Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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samedi 9 juillet 2022

jacques Halbronn L'unité de base de l'astrologie est de 90° soit 360/4

jacques halbronn L’unité de base de l’astrologie est de 90° soit 360/4 Comme nous nous en sommes expliqué dans un de nos commentaires sur le Premier Livre de la Tétrabible (sur Nofim.unblog.fr), les aspects se font entre secteurs et non entre degrés et les planétes sont dites aspectées au prisme du secteur dans lequel elles se trouvent, ce qui fait que la question des orbes des aspects ne se pas. En fait, il n’y a que deux types d’aspects, la conjonction ou l’opposition (idem pour les axes équinoxiaiux d’un côté et solsticiaux, de l’autre) d’une part et les deux carrés de l’autre. Dans un cas, la phase reste la même, dans l’autre, on passe à une phase de caractère différent. Historiquement, le changement de définition de ce qu’il faut entendre par « aspect » est révélateur d’une crise de la subdivision de l’écliptique et donc du parcours planétaire. Calculer les intervalles en degrés entre deux astres ne correspond aucunement à l’approche de la Tétrabible (on ne parle pas ici du calcul des maisons astrologiques qui dépend du degré de l’Ascendant). Cela signifie que l’on renonce à subdiviser de façon définitive l’écliptique et que l’on se contente des aspects qui se forment entre planétes, ce qui débouche sur la combinatoire planéte, chère à André Barbault avec son idée du « cycle planétaire » s’articulant sur les relations entre deux astres. Selon nous, il n’est pas correct de combiner deux astres entre eux à commencer par le soleil et la lune. Les trois « curseurs » que sont les deux luminaires et Saturne doivent être abordés séparément car ils ont des cycles de durée fort différente: un mois ‘(28 jours) pour la Lune, un an pour le soleil et 28 ans pour Saturne. La division en 12 due aux rencontres soli-lunaires n’est donc pas pertinente et c’est elle qui aura fini par se substituer à la division en 4 de l’écliptique. Ce passage du 4 au 12 est largement attesté et dans la mythologie, on sera passé du quatuor Mercure Vénus-Mars-Jupiter aux 12 divinités de l’Olympe. (cf notre étude sur ce sujet sur Nofim. unblog)

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