie à destination de ceux qui souhaitent faire de la consultation leur métier; nous préférons parler d'une économie touristique, à partir des curieux de l'astrologie; Or, l'accés à l'astrologie devrait être gratuit et partout enseigné, En revanche, des fonds doivent servir à une recherche astrologique d'utilité publique. le livre de l'astrologie est placé dans le ciel, sous nos yeux, sur nos têtes et chacun peut suivre la course de la planéte centrale (Saturne en l'occurence) sur la bande écliptique qu'on appelle Zodiaque par laquelle passent toutes les planétes de notre systéme solaire, ce qui ne signifie aucunement que l'astrologie ait à prendre en ligne de compte tout ce qui en fait partie et surtout pas les planétes invisibles au delà de Saturne qui n'ont pas vocation par conséquent à être "vues". Selon nous, le couple lune- saturne n'a rien de "naturel" mais tout d'artificiel et croire le contraire serait prendre une église pour une montagne! Débat qui a existé autour des canaux de Mars; Il faut cesser de croire que l'humain ne peut pas rivaliser avec la Nature et édifier des structures pérennes; jhb 26 0424

Jacques Halbronn Recherche astrologique . Ce qui distingue Gauquelin d...

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jacqiues Halbronn Barbault Ce qui est annoncé et n'arrive pas & ce qui ...

jacques halbronn La vie astrologique. 1953, 1967, 1994 Trois dates p...

Jacqiues Halbronn Epistémo. L'astrologie s'ancre-t-elle sur l'observat...

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jacqiues halbronn Astrologie. Valider un pronostic en se décalant de 7...

jacques halbronn Lavie astrologique Barbault simplifie (indice) Nicol...

jacques halbronn Sur sa confétence de Aalen Eté 1975 sur Saturne et le colonialisme

jacques halbronn sur sa conférence de Aalen, Eté 1975 sur Saturne et le colonialisme. En 2025, cela fera un demi-siècle que nous serons intervenus au Congrès Ebertin, à Aalen (RFA)- nous y étions déjà venus en 1971, dans le cadre de l'ISAR de Julinne Mullette Sturm. Cet exposé articulé autour de Saturne, était l'expression de notre fascination, très tôt, pour le démantélement des empires et à l'inverse pour leur formation; Nous y présentames une sinusoïde illustrant ce processus dialectique avec une courbe successivement montante et descendante, découpée par le passage sur les axes équinoxiaux et solsticiaux. En 1976, paraitraient Clefs pour l'Astrologie. Avec le recul, les années 1989-1991 (avec la dislocation de l'URSS) nous apparaissent comme emblématiques de cette thématique de la dissolution des empires! En effet, il nous semblait que l'astrologie mondiale devait se baser sur des mouvements géopolitiques remarquables,à telle enseigne que le déplacement serait son principal cheval de bataille. Il est vrai que dans les années Cinquante, l'empire colonial français donnait des signes de décomposition qui avaient frappé le jeune éléve que nous étions, passionné par l'évolution des atlas de géographie. En 1994, vingt ans plus tard, nous consacrerons une étude spéciale à Saturne "L'astrologie selon Saturne" et force est de constater que nous avons été porteur plus que quiconque, de l'idée d'une astrologie saturnienne, laquelle n'avait nullement besoin d'un autre astre, contrairement aux travaux d'André Barbault. Néanmoins, Barbault aura montré le chemin d'une simplification du modéle, puzzle astrologique, non pas en se centrant sur une seule planéte mais sur des combinatoires.(Saturne/Neptune, indice cyclique) avec des fortunes diverses au niveau du passage de la théorie à la pratique. JHB 26 04 24

jeudi 25 avril 2024

jacques halbronn La matrice lunaire : le 12, le 7 ou le 4. Le trio lune Soleil Saturne

jacques halbronn La matrice lunaire : le 12, le 7 ou le 4? le trio Lune Soleil Saturne Quand on réfléchit sur les structures de l'astrologie, la lune est volontiers prise à témoin mais à quelle facette de la lune faut il faire appel? On peut diviser son cycle en 4 temps de 7 jours, appelés semaines, ce qui tient à ses relations avec le Soleil : nouvelle lune, demie lune, pleine lune et ainsi de suite. On peut également remarquer que la Lune se joint au Soleil dans une moyenne de 12 fois par an, ce qui servirait de référence à toute division en 12 de l'écliptique. Quelle est la bonne piste? Selon nous, la première citée serait la "bonne" et le paralléle avec Saturne montre bien que 12 n'est pas significatif pour cette planéte alors que les axes saisonniers divisent son cycle en périodes de 7 ans; Ces axes joueraient donc le même rôle de diviseurs que dans le registre soli-lunaire (nouvelle lune, pleine lune etc) C'est pourquoi nous n'attachons aucun intérêt à la division en 12 de l'écliptique; Les statistiques proposées par Castille et par Sachs prouvent certes l'impact du cycle saisonnier dans son déroulement mais aucunement la pertinence d'une quelconque division en 12 signes ou consrtellations.(cf "Mariages, astrologie et statistiques françaises" in Le Dossier astrologie de Gunther Grass, Ed Michel Lafon 2000 p; 90) A partir du moment où il y a cycle, toutes les divisions "marchent"! JHB 25 04 24

Jacques Halbronn L'astrologie gère la question de la place! déplacemen...

Jacques Halbronn L'astrologie, issue de la Science ou de l'Art? Natu...

Jacques Halbronn Astrologie Pérévoir le changeement d'habit, d'habita...

Jacques Halbronn Astrologie

mercredi 24 avril 2024

jacques halbronn Réflexions sur le Dossier Astrologie de Gunther Sachs

jacques halbronn Réflexions sur le "Dossier Astrologie "de Gunther Sachs Avec les travaux sur les signes zodiacaux, le probléme numéro I est celui de l'auto-suggestion, d'auto-détermination comme si cette donnée faisait partie intégrante de la personnalité, du fait même qu'on lui attache quelque portée. La signature zodiacale est la chose du monde la mieux connue - elle a été vulgarisée par les multiples collections parues depuis les années Cinquante du siècle dernier (du Seuil à Tchou en passant par Solar sans oublier les média) et cela constitue un obstacle épistémologique de première magnitude. En comparaison, les statistiques de Gauquelin portent sur des données peu accessibles au vulgum pecus, à savoir la position d'une planéte à la naissance, non pas sur une base mensuelle mais sur une base horaire, ce qui exige des calculs d'un tout autre ordre. En soi, un modéle comportant un découpage en 12 secteurs de la course du Soleil, nous parait assez peu crédible si ce n'est au regard de la météorologie. Les personnes nées annuellement dans les mêmes conditions de "temps" pourraient cependant présenter des points communs d'autant que l'on évite ainsi de considérer une saison comme un tout alors que cycliquement, les 12 signes forment une progression constante. Mais est ce que cela reléve stricto sensu de l'Astrologie? Contrairement à ce qu'affirme Sachs, l'astrologie ne saurait se définir ainsi. Le "temps zodiacal" serait donc surtout d'ordre météorologique. Peu importe ici la signification attribuée à chaque signe. Bibliographie article Wikipedia Le dossier astrologie par Gunther Sachs En l'an 2000 paraît le livre de Gunter Sachs, Le dossier Astrologie qui étudie en dix domaines existentiels (mariages, divorces, célibat, maladies, suicides, études, professions, conduite automobile, délits, intérêt pour l'astrologie) à partir de millions de données analysées (d'universités, d'administrations, d'assureurs, d'éditeurs) si les natifs des différents signes du zodiaque (du zodiaque tropical) ont des comportements différents. Tous les écarts importants, face aux chiffres attendus, ne se laissant pas expliquer par le principe du hasard sont indiqués comme significatifs. Le test d'indépendance du khi deux démontre des écarts nettement significatifs pour neuf analyses sur dix. L'hypothèse selon laquelle ces différences procèdent du hasard peut être exclue à la probabilité d'erreur au plus égale à 1 sur 1 million selon l'Institut statistique de l'université Ludwig-Maximilian de Munich qui a vérifié ces travaux Cependant, selon MM. Von eye, Lösel et Mayzer, le livre de M. Sachs contiendrait un lot d'erreurs méthodologiques qui infirment certaines de ses conclusions sur les liens entre signes solaires et criminalité MARIAGES AUX SOLEILS par Didier CASTILLE ": L’ensemble des mariages qui ont été contractés en France entre 1976 et 1997 a été examiné, notamment, selon les longitudes zodiacales qu’avait le Soleil au moment de la naissance de chacun des époux. Il en ressort une corrélation indiscutable. Les mariages entre personnes ayant la même longitude solaire (à plus ou moins 30°) sont plus nombreux que ceux auxquels on aurait pu s’attendre. Par contre, l’observation en fonction des longitudes lunaires des époux ne révèle aucune liaison. Des liens très étroits, et très logiques, existent en revanche entre les époux quand il s’agit des longitudes qu’avaient Mercure et Vénus." Questions de Méthode par Didier Castille Deux recherches statistiques menées sur des populations très différentes et mettant en oeuvre la même méthode aboutissent à des résultats assez similaires. Dès lors, une question se pose : ne sommes nous pas en présence d’un artefact ? Dans cet article, diverses phases de la méthode sont critiquées une à une, ce qui ne permet pas de repérer cet artefact soupçonné. Les conclusions établies par chacune des deux recherches demeurent inexpliquées. JHB 24 04 24jacque

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mardi 23 avril 2024

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jacques halbronn Astrologie EXOLS Les intervalles multiplicateurs pairs de 7 pour le XXe siècle

jacques halbronn Astrologie EXOLS Les intervalles multiplicateurs pairs de 7 pour le XXe siècle. Nous avons abordé les intervalles "pairs" de 28 (4x7) et de 56 ans (8x7) passons à ceux de 14 (2x7) et 42 ans (6x7) Un retour solsticial 1947-1962 -1977- 1991 Le repli En 1947, le Royaume Uni déclare renoncer au mandat qui lui avait été confié sur la Palestine, ce qui conduira notamment à la déclaration d'indépendance de l'Etat d'Israel. Quinze ans plus tard, la France va abandonner l'Algérie (Accords d'Evian de 1962) qu'elle avait intégré dans son espace national. Si l'on poursuit la séquence des 14-15 ans, on tombe sur l'abandon par Israel du Sinaï lors des Accords de Camp David Sur le web " l’Égypte, aux termes du traité, récupère le Sinaï (ce qui sera effectif en 1982) et obtient le démantèlement des implantations israéliennes dans cette péninsule" Quatorze ans plus tard, ce sont les satellites de l'URSS (Pace de Varsovie) qui s'émancipent en 1989 mais c'est surtout en 1991, la fin de la dite Union Un retour équinoxial Les interactions. Le passage en phase équinoxiale met en échec une politique de l'autruche, basée sur un refus de prendre connaissance, de tenir compte de ce qui se passe à l'extérieur de sa sphère. C'est l'occasion d'un réveil plus ou moins brutal. Nous proposons ici trois dates séparées d'environ 42 ans(6x7). La date de 1940 et le temps de la défaite, de la déconfiture pour la France, la fin du mythe de la Ligne Maginot comme protection contre l'Allemagne. L'équinoxialité apparait ici comme un principe de réalité. 43 ans plus tard, c'est le "tournant de la rigueur", la France de Mitterrand réalise qu'elle ne peut ignorer ce qui se passe à l'extérieur au sein de la Communauté Européenne. Sur le web " Le président Mitterrand opte finalement pour le maintien dans les mécanismes de solidarité communautaire, ce qui implique un arrêt de la politique de relance et un freinage de l'inflation par la hausse des taux d'intérêt et la contraction des dépenses publiques. Il décide de réduire le différentiel d'inflation (et de hausse des salaires) français vis-à-vis du partenaire allemand, qui pèse sur la compétitivité du pays et la valeur de sa monnaie sur le marché des changes. Il faut donc changer de politique économique. Le tournant décisif est pris le 21 mars 1983, avec l'annonce d'une politique de rigueur" En 2024, nouvelle phase équinoxiale qui risque fort d'aboutir à des situations comparables sous la pression de l'Union Européenne. Mais cela vaut aussi pour Israel qui s'aperçoit qu'il ne peut plus ignorer ce qui se joue en dehors de son "espace" et le conflit avec l' Iran à coup de drones et de missiles en témoigne éloquemment. La France s'expose à se placer en situation de tutelle. JHB 23 04 24

jacques halbronn Astrologie Les fausses pistes du septénaire et du duodénaire

jacques halbronn Astrologie. Les fausses pistes du septénaire et du duodénaire L'astrologie a été impactée par des connexions mal venues, l'une liée au 7 , l'autre au 12. En ce qui concerne le 7, il y a ce qu'on appelle le Septénaire, lequel aura notamment servi à désigner les jours de la semaine (Soleil, Lune, Mars, Mercure, Jupiter, Vénus Saturne) Nous avons montré que le Soleil n'avait pas sa place dans une telle série, du fait qu'il était le vecteur central. Il sera associé à la Lune, dans le dispositif des maitrises planétaires (Soleil Bélier, Lune, Taureau en exltatation, Soleil Lion, Lune Cancer en domicile (trône). Par la suite, l'on prit l'habitude de mettre fin aux "doubles domiciles" quand il fut question d'intégrer les planétes au-delà de Saturne. (Uranus, Neptune, Pluton). Dans le Livre de la Création, on propose un groupe de 7 lettres "doubles", qui renvoie à cette notion de "double domicile) On a rajouté le Resh pour arriver à 7 alors que grammaticalement,il n'en fait pas partie ("bagadkaphat). Quelle est la raiosn qui aura conduit à un tel résultat? Tout simplement, le fait que le 7 est le quart d'un cycle de 28 jours (Lune) et de 28 ans (Saturne) On aura donc voulu connecter le principe des 7 années (cf les vaches grasses et maigres, chacune correspondant dans le livre de la genée à 7 années) avec le nombre d'astres connus en astronomie. Ce qui est une grossière erreur en ce sens que l'astrologie n'a pas à intégrer toutes les planétes du systéme solaire, ce qui est la tâche de l'astronomie et d'elle seule. En ce qui concerne le 12, l'on sait qu'au XXe siècle, les astrologues auront été tentés de relier aux 12 signes, 12 planétes (cf nos Clefs pour l'Astrologie, Ed Seghers, 1976), mettant un terme au dispositif des doubles domiciles, ce qui ne pouvait que renforcer le cordon ombilical entre Astrologie et Astronomie, puisqu'il revenait aux astronomes de compléter le "tableau"., d'où des spéculations sur les transplutoniennes même si certains auteurs auront préféré caser les astéroides et la Terre pour faire le compte. L'idée de disposer d'autant de planétes que de signes est un grave contresens car les planétes en astrologie doivent être des facteurs dont la nature change avec les signes et ce sont en réalité les signes qui doivent être associés aux divinités, non point les astres! Il convient ici de revenir sur le statut des constellations dont on entend montrer que les étoiles fixes qui les composent, comme le mot "constellation" le signifie, ont une plus grande importance que les signes. En effet, ces étoiles visibles à l'oeil nu servaient de repère commode pour situer les planétes en ce qu'elles étaient utilisées pour marquer les équinoxes (d'où l'expression précession des équinoxes) On ne dit pas, ce faisant, que ces étoiles étaient actives mais qu'on leur avait trouvé un rôle à jouer. La question des ères précessionnelles aura mis en évidence, la connexion entre le point vernal et les constellations mais il s'agirait en fait de relier le point vernal avec une étoile d'une certaine constellation et non à la constellation prise dans sa totalité. En effet, la conjonction planéte/point vernal (où point solsticial) ne peut se faire que par l'entremise d'une étoile fixe se trouvant sur le trajet de la planéte, autour de l'écliptique JHB 23 04 24

lundi 22 avril 2024

jacques halbronn les intervalles de 56 ans en Astrologie saturnienne

jacques halbronn les intervalles de 56 ans en Astrologie saturnienne. Récemment, les intervalles d'environs 56 ans nous ont interpellé; il se trouve que 56, selon la table de multiplication, c'es 8 x 7, c'est à dire des positions du même ordre, soit équinoxiales, soit solsticiales, puisque le multiplicateur _8 est un nombre pair; A contrario, quand le multiplicateur est impair, les phases ont des valeurs inversées, l'une solsticiale, l'autre équinoxiale. Autrement dit, l'écart de 56 ans nous semble bien plus pertinent que celui de 36 ans, lié au "cycle" Saturne-Neptune car il s'agit d'un cycle Saturne- étoile fixe, propre à la révolution sidérale et que les humains ont pu observer depuis des millénaires, à l'oeil nu, depuis des zigourats et non depui 1846 avec des télescopes On en donnera ici 3 exemples : 1933 et 1989 remise en question par l'Allemagne du diktat de Versailles versus démembrement du bloc communiste en Europe (chute du mur de Berlin) 1945 et 2001 hiroshima et Twin Towers 1967 et 2023 Guerre des Six jours et invasion de l'Ukraine Certes, on peut toujours contester de tels rapprochements en raison des décalages idéologiques en présence et ne s'en tenir qu'à des similitude frappantes mais cachant des réalités bien marquées en dépit des dénominations JHB 22 04 24

jacques halbronn réflexions autour du rejer du critère analogique saisonnier par Patrice Guinard

Jacques halbronn Réflexions autour du rejet du critère analogique saisonnier par Patrice Guinard ""La sémantique zodiacale de l'astrologie contemporaine, écrit-il, est redevable à l'un ou l'autre de ces quatre "modèles" culturels, tous caducs : - Le zodiaque mythologique, qui n'a pas de sens car les noms et les mythes attribués aux constellations zodiacales ont été mis en place bien avant l'existence même du zodiaque, et dans un contexte nécessairement "a-zodiacal". - Le zodiaque figuratif, dont les significations dépendent du tracé des figures des constellations et de leurs emblèmes, en étroite dépendance au premier, et préconisé par les franges les plus ignares et superstitieuses du milieu astrologique. - Le zodiaque élémental, péniblement et tardivement élaboré, aux associations connexes rapportées, de nature météorologique ou climatique, qui n'a jamais pu déboucher sur un système cohérent - Le zodiaque saisonnier, parfois étroitement lié au précédent, mettant en avant de vagues associations liées au cycle solaire, et qui n'a strictement aucun sens pour les autres planètes du système solaire." On s'intéressera à cette quatriéme condamnation qui s'en prend au "zodiaque saisonnier" certes, ce qui vaut pour le Soleil, sur le plan météorologique, peut il faire sens, par exemple, pour Saturne? Guinard insiste: en s'en prenant au " zodiaque solaire saisonnier (dont la sémantique est étroitement dépendante du cycle des saisons), et légitime la pratique des astrologues argentins ou australiens, lesquels, en général, n'inversent pas les signes zodiacaux" Pour nous, la question des 2 hémisphères ne se pose pas car nous raisonnons sur des axes et sur une symétrie de couple entre saisons opposées Essayons de comprendre cette méfiance de guinard à l'encontre du "zodiaque solaire" et donc de la démarche analogique, laquelle voudrait que ce qui vaut pour le soleil soit également pertinent pour d'autres astres dès lors qu'ils traversent les secteurs découpés par le Soleil mais à un tout autre rythme et avec des effets d'une autre nature. Ce qui nous sépare de guinard, c'est toute la question de l'origine de l'astrologie, est-elle "naturelle", ou est-elle instaurée par quelque "dessein intelligent" qui mettrait en place un certain ordonnancement à sa guise, à partir du modéle des saisons? Soit l'on croit à une influence des astres sur l'homme soit l'inverse, l'impact humain (au sens large, ce qui peut englober des extra-terrestres) sur les astres, par instrumentalisation et mimétisme;(cf notre Essai de 1986 "la pensée astrologique" que Guinard connaissait et qui l'avait choque puisque dans son esprit anti-humaniste, ce que les humains établissent par là même serait sans valeur, Pour notre part, nous pensons que l'astrologie a instauré des saisons saturniennes de 7 ans chacune faisant pendan aux "solaires" tout comme ce n'est pas par hasard que le cycle de notre satellite la lune ressemble numériquement à celui de Saturne; On est bien là dans une forme de fiction qui s'incarne par la magie de la techno-science, En ce sens, on peut parler d'un Grand Architecte de l'univers, d'un Deus Faber, un dieu "créateur" à l'insar des Elohim de genése I.(Six jours de la Création) jhb 22 04 24

Jacques halbronn Réflexions autour de l'astrologie désoccultée d'Arthur le Bau (1993)

jacques halbronn Réflexions autour de " L'Astrologie désoccultée" d'Arthur Le Bau (1993) Nous entrons ici comme avec Didier Racaud et Pierre Heckel, grand habitué de nos colloques exposant sa "spirale évolutive" (cf notre étude), dans le courant néromanien, avec une préface de Max Duval qui nous a suivi dans nos recherches sur les maitrises planétaires (qui constitueront une partie de nos Clefs pour l'Astrologie), au début des années soixante -dix. Nous avons fréquenté l'auteur en 1986, quand il faisait partie du bureau du GERASH dont nous occupâmes la présidence et certaines réunions eurent d'ailleurs lieu chez Lui, à Paris, dans le quartier de Saint Germains des Prés. Un tel livre est foisonnant . On regrettera toutefois qu'il ne cite dans sa bibliographie ni nos Clefs pour l'Astrologie (1976), ni notre essai sur la Pensée Astrologique (1986). ni même Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau (1979) alors même qu'il aborde le sujet (pp 153 et seq "1950, date d'entrée dans l'ère du Verseau") Le Bau se référe à Jean Charles Pichon "pp; 115 et seq), un des habitués des rencontres MAU. "Les "cycles du retour éternel de JC Pichon et les ères zodiacales" "Pour Pichon, écrit notre auteur " le parcour zodiacal du point vernal est une "machine à faire des dieux "comme le sommeil une machine à faire des rêves" De fait Le Bau voit dans cette "Grande Année" précessionnelle le déroulement d'un plan divin établi à l'intention de notre Humanité, reliant ainsi Astrologie et théologie, ce qui nous conviendrait assez même si nous pensons que ces sont les sociétés qui se sont conformés aux astres, qui les ont instrumentalisés (cf notre Essai de 1986) . Il est vrai que nous n'avions guère fait appel à lui lors de notre série de congrès parisiens entre 1975 et 1990. Il participa à celui de 1987 qu'il évoque. Commençons, au hasard par son chapitre "les statistiques sur les notoriétés professionnelles de Choisnard, Masson (sic, au lieu de Léon Lasson), les Gauquelin" (pp 83 et seq) Mais Le Bau ne semble pas avoir assumé pleinement l'élitisme sous jacent à de tels résulats bien qu'il se référe aux "notoriétés" car Gauquelin ne vient nullement valider le thème natal des astrologues mais bien une approche typologique et nécessairement réductrice, dans le bon sens du terme (cf nos récentes réflexions sur Abellio) Or, il est clair que Le Bau croit au thème natal individuel; ce qui n'est pas la tasse de thé de Gauquelin qui y verrait une extrapolation de ses résultats. Voyons à présent ce que Le Bau dit à propos de Dorsan, un habitué de nos Colloques.(pp; 194 et seq) au chapitre "Zodiaque : tropical ou sidèral?" L'auteur note que le sidéralisme de Dorsan se limite à un décalage de 24° et ne s'interesse guère aux constellations sinon par commodité. Or, nous avons pu observer qu'un tel décalage pouvait s'expliquer par un processus d'anticipation saisonnier à savoir que le changement de saison s'opére en signe mutable et non cardinal. Nous avons montré que les astrologues s'étaient servis des étoiles fixes pour situer les planétes sur l'écliptique et l'on peut alors parler d'instrumentalisation, c'est à dire simplement d'un point de vue visuel Abordons à présent la question des "directions' , en rapport notamment avec le "mouvement "du Fatum (le MC selon le jargon néromanien). la notion de prometteur et de significateur semble avoir échappé à l'auteur en ce qu'elle met l'accent sur une dualité celle du facteur actif mobile et du secteur passif ce qui exclue qu'il y ait autant de planétes opérationnelles que de signes ou de maisons en astrologie, JHB 22 04 24

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dimanche 21 avril 2024

jacques halbronn Astrologie. Au sujet de la dynamique équinoxiale et de sa datation

jacques halbronn Astrologie. Au sujet de la dynamique équinoxiale et de sa datation. En cette fin avril 2024, nous sommes au début d'une phase équinoxiale avec l'entrée de Saturne en Poissons et qui se conclura, grosso modo, avec la sortie de Saturne à la fin du Taureau,laissant alors la place à une phase solsticiale, en entrant dans le signe des Gémeaux, en 2030. Cette phase se caractérise par un décloisonnement tous azimuts, affectant tous les champs d'activité, tant politique que scientifique, unissant ainsi les diverses catégories socioprofessionnlles mise en avant par les statistiques Gauquelin en une seule et même dynamque. C'est le moment par excellence où il faut trouver et suivre les "bonnes personnes" pour accompagner une telle phase, en vue de véritables "Travaux d'Hercule". On aura compris que les frontières ayant cours en phase solsticiale ne sont plus vraiment de mise, d'où une grande liberté de mouvement, la pratique du "Blitz'.bousculant les "lignes Maginot" de toutes sortes, faisant sauter les verrous, ce qui augure de la conclusion d'alliances inédites, inouies, devenues impensables. On pense au pacte germano-soviétique du mois d'aout 1939 en plein milieu de phase équinoxiale. On n'y est pas encore et on n'assiste actuellement qu'à des prémisses. Le passage de Saturne sur l'axe Taureau Scorpion correspond à une sorte de paroxysme. Inversement, l'entrée de Saturne sur l'axe Gémeaux- Sagittaire déterminera une dynamique en sens inverse qui finira par accoucher des événements de 1989, lors du passage en capricorne et se prolongeant avec la dissolution de l'URSS, début Verseau (décembre 1991). On aura compris qu'il importe de bien maitriser un tel agenda si l'on veut éviter les déconvenus prévisionnellles! Il convient, en tout état de cause, que l'astrologie puisse annoncer la date du basculement d'une phase vers la suivante car celui-ci ne se comprend que par le biais d'une astrologie ayant retrouvé son équilibre et rien ne serait plus ridicule qu'un astrologue surpris par un nouveau cours des choses. Chaque phase s'achève sur un certain "raz le bol" plus structurel et intérieur que conjoncturel et extérieur. Cela signifie que l'on veut en finir d'où le recours à des solutions radicales. On pense à Hiroshima en 1945, la mise en oeuvre en 1942 de la Shoah n'étant qu'un apéritif à côté/ On brûle les ponts.. Sur le web " S’engager dans une affaire, dans une entreprise, de manière à s’ôter tout moyen d’y renoncer ou de s’en désister." On aura compris que déontologiquement, un astrologue "sérieux" se doit de voir toujours le coup d'après, c'est ce qui engage sa crédibilité. JHB 21 04 24

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samedi 20 avril 2024

jacques halbronn Astrologie Esotériuqe. Paradice. Chaque saison accouche de la suivante

jacques halbronn Astrologie Esotérique. Paradoxe: Chaque saison accouche de la suivante. A partir du moment où l'on accorde au cycle des saisons une place centrale, il importe d'en appréhender les particularités! On comprend miieux pourquoi nos travaux ont abouti à avancer le début des saisons astrologiques quand on prend conscience de ce que l'équinoxe débouche sur le solstice et le solstice sur l'équinoxe. En effet, en fin de saison, on parvient carrément au résultat inverse de celui affiché en début de saison et donc la fin de l'Eté, c'est déjà l'Automne, la fin de l'Hiver, c'est déjà le printemps et ainsi de suite Il y a 30 ans, dans notre Astrologie selon Saturne, nos "statistiques" mettaient en évidence, sur 200 ans environ, que c'était le passage de Saturne en poissons qui était déterminant, bien avant de passer en bélier, signe de l'équinoxe au même titre que la balance. Et l'on peut dire en sens inverse que l'arrivée de Saturne en Géméaux et en Sagittaire ouvre inaugure des périodes "solsticiales". C'est dire qu'il faut savoir lire les modéles et trouver le bon mode d'emploi, en tenant compte des glissements, des anticipations et des contradictions propres à toute cyclicité, On pense à l'ouroboros. sur le web " (Mythologie) Représentation d'un serpent ou d'un dragon qui se mord la queue que l'on retrouve dans de multiples cultures. (Sens figuré) Quelque chose qui revient sur lui-même, dont le développement amène à un retour à la situation initiale." Il est clair que si l'on devait s'en tenir aux seuls axes, on aurait en effet des définitions bien tranchées mais dès que l'on s'inscrit dans une certaine durée, tout se complique et l'équinoxalité se solsticialise et vice versa avec pour effet des erreurs fatales en matière prévisionnelle. Il est vrai que de nos jours, avec Barbault, on ne prend même plus la peine de préciser le sens des événements, en se contentant de donner des dates. Or, que vaut une astrologie qui ne saurait pas, ne prendrait pas la peine de distinguer entre le noir et le blanc, entre la nuit et le jour? S'en tenir à la symbolique zodiacale aura contribué à entretenir un tel flou car on ne raisonne pas avec la même acuité sur une base de 2 et une base de 12 facteurs, a fortiori quand les définitions des 12 signes n'ont pas d'ancrage marquant! On sait que nous avons adopté une démarche transdisciplinaire nous permettant de désenclaver l'astrologie en lui faisant parler un langage commun avec divers domaines. Nos travaux sur l'écrit et l'oral nous auront notamment enseigné qu'il fallait se méfier des lectures trop littérales et que l'on avait besoin de certaines clés pour décoder les documents, ce qui donne du sens au mot "ésotérisme". Il doit donc être clair pour tout le monde qu'à la fin d'une saison, on est déjà passé à la saison suivante au niveau de la dialectique diurne/nocturne! Que dire ainsi de la présentation d'un Jean Pierre Nicola! "L’ébauche du zodiaque photo-périodique est née de la représentation schématique des 4 saisons : un cercle blanc rayonnant pour le printemps, un cercle blanc pour l’été, un cercle noir rayonnant pour l’automne, un cercle noir sans rayon pour l’hiver. J’y voyais 4 Soleils qui se sont spontanément baptisés : Energie pour l’image du premier, Espace pour le deuxième, Temps pour le troisième et Structure pour le quatrième. Leur logique (cycle : ++, +-, -+, –) n’est apparue qu’après." Rappelons que " le calendrier chinois étant un calendrier luni-solaire, la date du Nouvel An chinois dans le calendrier grégorien varie d'une année sur l'autre, mais tombe toujours entre le 21 janvier et le 19 février, lors de la deuxième nouvelle lune depuis le solstice d'hiver quand le soleil se trouve dans le signe du Verseau. C’est, comme tous les commencements de mois lunaires chinois, le premier jour d'une nouvelle lune. Par convention, l'alignement astronomique qui signale la nouvelle lune est déterminé à l’observatoire de la Montagne Pourpre à Nankin" (wikipedia). Lisons ce qu'en écrit Patrice Guinard dans ses Avatars du Zodiaque astrologique (cf infra) L'on note un certain compartimentage dont nous avons montré qu'il pouvait nous égarer.en ce qu'il ne tient pas compte de l'interdépendance des saisons. "Le Zodiaque (...) est une réalité solaire, ou plutôt hélio-centrée. Chaque signe pourrait ainsi être défini comme le moment spécifique du parcours d'une planète donnée, projeté sur l'écliptique et mesuré par sa déclinaison, c'est-à-dire par sa hauteur par rapport au plan de l'équateur céleste. Cette déclinaison est nulle au début du Bélier et de la Balance, et maximale au début du Cancer et du Capricorne. De 0° Bélier à 30° Gémeaux, augmentation de la déclinaison qui est positive (Nord). De 0° Cancer à 30° Vierge, diminution de la déclinaison qui reste positive (Nord). De 0° Balance à 30° Sagittaire, diminution de la déclinaison qui devient négative (Sud). De 0° Capricorne à 30° Poissons, augmentation de la déclinaison qui reste négative (Sud). La sinusoïde qui suit illustre les quatre phases d'un zodiaque des déclinaisons annuelles du Soleil. [17] in Patrice Guinard, L'astrologie, TH D, 1993, p.31 Les déclinaisons des signes équinoxiaux (Bélier, Vierge, Balance, Poissons) varient fortement (de 11°28'), celles des signes médians (Taureau, Lion, Scorpion, Verseau) varient un peu moins (de 8°42'), celles des signes solsticiaux (Gémeaux, Cancer, Sagittaire, Capricorne) faiblement (de 3°16'). Ce zodiaque est universel, quelle que soit la latitude du lieu, en hémisphère Nord comme en hémisphère Sud. Il est préférable au zodiaque solaire saisonnier (dont la sémantique est étroitement dépendante du cycle des saisons), et légitime la pratique des astrologues argentins ou australiens, lesquels, en général, n'inversent pas les signes zodiacaux. [18] Pour chaque planète, on pourrait imaginer un zodiaque semblable, aux phases déterminées par la variation des déclinaisons, avec le 0° Bélier et son point opposé définis par les noeuds planétaires. On retrouve chez Didacus Placidus l'idée d'une quadripartition du cycle zodiacal conjugant les principes d'augmentation/diminution et de proximité/éloignement de la lumière (Tabulae Primi Mobilis, Padoue, Pauli Frambotti, 1657). "There is a formation of four conjugations of the manner of starry influence, viz. in the luminary's increase and near situation; in its near situation and decrease; in its decrease and distance; and in its distance and increase. By these conjugations are constituted four quarters." (Placidus de Titis, thèse 23 du Primum mobile, trad. angl. John Cooper, London, 1814; Bromley (Kent), Institute for the Study of Cycles in World Affairs, 1983, p.9) ; et dans la traduction de Claudine Besset-Lamoine: "La force influentielle des étoiles se conjugue selon quatre modes, c'est à dire l'augmentation de l'influx lumineux et sa proximité, sa proximité et sa diminution, sa diminution et son éloignement, son éloignement et son augmentation. Ces combinaisons constituent quatre quartes" (Primum mobile, Paris, FDAF, 1998, p.12). De 0° Bélier à 30° Gémeaux, augmentation de l'influx lumineux et proximité. De 0° Cancer à 30° Vierge, diminution de l'influx lumineux et proximité. De 0° Balance à 30° Sagittaire, diminution de l'influx lumineux et éloignement. De 0° Capricorne à 30° Poissons, augmentation de l'influx lumineux et éloignement. La quadripartition d'un zodiaque naturel et solaire, en rapport avec le lieu d'observation, n'était pas ignorée des Grecs : l'astronome Géminos de Rhodes note, deux siècles avant Ptolémée, que la différence de durée entre les jours et les nuits est positive pour six signes, négative pour les six autres, qu'il y a augmentation de la durée du jour pour six signes et diminution pour les six autres : "De plus, l'augmentation des jours et des nuits n'est pas égale dans tous les signes. Aux environs des points solsticiaux, elle est très faible. (...) Au moment des équinoxes en revanche, l'augmentation des jours est importante." [19] Ce schéma peut se généraliser à l'ensemble des planètes, et chaque zodiaque local organise les signes selon les variations annuelles des arcs diurne et nocturne de la planète considérée. Ainsi, à un moment donné et pour une latitude géographique donnée, pour chaque planète, il existe un rapport spécifique entre la durée de son arc diurne (sa durée de présence au-dessus de l'horizon) et la durée de son arc nocturne (sa durée de présence au-dessous de l'horizon). Ainsi, à Paris, le Soleil a un arc diurne d'environ 12 heures le 20 mars, d'environ 16 heures le 22 juin, de 12 heures le 23 septembre et de 8 heures le 21 décembre, date à laquelle l'arc diurne reprend le dessus sur l'arc nocturne et que les Romains célébraient comme la fête du soleil invincible (Sol invictus). Aux équinoxes les arcs diurne et nocturne solaires s'égalisent, au solstice estival l'arc diurne atteint son maximum et au solstice hivernal son minimum. La sinusoïde qui suit illustre les quatre phases d'un zodiaque fondé sur les différences annuelles de durée entre les arcs diurne et nocturne du soleil à Paris. in Patrice Guinard, L'astrologie, TH D, 1993, p.32 De 0° Bélier à 30° Gémeaux, croissance de l'arc diurne dominant. De 0° Cancer à 30° Vierge, décroissance de l'arc diurne dominant. De 0° Balance à 30° Sagittaire, décroissance de l'arc diurne récessif. De 0° Capricorne à 30° Poissons, croissance de l'arc diurne récessif. Ce zodiaque local peut être appelé "photo-périodique" (Nicola) en référence à la présence ou à l'absence de la source lumineuse planétaire au-dessus ou en-dessous de l'horizon. La lumière, solaire et directe, ou planétaire et réfractée, est le critère retenu en raison de sa régularité, contrairement à l'inconsistance des critères de nature météorologique, comme la chaleur. [Les viscissitudes de l'astrologie "classique" proviennent justement de sa servitude à la climatologie, à commencer par Ptolémée, et Kepler lui-même n'a pas réussi à y changer grand chose. En réalité la lumière n'est que le témoin repérable, la trace visible, d'une source agissante qui demeure à ce jour insaisissable par la mesure expérimentale. "La lumière, partie évidente du spectre solaire, ne sera que l'échelon visible d'influences plus vastes dont elle signale les périodicités." [ A l'instar du zodiaque des déclinaisons, le zodiaque local s'adapte à chaque planète et varie en fonction de l'inclinaison du plan de révolution de cette planète autour du soleil. Ainsi l'arc diurne d'une planète peut s'effectuer la nuit (pendant l'arc diurne solaire). Les zodiaques de chaque planète se superposent dans le thème, qui unit, par exemple, un hivernal par le soleil à un "estival" par Uranus. Les zodiaques planétaires locaux sont des modulations topocentriques des zodiaques des déclinaisons' Nous même avons mis beaucoup de temps à nous détacher d'une représentation trop schématique, abstraite, mathématique des saisons et la solution que nous avions trouvé de décaler les axes saisonniers ne convenait pas vraiment. Il valait mieux expliciter à quel point une saison finit par aboutir à l'effet inverse de ce qu'elle annonçait, tout comme l'accouchement n'est pas sur le même registre que l'accouchement. . A propos de la symbolique zodiacale, nous avions signalé l'erreur consistant à ignorer les effets des saisons sur les moeurs (cf les Très Riches Heures du Duc de Berry) On risque de mettre sur le compte du printemps, ce qui reléve déjà de l'Eté. Nous même, natif du sagittaire, nous sommes bien conscients de ce que ce signe est déjà un signe hivernal bien avant le solstice. JHB 20 04 24

Jacques Halbronn Astrologie EXOLS 56 (8x7) ans entre Hiroshima et Sep...

jeudi 18 avril 2024

jacques halbronnn Réflexions autour d'une préface de Raymond Abellio à un ouvrage d'astrologie

jacques halbronn Réflexions autour d'une préface de Raymond Abellio à un ouvrage d'astrologie En 1977 parut chez Dervy (Collection La Roue Céleste") "l'Astrologie rencontre la Science" de Jean Barets avec une préface d'Abellio (pp; 7-11). En 1979, nous avions fait paraitre dans Aquarius ou la Nouvelle Ere du verseau (ed Albatros), un entretien qu'Abellio nous avait accordé. l'ouvrage de Barets traitait d'une certaine approche statistique de l'astrologie. Pour Abellio, cela doit "servir à des fins de vérification et non de découverte". Faut il comprendre qu'il y aurait un savoir astrologique opérationnel institué à valider et non pas une théorie venant s'appliquer à partir d'observations sur le terrain? Pour Abellio, le foisonnement des données brassés par l'astrologie serait le garant même de sa vocation. Rappelons qu'André Barbault avait publié en 1955 sa Défense et Illustration de l'Astrologie, aux Ed. Grasset, dans une collecion dirigée par le dit Abellio. Dans de La Psychanalyse à l'astrologie (Ed Seuil, 1961); Barbault détermine la vocation de l'astrologie personnelle à l'aune d'un tel foisonnement , comme si l'infini de l'astronomie et donc de l'astrologie devait conduire a explorer l'infini de la psyché humaine/ Abellio met en garde contre toute approche réductionniste que favoriserait l'usage de la statistique alors que, précisément, pour nous, le salut de l'astrologie passe justement par une telle décantation, à l'instar du travail d'un Michel Gauquelin!

jacques halbronn Anthropolinguistique. L'astronomie féminine, l'astrologie masculine

jacques halbronn Anthropolinguistique. L'astronomie féminine, l'astrologie masculine Nos travaux d'ordre linguistique auront mis en évidence une certaine alchimie, consistant en un processus de décantation, de "réduction", d'abréviation comme la production de diphtongues. Or, il apparait que les rapports entre Astronomie et Astrologie peuvent tout à fait être analysés, décryptés à partir d'un tel modéle, ce que les historiens de l'astrologie, dans leur immense majorité devraient tôt ou tard finir par intégrer. Ceux -ci nous expliquent que l'astronomie est venue enrichir l'astrologie du fait de ses découvertes (cf Rencontre avec Frédéric Louvet pp. XXIX Les dossiers de l'Histoire, 1985 sur l'Astrologie. 1986) Nous dirons que l'astrologie est à considérer comme une lecture de livre ouvert qui obéit aux régles de la linguistique telles que nous les avons définies; A savoir, au commencement, comme dit le livre de la Genése, un matériau (tohubohu) demandant à être structuré, modelé. Ne pas comprendre cela, c'est assimiler l'oral à l'écrit, alors que l'oral est la transcendance de l'écrit, sa sublimation. On lit trop souvent sous la plume d'astrologues "sérieux", qu'il faudrait ne rien "jeter" de ce qui s'offre à nous au niveau cosmique, s'engager à tenir compte de tout ce qui nous est donné à voir, tant à l'oeil nu que par le biais de la lunette ou du télescope. D'où le mépris affiché à l'encontre de ceux qui oseraient simplifier, donc appauvrir, le clavier céleste alors même que les astronomes s'offriraient à l'étendre indéfiniment. Ces bonnes âmes ne comprennent pas à quel point elles font fausse route et nuisent terriblement à la cause astrologique de la même façon que ceux qui n'ont pas appris à respecter l'écrit de la langue française pour en tirer la substantifique moelle. Sur le web: "Extraire « la substantifique moelle » de quelque chose, c'est en retenir ce qu'il y a de meilleur, de plus précieux ou de plus profond". C'est donc séparer le bon grain de l'ivraie/ En ce sens une astrologie qui ne garderait comme moteur qu'un seul et unique astre obéirait à cette logique de la décantation qui sous -tend le systéme électoral, passant du quantitatif au qualitatif, ce qui est aussi la question de la Royauté, d'un Jésus entouré de ses apôtres; De nos jours, les astrologues traitent le soleil comme un astre parmi d'autres, lui accordent un signe zodiacal comme aux autres. Enorme contre-sens! JHB 18 04 24

mercredi 17 avril 2024

jacques halbronn Réflexions autour de Fascinante Astrologie de Denis Muller (Ed Labor et Fides, 1990)

jacques halbronn Réflexions autour de Fascinante Astrologie de Denis Müller (Ed Labor et Fides 1990) L'ouvrage émanant d'une mouvance protestante, parait au lendemain de la sortie du nouveau Que Sais je sur l'astrologie, ouvrage confié par les PUF à Suzel Fuzeau Braesch. Le mot "fascination" Elisabeth Teissier reprendra la dialectique Fascination - rejet.(L'Homme d'aujourd'hui et les astres : Fascination et rejet, Plon - 2001. Selon nous, il importe de dissocier l'enjeu théologique et l'enjeu proprement astrologique. L'on peut ainsi tout à fait accepter que l'astrologie en tant fasse partie d'un plan divin sans pour autant valider ce qu'elle est devenue. Evitons donc tout amalgame! Une théologie fondée sur la Création du Ciel et de la Terre est une chose, la question de la valeur de l'astrologie en est une toute autre. Le tort de l'auteur est de mettre la charrue avant les boeufs en partant (p. 11) d'entrée de jeu, de ce qu'est l'Astrologie (avec un grand A). Dans sa "conclusion" l'auteur nous rappelle que son "but étaur de comprendre et d'évaluer théologiquement l'astrologie sous les différentes formes où elle se présente à nous aujourd'hui' Or, il semble que la question de la dialectique Ciel Terre ne soit pas au coeur de la théologie de Denis Muller comme elle devrait l'être pour un lecteur de l'Ancien Testament et notamment du Récit de la Création. L'auteur propose de "relancer l'interrogation sur la pertinence du christianisme contemporain" (p. 102) mais il se heurte au statut accordé à la "Nature" alors que l'Astrologie reléverait, selon nous, d'une SurNature, ce qui impliquerait l'idée d'un Dieu non réductible au "Premier Mobile" mais non plus identifiable à cet humain que reste Jésus. Entre ces deux extrémes, il y a la place du Démiurge, d'un dieu ayant élaboré le systéme dont l'Astrologie traite, à savoir un rapport entre les astres du systéme solaire et les hommes terrestres. Il y a là un point aveugle de la théologie chrétienne qui hypothèque la démarche de cet auteur, autour de la question de la "Nature". Müller aborde en fait l'astrologie comme une langue qu'il s'agit d'apprendre : le probléme de la traduction se pose à deux niveaux: traduire depuis l'astrologie ou bien vers l'astrologie. (cf notre brochure 'L'astrologue face à son client, Les ficelles du métier, 1994, Egalement en traduction anglaise sur le web). Nous avons consacré de nombreux travaux à la question des langues et l'astrologie fait partie de notre corpus. Mais il existe plusieurs façons d'aborder les langues: l'on peut décrire les pratiques en usage chez les locuteurs ou bien l'on peut s'interroger sur la systémique qui les sous tend, laquelle a fort bien pu être corrompu du fait d'emprunts, de calques de toutes sortes, ce qui génére du syncrétisme dont l'astrologie n'est pas épargnée. Il est clair que Denis Müller reléve d'une démarche de type ethnologique et que sa critique ne consiste nullement à restaurer une astrologie première mais bien au contraire à en signaler toutes les dérives en s'intéressant d'ailleurs aux auteurs les plus divers, de Michel Gauquelin à Daniel Verney, de Catherine Aubier à Eisabeth Teissier. (pp. 107--108) en négligeant de signaler nos Clefs pour l'Astrologie (Ed Seghers 1976), une des rares publications dans une collection encyclopédique, comme y parviendra Suzel Fuzeau Braech avec les Ed Presses Universitaires de France, Collection Que Sais-je en 1989. JHB 16 04 24

jacques halbronn Astrologie Les trois crises de Berlin, 1948, 1961, 1989 en phase solsticiale

jacques halbronn Astrologie Les trois crises de Berlin, 1948, 1961, 1989 en phase solsticiale Nous avons déjà déploré chez André et Anne Barbault le peu d'attention portée à l'année 1961 tant avant qu'après les événements, ce qui est d'autant plus étonnant au prisme de ce qui s'est passé en 1989 puisque dans les deux cas, Berlin était en cause: sa construction et sa destruction. Même au lendemain de la double crise Berlin-Cuba des années 1961-62, Barbault ne s'y référait point dans sa Crise Mondiale (Ed Albin Michel) annonçant une "crise "autrement plus grave comme s'il avait voulu minimiser celle qu'il n'avait pas vu venir (cf les Cahiers Astrologiques). En 1967, quand il propose son "indice cyclique", il ne reléve pas que cette crise ne colle pas avec son graphique puisqu'elle se situe dans sa montée et non dans sa descente.Et au lendemain de 1989, avec la nouvelle crise berlinoise, Barbault n'envisage aucun paralléle alors que dans les deux cas, l'URSS est impactée d'une façon ou d'une autre. Il est vrai que le cycle Saturne-Neptune n'est pas pertinent en 1961-62 alors qu'il semble l'être pour 1989-1991 comme si le chercheur en astrologie ne voulait retenir que ce qui correspondait à son modéle. Or, si l'on s'en tient aux cycles basiques qui sont "sidéraux" (conjonction planéte -étoile fixe) alors que les autres combinatoires sont légion, force est de constater que Saturne se trouve dans les mêmes (dis)positions, ce qui aurait dû, tout de même, interpellé Barbault, à savoir dans le signe du capricorne (solstice d'hiver). Dans les trois cas, l'URSS sera tenue en échec. "Le blocus de Berlin est l'une des toutes premières crise de la guerre froide. Elle en est aussi la plus grave, jusqu'à ce qu'une seconde crise à Berlin (1958-1961) — conclue par la construction du mur —, puis la crise des missiles de Cuba (1962) plongent à nouveau le monde dans la crainte de la guerre et de l'holocauste nucléaire." Le blocus de Berlin (juin 1948) - qui sera neutralisé par les "ponts aériens" a lieu alors que Saturne se trouve en Lion, en fin de phase solsticiale (selon l'Astrologie EXOLS) donc dans le même type de phase qu'en 1961 et 1989. Graphe de l' Indice cyclique: C'est d'ailleurs, à la même époque des années 1961-62 que la France "perdra" l'Algérie.(Accords d' Evian) entre autres. JHB 17 04 24

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mardi 16 avril 2024

jacques halbronn Deux astrologies complémentaires, celle de l'écliptique et celle du mouvement diune

jacques halbronn Deux astrologies complémentaires: celle de l'écliptique et celle du mouvement diurne. Cette complémentarité doit être approfondie et dialectisée en évitant de se laisser influencer, par trop, par le passage d'une Ancienne Alliance vers une Nouvelle Alliance tel qu'exposé dans le Livre du Prophété Jérémie. (repris dans l'Epitre aux Hébreux, dans le canon du Nouveau Testament) car il s'agit là d'une approche anarchisante préconisée par les tenants du Royaume d'Israel, largement responsables du texte de l'Ancien Testament. En fait, on n'est pas ici face à un processus diachronique mais synchronique. On aurait ainsi d'une part une astrologie du temps, axée sur l'écliptique et une autre de l'espace, axée sur le mouvement diurne, la briéveté du passage d'un astre au cours d'une journée ne pouvant que renforcer le paramétre spatial avec un découpage en types planétaires, comme le propose Gauquelin.L'autre astrologie, quant à elle, développe un tout autre rapport au temps, sur la longue durée; comme ces périodes de 7 ans qui sont selon nous l'unité de mesure de l'Astrologie (et non pas l'année, même si le cycle des saisons est ici structurant). Les concepteurs "divins" de ce double systéme - les Elohim-(Genése I,1) auront joué sur les deux tableaux: une structuration du temps social et une structuration de l'espace social. Dans le premier cas, il importe que l'Humanité puisse suivre le plan divin se déroulant dans le Ciel en toute visibilité. Dans le second cas, ce qui compte c'est le déterminisme tempéramental qui se manifeste par les dons accordés dès la naissance et dont l'épanouissement sera à observer. Autrement dit, un double impératif, celui de l'observation de ce qui se trame en haut dans le Zodiaque, sur une base septénnale et de ce qui se joue en bas, dans les "Maisons astrologiques", au cycle quotidien.. JHB 16 04 24

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jacques halbronn La Recherche Astrologique doit se renouveler par l'obs...

Jacques halbronn Rôle indisepensable de l'observation de ce qui est en bas pour baliser ce qui est en haur

jacques halbronn Astrologie. Rôle indispensable de l'observation de ce qui est en bas pour baliser ce qui est en haut. Le credo astrologique actuel voudrait que ce qui se passe, existe en bas, exigerait une certaine connaissance, une médiation par ce qui se déroule en haut. Qu'il s'agisse de connaitre son "signe", une "période", un comportement, une "dominante", la clef serait, nous dit-on, à chercher dans les calculs astronomiques, cosmographiques. L'astrologue n'aurait pas à partir de ce qu'il voit ici bas mais de ce qui lui est enseigné en haut, dans le ciel, ou du moins dans les éphémérides. Il n'aurait donc pas, en principe, à (se) poser des questions préalables, ce qui serait en quelque sorte, contraire, à la déontologie en vigueur. Si l'on prend le cas de l'Ere du Verseau (cf notre Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau. 1979), l'on note que le changement d'ère est a abordé par les uns sur la base de certaines données astronomiques -détermination de l'entrée du point vernal dans une nouvelle constellation- et par les autres, selon l'émergence (ou non) d'une nouvelle représentation du monde, d'une autre mentalité collective, d'un nouvel âge (New Age) Toutefois, dans le cas de la recherche du signe "mensuel", en dépit des descriptions existantes, l'on partait du principe que la position du soleil déterminerait celui-ci et cela valait même pour l'Ascendant (cf les petits livrets zodiacaux sous la direction d'André Barbault, Ed du Seuil, 1957) Il n'était pas question de laisser aux gens le choix de leur signature astrale! Ce qui aurait été envisageable à condition que chaque signe ait été clairement circonscrit dans l'esprit du public. En revanche, dès lors que l'on privilégiait le thème natal, cela devenait hors de question, en raison même de la complexité des interactions de toutes sortes. Michel Gauquelin proposera, dans les années 70, une batterie de tests censés déterminer à quel tempérament planétaire telle personne appartient.(cf Les personnalités planétaires. Ed Trédaniel, 1992, La Cosmopsychologie. Les astres et les tempéraments Ed CEPL 1974, Le dossier des influences cosmiques, Ed J'ai Lu, 1974 etc ) et nous même, en 1976, dans notre Astrologie Sensorielle (in magazine Cosmopolitan janvier 1977) nous proposions alors de répondre à une série de questions liées à 4 sens (vue, ouïe, goût, odorat), afin d'"établir l'appartenance à l'un des 4 cycles planétaires. (Mars, Jupiter, Saturne, Uranus), sur la base du passage sur les axes équinoxiaux/solsticiaux ou sur les aspects de la planéte au Soleil ( conjonction, carrés, opposition) Gauquelin avait compris que si les statistiques permettaient certes de montrer que telle planéte se levant ou culminant était l'enjeu scientifique de son travail, il n'était en revanche pas question d'étudier le ciel pour savoir quelle planéte impactait telle personne. Bien des astrologues ont cru que ses conclusions allaient justifier l'usage du thème natal mais dans la pratique, cela ne pouvait se passer ainsi, il fallait passer par les effets pour accéder aux causes. Au niveau de l'astrologie mondiale, le changement de phase dès lors que les phases étaient suffisamment clairement distinguées, aurait du indiquer que telle planété était en train de passer à un autre stade, temps, de son cycle dans le ciel. C'est ainsi que nous avons soutenu la thèse selon laquelle, on utilisait les étoiles fixes pour baliser le dit cycle, ce qui signifiait la nécessité de changer périodiquement de repère et c'est d'ailleurs ainsi, historiquement, que l'on aurait remarqué le phénoméne de la précession des équinoxes. Cela donnait un triangle: planéte/étoile fixe/axe "solaire" (saisons). L'on voit donc la dialectique entre le terrestre et le céleste. Tout cela exige évidemment - comme préalable, une description pertinente, ergonomique, des catégories référencées non seulement en haut mais aussi en bas.(Table d'Emeraude) Nous signalions, dès les années 80, dans nos séminaires ( à Paris et à Tel Aviv) à quel point de mauvaises définitions psychosociologiques hypothéqueraient le travail de l'astrologue et le conduiraient à proposer toutes sortes de combinatoires inter-catégorielles, ouvrant ainsi la boîte de Pandore, condamnant l'astrologue à renoncer à toute investigation anthropologique au bénéfice de la seule investigation cosmologique. (cf à titre comparatif Carole Boquet, Du cosmos au sujet : étude socio-anthropologique de l’astrologie occidentale contemporaine thèse de sociologie, Université de Caen, 2015) Dir. Salvador Juan) On aura compris que la Recherche Astrologique dépend d'un travail en amont, au niveau du monde sublunaire en raison du fait que c'est sur ce terrain que l'humanité est en prise avec la réalité alors que face au cosmos, elle est condamnée à errer dans un labyrinthe, sans fil d'Ariane. L'approche et la formation interdisciplinaire s'imposent pour mener à bien une recherche astrologique viable. " JHB 16 04 24

jacques halbronn La recherche astrologique au prisme du Mythe de...

jacques halbronn Quelles relations avons nous avec ce qui nous est int...

jacques Halbronn Quelle déontologie pour l'astrologie? Partir du Ciel...

lundi 15 avril 2024

jacques halbronn L'individuel et le thème natal et l'incapacité à capter ce qui est commun

jacques halbronn Astrologie/ L'individuel et le thème natal et l'incapacité à capter ce qui est commun. Pour paraphraser Blaise Pascal, nous serions écartelés entre deux infinis, l'infiniment grand et l'infiniment petit. (Pensées) Il nous apparait que la plupart des gens vivent leur Humanité dans l'infiniment petit, c'est à dire au niveau de l'individu, ce qui ne peut être "divisée , davantage. Et l'astrologie généthliaque reléve d'une telle perception du monde qui se perd dans les détails sans accéder à une vision d'ensemble, par manque de connectivité. Il est plus facile de dire ce qui diffère entre deux objets que de déterminer leurs convergences par delà les diversités de surface. La solution de facilité tiendrait donc à se satisfaire d'un constat de différence dès lors que deux objets ne seraient pas strictement identiques, carrément superposables! C'est ainsi que d'aucuns auront beau jeu de souligner ce qui sépare et de fustiger toute forme de classification laquelle certes distingue les groupes entre eux mais en même temps en rapproche les membres. On connait la polémique lancinante entre les tenants du thème astral et ceux qui entreprennent de décrire des types, des tempéraments planétaires -comme Gauquelin - ou zodiacaux.(médias) Tout se passe comme les humains n'avaient pas tous les mêmes "lunettes", ce qui se répercute dans le champ de la Recherche Astrologique. Epistémologiquement, ces deux idées, approches de l'astrologie déterminent des positionnements nettement opposés au point que nous aurions bel et bien affaire à deux types d'astrologies tant et si bien que parler de l'Astrologie au singulier est un mauvais procés/procédé visant à compromettre délibérément une astrologie statistique en mettant en avant une astrologie du thème "personnel". Il est vrai que le thème personnel est une source de revenu tant au niveau de l'enseignement(apprendre à décoder une carte du ciel) que de la consultation (parler de ce que l'on ne connait pas)! Bien pis, l'astrologie générale par opposition à la généthliaque exposerait tôt ou tard à l'échec tant il est aisé de montrer ce qui diffère entre ce qui a été prévu et ce qui a eu lieu!En coupant les cheveux en quatre, il est toujours possible de pinailler dans l'hypercritique quand la méthode suivie ne nous convient pas et les astrologues ne se privent pas entre eux de ces crocs en jambes . Inversement, l'astrologie individuelle est bien armée pour trouver une explication en cas d'échec, en faisant intervenir tel ou tel facteur oublié, négligé. JHB 15 04 24

jacques Halbronnn Astrologie EXOLS L'attaque iranienne sur Israel dan...

jacques halbronn L'astrologie reléve d'une SurNature, le Dieu des Hébreux (Ancien Testament) a, seul, une réalité objective

Jacques halbronn L’astrologie reléve d’une SurNature, le Dieu des Hébreux (Ancien Testament) a, seul, une réalité objective. C’est une grave erreur stratégique que de vouloir inscrire l’Astrologie dans le champ de la Nature, tout comme de faire du Dieu de l’Ancien Testament l’auteur de la dite « Natura ». Car qualifier de Nature ce qui tient à la SurNature, revient à nier le rôle de cette Création telle que décrite au tout début du Livre de la Génèse. Grâce à l’astrologie, il nous est possible de rendre au Dieu de la Genése toute sa place dès lors que l’on reconnait que l’Astrologie est une construction par dessus la Nature, une instrumentalisation. Certains diront que toute construction est « humaine » alors que pour nous l’Astrologie en tant que connexion entre le Ciel et notre Terre, notre Humanité, est « sur-humaine », ‘sur-naturelle ». En ce sens, nous dirons que le seul Dieu qui ait une vraie réalité objective est ce Dieu de la Genése, du Beréshit, alors que les autres dieux n’auraient qu’une réalité subjective dépendant de ceux qui veulent bien y croire. Il y a une tendance assez vicieuse consistant à célébrer « Dieu » comme l’auteur de la Nature (cf le Deus sive Natura de Spinoza), ce qui revient à nier l’existence de cette Sur-Nature divin relevant ni de la Nature, ni de la Culture, mais de la Technique (Deus Faber, démiurge) Dire que notre Ciel, notre Terre, notre Humanité sublunaire reléve de la Nature, revient à nier le rôle de ce Dieu s’étant donné pour mission de reformater cette petite partie de l’Univers qui est la nôtre. D’ailleurs, vouloir inscrire l’Astrologie dans le champ de la Nature n’aura guère été une réussite car elle reléve d’une autre dimension qui n’est éclairée que par une relecture du premier chapitre du Livre de la Génése, véritable clef de l’Astrologie. JHB 15 04 24

dimanche 14 avril 2024

Jacques halbronn Psychosociologie. La preuve du pouvoir implique un m...

jacques halbronn Réflexions autour de 'La Vérité sur l'Astrologie" de Jacques Reverchon.

jacques halbronn Réflexions autour de" La vérité sur l'Astrologie" de Jacques Reverchon (Ed des Cahiers Astrologiques 1978 Il s'agit pour Reverchon dont nous avions fait la connaissance chez Volguine, à Nice, à la fin de 1975, de traiter de l'Astrologie généthliaque. On est en face d'un commentaire des résultats Gauquelin comme celui que nous effectuerons en 1986 dans "la pensée astrologique" (in L'étrange Histoire de l'Astrologie par Serge Hutin. Ed Artefact) L'auteur passe allégrement des résultats statistiques de Gauquelin à l'usage des aspects entre planétes qui n'en fait point partie et il obtient des résultats pas forcément très concluants, ce qui le conduit à douter de l'intérêt de partir de groupes socio-professionnels bien définis mais aussi de recourir à un critère de réussite sociale. Reverchon, au final, regrette qu'il ne soit pas consacré de budget significatif à la question astrologique en comparaison des dépenses vouées à d'autres domaines. Nous ne suivrons pas l'auteur sur ces différents points, étant hostile aux combinatoires entre planétes et favorables à la sélection socio-professionnnelle. C'est dire que sa "Vérité sur l'Astrologie" reléve d'un profond malentendu sur l'oeuvre de Gauquelin lequel d'ailleurs avait publié sous ce titre, en 1970, aux Ed. du Rocher un ouvrage portant le même titre! Sur la question de la Recherche Astrologique (RA), l'on peut se demander pourquoi elle n'aura guère avancé depuis 1955 et la parution de" L'influence des astres" du dit Gauquelin, alors âgé de moins de 30 ans comme ce sera notre cas en 1976 lors de la publication de nos Clefs pour l'astrologie, à la différence près que ce fut dans une collection très prisée à l'époque et nullement ésotérique (Ed Seghers), non à compte d'auteur comme pour Gauquelin! On pourrait parler d'un fil d'Ariane ayant fait défaut aux chercheurs dans ce labyrinthe, truffée de fausses pistes et de culs de sac avec des mésaventures à la "Icare" d'un André Barbault! Nous aimons l'image du puzzle, exigeant de connecter les pièces entre elles. Tant que ce n'est pas le cas, on patauge et quand enfin les choses s'imbriquent comme il faut, on l'emporte. Reverchon, pour sa part, aura commis plusieurs erreurs, tout en suivant le fil d'Arian fourni par Gauquelin sans réussir à en extraire les bons enseignements méthodologiques, prisonnier idéologiquement qu'il était d'une certaine idée de l'Astrologie généthliaque, articulée sur l'individu et non sur le groupe, sur la masse et non sur le chef..C'est ainsi qu'il n'a pas compris qu'il fallait absolument éviter de relier les planétes entre elles dans l'espace mais suivre une planéte et une seule à la fois dans le temps, ce qui l'aurait contraint à aller dans le sens d'une astrologie de type "solaire" qui est la bête noire des tenants d'une généthliaque traditionnelle, celle du thème natal, dont la portée ne saurait être assimilée aux résultats Gauquelin que du fait d'un certain biais cognitif! JHB 14 04 24

TELEPROVIDENCE. WebTéle Astrologique sur FACEBOOK

Teleprovidence Web Télé Astrologique Facebook https://www.facebook.com › teleprovidence.webteleastrologique Teleprovidence Web Télé Astrologique est sur Facebook . Inscrivez-vous sur Facebook pour communiquer avec Teleprovidence Web Télé Astrologique et d'autres. Guide astrologiqueAstrologie avec Guide Astrologique .com Sites web astrologiques Revues d’astrologie Logiciels d’astrologie Guide astrologique ← FacebookDe Sphæris → Téléprovidence Publié le 13 mars 2012 par admin Probablement la meilleure facon de s’initier a l’astrologie ou de rencontrer un astrologue departement par departement, de nouvelles videos toutes les semaines venant s’ajouter a des centaines d’heures deja en ligne. « teleprovidence, le choix de l’évidence. Téléprovidence est un site web dédié aux vidéos astrologiques proposé par M. Jacques Halbronn, auteur inconventionnel et très prolifique, véritable archiviste de la vie astrologique francophone depuis des dizaines d’années. Vous y trouverez une multitude d’interviews avec des astrologues de tous les coins de France et d’ailleurs. L’occasion de découvrir « en live » la quasi-totalité des acteurs de la vie astrologique… avec les interventions incomparables de monsieur Halbronn, véritable et authentique passionné d’astrologie ! Ne serait-ce que par curiosité ou pour « le fun », Téléprovidence est un site qui vaut le détour ! Riche d’informations et de liens web, ce cyber-espace vous invite à découvrir l’astrologie de manière parfaitement originale ! Ce contenu a été publié dans Sites web astrologiques. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien. ← FacebookDe Sphæris →

vendredi 12 avril 2024

Jacques halbronn Réflexions autour de la Défense de l'astrologie de Jean Manulesco . Québec 1971

jacques halbronn Réflexions autour de la Défense de l'astrologie de Jean Manolesco Ed du Jour 1971 L'ouvrage est marquée par une certaine euphorie en ce début des années soixante dix du siècle dernier/ Edgar Morin dirige une enqêtre sur le 'Retour des astrologues". (Cahiers du Nouvel Obs) L'auteur ne cesse d'envisager des radiations, des énergies cosmiqus qui viendraient valider tôt ou tard l'Astrologie. Dès 1986, nous avons proposé une autre voie, celle de l'instrumentalisation.(La pensée astrologique in L'Etrange Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin, Ed Artefact). en pensant notamment aux résultats statistiques présentés par Michel Gauquelin. La thèse était la suivante à savoir que ce n'étaient pas les vertus intrinséques aux astres qui importaient mais leur seule présence et visibilité sur lesquelles on pouvait projeter telle ou telle signification sur la base d'une auto-détermination de la Société. Cela revenait à basculer du côté des facultés humaines plutôt que du côté des forces astrales. Le récepteur dictait sa loi à un émetteur réduit à de la figuration. Cette thèse avait scandalisé Patrice Guinard, à l'époque comme si nous accordions bien trop d'importance à l'humain et entendions mettre en cause la toute puissance du Ciel! Rappelons que les motifs qui conduisent une personne à "croire" en l'Astrologie peuvent tout à fait tenir à une sorte d'anti-humanisme, de perte de foi en l'Homme comme si l'astrologie devait ainsi être le vecteur de son humiliation. Sur le web "Selon Sigmund Freud, le développement des sciences aurait infligé à l'humanité trois humiliations, lesquelles constituent autant de blessures narcissiques, conformément à sa théorie psychanalytique." Eh bien, pour nous l'astrologie n'entrait pas dans cette spirale et renversait la dynamique! En ce sens, nous pronions bel et bien une idée de l'astrologie plus "humaniste" que celle préconisée par Dane Rudhyar qui, à notre connaissance, n'avait pas envisagé une telle approche; Par ailleurs, nous n'aurions pas parié un kopeck sur la défense d'une astrologie du thème natal, de la 'personnalité" et rappelons que Gauquelin travaillait sur une typologie planétaire englobant une population assez élitique, ayant "réussi" dans leur carrière. En fait, i ne pensait pas que l'astrologie impactait le commun des mortels . On aimerait revenir sur le triangle étoiles fixes, planétes visibles à l'oeil nu, cycle des saisons dont Manulesco ne semble pas avoir bien compris toute l'articulation et il n'est pas le seul! Selon nous, la combinatoire planéte visible à l'oeil nu.étoiles fixes aura été instrumentalisée au service de la structure solaire des saisons et notamment du point vernal. La théorie des ères précessionnelles (cf notre Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau, Paris, Ed Albatros, 1979) aura mis en évidence la nécessité de situer l'émergence du point vernal au niveau stellaire, du fait même de la précession des équinoxes laquelle impliquait que l'on changeât périodiquement d'"étoile vernale". C'est dire le lien existant entre étoiles fixes et cycle solaire des saisons; voué à baliser la cyclicité saturnienne. On retrouve bien là le trio étoile-planéte- point vernal. D'ailleurs, il est fort possible que la notion astrologique d'Ascendant renvoie au champ stellaire; ce qui permettait de déterminer à quel moment telle planéte passait à l'horizon de naissance, en associant celui-ci à telle ou telle étoile fixes/ Le mot même d'horoscope autre nom de l'Ascendant (scope: ce qui se voit) désignerait ainsi une certaine étoile fixe, ce qui serait à la base de l'astrologie gauquelinienne.. Se passer du référentiel des fixes ne serait guère ergonomique car on a du mal à imaginer une conjocntion d'une planéte avec le point vernal, lequel n'a pas, par lui-meme, le statut d'un corps célest. JHB 12 04 24

Jacques halbronn Réflexions autour de son "'Astrologie Sensorielle" (parue in Cosmopolitan, fin 1976)

jacques halbronn Réflexions sur son "Astrologie Sensorielle (parue in Cosmopolitan, fin 1976.) L'année 1976 fut celle de la publication de nos Clefs pour l'Astrologie (Ed Seghers) mais aussi celle de L'Astrologie Sensorielle dans la magazine féminin Cosmopolitan. qui nous consacra un très joli Hors texte. illustré. C'était là une tentative pour populariser auprès d'un large public une nouvelle forme d'astrologie. Récemment, nous avons développé des "topiques sensorielles",toujours autour de nos "sens". Mais en 76, voilà 48 ans, nous connections les sens à 4 planétes,Mars, Jupiter, Saturne et ..Uranus, leur attribuant respectivement, le gôut; la vie, l'odorat et l'ouïe. On n'avait pas à passer par le thème natal mais par une batterie de tests., afin de déterminer les "quatre tempéraments planétaires" et dans la foulée les "quatre destinées planétaires en 1977" sur la base des rencontres de chaque planéte avec le soleil d'une part, avec les axes saisonniers de l'autre. Cette tentative aura fait long feu mais l'on retrouve l'usage des tests planétaires chez Michel Gauquelin (cf Les Personnalités planétaires, Ed Trédaniel, 1992)/ La question qui se poase est la suivante: peit-on relier les types planétaires gauqueliniens avec nos types "sensoriels"? Encore faudrai-il remplacer Uranus (non validé par la statistique de Gauquelin) par la Lune En tout état de cause, dans le cadre d'une anthropocosmologie, il faut bien ancrer les type en question dans quelque fondement sensoriel, quitte à changer les attributions de 1976. L'avantage de nos topiques sensorielles est de s'appuyer sur le sexe, selon une dialectique du ça et du Surmoi inversés chez l'homme et chez la femme. Si, en effet, notre Astrologie sensorielle n'était guère compatible avec notre Astrologie monoplanétaire (cf L'Astologie selon Saturne, 1994°, ne pouvait-elle se relier avec l'astrologie pluriplanétaire de Gauquelin? L'on pourrait associer les topiques sensorielles masculines, vue et ouie à la Sphère publique (Scientifiques et politiciens plus extravertis et les féminines, de la sphère individuelle (Vénus et Mars , Ecrivains et sportifs plus introvertis) selon la typologie Gauquelin. Ajoutons que Jean Pierre Nicola ferat complétement fausse route en classant les planétes, selon leurs vitesses respective, vu que Gauqulin a monté que la signature planétaire ne dépendait pas du passage des planétes sur l'écliptique mais sur la base du mouvement diurne JHB 12 04 24

jeudi 11 avril 2024

jacques halbronn sur les rapports astronomie-astrologie. Sur les techniques dérivées de la Science

jacques halbronn Sur les rapports astronomie.astrologie Sur les technique s dérivées de la Science Dans son Traité pratique d'astrologie S. Breton, paru en 1939 on peut lire en réponse à la question "Qu'est ce que l'astrologie?" "Jadiq l'astrologie ne se distinguait pas de l'Astronomie qui est une science ayant pour but de faire connaitre les astres, leur constitution, leurs positions relatives et kes lois de leurs mouvements' (p; 9) Il ajoute " Nous ne parlerons pas des planètes récemment découvertes, telles que Uranus et Neptune qui, d'après certains auteurs feraient partie d'un second septénaire des satellites solaires et dont les influx ne peuvent êtte encore déterminés d'une façon précise ; On est persuadé que les Anciens les connaissaient mais n'en faisaient point état comme trop lointains et d'une action trop minime sur les individus" On était au lendemain de la découverte de Pluton (1930°. On sait qu'une telle prudence n'aura pas été la régle pour l'astrologie contemporaine. En 1961, dans un ouvrage paru sous le même titre, André Barbault y englobera les "nouvelles planétes, y ajoutant deux transplutoniennes, Proserpine et Vulcain pour les maitrises planétaires." de façon à disposer d'autant d'astres que de signes zodiacaux. Mais revenons sur la première affirmation du Professeur Breton, quant au fait qu'autrefois l"on ne distinguait pas l'astrologie de l'astronomie. Selon, une telle représentation est fautive. Certes, l'astrologie s'appuie-t-elle sur une certaine connaissance de notre systéme solaire mais cela n'implique nullement qu'on ne distinguait pas astrologie et astronomie ou que tout ce qui relevait de l'astronomie ferait automatiquement sens et usage pour l'astrologie: Dans le rapport entre Science et technique, la technique opére des choix. Or, pour nous, l'astrologie reléve de la Technique et l'astronomie de la Science. Le passage de la Science à la Technique tient à une réduction alchimique que nous avons pu observer en linguistique quand on passe du féminin au masculin. C'est une erreur fatale chez les astrologue que de ne pas avoir pensé correctement une telle dialectique. En fait, une seule planété suffisait aux besoins de l'astrologie, laquelle planéte serait déclinée sur la base de son passage sur l'écliptique, divisé en un certain nombre de secteurs. Précisons que les statistiques de Gauquelin prennent en compte le mouvement diurne (maisons) mais pas l'écliptique.(signes). En fait, Gauquelin aura mis en lumière une autre forme d'astrologie apparue plus tardivement et introduisant un déterminisme plus contraignant, en recourant à plusieurs planétes (jusqu'à Saturne inclus mais sans Uranus, Neptune ou Pluton). Deux techniques donc se servant, l'une et l'autre, de diverses manières, des données scientifiques fournies par l'astronomie. Un troisième stade, on l' a vu, correspond, à partir de la fin du XVIIIe siècle, à l'intégration de planétes au delà de Saturne, dans le thème natal tout comme en Astrologie Mondiale. Là encore, des emplois bien distincts du corpus astronomique que ceux impliqués respectivement par ces deux formes d'astrologie, seule celle du thème natal, tenant compte de telle ou telle heure de naissance, à l'horizon de tel ou tel lieu- ce qui renvoie à l'astrologie gauquelinienne augmentée des "nouvelles planétes".. JHB 11 04 24

mercredi 10 avril 2024

Jacques halbronn L'astrologie des 12 cases planétaire. La grande tentation

Jacques halbronn Réflexions autour de L'Astrologie face à la Science moderne de Georges Osorio (1999) , d'Astrologie transcendantale Karma et Régénération, de Jean de Larche (1985) et de " Où en est l'astrologie?" de Marie Louise Sondaz (1959) Pour Jean De Larche, pour parvenir à remplir les 12 cases, il faut englober Cérés et Proserpine. Pour Marie Louis Sondaz, en 1959, on avait Proserpine et Lilith ("Lune Noire")https://lunesoruvre-de-georges-antares-et-de-marie-louise-sonda/ Léon Lasson désignait les transplutoniennes par X et Y. Le nom de Vulcain a été d'abord proposé poir nommer une intramercurielle, collée au Soleil, d'où le nom du dieu forgeron alors que par la suite, Vulcain désignera un astre très lointain. Mais ces noms ont circulé bien avant la découverte de l'astrre auquel ils seraient attribués http://www.simirllimum.org/astrologia/astrologie-integrative/un-systeme-astrologique-a-douze-planetes/ (cf La vie astrologique il y a cent ans, de Barlet à Néroman Ed Trédaniel,1983) citons aussi Lisa Morpurgo et sa Nouvelle Astrologie ( trad de l'italien, Ed H achette 1974) Quant à Néroman, dans les années trent il préférait inclure les Astéroides et la Terre. En 1976, nous avions repris les noms de Proserpine et de Vulcain pour les associer respectivement aux signes du Taureau et de la Vierge, mettant ainsi fin à une situation bancale avec des astres à un seul domicile et d'autres, Vénus et Mercure, à deux. Nous avons abandonné une telle optique adoptée dans nos Clefs pour l'Astrologie (1976) puisque nous avons finalement opté pour une dialectique Soleil(saisons)- Saturne car nous pensons que l'astrologie est un systéme ayant du être accessible à l'Humanité depuis des millénaires. La division en 12 vise les secteurs permettant de baliser la course d'un astre central. Pour Osorio, en revanche, la "Loi de Bode" venait justifier de prendre en compre l'intégralité du systéme solaire, même si cela ne colllait pas trop pour Neptune (cf aussi Jean pierre Nicola Nombres et formes du cosmos 1977). C'est ce qui oppose de nos jours notre monoplanétarisme et le polyplanétarisme, qui est le vrai clivage au sein du milieu astrologique et non celui opposant physicistes et symbolistes. JHB 08 04 24

jacques halbronn Epistémologie. Déclinaison du modéle ternaire, trinitaire

jacques halbronn Epistémologie. Déclinaison du modéle ternaire, trinitaire. Nos divers travaux font apparaitre une constante, à savoir la récurrence du ternaire, sur le mode thèse-antithèse-synthèse C'est le Tertius Interveniens de Kepler. Nous aborderons donc successivement tel ou tel chantier. LINGUISTIQUE On connait la conjugaison au présent, au futur et au prétérite mais il convient de mettre en évidence qui les distingue. C'est ainsi que si le futur, en français, se construit avec une suffixation liée au verbe avoir : manger-ai, manger-as etc, l'on sait moins que le présent se construit avec un préfixe issu du verbe être, si l'on recourt au "participe présent" Je suis souffrant au lieu de je souffre; Suffixation de l'auxilaire avoir, préfixation de l'auxilaire être. Ce qui évite d'utiliser les pronoms personnels, ce qui serai redondant. En revanche, pour le passé l'usage du pronom personnel s'impose vu que les formes verbales ne sont pas assez dfférenciées. Je mangais, tu mangeais etc Mais l'on peut voir du ternaire au niveau grammatical, morphologique, d'une part le féminin plus long que le masculin et qui le précéde, contrairement à la pédagogie ordinaire de la langue qui voudrait que le féminin soit issu du masculin comme au chapitre II du Livre de la Genése. mais nous y ajouterons un troisiéme état, le substantif sur le modé belle.beau.beauté, soit long-court-long. THEOLOGIE On connait l'opposition Science-Technique mais il ne faudrait pas oublier un troisiéme terme, Culture, en dialectique avec Nature, assimilable à Science/ La Nature est ce qui est le plus étranger à l'humain, en ce qu'elle le précéde et qu'elle ne dépend de lui qu'accessoirement; Ce qui n'est pas le cas de la Technique, laquelle instrumentalise la Nature, la transforme en des objets inouis. Mais il ne faudrait surtout oublier la Culture car alors c'est l'homme qui se reprogramme et non plus son environnement; Ce troisiéme stade est évidemment le plus accessible et le plus amovible ANTHROPOLOGIE En ce qui concerne notre Humanité, l'on la décrit comme comportant les hommes et les femmes. Or, il existe un troisiéme facteur, celui du Génie. Antoinette Fouque oppose génitalité et génialité. Sur le web "Antoinette Fouque mettait la procréation au coeur de l’éthique et de la libido creandi des femmes. Elle rapprochait génitalité et génialité, appelant à une nouvelle alliance entre les hommes et les femmes, permettant la reconnaissance de l’apport et du génie de tous. Son mouvement de pensée tend à faire passer la femme de la condition féminine à une condition historique. C’est notamment dans son essai, Il y a deux sexes, qu’elle développe ses idées." Effectivement, la dualité femmes/génies nous semble opérative. Dès lors, le troisiéme terme, pôle serait constitué de ceux qui ne seraient ni femmes, ni génies, à savoir la grande majorité des hommes mais aussi des femmes ménopausées,devenues étrangère à la génitalité. Cette troisiéme population essentiellement masculine semble entretenir un rapport ambivalent avec les deux premières, ce qui peut conduire à une forme d'homosexualité vu que la dite population développe un lien affectif avec les "élus" CYCLICITE Nos travaux consacrés à la cyclicité autour de l'alternance Equinoxialité/ Solsticialié. Mais lors du passage d'une phase à une autre, l'on 'est dans un entre -deux et ce n'est qu'en milieu de phase que les tonalités se précisent. D'où la difficulté à prévoir les changements de phase qui ne sont que des amorces de ce qui se produira par la suite. JHB 10 04 24

lundi 8 avril 2024

jacques halbronn Réflexions autour de "Métaphysique de l'astrologie" de Daniel Giraud

jacques halbronn Réflexions autour de "métaphysique de l'Astrologie" de Daniel Giraud ( Ed Henri Veyrier, 1988) On s'intéressera au chapitre que l'auteur a intitulé "le temps zodiacal' (pp. 105 et seq. Giraud cite nos travaux sur le Monde Juif (1985) mais pas notre Essai sur la Pensée Astrologique, paru chez le même éditeur (sous le nom d'Artefact) Henri Veyrier; en complément de la réédition de l'Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin Giraud y aborde la question des axes équinoxiaux et solsticiaux. Il oppose le cancer "maximum de jour) et le capricorne "maximum de nuit' alors que pour nous c'est la même énergie solsticial. On lit "Le début des saisons est marqué par les signes cardinaux ou mobiles (..) Le milieu des saisons s'inscrit dans les signes fixes (..) la fin des saisons caractérise kes signes communs ou doubles (..) Une saison finit, une autre va commencer , ainsi s'annonce la mutation". Mais Giraud n'a pas compris que le dispositif zodiacal était conçu pour être fécondé par un seul et unique vecteur ce qui exclue le recours à un ensemble de planétes, un tel recours correspondant à un impact de l'astronomie sur l'astrologie, ouvrant la voie à la technique des aspects.(cf son chapitre sur les "dieux planétaires") Par astrologie solaro-saturnienne, nous entendrons le passage de Saturne sur les axes saisonniers solaires, le soleil constituant le cadre servant de réceptacle à la dynamique septennale de Saturne. Giraud ne note pas que les saisons vont ainsi diviser par 4 le cycle planétaire de 28 ans, en analogie avec le cycle lunaire de 28 jours, ce qui donne 4 semaines. Mais il ne faut pas tomber dans le piége météorologique des 4 saisons qui opposerait l'Hiver à l'Eté. La preuve en est que les deux équinoxes ont un rapport équivalent au jour et à la nuit et ce sont les équinoxes qui font foi et non pas les solstices. S'attacher trop au 4 serait renoncer au binaire qui est le fondement de toute opération cognitive; Nous pensons naturellement par le biais du 2 et non du 4! En d'autres termes, on regrettera que Giraud ait été absorbé par l'astronomie tout comme par la météorologie, ce qui l'aura fait doublement dévier de la voie royale du 2. JHB 08 04 24

jacques halbronn Psychosociologie Importance des différenciatons sociale versus tout bloc prétendument d'un seul tenant. Astrologie. Judaisme

jacques halbronn Psychosociologie. Importance des différenciations sociales versus tout bloc prétendument d'un seul tenant. Astrologie. Judaisme. On arrive souvent à des impasses épistémologique s quand on travaille sur des ensembles que l'on croit homogénes alors que cela englobe des populations sensiblement différentes. Nous donnerons ici deux exemples, l'un en rapport avec la recherche astrologique (RA), l'autre avec la recherche identitaire Dans le premier cas, il est apparu qu'il n'était pas viable de considérer l'humanité voire toute société comme constituant un bloc indivisible, d'où le danger de l'extrapolation. C'est ainsi que Michel Gauquelin aura été amené à choisir des groupes comportant un même profil, les sportifs, les comédiens, les savants, les écrivains en montrant que chacun était marqué par la position d'une certaine planéte, à la naissance, différente pour chaque groupe (Mars, Jupiter, Saturne, Lune, Vénus cités ici dans le désordre) L'appartenance à tel ou tel groupe était liée à un certain degré de réussite professionnelle et non à une quelconque identification grégaire, panurgienne. L'action, l'aptitude, le don doivent ici l'emporter. Autrement dit, il ne s'agit pas ou plus d'affirmer que tout un chacun reléverait de sa date de naissance comme on voudrait le faire dire à l'Astrologie! Dans le second cas, concernant l'identité juive (En 1978 , nous avions fondé le CERIJ, Cercle/centre d'Etude et de Recherche sur l'Identite Juive), est-il possible de procéder à des distinctions , des clivages au sein de la population qualifiée de "juive"? Selon nous, l'Histoire et la Sociologie nous fournissent certaines pistes. L'Histoire qui est marquée par le "schisme" conduisant à l'établissement, à la mort du roi Salomon, d'un Royaume d'Israel face à un Royaume de Juda. Nous avons exposé notre thèse quant à la différence d'origine des deux populations, celle du Royaume du Nord étant marquée par un statut inférieur de serf, voire d'esclave, d'où la référence à l'esclavage ou à des esclaves dans le Pentateuque.(Genése, Exode notamment) Quant à la Société telle qu'il nous est loisible de l'observer de nos jours, on observe que d'une part, il y a des "Juifs" dans l'Etat qui porte le nom d'Israel et des Juifs en "diaspora", c'est à dire dispersés au milieu des nations. Mais déjà du temps de Jésus, un clivage existait au sein du monde "juif" héritier du Schisme évoqué plus haut; D'où la formule "Je suis avant tout concerné par les brebis perdues de la maison d'Israel", c'est à dire issues du Royaume du même nom, correspondant notamment à cette Galilée qu'il aura parcourue. . Il nous semble que les facultés propres aux ressortissants de ces deux ensembles ne sont pas du même ordre, d'un côté des personnalités brillante, s'imposant en dehors du monde juif et de l'autre des gens préférant se retrouver entre eux, sur une base juridique, qu'il s'agisse de la loi religieuse ou de celle de l'Etat d'Israel fondé en 1948.. On connait les arguments de ceux qui mettent en question une quelconque filiation entre ces différentes périodes de l'Histoire. D'où l'importance de ne pas tout mélanger; Cela dit,il n'est pas interdit de penser que les juifs pourraient bien faire partie de cette élite socioprofessionnelle dont il a été question plus haut. En tout état de cause, il y aurait bien deux façons différentes de se présenter comme juif et sur ce point, nous nous référerons au livre de l'Exode où l'on voit l'Hébreu Moïse envoyé par le dieu des Enfants d'Israel pour les guider, ce qui n'est pas sans lien avec le cas de Jésus, signalé plus haut. le texte biblique est en effet clair à ce sujet, en faisant naitre Moise comme "Hébreu" rencontrant le dieu des Beney Israel. Il suffit, pour ce faire, de (re)lire attentivement les trois premiers chapitres du Livre de l'Exode. On aura compris qu'il y a là besoin de deux poids, deux mesures et qu'il convient de classer les "Juifs" selon les clivages mis en avant. Selon nous, même en Israel, un tel clivage se manifeste et il est tout à fait probable que les dirigeants y soient des Hébreux face à une population "israélite" JHB 08 04 24

Jacques halbronn Café philo Mcdo avec Sami, Chrstophe, Serge. Problémat...

Jacques halbronn Astrologie. Aspects et polyplanétarisme, signes et...

jacques halbronn Histoire de l'Astrolgie. Le passage du monoplanérisme au pluriplanétarisme. Signes et aspects.

jacques halbronn Histoire de l'astrologie. Le passage du monoplanétaire au pluriplanétaire/ Signes et aspects. La question des aspects entre planétes doit interpeller l'historien de l'astrologie lequel ne saurait se constater- comme c'est la trop souvent, d'une approche purement synchronique consistant à décrire des pratiques instituées en vigueur en s'efforçant de justifier apologétiquement un statu quo. Comment est-on passé, se demandera -t-on ici, d'une astrologie des signes à une astrologie des aspects, ce qui conduit à un syncrétisme dès lors que les deux voies vont finalement coexister et s'interpénétrer? Il faut commencer par faire remarquer que les aspects en astrologie traditonnelle, sont pour la plupart, des multiples de 30 degrés ( carré 90° 3x30, trigone 120° 4x 30 etc), ce qui correspond à la taille des signes (360/12) et ce n'est pas le fait du hasard. En fait, au départ, il y avait un découpage de l'écliptique en un certain nombre de secteurs,dont le plus significatif était celui dû à la projection du cycle des saisons, à nase 4 (90°). Il suffisait alors d'un seul astre passant d'un secteur à l'autre pour constituer une astrologie. Puis, l'on jugea bon de faire jouer plusieurs astres au point de privilégier les intervalles entre eux sur leur passage d'un secteur à l'autre, ce qui donna naissance à la technique des Aspects lesquels adoptaient la mesure de 30° à l'instar des 12 signes, l'un des modes de balisage de l'écliptique, lieu, espace de passage des planétes de notre systéme solaire. Dans le thème astral, les deux méthodes se juxtaposent, se superposent sans oublier la technique des "maitrises" qui associe les planétes aux signes.(cf la Tétrabible de Ptolémée). Or, selon nous, il importe d'en revenir à un monoplanétarisme et à un découpage en 4 de l'écliptique. Le monoplanétarisme le plus familier s'articule sur le passage du Soleil sur les 12 signes zodiacaux - ce qui détermine le "signe" d 'une personne. Mais sur le plan prévisionnel, le Soleil ne reste qu'un mois environ dans un signe, ce qui ne fait guère l'affaire, ce qui conduit à se contenter d'une seule description psychologique intemporelle; En revanche, Saturne nous apparait de loin comme le meilleur candidat, surtout si l'on s'en tient à une division en 4 de son parcours, ce qui donne des périodes, chacune de 7 ans! C'est donc vers cette astrologie "saturnocentrée" que nousinvitons les astrologues à se diriger en renonçant aux aspects entre planétes, y compris pour la conjonction (0°); ce qui n'a aucune valeur sur le plan astronomique et reléve d'une astronomie fictive alors que le passage de Saturne sur les axes alternativement d'équinoxe et de solstice est astronomiquement acceptable, en ce qu'il reléve de l'inclinaison de l'écliptique. Sur le web "L'écliptique coupe l'équateur céleste en deux points, où la déclinaison du Soleil est nulle, par définition. Les moments de l'année correspondants sont les équinoxes, de printemps (20 ou 21 mars) et d'automne (22 ou 23 septembre)." On voit que dans cette astrologie à investir, le Soleil n'est pas oublié mai se met en quelque sorte au service de Saturne en lui offrant un réceptacle, un cadre. JHB 08 04 24

jacques halbronn Réflexions sur l'Introduction à l'Astrologie d'Anne Barbault .

jacques halbronn Réflexions sur l'Introduction à l'astrologie d'Anne Barbault ( ed Albin Michel, 1985) "Toute la vérité sur la théorie et la pratique astrologiques" Préface d'André Barbault. Dans sa bibliographie (pp 298 et seq), par ailleurs assez exhaustive sur la production francophone, la fille de Barbault ne signale pas la publication en 1976 de nos Clefs pour l'Astrologie. Ed Seghers avec notamment des études en astrologie mondiale qui auraient du retenir son attention. On appréciera la présence (p.131) d'un document jusque là peu connu des astrologues et que nous avons utilisé en 1993 dans nos études accompagnant L'Astrologie du Livre de Toth (1785) aux ed Trédaniel. Anne Barbault commente ainsi cette iconographie remarquable:" "Les Maisons. Bois d'Eberhard Schöen, 1515 Cette gravure rassemble les données du systéme astrologique. (..) un troisiéme cercle les fait opérer dans le secteur des douze maisons" On regrettera que l'auteur ne se soit pas demandé pourquoi les représentations imagées des maisons astrologiques ont largement disparu des traités d'astrologie depuis des siècles ni ait établi quelque lien avec les arcanes majeurs du Tarot, lesquels en dérivent. A propos des signes du Zodiaque, lesquels avaient fait l'objet d'une publication populaire de la part de son père (Ed Seuil, 1957) , Anne Barbault reprend (p. 65) une antienne: "ce serait trop simple et facile qu'il put exister sur terre douze catégories d'individus catalogués sur leur appartenance native à un mois zodiacal de l'année (..) on utilise en la circonstance un facteur seulement de l'ensemble des pièces qui participent à l 'opération astrologique. On imagine donc la valeur limitée de l'information et l'incertitude du résultat pour le cas particulier Une telle façon de présenter les choses n'est pas idéologiquement innocente en ce qu'elle nie un principe de centralité. On nous parle du besoin de "précision" de l'astrologie généthliaque, ce qui signifie que pour l'auteur par Astrologie, on renvoie automatiquement au thème de naissance., position que nous avions dénoncée dans nos Clefs. Abordons la partie de l'ouvrage consacrée à l'astrologie Mondiale,(pp. 207 et seq) sujet sensible quant au travail de son père, au lendemain d'une Guerre Mondiale qui n'aura pas eu lieu comme prévu et que dit l'auteur sur la conjonction Saturne-Neptune attendue, sous peu alors, pour 1989? L'auteur nous propose une étude du XXe siècle au prisme de l'indice cyclique ( Gouchon-Barbault) exposé en 1967 (Les astres et l'Histoire, Pauvert) et force est de constater une absence étonnante, celle de la crise 1961-62 (Berlin-Cuba) dont il n'est pas dit un mot (p. 213) On saute allégrement de 1956 (Hongrie) à 1968 (Tchécoslovaquie) pour conclure que 'la plus forte hausse d'indice du siècle (1956 à 1964) tombe sur l'euphorie de croissance et d'expansion des années 60" Anne Barbault rappelle le pronostic de son père pour 1975 du fait du "reflux de l'indice cyclique avec comme "creux de la vague entre 1980 et 1984" L'historien du XXe siècle ne peut que tiquer sur un tel panorama avec le point aveugle de Berlin-Cuba et le projecteur braqué indument sur 1980-84. Il est vrai qu'en 1985 quand parait l'ouvrage, on n'avait pas encore pris pleinement la mesure de ce "flop" prévisionnel, avec l'annonce d'une Troisiéme Guerre Mondiale. Cette période 1961-62 vient sensiblement dévaluer la crédibilité de l'indice cyclique. Berlin (construction du Mur) n'est pas un cas isolé puisque cela va empirer avec la dislocation de l'URSS, dans la foulée: Apparemment, Anne Barbault n'a qu'une connaissance très relative des événements des années soixante et ne s'appuie que sur des ouvrages de seconde main, voués à défendre certaines thèses. En ce qui concerne son exposé sur les aspects, en lien avec les conjonctions, il est clair qu'il y a alternance entre le carré, le trigone et l'opposition dans son exposé avec alternativement des intervalles "harmoniques" et "dissonnants". Ces aspects "majeurs " sont des multiples de 30°, ce qui correspond aussi à la taille d'un signe zodiacal (360/12). Il semble bien que l'on soit passé d'un systéme zodiacal activé par une seule planéte passant succesivement sur les divers secteurs à un systéme pluriplanétaire à base d'aspects. Sur le web 1962 : la crise des missiles de Cuba, le jour où le monde a failli disparaître "Lundi 25 avril, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a assuré que la Russie allait poursuivre les négociations de paix avec l’Ukraine, tout en mettant en garde les Occidentaux contre le danger « réel » d’une troisième guerre mondiale. Le risque d'une escalade menant à une troisième guerre mondiale, avec en filigrane la menace nucléaire, voilà qui n'est pas sans rappeler la crise des missiles nucléaires de Cuba." Mais on ne sait pas si le plus grave dans l'affaire, c'est la désinvolture a posteriori avec laquelle on présente les choses au lecteur. Ensuite, Anne Barbault revient sur le cycle Saturne- Neptune (pp. 217 et seq) et rappelle la prévision pour 1989. "Près d'un quart de siècle à l'avance, André Barbault aura pris position sur cette configuration en la situant comme la plus importante de notre siècle' On a du mal à comprendre le sens de cette juxtaposition indice-cyclique- conjonction Saturne-Neptune, car il pouvait sembler que le dit indice se substituait au cycle Saturne Neptune lequel n'avait pas donné toute satisfaction (cf La crise mondiale. Albin Michel) En fait c'est dès 1955 (Défense et illustration de l'Astrologie, Ed Grasset) que Barbault avait signalé l'échéance de 1989 et non pas seulement en 1964 comme le déclare sa fille. Tout se passe comme si l'on avait ici deux fers au feu, à toutes fins utiles. sur le web L'expression "tenir deux fers au feu" s'utilise de façon métaphorique pour signifier "s'organiser de façon à garder deux possibilités d'action, sauvegarder deux issues", "garder au chaud deux portes de sortie". JHB 08 04 24