Jacques Halbronn Sociologie de la mixité (sexe, âge, culture)
Sociologie de la mixité (sexe, âge, culture)
Par Jacques Halbronn
On ne saurait confondre mixité et parité. La mixité exige que l’on fase coexister des valeurs différentes alors que la parité consiste à ignorer toutes différences du fait de la provenance des personnes.
Faire coexister des valeurs différentes implique évidemment de les identifier en tant que telles. Le sexe est probablement celui qui aura le plus souffert d’un certain obscurantisme, au sens premier de tenir et de maintenir dans l’obscurité, plus ou moins délibérément.
Le plus souvent, les sociétés ne pronent ni la parité, ni la mixité mais une sorte d’universalité qui voudrait que par définition, par pincipe, l’on soit supposé partager les mêmes valeurs et d’ailleurs ne dit-on pas aime ton prochain comme toi-même?
Mais précisément, la mixité ne consiste aucunement de supposer que l’autre a les mêmes valeurs que nous ou plutôt du groupe auquel nous appartenons de facto. Le probléme, c’est quand on appartient à un groupe sans l’avoir voulu, désiré. Est-ce que l’on a choisi, par exemple, d’être une femme, est-ce que l’on s’en est fait une idée par avance qui nous aura amené à adopter le statut de femme ou d’homm comme l’on choisit un métier, une religion, une destination ou lorsque l’on se fait à l’idée de prendre de l’âge en pensant à ses parents.
En pratique, force est de constater que l’on a affaire à des groupes qui ne fonctionnent pas dans le respect de la miixité des valeutrs quand bien même comporteraient-ils des membres des deux sexes, ce qui n’est pas vraiment une condition, une garantie suffisantes.
Il s »agira donc de groupes qui pourront être identifiés par le sociologue comme ayant une dominante masculin ou féminine, au regard des valeurs qui en constituent comme une sorte de Surmoi.
Au départ, certes, nombre de groupes ne se présentaient aucunement comme marqués par le masculin ou le féminin mais avec le temps, une certaine tendance aura fini par s’imposer et dès lors enfermer le dit groupe dans un certain carcan, ce qui aura pour résultat d’exclure de facto sinon de jure les personnes étrangères aux valeurs qui auront ainsi fini par prédominer. Nous avons déjà décri, dans d’auitres textes et diverses vidéos, ce que pouvaient donner certaines dérives, le décalage entre l’objet du groupe et ce qu’il était devenu insensblement étant flagrant. C’est ainsi que tel orateur venu parler devant une assemblée se déclara surpris de n’y trouver que des femmes alors que ce n’était nullement la raison d’être offiicielle de la dite assemblée. Chassez le naturel il revient au galop. Tout se passe comme si les grandes déclarations sur la parité conduisaient par des chemins détournés à narguer celles-ci, à leur faire un pied de nez.
Il n’est pas non plus ici question de déveliopper nos théses sur les différences de mentalités, voire de sensorialités entre groupes d’hommes et groupes de femmes – autour notamment du mythe de la Caverne- mais bien des éléments montrent qu’il y a incompatibilité entre les « sensibilités » – pour parler comme les Anglais ‘(hurt my feelings) des groupes de femmes et des groupes d’hommes, ce qui conduit à penser que les interrelations devront être de relative bréve durée.
C’est ainsi que nous pensons que ce que l’on nomme le champ de la laïcité- et cela englobe aussi la question des hommes et des femmes - concerne un espace -temps rédui, c’est à dire à une intesection entre deux ensembles. Le couple est évidemment à la charnière de tels ensembles. Il offrre l’avantage de ne pas en principe avoir à supporter le poids du collectif de chaque partenaire, sauf lors de réceptiions, de repas où régne une certaine promiiscuité. pas toujours bien controlée et régulée.
Noius suggérons de créer des structures de formaton à la sociologie de la mixité, c’est à dire du vivre ensemble mais pas de façon empirique mais scientifique et en connaissance de cause. On aura compris que faire respecter une mixité des valeurs est tout un art surtoiut lorsque tel groupe comporte une majorité d’hommes ou de femmes, Nous pensons qu’un groupe quii entend préserver son développement futur, se doit de respecter les droits de sa minorité vu que cette minorité pourrait rendre possible à terme un certain rééquilibrage. S’en tenir au rapport de force immédiat, c’est hypothéquer l’avenir du groupe.
Par Jacques Halbronn
On ne saurait confondre mixité et parité. La mixité exige que l’on fase coexister des valeurs différentes alors que la parité consiste à ignorer toutes différences du fait de la provenance des personnes.
Faire coexister des valeurs différentes implique évidemment de les identifier en tant que telles. Le sexe est probablement celui qui aura le plus souffert d’un certain obscurantisme, au sens premier de tenir et de maintenir dans l’obscurité, plus ou moins délibérément.
Le plus souvent, les sociétés ne pronent ni la parité, ni la mixité mais une sorte d’universalité qui voudrait que par définition, par pincipe, l’on soit supposé partager les mêmes valeurs et d’ailleurs ne dit-on pas aime ton prochain comme toi-même?
Mais précisément, la mixité ne consiste aucunement de supposer que l’autre a les mêmes valeurs que nous ou plutôt du groupe auquel nous appartenons de facto. Le probléme, c’est quand on appartient à un groupe sans l’avoir voulu, désiré. Est-ce que l’on a choisi, par exemple, d’être une femme, est-ce que l’on s’en est fait une idée par avance qui nous aura amené à adopter le statut de femme ou d’homm comme l’on choisit un métier, une religion, une destination ou lorsque l’on se fait à l’idée de prendre de l’âge en pensant à ses parents.
En pratique, force est de constater que l’on a affaire à des groupes qui ne fonctionnent pas dans le respect de la miixité des valeutrs quand bien même comporteraient-ils des membres des deux sexes, ce qui n’est pas vraiment une condition, une garantie suffisantes.
Il s »agira donc de groupes qui pourront être identifiés par le sociologue comme ayant une dominante masculin ou féminine, au regard des valeurs qui en constituent comme une sorte de Surmoi.
Au départ, certes, nombre de groupes ne se présentaient aucunement comme marqués par le masculin ou le féminin mais avec le temps, une certaine tendance aura fini par s’imposer et dès lors enfermer le dit groupe dans un certain carcan, ce qui aura pour résultat d’exclure de facto sinon de jure les personnes étrangères aux valeurs qui auront ainsi fini par prédominer. Nous avons déjà décri, dans d’auitres textes et diverses vidéos, ce que pouvaient donner certaines dérives, le décalage entre l’objet du groupe et ce qu’il était devenu insensblement étant flagrant. C’est ainsi que tel orateur venu parler devant une assemblée se déclara surpris de n’y trouver que des femmes alors que ce n’était nullement la raison d’être offiicielle de la dite assemblée. Chassez le naturel il revient au galop. Tout se passe comme si les grandes déclarations sur la parité conduisaient par des chemins détournés à narguer celles-ci, à leur faire un pied de nez.
Il n’est pas non plus ici question de déveliopper nos théses sur les différences de mentalités, voire de sensorialités entre groupes d’hommes et groupes de femmes – autour notamment du mythe de la Caverne- mais bien des éléments montrent qu’il y a incompatibilité entre les « sensibilités » – pour parler comme les Anglais ‘(hurt my feelings) des groupes de femmes et des groupes d’hommes, ce qui conduit à penser que les interrelations devront être de relative bréve durée.
C’est ainsi que nous pensons que ce que l’on nomme le champ de la laïcité- et cela englobe aussi la question des hommes et des femmes - concerne un espace -temps rédui, c’est à dire à une intesection entre deux ensembles. Le couple est évidemment à la charnière de tels ensembles. Il offrre l’avantage de ne pas en principe avoir à supporter le poids du collectif de chaque partenaire, sauf lors de réceptiions, de repas où régne une certaine promiiscuité. pas toujours bien controlée et régulée.
Noius suggérons de créer des structures de formaton à la sociologie de la mixité, c’est à dire du vivre ensemble mais pas de façon empirique mais scientifique et en connaissance de cause. On aura compris que faire respecter une mixité des valeurs est tout un art surtoiut lorsque tel groupe comporte une majorité d’hommes ou de femmes, Nous pensons qu’un groupe quii entend préserver son développement futur, se doit de respecter les droits de sa minorité vu que cette minorité pourrait rendre possible à terme un certain rééquilibrage. S’en tenir au rapport de force immédiat, c’est hypothéquer l’avenir du groupe.
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