Astrologie prévisionnelle pour les nuls
Par
Jacques Halbronn
Dans cet article, nous propôsons à tous les
astrologues qui ont été échaudés par les techniques prévisionnelles
qu’on leur a enseignées et qui n’offrent pas la moindre fiabilité si ce n’est
après coup – ce qui est de l’astrologie de bas de gamme- un modèle astrologique particulièrement
performant – qui vient de sortir, à la pointe de la recherche astrologique de
ce début de XXIe siècle.
Nous parlerons notamment des signes
cardinaux, fixes et mutables dans le cadre du cycle de Saturne de 7 ans. Chaque
période de 7 ans se divise ainsi en trois « tiers ».de 28 mois (soit
en gros 1 mois par degré)
On dira que lorsque Saturne entre dans un
signe fixe (taureau, lion, scorpion, verseau), on entre dans ce que nous appelons la phase
ascendante qui monte vers la conjonction. Elle dure donc en gros 28 mois. C’est
alors que pas mal de choses en viennent à se débloquer, certaines barrières à
tomber, des synergies apparaissent que l’on n’attendait pas ou plus. La
situation évolue, progresse, s’arrange du moins pour ceux qui s’étaient déjà
trouvés au sommer par le passé. On parle alors d’un « retour ». C’est
« reparti pour un tour ! ».
On dira que lorsque Saturne entre dans un
signe mutable (gémeaux, vierge, sagittaire, poissons), on bascule vers la phase
descendante du cycle de 7 ans. Peu à peu, les choses se dégradent mais cela va
prendre 28 mois et donc, on est dans une certaine euphorie du pouvoir à grande
échelle, ce qui ne vaut que pour quelques élus mais aussi pour tous ceux qui
ont lié leur destin à ces leaders. Peu à peu un sentiment de fin de règne devient palpable. (cf. Notre étude
L’Astrologie selon Saturne, ed de la
Grande Conjonction, 1995) Ce qui
semblait tenir ensemble tend à se distendre.
Les alliances périclitent comme si le ciment qui unissait les forces était de qualité douteuse. Mais soulignons que dans cette astrologie,
les choses se développent graduellement à mesure que la phase se déploie
Enfin, vient le temps où Saturne entre
dans un signe cardinal (Bélier, cancer, balance, capricorne). S’ouvre alors une
période de 28 mois sorte de purgatoire avant d’accéder au signe fixe
subséquent. C’est alors que l’ancienne autorité risque d’être bafouée car elle
n’est plus que l’ombre d’elle-même et on laisse la place à des personnages de
moindre. envergure qui sont assez « ordinaires »
(« normaux »). La société ne tient plus du fait du charisme des
leaders mais grâce aux institutions qui créent une dynamique et un pouvoir
artificiels qui prennent le relais. En ce sens nous disons que modèle électoral
est concurrent du modèle astrologique.
La division en 30° de chaque signe dérive directement
de l’idée de période d (une trentaine de mois (2 ans et demi). Il est donc facile
de calculer combien de temps il reste à Saturne dans l’une des trois périodes.
Autant de degrés, autant d’années.
En fait, il ne faudrait pas cloisonner les
trois temps car ils se chevauchent. Saturne entre déjà dans sa phase
« fixe » à la fin du signe cardinal et ainsi de suite.
Passons à présent à un peu de théorie. Ce cycle de 7 ans, divisé en trois temps, à quoi correspond-il ? On a déjà dit que c’était Saturne la locomotive. Le point central c’est la conjonction de cette planéte tous les 7 ans avec une des quatre étoiles fixes royales (Aldébaran, Régulus, Antarés, Fomalhaut). Ce qui correspond à la phase 2 en signe mutable. Les temps les plus marquants se situeraient à l’approche de la conjonction, donc en fin de signe fixe et à l’approche de la disjonction qui correspond à un point aussi éloigné que possible de la conjonction pour Saturne, donc en milieu de signe cardinal (15° en gros).
Passons à présent à un peu de théorie. Ce cycle de 7 ans, divisé en trois temps, à quoi correspond-il ? On a déjà dit que c’était Saturne la locomotive. Le point central c’est la conjonction de cette planéte tous les 7 ans avec une des quatre étoiles fixes royales (Aldébaran, Régulus, Antarés, Fomalhaut). Ce qui correspond à la phase 2 en signe mutable. Les temps les plus marquants se situeraient à l’approche de la conjonction, donc en fin de signe fixe et à l’approche de la disjonction qui correspond à un point aussi éloigné que possible de la conjonction pour Saturne, donc en milieu de signe cardinal (15° en gros).
On aura compris que l’on ne recourt ici ni
au symbolisme zodiacal ni au symbolisme planétaire à la sauce mythologique. Il
y a une planéte et quatre étoiles fixes formant une sorte de
« constellation centrale », un carré cosmique.
On n’a pas besoin de connaitre la date de
naissance et de toute façon le système est le même pour tous si ce n’est que
ceux qui, sociologiquement ; sont au sommet de la société sont favorisés
par l’approche de la conjonction et que ceux que les « petites gens »
profitent de la situation de « disjonction » quand les «grands » ont perdu, provisoirement,
leurs moyens, ce qui va dans le sens d’un certain sentiment d’égalité : la
nuit tous les chats sont gris. Le malheur des uns fait le bonheur des autres.
Quand le chat n’est pas là les souris dansent.
Si l’on nous demande pourquoi Saturne a
été choisi, répondons que c’est en raison de ses affinités numétoioques avec la
Lune : 28 jours pour la Lune
forment un axe avec les 28 années de la révolution de Saturne. Si l’on
divise par 4, on trouve le nombre 7 et ce 4 il est en effet présent dans les
phases de la Lune : nouvelle lune, demi-lune, pleine lune et encore
demi-lune. Les Anciens qui ont construit l’astrologie ont voulu faire de Saturne une Lune supérieure et ont donc trouvé heureux de considérer les
conjonctions avec les 4 étoiles fixes royales.
Avec ce nouvel outil prévisionnel, on
suivra l’actualité et l’on observera
l’évolution des rapports de force et notamment la chute et le retour des
leaders, l’avènement des femmes en temps de disjonction et la reprise du
pouvoir par les hommes en temps de conjonction, par exemple.
A partir de ce socle, chacun pourra
intégrer ses propres techniques à se risques et périls, à son gré. . Mais
l’astrologie avait besoin d’une colonne vertébrale, elle a retrouvé celle-ci et
cela devrait lui permettre de s’imposer
très largement sous cette forme considérablement décantée.
L’apprentissage de cette astrologie, une
fois ces rudiments assimilés, passe par
l’observation du monde et des gens. Que chacun s’entraine en recourant au
langage « A » et « B ». Il y a ce qui monte et qui est
A et il y a ce qui descend et qui est B
et il y a des gens qui sont surtout A et
d’autres qui sont surtout B, avec des hauts et des bas. On n’a donc plus besoin ni de date de
naissance, ni de symbolisme obscur mais d’une simple « échelle »,
un coefficient qui monte et qui descend,
bref un baromètre social. On n’a surtout plus besoin d’un astrologue praticien.
Celui-ci doit se contenter d’initier à notre outil astrologique jusqu’à ce que
chacun puisse s’en servir et l’appliquer sur ce qu’il connait, ce que personne
ne saurait faire à sa place. En un temps
où chacun conduit sa voiture, a son
propre ordinateur, son propre téléphone, il n’y a plus de place pour les engins branlants qu’on ne peut laisser dans
toutes les mains. Méfions-nous de tout
ce qui a besoin d’addition. Une astrologie saine n’a pas besoin d’un astrologue
(sauf au niveau des ingénieurs qui
peuvent améliorer le produit à grande échelle) pas plus qu’une viande saine n’a
besoin d’être savamment cuisinée.
Pour s’inscrire à nos séminaitres en
astrocyclologie :
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