Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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samedi 25 février 2017

Jacques Halbronn L'astrologie doit-elle impérativement respecter les appellations astronomiques des planétes, des signes et des aspects?



L’astrologie doit-elle impérativement  respecter les appellations astronomiques des planétes, des signes et des aspects?
par  Jacques  Halbronn
Les astrologues ont en général un réflexe en faveur des termes véhiculés par l’astronomie. Cela serait un sacrilége épouventable, aux yeux de la plupart, que de changer ou de modifier en quoi que ce soit l’ordre terminologique instauré par les observateurs du Ciel tant ceux de l’Antiquité- ce qui peut certes se concevoir du moins au premier abord, que ceux de l’époque moderne, ce qui se conçoit beaucoup moins enocre.
Or, nous avons soutenu, à maintes reprises, que l’astrologie était une chose et l’astronomie une autre. L’astronomie est censée décrire de façon exhaustive les astres, alors que l’astrologie est dans une « praxis », c’est à dire qu’elle doit effectuer des choix, dans une dynamique de passage de la puissance à l’acte.
Nos travaux nous ont conduit, sur le plan de l’observation des sociétés, à considérer la planéte appelée par les astronomes du nhttp://bibliotheque.inha.fr/iguana/www.main.cls?surl=bibliotheque-inha-demcomom du Dieu Saturne (chez les grecs Kronos et à Babyline Ninib (cf la ville de Ninive).
Mais nous proposons désormais d’articuler trois générations de dieux autour de ce seul astre, à savoir Uranus, Saturne et Jupiter, ce qui donne le sigle USJ sous lequel nous entendons désormais désigner la dite planéte « Saturne »,  et ce, de façon à montrer que nous n’avons que faire de l’usage des noms de Jupiter ou d’Uranus pour baptiser d’autres planétes, ce qui évite des discussions fastidieuses avec  les astrologues « ordinaires » autour d’un certain catéchisme.
Ces trois générations nous font dhttp://bibliotheque.inha.fr/iguana/www.main.cls?surl=bibliotheque-inha-demcom’ailleurs penser aux trois générations bibliques avec Abraham, Isaac et Jacob, telles que présentées dans le Livre de la Genése.
En ce qui concerne les aspects, rappelons que ce découpage vient de l’astronomie et n’est pas une invention de l’astrologie, si ce n’est pour certains d’entre eux comme ceux proposés, il y a 400 ans par Kepler, à la fois astrologue et astronome. Pour notre part, nous pensons que l’astrologie n’a besoin que de deux aspects, la oonjonction et l’opposition (ce qui donné aussi quand on divise chaque fois par deux la série 90°, 45° et 22°30)/ Exit le trigone, le sextil,le semi-sextile  et le quinconce.  Nous avons montré qu’en ne travaillant que sur la conjonction et l’opposition (ce que fit André Barbault, dans Les Astres et l’Histoire, Ed Pauvert, 1967, il y a 50 ans), on constituait une structure binaire cohérente, avec une frontière entre les deux registres.
Pour ce qui est des signes zodiacaux,  nous pensons que la division en 8 est bien préférable (et cela nous renvoie à la question d’un systéme à 8 secteurs, cher à Patrice Guinard (dominion) car respectant le yin yang.  La division en 12, selon nous, est toxique et ne trouve sa  justification que sur la base d’un calendrier lunaire avec 12 rencontres de la Lune avec le Soleil, au cours d’une année. Cela dit, rappelons toute l’importance que nous accordons aux 4 étoiles fixes royales, lesquelles sont extérieures au systéme solaire mais appartiennent bel et bien à l’horizon, au paysage céleste de l’époque qui a vu naitre l’astrologie.
On aura donc compris que les travaux de Jean-Pierre Nicola sont, à nos yeux, à côté de la plaque, lui qui érige le systéme solaire tout entier jusqu’à Pluton compris, comme matrice pour la pensée astrologique et qui valide l’ensemble des aspects, y compris, le trigone et le sextile ainsi qu’un découpage de l’écliptique en 12, ignorant royalement les étoiles fixes.
L’avenir de l’astrologie ne réside nullement en un alignement de l’astrologie sur la méta-astronomie, à savoir le nom des astres et des constellations ou des signes mais passe par un élagage de ce matériau pour n’en retenir que la substantifique moelle.




JHB
25 02 17

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