Site de l'Association La Vie Astrologique (ex Mouvement Astrologique Universitaire). 8, rue de la Providence. 75013 Paris/ Une approche historico-critique de la littérature astrologique.
Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)
Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
.
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Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
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samedi 31 décembre 2016
jeudi 29 décembre 2016
mardi 27 décembre 2016
jacques Halbronn Recherches sur le traitement de l'iconographie des mois, des signes et des enfants des planétes
Recherches sur le traitement de l’iconographie des mois, des signes et des enfants des planétes
par Jacques Halbronn
Nous aborderons d’un point de vue critique le traitement tel qu’il est attesté par deux ouvrages relativement récents figurant sur les rayonnages du site Richelieu de la BNF.
Time in the Medieval World. Occupation of the months & signs of the Zodiac in the index of Christian Art Edited by Colum Hourihane Princeton university- Penn State University 2007
et
Astrologia, arte e cultura in eta rinascimentale/ Art andCulture in the Renaissance, a cura du Daniele Bini, testi di E. Milano; Grazia Mirti, Leandro Ventura, Anna Rosa Venturi Il Bulino 1996-1997
On trouve dans le corpus ainsi constitué trois séries de documents: la représentation des occupations mensuelles, celle des signes zodiacaux et la série des « Planetenkinder » qui comporte à la fois une représentation du dieu planétaire, le ou les signes zodiacaux associés à ce dieu et les occupations qui lui sont associées. Or, ce qui nous frappe, c’est le peu d’attention accordée par les auteurs et collaborateurs de ce deux ouvrages aux connexions entre ces diverses séries. C’est ainsi que l’on nous indique que tel signe zodiacal est associé à tel mois de l’année mais sans chercher pour autant à établir de liens entre ces deux plans
Au vrai, cela n’est pas vraiment pour nous surprendre car il semble bien que l’on ait depuis longtemps renoncé à toute tentative de mise en rapport des iconographie respectives alors même qu’un tel corpus d’images aurait du et pu servir à s’interroger sur l’évolution voire la corruption du dit corpus.
Prenons le cas de Vénus dans l’ouvrage dirigé par Daniele Bini (pp 126 et seq). On nous montre en dessous du personnage féminin de Vénus les signes de la balance et du taureau, tous deux associés à Vénus, ainsi que des couples qui conversent, se proménent, s’enlacent..
Puis vient la partie consacrée àMercure, selon le même schéma de présentation . Cette fois ce sont les signes des Gémeaux et de la Vierge qui sont reliés à la planéte.
Dans l’autre ouvrage, dirigé par Colum Hourihane, chaque signe zodiacal est associé à un mois (pp. LIX et seq) C’est ainsi que l’on apprend que le Bélier Jacques Halbronn Le signe des Gémeaux au prisme de l »exégése astrologique. Lest le « signe pour le mois de Mars », le Taureau le signe d’Avril, les Gémeaux, le signe de Mai et ainsi de suite Mais le probléme, c’est que l’on ne prend pas la peine ou l’on n’est pas en mesure de nous expliquer quelle relatiion iconographique-iconologique- fonde un tel rapprochement en dehors du constat que la dite relation est attestée.
Le seul cas où l’on nous propose un semblant de connexion semble être le signe de la Vierge en ce qu’elle tient un épi de blé à la main (cf p. LXII), d’où d’ailleurs, le nom donné à une étoile de cette constellation, Spica (l’épi en latin),on l’associe avec Déméter, la déesse de l’agriculture.Jacques Halbronn Le signe des Gémeaux au prisme de l »exégése astrologique. L
A contrario, les descriptions des occupations mensuelles pour les derniers mois de l’année ne suscitent aucun semblant de rapprochement. On pense notamment aux deux derniers signes que sont le sagittaire et le capricorne: dans les deux cas, le porJacques Halbronn Le signe des Gémeaux au prisme de l »exégése astrologique. Lc est le personnage principal, qu’il se nourisse de glands de la forêt ou qu’on le dépéce à des fins alimentaires en une sorte de crucifixion (on recueille son sange comme dans graal). Or, le porc est totalement absent du Zodiaque et cela peut tenir au tabou de sa consommation dans certaines régions.
Mais revenons au cas des Gémeaux. En fait, on dispose de deux traditions, l’une qui en fait des « jumeaux » comme le nom du signe l’indique (en latin Gemini) alors que l’autre représente un couple. Le probléme, c’est que l’on se trouve alors -dans le second cas- en présence d’une symbolique vénusienne. Or, le signe en question n’est pas associé à Vénus mais à Mercure.
Prenons un dernier exemple, le verseau, considéré, dans le présent corpus comme le début de l’année et correspondant au mois de janvier. On nous indique certes que ce mois est souvent associé à une scéne de banquet et que par ailleurs mais l’on ne nous signale pas que le personnage même du verseur d’eau fait partie d’une telle scéne. Autrement dit, qu’il y ait ou non de lien entre le signe et l’occupation mensuelle, cela ne sera signalé ni dans un cas ni dans l’autre. On ajoutera que l’on retrouve dans la première arcane majeure du Tarot – le Bateleur- une représentation très proche de celle du premier mois de l’année (verseau), tel qu’il est fixé dans les dites représentations.
Quel enseignement retirer d’un tel constat? Que l’on a affaire à un syncrétisme présentant en vrac divers systèmes constitués de façon autonome. Comprenons que la répartition des planétes avec les signes telle qu’on la trouve notamment dans la Tétrabible de Ptolémée n’aura tenu aucun compte des « occupations des mois » pas plus d’ailleurs que la répartition des signes entre les Quatre Eléments n’aura été fondée sur la symbolique des signes, comme le montre le rapport établi dans la littérature astrologique entre le verseau (Aquarius) et l’Elément Air.
Il nous semble qu’au départ, les signes zodiacaux émanaient en effet des dits « travaux » mensuels mais que diverses corrruptions ont fait leur oeuvre. Cela n’empêche d’ailleurs pas les astrologues d’affirmer le lien entre la symbolique zodiacale et le cycle des saisons mais sans en apporter de preuve d’ordre iconographique. Cette mise en rapport se limite au vrai à une certaine forme d’exégèse articulée sur l’évolution de la Nature alors même que l’on sait que les occupations mensuelles sont fortement anthropocentrées et concernent la façon dont les sociétés vivent le cours des saisons, c’est ainsi que le feu va figurer pour les mois d’hiver, quand on a besoin de se réchauffet alors que les astrologues associent le feu à l’Eté, en raison de la chaleur régnante.
Un autre cas intéressant concerne le signe du bélier, associé avec le début du printemps mais relié au mois de juin dans l’iconographie des mois de l’année./ En effet, c’est au début de l’Eté que l’on tond les moutons, quand il commence à faite chaud et non à la sortie de l’Hiver! Mais les astrologues nous expliqueront que le bélier symnbolise le début d’un nouveau cycle saisonnier. Or, à l’évidence, c’est le mouton et non le bélier qui font l’objet d’un tel traitement.
Ajoutons que le symbolisme zodiacal est combiné avec le dispositif du tétramorphe (taureau, lion, aigle, homme), ce qui en fait un ensemble hybride. Ce disositif s’articule autour de ce qu’on apppelle les 4 étoiles fixes royales, Aldébaran, Régulus,Antarés et Fomalhaut, respecitivement. On retrouve le dit dispositif dans l’arcane majeure du Tarot, « Le Monde » et dans l’iconographie des 4 Evangélistes.
On se demandera si certaines représentations zodiacales n’ont pas été déterminées selon des critères proprement astrologiques – et d’ailleurs nous avons montré ailleurs l’empreinte de l’astrologie sur le récit mythologique dans lequel Kronos dévore ses enfants à l’exception de Zeus/ Or les enfants ainsi avalés correspondent aux dieux qui n’ont pas reçu de planéte en partage, du moins pas avant la fin du XVIIIe siècle: Neptune, Pluton, Cérés, Pallas, Junon et Vesta (pour les désigner sous leur appellation astronomique récente) C’est ainsi que la chèvre qui correspond au mois de janvier, un des signes associés à Saturne, pourrait représenter Amalthée qui permit à Zeus d’échapper à son père. Quant au signe du scorpion (nom sous lequel l’archer (sagitarius) est représenté, il pourrait symboliser Mars qui lui est associé.
Quant à la façon dont les 12 représentations furent établies, il est assez évident qu’il s’agit là de la combinaison de deux paramétres, les 4 saisons et le nombre de mois de l’année -(lui même déterminé par le nombre moyen de conjonctions entre soleil et lune). Il est donc évident que s’il y avait eu davantage de conjonctions, on se serait débrouillé pour trouver 4 et non 3, par exemple, « occupations » (et donc signes) par saison.
Bibliographie
Jacques Halbronn Le signe des Gémeaux au prisme de l »exégése astrologique. (you tube)
The Labors of the months in antique and mediaeval Art. by James Carson Webster. Princeton University Press etc. 1938
JHB
27 12 16
par Jacques Halbronn
Nous aborderons d’un point de vue critique le traitement tel qu’il est attesté par deux ouvrages relativement récents figurant sur les rayonnages du site Richelieu de la BNF.
Time in the Medieval World. Occupation of the months & signs of the Zodiac in the index of Christian Art Edited by Colum Hourihane Princeton university- Penn State University 2007
et
Astrologia, arte e cultura in eta rinascimentale/ Art andCulture in the Renaissance, a cura du Daniele Bini, testi di E. Milano; Grazia Mirti, Leandro Ventura, Anna Rosa Venturi Il Bulino 1996-1997
On trouve dans le corpus ainsi constitué trois séries de documents: la représentation des occupations mensuelles, celle des signes zodiacaux et la série des « Planetenkinder » qui comporte à la fois une représentation du dieu planétaire, le ou les signes zodiacaux associés à ce dieu et les occupations qui lui sont associées. Or, ce qui nous frappe, c’est le peu d’attention accordée par les auteurs et collaborateurs de ce deux ouvrages aux connexions entre ces diverses séries. C’est ainsi que l’on nous indique que tel signe zodiacal est associé à tel mois de l’année mais sans chercher pour autant à établir de liens entre ces deux plans
Au vrai, cela n’est pas vraiment pour nous surprendre car il semble bien que l’on ait depuis longtemps renoncé à toute tentative de mise en rapport des iconographie respectives alors même qu’un tel corpus d’images aurait du et pu servir à s’interroger sur l’évolution voire la corruption du dit corpus.
Prenons le cas de Vénus dans l’ouvrage dirigé par Daniele Bini (pp 126 et seq). On nous montre en dessous du personnage féminin de Vénus les signes de la balance et du taureau, tous deux associés à Vénus, ainsi que des couples qui conversent, se proménent, s’enlacent..
Puis vient la partie consacrée àMercure, selon le même schéma de présentation . Cette fois ce sont les signes des Gémeaux et de la Vierge qui sont reliés à la planéte.
Dans l’autre ouvrage, dirigé par Colum Hourihane, chaque signe zodiacal est associé à un mois (pp. LIX et seq) C’est ainsi que l’on apprend que le Bélier Jacques Halbronn Le signe des Gémeaux au prisme de l »exégése astrologique. Lest le « signe pour le mois de Mars », le Taureau le signe d’Avril, les Gémeaux, le signe de Mai et ainsi de suite Mais le probléme, c’est que l’on ne prend pas la peine ou l’on n’est pas en mesure de nous expliquer quelle relatiion iconographique-iconologique- fonde un tel rapprochement en dehors du constat que la dite relation est attestée.
Le seul cas où l’on nous propose un semblant de connexion semble être le signe de la Vierge en ce qu’elle tient un épi de blé à la main (cf p. LXII), d’où d’ailleurs, le nom donné à une étoile de cette constellation, Spica (l’épi en latin),on l’associe avec Déméter, la déesse de l’agriculture.Jacques Halbronn Le signe des Gémeaux au prisme de l »exégése astrologique. L
A contrario, les descriptions des occupations mensuelles pour les derniers mois de l’année ne suscitent aucun semblant de rapprochement. On pense notamment aux deux derniers signes que sont le sagittaire et le capricorne: dans les deux cas, le porJacques Halbronn Le signe des Gémeaux au prisme de l »exégése astrologique. Lc est le personnage principal, qu’il se nourisse de glands de la forêt ou qu’on le dépéce à des fins alimentaires en une sorte de crucifixion (on recueille son sange comme dans graal). Or, le porc est totalement absent du Zodiaque et cela peut tenir au tabou de sa consommation dans certaines régions.
Mais revenons au cas des Gémeaux. En fait, on dispose de deux traditions, l’une qui en fait des « jumeaux » comme le nom du signe l’indique (en latin Gemini) alors que l’autre représente un couple. Le probléme, c’est que l’on se trouve alors -dans le second cas- en présence d’une symbolique vénusienne. Or, le signe en question n’est pas associé à Vénus mais à Mercure.
Prenons un dernier exemple, le verseau, considéré, dans le présent corpus comme le début de l’année et correspondant au mois de janvier. On nous indique certes que ce mois est souvent associé à une scéne de banquet et que par ailleurs mais l’on ne nous signale pas que le personnage même du verseur d’eau fait partie d’une telle scéne. Autrement dit, qu’il y ait ou non de lien entre le signe et l’occupation mensuelle, cela ne sera signalé ni dans un cas ni dans l’autre. On ajoutera que l’on retrouve dans la première arcane majeure du Tarot – le Bateleur- une représentation très proche de celle du premier mois de l’année (verseau), tel qu’il est fixé dans les dites représentations.
Quel enseignement retirer d’un tel constat? Que l’on a affaire à un syncrétisme présentant en vrac divers systèmes constitués de façon autonome. Comprenons que la répartition des planétes avec les signes telle qu’on la trouve notamment dans la Tétrabible de Ptolémée n’aura tenu aucun compte des « occupations des mois » pas plus d’ailleurs que la répartition des signes entre les Quatre Eléments n’aura été fondée sur la symbolique des signes, comme le montre le rapport établi dans la littérature astrologique entre le verseau (Aquarius) et l’Elément Air.
Il nous semble qu’au départ, les signes zodiacaux émanaient en effet des dits « travaux » mensuels mais que diverses corrruptions ont fait leur oeuvre. Cela n’empêche d’ailleurs pas les astrologues d’affirmer le lien entre la symbolique zodiacale et le cycle des saisons mais sans en apporter de preuve d’ordre iconographique. Cette mise en rapport se limite au vrai à une certaine forme d’exégèse articulée sur l’évolution de la Nature alors même que l’on sait que les occupations mensuelles sont fortement anthropocentrées et concernent la façon dont les sociétés vivent le cours des saisons, c’est ainsi que le feu va figurer pour les mois d’hiver, quand on a besoin de se réchauffet alors que les astrologues associent le feu à l’Eté, en raison de la chaleur régnante.
Un autre cas intéressant concerne le signe du bélier, associé avec le début du printemps mais relié au mois de juin dans l’iconographie des mois de l’année./ En effet, c’est au début de l’Eté que l’on tond les moutons, quand il commence à faite chaud et non à la sortie de l’Hiver! Mais les astrologues nous expliqueront que le bélier symnbolise le début d’un nouveau cycle saisonnier. Or, à l’évidence, c’est le mouton et non le bélier qui font l’objet d’un tel traitement.
Ajoutons que le symbolisme zodiacal est combiné avec le dispositif du tétramorphe (taureau, lion, aigle, homme), ce qui en fait un ensemble hybride. Ce disositif s’articule autour de ce qu’on apppelle les 4 étoiles fixes royales, Aldébaran, Régulus,Antarés et Fomalhaut, respecitivement. On retrouve le dit dispositif dans l’arcane majeure du Tarot, « Le Monde » et dans l’iconographie des 4 Evangélistes.
On se demandera si certaines représentations zodiacales n’ont pas été déterminées selon des critères proprement astrologiques – et d’ailleurs nous avons montré ailleurs l’empreinte de l’astrologie sur le récit mythologique dans lequel Kronos dévore ses enfants à l’exception de Zeus/ Or les enfants ainsi avalés correspondent aux dieux qui n’ont pas reçu de planéte en partage, du moins pas avant la fin du XVIIIe siècle: Neptune, Pluton, Cérés, Pallas, Junon et Vesta (pour les désigner sous leur appellation astronomique récente) C’est ainsi que la chèvre qui correspond au mois de janvier, un des signes associés à Saturne, pourrait représenter Amalthée qui permit à Zeus d’échapper à son père. Quant au signe du scorpion (nom sous lequel l’archer (sagitarius) est représenté, il pourrait symboliser Mars qui lui est associé.
Quant à la façon dont les 12 représentations furent établies, il est assez évident qu’il s’agit là de la combinaison de deux paramétres, les 4 saisons et le nombre de mois de l’année -(lui même déterminé par le nombre moyen de conjonctions entre soleil et lune). Il est donc évident que s’il y avait eu davantage de conjonctions, on se serait débrouillé pour trouver 4 et non 3, par exemple, « occupations » (et donc signes) par saison.
Bibliographie
Jacques Halbronn Le signe des Gémeaux au prisme de l »exégése astrologique. (you tube)
The Labors of the months in antique and mediaeval Art. by James Carson Webster. Princeton University Press etc. 1938
JHB
27 12 16
dimanche 25 décembre 2016
samedi 24 décembre 2016
vendredi 23 décembre 2016
mardi 20 décembre 2016
Le cycle de 7 ans
L'âge est très important. Bien que certaines personnes puissent sembler “vieilles” à vingt ans et que d'autres puissent sembler toujours “jeunes” à soixante ans, il est toutefois important de tenir compte des cycles de 7 ans qui, reliés aux cycles de la Lune progressée et de Saturne, sont primordiaux quant au comportement psychologique de tout individu. A ce sujet, je vous conseille aussi de lire l'admirable livre d'Alexander Ruperti, Les cycles du devenir, qui est entièrement consacré aux cycles.
lundi 19 décembre 2016
dimanche 18 décembre 2016
vendredi 16 décembre 2016
jeudi 15 décembre 2016
mardi 13 décembre 2016
lundi 12 décembre 2016
Colette Cholet, Gilles Verrier, mercredi 14 dévcembre Astrologie Mondiale: 2017
Le mercredi 14 décembre 2016, de 19h à 21h30. Conférence sous l'égide de la SFA. Avec Colette Cholet et Gilles Verrier.
Sur le thème "Astrologie mondiale : 2017, une année d'élections diverses sous l'opposition Uranus-Jupiter au carré de Pluton..."
Lieu de la conférence : Le Forum, 104 rue de Vaugirard, Paris 75006. Métro St Placide ou Montparnasse.
samedi 10 décembre 2016
vendredi 9 décembre 2016
jeudi 8 décembre 2016
mercredi 7 décembre 2016
Jacques Halbronn Le basculement de la politique juive de l'Allemagne nazie au prisme de l'astrologie
Le basculement de la politique juive de l'Allemagne nazie au prisme de l'astrologie
par Jacques Halbronn
Nous emploierons ici les termes de fascisme et d’antifascisme dans un sens très large qui va probablement au delà des usages en vigueur mais il nous a semblé que c’était la meilleure façon -du moins jusqu’à nouvel ordre, de nous faire bien comprendre. Le climat politique actuel nous conduit à proposer une telle grille de lecture.
Le terme fascisme indique historiquement que l’on met l’accent sur l’unité, – c’est le faisceau des licteurs – sur le fait que le peuple et son chef ne feraient qu’un et combien de fois, ces derniers temps, aura-t-on entendu asséner ce besoin d’unité, que l’on a pu qualifier de populisme, ce qui revient à peu près au même tout comme le terme totalitarisme (cela fait un « tout » d’un seul tenant)
Selon nos travaux en cyclologie, on qualifiera la conjonction de Saturne avec l’une ou l’autre des 4 étoiles fixes royales (Aldébaran Regulus, Antarés, Fomalhaut) de « fascisante », ce qui convient fort bien à l’idée même de conjonction, lorsque l’astre mobile se rapproche et finit par rencontrer l’astre fixe pour commencer ensuite à s’en éloigner progressivement. Inversement, ,nous appellerons phase antifasciste le processus de séparation entre les deux facteurs, la planéte et l’étoile, ce qui correspond à un aspect d’opposition sur la base d’un cercle complet et à un aspect de semi-carré lorsque le cercle est découpé en 4 (quadrature du cercle) du fait des 4 conjonctions (180/4 = 45°)
C’est ainsi que cette fameuse date de 1989 qui a vu la chute d’un certain nombre de leaders des démocraties « populaires » ou des républiques « démocratiques » (comme la RDA) correspond à un moment antifasciste tout comme le printemps arabe de la fin 2010 et de 2011. Mais cela vaut aussi pour mai 68. En fait, ce moment antifasciste a lieu en gros tous les sept ans avec une orbe d’un an (avant et après) et l’élection de François Hollande au printemps 2012 est contemporaine à nos yeux, toutes proportions gardées, du dit printemps arabe, en cela qu’elle s’explique avant tout par un rejet du personnage Nicolas Sarkozy.
La séparation des deux astres, le mobile s’éloignant évidemment du fixe, peut être qualifiée de relâchement, comme un étau qui se desserrerait, comme si la conjonction antérieure avait contraint les sociétés- de par le monde – à se conformer à un processus unitaire. Cela ne signifie pas qu’elles en profitent toutes pour exfiltrer leurs leaders respectifs mais elles en ont en tout cas l’opportunité et en tout cas, cela peut se produire sous les latitudes les plus diverses sur notre Terre, car nous ne pensons pas que l’astrologie permettre de localiser quoi que ce soit en focalisant sur telle ou telle région du monde. Si l’on engage une étude sur telle région,; ce sera parce que cela nous semblera une probabilité au vu des données extra-astrologiques dont on dispose.
Le rôle de l’astrologue est de prévoir avant que les choses aient pris une nouvelle tournure, ni trop tôt, ni trop tard, à point nommé. Cela signifie prévoir un retour des tendances fascisantes avant que cela ne devienne évident pour tout le monde ou au contraire d’annoncer l’implosion de certaines structures « totalitaires » avant que cela ne devienne absolument manifeste.
Bien entendu, il sera loisible de suivre l’évolution politique d’une situation donnée, ce qui constitue un outil précieux et qui leur manquait pour les biographes.
Le recours aux éphémérides, on l’aura compris, s’avère ici assez minimal puisque les positions des étoiles fixes sont stables et donc connues une fois pour toutes et puisque Saturne -selon l’astrologie alpha-oméga- met environ 7 ans pour passer d’une conjonction à la suivante, ce qui fait que chacune des deux phases ne saurait durer au delà de 3 ans et demi (7/2). Tout cela se calcule aisément de tête si ce n’est que l’on finit par tout mémoriser sans recourir au moindre document.
On appréciera tout l’avantage qu’il peut y avoir à utiliser une grille d’une aussi grande économie de conception mais aussi d’interprétation. Les astrologues ont en effet tendance à préférer des modéles beaucoup plus « chargés ».
En vérité, nous pensons avoir ainsi déterminé l’axe principal de la recherche astrologique en mondiale car, au bout du compte, les enjeux politiques ne tournent-ils pas autour d’une telle problématique d’unité ou de séparation?
Etoffons un peu plus nos définitions
En phase alpha, l’attraction sociale est majeure et l’on est dans un déni des différences, on prône une synergie entre les humains mais aussi entre les humains et les animaux, les machines. Tout cela ne ferait plus qu’un et serait aspiré dans un énorme creuset (melting pot). Tout doit être intégré, assimilé, ne faire plus qu’un. Or, un tel phénoméne est désormais parfaitement prévisible. Bien évidemment, plus la prévision sera à long terme, plus elle restera dans le vague car il importe d’appliquer notre grille à tel ou tel terrain, pour un instant T et ce sont là des données qui viennent compléter ce qui est d’ordre astrologique.
En phase oméga, l’attraction sociale s’atténue peu à peu et les différences ressortent de plus en plus au point que l’affirmation unitaire est ressentie comme une imposture, un mensonge. Les yeux se décillent et le principe de réalité l’emporte de plus en plus sur les chimères utopiques si ce n’est que la conjonction génére elle même aussi une certaine réalité du fait même de la négation et de ses effets. Le fait de reconnaitre les différences au sein d’une société, ne signifie nullement leur rejet; mais conduit à une certaine volonté de ne pas tout mélanger, tout confondre, en ne cherchant pas à unifier ce qui ne peut l’être raisonnablement.
La phase alpha fonctionne verticalement, hiérarchiquement, de haut en bas alors que la phase oméga tend à s’étendre spatialement, produisant ainsi des juxtapositions. On dira que la phase alpha c’est la construction de la Tour de Babel et la phase oméga la dispersion, le pluralisme dont parle le Livre de la Genése. .La phase oméga sépare, divise, en un grand nombre d’entités censées fonctionner de manière autonome. C’est la leçon du Shabbat notamment que de ne pas se laisser aliéner par la machine et plus largement par ce que nous avons appelé la maisonnée.
Le passage de la phase oméga à la phase alpha impliquera un tel changement d’optique. Dans un premier temps, on cherche à isoler, à séparer géographiquement,, à éloigner dans un autre espace et dans un second temps, l’on sera amené à placer certaines populations tout en bas de l’échelle, les réduisant à un statut d’esclaves, de sous-hommes.
On peut ainsi expliquer l »évolution de Hitler par rapport aux Juifs. En phase oméga, il voulait qu’on en débarassât l’Allemagne, qu’on les plaçât au delà de ses frontières. Puis vint la phase alpha, où le projet se métamorphosa, il ne s’agissait plus alors de les évacuer mais de les asservir, ce qui fut notamment la tâche des camps de concentration lesquels n’étaient pas en soi des camps d’extermination mais dont les conditions de vie étaient telles que cela revenait à terme à les anéantir, en en faisant un peuple d’esclaves à la façon dont ils avaient été traités en Egypte avant l’arrivée de Moïse (cf Le livre de l’Exode)
JHB
07. 12 16
par Jacques Halbronn
Nous emploierons ici les termes de fascisme et d’antifascisme dans un sens très large qui va probablement au delà des usages en vigueur mais il nous a semblé que c’était la meilleure façon -du moins jusqu’à nouvel ordre, de nous faire bien comprendre. Le climat politique actuel nous conduit à proposer une telle grille de lecture.
Le terme fascisme indique historiquement que l’on met l’accent sur l’unité, – c’est le faisceau des licteurs – sur le fait que le peuple et son chef ne feraient qu’un et combien de fois, ces derniers temps, aura-t-on entendu asséner ce besoin d’unité, que l’on a pu qualifier de populisme, ce qui revient à peu près au même tout comme le terme totalitarisme (cela fait un « tout » d’un seul tenant)
Selon nos travaux en cyclologie, on qualifiera la conjonction de Saturne avec l’une ou l’autre des 4 étoiles fixes royales (Aldébaran Regulus, Antarés, Fomalhaut) de « fascisante », ce qui convient fort bien à l’idée même de conjonction, lorsque l’astre mobile se rapproche et finit par rencontrer l’astre fixe pour commencer ensuite à s’en éloigner progressivement. Inversement, ,nous appellerons phase antifasciste le processus de séparation entre les deux facteurs, la planéte et l’étoile, ce qui correspond à un aspect d’opposition sur la base d’un cercle complet et à un aspect de semi-carré lorsque le cercle est découpé en 4 (quadrature du cercle) du fait des 4 conjonctions (180/4 = 45°)
C’est ainsi que cette fameuse date de 1989 qui a vu la chute d’un certain nombre de leaders des démocraties « populaires » ou des républiques « démocratiques » (comme la RDA) correspond à un moment antifasciste tout comme le printemps arabe de la fin 2010 et de 2011. Mais cela vaut aussi pour mai 68. En fait, ce moment antifasciste a lieu en gros tous les sept ans avec une orbe d’un an (avant et après) et l’élection de François Hollande au printemps 2012 est contemporaine à nos yeux, toutes proportions gardées, du dit printemps arabe, en cela qu’elle s’explique avant tout par un rejet du personnage Nicolas Sarkozy.
La séparation des deux astres, le mobile s’éloignant évidemment du fixe, peut être qualifiée de relâchement, comme un étau qui se desserrerait, comme si la conjonction antérieure avait contraint les sociétés- de par le monde – à se conformer à un processus unitaire. Cela ne signifie pas qu’elles en profitent toutes pour exfiltrer leurs leaders respectifs mais elles en ont en tout cas l’opportunité et en tout cas, cela peut se produire sous les latitudes les plus diverses sur notre Terre, car nous ne pensons pas que l’astrologie permettre de localiser quoi que ce soit en focalisant sur telle ou telle région du monde. Si l’on engage une étude sur telle région,; ce sera parce que cela nous semblera une probabilité au vu des données extra-astrologiques dont on dispose.
Le rôle de l’astrologue est de prévoir avant que les choses aient pris une nouvelle tournure, ni trop tôt, ni trop tard, à point nommé. Cela signifie prévoir un retour des tendances fascisantes avant que cela ne devienne évident pour tout le monde ou au contraire d’annoncer l’implosion de certaines structures « totalitaires » avant que cela ne devienne absolument manifeste.
Bien entendu, il sera loisible de suivre l’évolution politique d’une situation donnée, ce qui constitue un outil précieux et qui leur manquait pour les biographes.
Le recours aux éphémérides, on l’aura compris, s’avère ici assez minimal puisque les positions des étoiles fixes sont stables et donc connues une fois pour toutes et puisque Saturne -selon l’astrologie alpha-oméga- met environ 7 ans pour passer d’une conjonction à la suivante, ce qui fait que chacune des deux phases ne saurait durer au delà de 3 ans et demi (7/2). Tout cela se calcule aisément de tête si ce n’est que l’on finit par tout mémoriser sans recourir au moindre document.
On appréciera tout l’avantage qu’il peut y avoir à utiliser une grille d’une aussi grande économie de conception mais aussi d’interprétation. Les astrologues ont en effet tendance à préférer des modéles beaucoup plus « chargés ».
En vérité, nous pensons avoir ainsi déterminé l’axe principal de la recherche astrologique en mondiale car, au bout du compte, les enjeux politiques ne tournent-ils pas autour d’une telle problématique d’unité ou de séparation?
Etoffons un peu plus nos définitions
En phase alpha, l’attraction sociale est majeure et l’on est dans un déni des différences, on prône une synergie entre les humains mais aussi entre les humains et les animaux, les machines. Tout cela ne ferait plus qu’un et serait aspiré dans un énorme creuset (melting pot). Tout doit être intégré, assimilé, ne faire plus qu’un. Or, un tel phénoméne est désormais parfaitement prévisible. Bien évidemment, plus la prévision sera à long terme, plus elle restera dans le vague car il importe d’appliquer notre grille à tel ou tel terrain, pour un instant T et ce sont là des données qui viennent compléter ce qui est d’ordre astrologique.
En phase oméga, l’attraction sociale s’atténue peu à peu et les différences ressortent de plus en plus au point que l’affirmation unitaire est ressentie comme une imposture, un mensonge. Les yeux se décillent et le principe de réalité l’emporte de plus en plus sur les chimères utopiques si ce n’est que la conjonction génére elle même aussi une certaine réalité du fait même de la négation et de ses effets. Le fait de reconnaitre les différences au sein d’une société, ne signifie nullement leur rejet; mais conduit à une certaine volonté de ne pas tout mélanger, tout confondre, en ne cherchant pas à unifier ce qui ne peut l’être raisonnablement.
La phase alpha fonctionne verticalement, hiérarchiquement, de haut en bas alors que la phase oméga tend à s’étendre spatialement, produisant ainsi des juxtapositions. On dira que la phase alpha c’est la construction de la Tour de Babel et la phase oméga la dispersion, le pluralisme dont parle le Livre de la Genése. .La phase oméga sépare, divise, en un grand nombre d’entités censées fonctionner de manière autonome. C’est la leçon du Shabbat notamment que de ne pas se laisser aliéner par la machine et plus largement par ce que nous avons appelé la maisonnée.
Le passage de la phase oméga à la phase alpha impliquera un tel changement d’optique. Dans un premier temps, on cherche à isoler, à séparer géographiquement,, à éloigner dans un autre espace et dans un second temps, l’on sera amené à placer certaines populations tout en bas de l’échelle, les réduisant à un statut d’esclaves, de sous-hommes.
On peut ainsi expliquer l »évolution de Hitler par rapport aux Juifs. En phase oméga, il voulait qu’on en débarassât l’Allemagne, qu’on les plaçât au delà de ses frontières. Puis vint la phase alpha, où le projet se métamorphosa, il ne s’agissait plus alors de les évacuer mais de les asservir, ce qui fut notamment la tâche des camps de concentration lesquels n’étaient pas en soi des camps d’extermination mais dont les conditions de vie étaient telles que cela revenait à terme à les anéantir, en en faisant un peuple d’esclaves à la façon dont ils avaient été traités en Egypte avant l’arrivée de Moïse (cf Le livre de l’Exode)
JHB
07. 12 16
Claire Henrion La Cagouille Céleste
Ephebdo ou la Cagouille Céleste du 7 au 14 décembre 2016
Personnes
déc 5 à 10h48 PM
Ephebdo ou la Cagouille Céleste du 7 au 14 décembre 2016
Bonjour,
La Cagouille Céleste est en ligne ! Suivez pas à pas les événements naturels, tout en apprenant à discerner les différents référentiels.
Ainsi que les cartes du ciel en 4x4 du Premier Quartier et de la Pleine Lune http://rockastres.org/spip.php?rubrique4
Légende de la fiche à imprimer ;
- les longitudes écliptiques sont reportées colonne de droite avec un code couleur, relatif à l’astre concerné : gris=Lune, noir/jaune=Soleil, vert=Mercure, rose Vénus, etc … (couleurs du REThttp://rockastres.org/spip.php?article88)
+ côté gauche souligné de la couleur de la plus lente si 2 astres du système solaire (Soleil, Lune, planètes) sont concernés;
+ fond bleu pour l’héliocentrique
BON PIED, BON ŒIL !
Claire
Cartes du ciel astrologiques obtenues avec le logiciel « Zodiac » d’André Van der Linden http://users.skynet.be/AstroZodiac/
lundi 5 décembre 2016
vendredi 2 décembre 2016
jeudi 1 décembre 2016
mercredi 30 novembre 2016
lundi 28 novembre 2016
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jeudi 24 novembre 2016
mercredi 23 novembre 2016
mardi 22 novembre 2016
Jacques Halbronn Des effets pervers de l'emprunt mythologique sur l'identité de l'Astrologie
Des effets pervers de l’empruntr mythologique sur l’identité de l’Astrologie
par Jacques Halbronn
L’alliance Astrologie-Mythologie pose de graves problèmes d’ordre épistémologique, qui sont aggravés par l’alliance Astrologie-Astronomie. En effet, l’esprit de la mythologie n’est nullement celui de l’Astrologie, contrairement à ce que croient devoir ou pouvoir affirmer d’aucuns.
En ettet, la « philosophie » de la mythologie est marquée par le panthéisme, d’où le nom de Panthéon qui englobe l’ensemble des dieux. Autrement dit, la mythologie tend à une certaine forme d’universalité dans la mesure où les diverses divinités se répartissent plus ou moins équitablement la diversité même du monde. Il y aurait en quelque sorte des dieux pour toutes choses, pour quelque activité que ce soit.
Est-ce bien là l’esprit de l’astrologie? On pourrait être tenté de répondre par l’affirmative en s’appuyant sur l’astronomie, laquelle est parvenue à « caser » planétairement toutes les divinités. Et des penseurs aussi lucides qu’un Jean-Pierre Nicola sont bel et bien tomber dans le panneau avec son systéme RET qui englobe dix planétes (du soleil jusqu’à Pluton, plus la Lune, notre satellite)
Pour notre part, nous pensons qu’il s’agit là d’une évolution relativement tardive de la pensée astrologique qui aura conduit à ce « mariage » avec l’astronomie du systéme solaire- et la mythologie. A l’origine, selon nous, l’astrologie ne « communiquait » avec l’astronomie que par un seul et unique canal que l’on pourrait qualifier de « phallique », ce qui souligne l’unicité du dispositif, lequel pourrait être comparé à un pont.(rappelons que le pape est qualifié de pontife), à savoir Saturne, dont la révolution est en analogie avec celle de la Lune, sur la base d’un an pour un jour. De même d’ailleurs, le parcours de la dite planéte n’était pas balisé par 12 secteurs mais par 8.(4×2)
Nous n’avons certes rien contre la mythologie ou contre l’astronomie, si ce n’est que les astrologues y recourent de façon tout à fait excessive et hors de propos. Ils ejn arrivent, de par une telle dérive, à se convaincre que l’astrologie peut traiter de tout et de n’importe quoi puisqu’il y des dieux appointés aux tâches les plus variées .Cela signifie aussi que l’astrologie serait une sorte de savoir total à l’instar du langage qui, lui aussi, n’a pas de limites. Et l’on sait le rôle du langage dans la consultation astrologique, du fait que l’astrologue est sommé de traduite, d’étoffer, de transposer sous une forme accessible les notations symboliques.
L’identité de l’astrologie ne peut que pâtir de tels rapprochements, de telles intrusions qui la dénaturent. L’astrologue est conduit à penser que rien ne saurait être étranger à l’astrologie puisqu’elle est dotée de ce double bagage, astronomico-(mythologique. Cela ne peut que séduire des esprits qui n’ont pas été formés à la recherche et qui ne savent pas s’informer à différentes sources, à tenir compte de plusieurs paramétres par delà celui de l’astrologie.
Pour une grande partie des usagers de l’astrologie, l’arsenal astrologique ne connait pas de limites en ce qui concerne les domaines qu’il permet d’aborder, la seule restriction serait en matière de précision plus ou moins grande. L’astrologue pourrait parler de tout un peu.
Il y auralt là, pourrait-on diagnostiquer, comme un refus de l’altérité, ce ce qui n’est pas soi, projeté sur l’astrologie. Autrement dit, on voudrait voir l’astrologie comme l’on se voit soi-même. Il y aurait tout dans l’astrologie et point ne serait utile d’aller voir ailleurs. Et l’alibi d’une telle démarche, on l’aura compris, c’est bien évidemment la mythologie. A partir du moment où l’astrologie trouve son assise dans la mythologie, rien ne saurait lui être étranger puisque la mythologie englobe une grande variété de dieux et que ces dieux nous sont repérables par le biais de l’astronomie qui les « loge ». Ainsi, la boucle est bouclée, n’est-il pas vrai?
La prévision astrologique doit, selon nous, prendre en compte d’autres paramètres que ceux fournis par cette troîka qu’elle forme avec la mythologie et avec l’astronomie. Pour cela, il lui est nécessaire de se limiter à un seul vecteur planétaire, à savoir Saturne et de circonscrire son domaine à ce qui reléve de la dualité puisque selon nous tout ce qui revêt une forme duelle la concerne. L’astrologie serait épistémologiquement d’essence dialectique. Elle peut ainsi apporter un éclairage qui lui est propre mais en acceptant que d’autres facteurs puissent intervenir et interférer, ce qui débouche sur un dialogue avec des spécialistes d’autres disciplines.
En fait, ce n’est pas au départ l’astrologie qui aura emprunté à la mythologie et à l’astronomie mais ce sont ces deux savoirs qui se seront inspirés de l’astrologie, comme nous l’avons montré ailleurs, notamment à partir des travaux du statisticien Michel Gauquelin lequel a montré que Mars, Jupiter et Saturne ( ce furent là du moins ses premiers résultats, parus en 1955. L’influence des astres. Paris, Ed. Du Dauphin). Ce n’est donc pas par hasard que les actvités que Gauquelin a associées à ces trois astres correspondent grosso modo aux significations accordées à ces trois divinités.(Gauquelin ajoutera Lune et Vénus, par la suite) et c’est encore moins par hasard que les dieux qui ont été dévorés par Kronos sont justement les dieux qui n’ont pas été associés, du moins dans l’Antiquité, à des planétes: Neptune,Pluton, Cérés, Pallas, Junon, Vesta, ces dieux n’ayant été récupérés par l’astronomie qu’à partir de la fin du XVIIIe siècle. C’est pourquoi, le moins que l’on puisse recommander, c’est de cesser de se servir en astrologie de ces dieux-planétes que la mythologie avait fait disparaitre à l’instar de l’astronomie antique, pour des raisons évidentes, à savoir que l’on n’avait pas de place pour tous les dieux de l’Olympe. D’aucuns voudraient que l’on complétât un tel dispositif en intégrant ces astres inconnus et invisibles dans l’Antiquité. Ils sont même disposés à croire que l’Humanité ayant évolué psychiquement, il serait logique de faire un bon accueil à de nouveaux astres. Or, nous venons de montrer que l’alliance entre astronomie et mythologie s’était scellée sur la base du septénaire au point que même le récit mythologique s’en trouvait marqué.
En conclusion, il existerait d’une part une typologie astro-mythologique englobant un certain nombre d’astres tous visibles à l’œil nu mais qui n’aurait aucune vocation cyclique- que Gauquelin serait parvenu à baliser (et nous avons des doutes sérieux en ce qui concerne ses travaux sur l’empreinte lunaire)- et cela ne concerne que le mouvement diurne et non la révolution sidérale et de l’autre, un seul et unique cyclique- sidéral celui de Saturne- rendant compte d’une cyclicité duelle, bien plus dépouillée, au demeurant, que ne le voudrait le recours aux 12 symboles zodiacaux car nous pensons qu’un tel symbolisme doit rester tout à fait en dehors du champ de l’astrologie, si ce n’est à des fins purement de localisation des astres dans le ciel., à l’instar de l’astronomie.
JHB
22. 11.16
lundi 21 novembre 2016
Jacques Halbronn Vers une redéfiniton des politiques de gauche et de droite au prisme de la dialectique peuple/élite
Vers une redéfinition des politiques de gauche et de droite au prisme de la dialectique peuple/élite
par Jacques Halbronn
Dans le domaine poliitque comme dans le domaine religieux, on assiste à une déperdition de sens des discours. Entendez par là que l’on fait comme si les pratiques en vigueur étaient nécessairement fidéle à l’esprit qui leur avait donné naissance. Comme nous l’avons fait pour la notion de « Shabbat », nous allons ici traiter des notions de Gauche et de Droite par delà ce qui figure présentement dans les programmes respectifs. Selon nous, une telle déperditiion expliquerait le désamour tant envers le religieux qu’envers le politique. Mais cela vaut évidemment pour d’autres domaines comme le linguistique.
Qu’est ce qui distingue donc une politique de gauche d’une politique de droite de nos jours, alors que l’on est en plein débat en vue de l’élection présidentielle de 2017, en France? Selon nous, la gauche imite la droite et vice versa, ce qui ne contribue guère à clarifier les enjeux ou si l’on préfére les deux camps tendent à faire à peu près la même chose, si ce n’est avec des dosages différents, qui peuvent d’ailleurs varier au sein même de chaque camp, comme il ressort des primaires, celles de droite et prochainement celles de gauche.
En fait aucun camp n’assume pleinement les positions qui, selon nous, lui correspondent et que l’on peut résumer ainsi; politique de l’emploi face à politique sociale. Or, quand François Hollande annonce qu’il va faire reculer la courbe du chomage, reliant cela à la candidature pour un nouveau mandat présidentiel, il tient selon nous un discours de droite. On sait d’ailleurs le malaise de ceux qui essaient de nous expliquer qu’une politique sociale ne saurait dissuader les gens de chercher un emploi. Il n’empêche que l’idée de revenu universel (envisagée par Manuel Vallls) est bien une idée qui appartient à l’esprit de la Gauche et certainement pas de la Droite. et il s’agit d’en assumer le principe face aux valeurs de la Droite/ On voit donc le danger de s’approprier le programme du camp adverse, voire de surenchèrir sur ses propositions.
En réalité, les deux politiques ne diffèrent pas tant que cela, quand on y regarde de près et le cas de la fonction publique est emblématique : combien de fonctionnaires ne sont-ils pas de facto des bénéficiaires d’une sorte de traitement social, à la façon de ce qui se passait dans les pays socialistes, il y a quelques années? Quand François Fillion, le probable vainqueur des Primaires propose de supprimer des emplois publics, il est dans une logique de Droite en ce qu’il s’en prend par ce biais à une politique sociale.Toute forme de privatisation appartient à la Droite et de natonalisation à la Gauche
Tout cela be ferait guère sens si l’on ne se situait dans l’optique d’alternance, un coup à gauche, un coup à droite et toute la question est de savoir si à telle époque, la politique appropriée est celle de Droite ou celle de Gauche, du moins dans les termes que nous avons précisés plus haut.
Pour ce faire, il importe d ‘accepter la dualité peuple/élite sans laquelle on risque fort de ne pas comprendre grand chose. Il y a deux façons de traiter le peuple, soit par le biais de l’emploi, soit par celui des allocations et on l’ a dit, cela n’est pas si différent si l’on admet que dans bien des cas donner un emploi à quelqu’un, c’est l’aider à survivre et que dans bien des cas, les emplois sont iinutiles, faisant « double emploi », ou factices. On dira que le peuple de Droite préfére l’aide par l’emploi alors que le peuple de Gauche a mieux intégré le principe de solidarité, à commencer par ceux qui ne sont pas ou plus en état de travailler. mais en l’étendant bien au delà.. Il y aurait donc des rhétoriques différentes mais qui reviendraient peu ou prou au même et dans les deux cas qui sont couteuses mais pas de la même façon.
Si l »on admet que l’élite -avec son potentiel créatif, sous les angles les plus divers- est celle qui féconde le peuple, deux cas de figure se présentent: soit l’on mobilise une main d’oeuvre qui secondera la dite élite, ce qui pose des problémes de formation, de compétence pouvant se révéler contre-productifs, soit l’on accorde des « droits » à une certaine masse de gens sans les utiliser pour autant, ce qui peut se révéler préférable.Car pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple? Pourquoi faire à dix ce que l’on peut faire tout seul?
Il reste que le climat social ne sera pas le même dans les deux cas, avec la Droite, il y a une mise au travail d’un maximum de gens aiors qu’avec la Gauche, l’on pratiquera une politique fiscale assez lourde pour couvrir les allocations et autres retraites. Dans les deux cas, tout dépendra du dynamisme de l’élite à créer du travaill, à engranger des excédents au niveau des échanges.C’est dire l’importance qu’il y a – dans tous les cas de figure- à favoriser l’élite, que l’on soit de Droite ou de Gauche, si l’on entend par là non pas la « bourgeoisie » mais ceux qui ont la faculté de créer. Que les ressources dégagées par le « travail » de cette élite – et qui s’appuieront toujours plus sur la robotisation - servent une politique de Droite ou de Gauche importe assez peu mais il est vrai que sous un climat de Droite, ceux d’en haut communiquent beaucoup plus avec les gens d’en bas que sous un climat de Gauche. On sait que les allocataires ne sont guère sollicités pour entrer ou rentrer dans la vie économique et se trouvent donc marginalisés davantage (on est dans « du pain et du cirque ») que les « salariés ». Leur seul point commun est la consommation, que l’on soit allocataire de « droits » ou titulaire d’une fiche de paie tout comme l’élite quel que soit son bord politique a peu ou prou le même profil, le même train de vie, et la même formation.
Actuellement, au regard de nos travaux sur la cyclicité, .la crédibilité sera du côté qui prendront la question de l’emploi à bras le corps, en proposant des solutions prometteuses et courageuses.. Solidarité dans le travail et non dans la protection sociale.
Quid de la question du communautarisme, liée à celle de l’immigration? Là encore deux discours chez les hommes politiques, d’un côté, une volonté unitaire qui refoule les différences et de l’autre, une disposition à assumer la « multi-culturalité ».. Qu’est ce qui est ici de gauche et de droite?
Là encore, il importe de considérer la nécessité d’une certaine alternance. Tantôt, favoriser un certain brassage intercommunautaire et tantôt accepter la multi-cultturalité avec non pas un peuple et une élite mais une élite pour chaque « peuple » au sein de l’Eatt. C’est donc le statut de l’Etat qui va diffèrer. Soit l’Etat est voué à réguler la dite multi-culturalité et se pose en arbitre, l’espace public se trouvant réduit à la portion congrue, soit l’Etat impose le respect d’une laïcité au sein d’un espace public élargi. Qu’est ce qui ici est plutôt de gauche ou plutôt de droite? Si le travail est standardisé, la cuisine, la musique, la langue, diffèrent d’une communauté à l’autre. On dira donc que la Droite serait plutôt « populaiste », unitaire, avec un brassage par le travail alors que la Gauche laisserait à chacun le loisir de dépenser sa « pension » comme il l’entend, ce qui est plus compatble avec une certaine diversité culturelle. On ne s’étonnera donc pas de voir que l’extréme droite soit hostile à cette multi-culturalité.
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JHB
21/10 16
par Jacques Halbronn
Dans le domaine poliitque comme dans le domaine religieux, on assiste à une déperdition de sens des discours. Entendez par là que l’on fait comme si les pratiques en vigueur étaient nécessairement fidéle à l’esprit qui leur avait donné naissance. Comme nous l’avons fait pour la notion de « Shabbat », nous allons ici traiter des notions de Gauche et de Droite par delà ce qui figure présentement dans les programmes respectifs. Selon nous, une telle déperditiion expliquerait le désamour tant envers le religieux qu’envers le politique. Mais cela vaut évidemment pour d’autres domaines comme le linguistique.
Qu’est ce qui distingue donc une politique de gauche d’une politique de droite de nos jours, alors que l’on est en plein débat en vue de l’élection présidentielle de 2017, en France? Selon nous, la gauche imite la droite et vice versa, ce qui ne contribue guère à clarifier les enjeux ou si l’on préfére les deux camps tendent à faire à peu près la même chose, si ce n’est avec des dosages différents, qui peuvent d’ailleurs varier au sein même de chaque camp, comme il ressort des primaires, celles de droite et prochainement celles de gauche.
En fait aucun camp n’assume pleinement les positions qui, selon nous, lui correspondent et que l’on peut résumer ainsi; politique de l’emploi face à politique sociale. Or, quand François Hollande annonce qu’il va faire reculer la courbe du chomage, reliant cela à la candidature pour un nouveau mandat présidentiel, il tient selon nous un discours de droite. On sait d’ailleurs le malaise de ceux qui essaient de nous expliquer qu’une politique sociale ne saurait dissuader les gens de chercher un emploi. Il n’empêche que l’idée de revenu universel (envisagée par Manuel Vallls) est bien une idée qui appartient à l’esprit de la Gauche et certainement pas de la Droite. et il s’agit d’en assumer le principe face aux valeurs de la Droite/ On voit donc le danger de s’approprier le programme du camp adverse, voire de surenchèrir sur ses propositions.
En réalité, les deux politiques ne diffèrent pas tant que cela, quand on y regarde de près et le cas de la fonction publique est emblématique : combien de fonctionnaires ne sont-ils pas de facto des bénéficiaires d’une sorte de traitement social, à la façon de ce qui se passait dans les pays socialistes, il y a quelques années? Quand François Fillion, le probable vainqueur des Primaires propose de supprimer des emplois publics, il est dans une logique de Droite en ce qu’il s’en prend par ce biais à une politique sociale.Toute forme de privatisation appartient à la Droite et de natonalisation à la Gauche
Tout cela be ferait guère sens si l’on ne se situait dans l’optique d’alternance, un coup à gauche, un coup à droite et toute la question est de savoir si à telle époque, la politique appropriée est celle de Droite ou celle de Gauche, du moins dans les termes que nous avons précisés plus haut.
Pour ce faire, il importe d ‘accepter la dualité peuple/élite sans laquelle on risque fort de ne pas comprendre grand chose. Il y a deux façons de traiter le peuple, soit par le biais de l’emploi, soit par celui des allocations et on l’ a dit, cela n’est pas si différent si l’on admet que dans bien des cas donner un emploi à quelqu’un, c’est l’aider à survivre et que dans bien des cas, les emplois sont iinutiles, faisant « double emploi », ou factices. On dira que le peuple de Droite préfére l’aide par l’emploi alors que le peuple de Gauche a mieux intégré le principe de solidarité, à commencer par ceux qui ne sont pas ou plus en état de travailler. mais en l’étendant bien au delà.. Il y aurait donc des rhétoriques différentes mais qui reviendraient peu ou prou au même et dans les deux cas qui sont couteuses mais pas de la même façon.
Si l »on admet que l’élite -avec son potentiel créatif, sous les angles les plus divers- est celle qui féconde le peuple, deux cas de figure se présentent: soit l’on mobilise une main d’oeuvre qui secondera la dite élite, ce qui pose des problémes de formation, de compétence pouvant se révéler contre-productifs, soit l’on accorde des « droits » à une certaine masse de gens sans les utiliser pour autant, ce qui peut se révéler préférable.Car pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple? Pourquoi faire à dix ce que l’on peut faire tout seul?
Il reste que le climat social ne sera pas le même dans les deux cas, avec la Droite, il y a une mise au travail d’un maximum de gens aiors qu’avec la Gauche, l’on pratiquera une politique fiscale assez lourde pour couvrir les allocations et autres retraites. Dans les deux cas, tout dépendra du dynamisme de l’élite à créer du travaill, à engranger des excédents au niveau des échanges.C’est dire l’importance qu’il y a – dans tous les cas de figure- à favoriser l’élite, que l’on soit de Droite ou de Gauche, si l’on entend par là non pas la « bourgeoisie » mais ceux qui ont la faculté de créer. Que les ressources dégagées par le « travail » de cette élite – et qui s’appuieront toujours plus sur la robotisation - servent une politique de Droite ou de Gauche importe assez peu mais il est vrai que sous un climat de Droite, ceux d’en haut communiquent beaucoup plus avec les gens d’en bas que sous un climat de Gauche. On sait que les allocataires ne sont guère sollicités pour entrer ou rentrer dans la vie économique et se trouvent donc marginalisés davantage (on est dans « du pain et du cirque ») que les « salariés ». Leur seul point commun est la consommation, que l’on soit allocataire de « droits » ou titulaire d’une fiche de paie tout comme l’élite quel que soit son bord politique a peu ou prou le même profil, le même train de vie, et la même formation.
Actuellement, au regard de nos travaux sur la cyclicité, .la crédibilité sera du côté qui prendront la question de l’emploi à bras le corps, en proposant des solutions prometteuses et courageuses.. Solidarité dans le travail et non dans la protection sociale.
Quid de la question du communautarisme, liée à celle de l’immigration? Là encore deux discours chez les hommes politiques, d’un côté, une volonté unitaire qui refoule les différences et de l’autre, une disposition à assumer la « multi-culturalité ».. Qu’est ce qui est ici de gauche et de droite?
Là encore, il importe de considérer la nécessité d’une certaine alternance. Tantôt, favoriser un certain brassage intercommunautaire et tantôt accepter la multi-cultturalité avec non pas un peuple et une élite mais une élite pour chaque « peuple » au sein de l’Eatt. C’est donc le statut de l’Etat qui va diffèrer. Soit l’Etat est voué à réguler la dite multi-culturalité et se pose en arbitre, l’espace public se trouvant réduit à la portion congrue, soit l’Etat impose le respect d’une laïcité au sein d’un espace public élargi. Qu’est ce qui ici est plutôt de gauche ou plutôt de droite? Si le travail est standardisé, la cuisine, la musique, la langue, diffèrent d’une communauté à l’autre. On dira donc que la Droite serait plutôt « populaiste », unitaire, avec un brassage par le travail alors que la Gauche laisserait à chacun le loisir de dépenser sa « pension » comme il l’entend, ce qui est plus compatble avec une certaine diversité culturelle. On ne s’étonnera donc pas de voir que l’extréme droite soit hostile à cette multi-culturalité.
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JHB
21/10 16
L'astrologuie nord américain Robert Hand, Que signifie postmoderne?
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