Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
.
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mardi 28 février 2023

Patrice Guinard SEs textes traduits en anglais ou/et en espagnol

Contents of C.U.R.A. (Site Map) | Historique et Contenu du CURA | Histórico y Contenido de la Web Selection of Texts published in English A true and wonderful prediction for twenty years I have made only ONE prediction in 20 years on CURA, a concise, precise and accurate one that none pseudo-astrologer of the bogus-predictive schools has ever made: It appears here in the April 2010 original file, and it gives the astrological FACT, WHAT will happen, and the reasons WHY it will happen. Astral Matrix I. Equipotence and Harmony of Structures (P. Guinard's Thesis VII.1) Astral Matrix II. Logical Foundations of Rulerships (P. Guinard's Thesis VII.2) Astral Matrix III. Matrix Geometry (P. Guinard's Thesis VII.3) Aldo Mazzucchelli: Astrology, Hermeneutics and Metaphorical Web Angeles Rocamora Cortés: Interview with Patrice Guinard Dale Huckeby: After Symbolism Daryn Lehoux: Tomorrow's News Today: Astrology, Fate, and the Way Out Dennis Frank: Astrology & the New Paradigm Dennis Rawlins: sTARBABY Gerry Goddard: Uranus, Neptune, Pluto. Our Contemporary Evolutionary Challenge Graham Douglas: The Gauquelin Effect is born at Conception, part 1: Mars James H. Holden: Arabian Astrology Ken Gillman: Planetary Sequence & Astrological Heredity Maarit Laurento: A Dialogue between Astrology and Science Patrice Guinard: Astrology: The Manifesto (translation Matyas Becvarov) Patrice Guinard: Avatars of the Astrological Zodiac (translation Matyas Becvarov) Patrice Guinard: Philosophic Decades (translation Matyas Becvarov) Patrice Guinard: Moon Quarters's Moods 2011-2012 (partial translation) Patrice Guinard : For a New Approach of the Astrological Chart Patrice Guinard : A Reform of the Astrological Chart Patrice Guinard : CURA's Charts and CurAstro4 Analysis Patrice Guinard : Which cyclical operators in astrology? Rumen Kolev: Some Reflections about Babylonian Astrology Sergey Smelyakov: The Earth at the Sight of the Solar Zodiac Shelley Jordan: Astrology and Tibetan Culture I (Interview with Dr. Pema Dorjee, physician to the Dalai Lama) Sirman A. Celâyir: The World of Astrology (A Criticism of the Astrological Milieu) Slawomir Stachniewicz: Attempt of a Scientific Approach to Astrology Wojciech Jóźwiak: Newly Conceived Houses EXEGESIS Discussion Group Archives (1996-2007) ⇒ Simply the best Philosophical discussion group on Astrology ever ! ARCHIVES GAUQUELIN (149,000 Birth Data) Manifeste Manifeste Manifeste Manifeste Manifeste Manifeste Manifeste Manifeste Digital International Astrology Library. DIAL 1 & 2 (400 + 1000 links) Pierre d'Ailly Pontano Regiomontanus, Kalendarius, 1513 Lichtenberger, 1526 Practica, 1514 Schoener, De judiciis nativitatum, 1545 Cardano, Libelli Artopoeus Tycho Brahe CORPUS NOSTRADAMUS (247 textes) Nostradamus, Prognostication 1555 Nostradamus, Almanach 1557 Nostradamus, Presages 1557 Nostradamus, Propheties 1555 Nostradamus, Propheties 1558 Nostradamus, Propheties 1568 Nostradamus, Propheties 1603 Nostradamus, Opuscule 1556 Nostradamus, Des notes hieroglyphiques 1541 Nostradamus, Lettre à Joachim de Cléron 1566 Selección de Textos publicados en Español ASTROLOGÍA: EL MANIFIESTO (copia PDF) Jesús Navarro: A propósito de la Astrología: Apuntes para un Debate Ken Gillman: Doce Dioses y Siete Planetas (trad. Joanna Murdoch) Angeles Rocamora Cortés: Pensar la Astrología (Entrevista a Patrice Guinard) Patrice Guinard: Astrología: El Manifiesto (trad. Angeles Rocamora) Patrice Guinard: El Dominion o Sistema de las 8 Casas: Presentación (trad. Angeles Rocamora) Patrice Guinard: Avatares del zodíaco astrológico (trad. Angeles Rocamora) Patrice Guinard: Ciclología astral (Ciclos y edades planetarias) (traducción Angeles Rocamora) Patrice Guinard: Algunos aforismos en torno a la astrología (trad. Ana Isabel Stellino) Patrice Guinard: La astrología (y la epi-astrología) en la universidad (trad. Pía Urruzuno) Patrice Guinard: La estrella de Belén: Una escena organizada por astrólogos (trad. Alhena Casanova) Patrice Guinard: La astrología francesa en el siglo XX (trad. Alhena Casanova) Patrice Guinard: ¿Nostradamus conocía los planetas transaturninos? (trad. Pía Urruzuno) Patrice Guinard: El Tema de C.U.R.A. (trad. Joanna Murdoch) Patrice Guinard: Para un nuevo acercamiento al tema astrológico (trad. Alhena Casanova) Patrice Guinard: La reforma del mapa astrológico (trad. Alhena Casanova)

jacques halbronn revient sur son article "Astrologie" dans l'Encyclopaedia Universalis, vieux de 30 ans

acques halbronn revient sur son article « Astrologie » dans l’Encyclopaedia Universalis, vieux de 30 ans En 2004, une nouvelle édition de l’Encyclopaedia s’effectua, en coédition avec le Figaro mais l’on ne nous demanda pas de mettre à jour notre texte(figurant dans le premier volume de l’Encyclopédie thématique, lequel est toujours en ligne http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/astrologie/ sans même une mise à jour de nos titres académiques, à commencer par notre thèse d’Etat soutenue en 1999. Il n’en avait heureusement pas été de même pour la réédition de nos Clefs pour l’Astrologie reparues chez Seghers en 1993. Mais depuis, pas de nouvelles! L’article paru en 1993 sera vite dépassé au regard de nos recherches (jusqu’en 2023) puisque nous allions peu après nous focaliser sur la seule planéte Saturne (cf L’astrologie selon Saturne, Ed La grande Conjonction, 1994). Par la suite, nous allions proposer une nouvelle lecture du dispositif des maitrises planétaires tel que figurant dans la Tétrabible de Claude Ptolémée.(IIe siècle) en montrant que Mercure, Vénus, Mars et Jupiter étaient non pas des émetteurs renvoyant aux 4 saisons, mais des récepteurs à la différence de Saturne., introduisant ainsi une dialectique qui avait échappé aux astrologues depuis bien longtemps/. Par ailleurs, nous montrerions que le changement de phase en astrologie ne s’articulait pas sur la « croix » des 4 signes cardinaux mais sur celle des 4 signes mutables de même que le Shabbat débute le vendredi soir/ Enfin, notre interprétation du cycle saisonnier allait se centrer sur la dualité des équinoxes et des solstices, bien plus viable que celle des 12 signes. Pour nous la phase solsticiale dérivait de la phase équinoxiale, tout comme le récepteur dérive de l’emetteur. Le solstice, comme son nom l’indique, signifie littéralement arrêt du Soleil, c’est à dire de la progression du jour par rapport à la nui, pour celui d’Eté et inversement pour celui d’hiver. mais globalement, les deux phases solsticiales sont en analogie comme les deux phases équinoxiales. Par ailleurs, pour nous l’Astrologie est à relier à la théologie, d’où les leçons que nous tirons du Pentateuque (Génése; Exode) elle correspondait à une conception socio-politique impliquant un certain ordre des choses, dans tous les sens du terme, mettant ainsi en place des garde-fous, limitant le processus de chaque phase à 7 ans, à l’instar du droit constitutionnel fixant une certaine durée structurelle des mandats, sans préjuger de la conjoncture. Trente ans après, nous avons la conviction qu’il existe bel et bien une réalité astrologique objective, par delà toute forme de croyance.En ce sens, le ton de notre texte d’alors nous semble par trop marqué par le doute. Il est vrai que nous avons eu , entre temps,’l'occasion d’appliquer notre grille saturnienne à un grand nombre de périodes et de situations. En tout état de cause, l’astrologie se doit de mettre en place une structure de temps constituée de phases de durées égales mais se succédant selon une alternance bien tranchée. On aura compris que nous entendons déconnecter l’astrologie de l’astronomie, car notre théologie fait certes appel à l’astronomie mais n’entend pas pour autant en user plus que de raison, au prorata de ses vrais besoins alors même que l’astronomie aura voulu récupérer la mythologie pour asseoir sa légitimité.. Ainsi, nous rejetons tout usage des planétes au delà de Saturne, du fait même qu’elles n’auront pas fait partie de l’architecture première du systéme censé organiser notre Humanité,vu qu’elles étaient invisibles à l’oeil nu. Pour nous l’astrologie ne saurait être une affaire de spécialistes mais bien plutôt doit servir de repére, de phare pour la guidance de notre humanité, ce qui implique une grande lisibilité, à l’instar d’un livre ouvert dont tout un chacun est prié de prendre connaissance. avec d’une part un cycle de Saturne, instaurant une succession infinie de périodes de 7 ans et de l’autre une humanité divisée en équinoxiaux, l’élite et solsticiaux, le peuple, ces distinctions se manifestant nettement lors du changement de phase. Nous accordons ainsi la plus grande importance aux intervalles multiples de sept, ce qui permet de baliser l’Histoire sans avoir même à recourir aux éphémérides astronomiques, une fois fixé un certain ancrage connectant une date astronomique et un basculement cyclique. La maitrise du corpus de la chronologie historique doit l’emporter sur celles du corpus astronomique désormais réduit à la portion congrue. La notion de solstice doit servir de fondement à la psychologie astrologique. Au lieu de travailler sur le nom des signes et des planétes, nous proposons de s’en tenir à la dualité Equinoxe solstice et à une périodicité septennale, ce qui devrait permettre de désenclaver l’astrologie en la connectant à tout ce qui est duel dans nos représentations à commencer par la problématique émetteur.récepteur, masculin, féminin, en rapport avec les structures linguistiques au niveau grammatical.

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lundi 27 février 2023

jacques halbronn Retour sur une formulation oubliée de son Modéle Universel '2000

Jacques halbronn Retour sur une formulation oubliée de son Modéle Universel ‘(2000) En surfant sur Internet quelle ne fut pas notre surprise de découvrir dans les actes du Colloque CURA MAU de décembre 2000) une représentation de notre Astrologie EXOLS mettant déjà en avant la croix des signes mutables. Sur le graphique, on découvre ainsi que les changements de phase s’articulent sur le passage de Saturne sur les signes mutables, plus de 20 ans plus tôt. Il y a là une dimension symbolique frappante en ce que ce document aura été mis en lignes dans les premiers mois du XXIe siècle (et donc du Troisiéme Millénaire) Nous avions perdu cette clef en route pendant deux décennies. Il est vrai que nous étions passé, à la fin de l’année 2000 en phase solsticiale de Saturne,ce qui passe, selon nos dernières études, par une forme de retrait, de recul , de désintéret soudain, qui se manifeste tous les 15 ans environ, ce qui nous fait éventuellement mettre de coté certaines entreprises, ce qui n’est pas sans générer quelque forme de discontinuité. En effet, la phase solsticiale correspond à un passage de relais, laissant à d’autres le soin de poursuivre la tâche engagée.. Quatorze ans plus tôt environ en 1987, nous avions vécu la mise de côté, encore en début de phase solsticiale, de certains de nos travaux tant dans le domaine linguistique qu’historique (cf nos récents témoignages sur NOFIM). En 2015-2016, avec une nouvelle phase solsticiale, nous n’avions pas voulu poursuivre la dynamique d’un projet concernant une nouvelle organisation astrologique. JHB 23 02 23,

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dimanche 26 février 2023

Actes du Colloque C.U.R.A./M.A.U. de Paris 16-17 décembre 2000 : Frontières de l'Astrologie (De Nostradamus aux Gauquelin)

Actes du Colloque C.U.R.A./M.A.U. de Paris 16-17 décembre 2000 : Frontières de l'Astrologie (De Nostradamus aux Gauquelin) Compte-rendu du Colloque - par Patrice Guinard Programme et Liste des intervenants présents N.Éd.: J'ai conservé le format (RTF) et l'état des textes, tels qu'ils m'ont été communiqués. Cartographie Astrologique - par Claudine Besset-Lamoine Astrologie médicale - par le docteur Nguyen Pour l'astrologie! Mais laquelle? - par Patrice Guinard Le mythe du Modèle Astrologique Universel - par Jacques Halbronn + Schéma du cycle saturnien - de Jacques Halbronn Datation de phénomènes météorologiques - par Valérie D'Armandy L'astrologie contemporaine, sens et contresens - par Kieser ibn 'l Baz Compte-rendu des 8 sessions du Colloque - par Jacques Halbronn Compte-rendu du Colloque de Paris Patrice Guinard a brièvement ouvert le colloque avant de passer la parole à Claudine Besset-Lamoine qui a souligné l'importance de la notion de territoire dans l'astrologie antique, et notamment dans les géographies zodiacales et planétaires, pour habilement introduire les débats sur la question même du colloque. Ainsi s'interroger sur les frontières de l'astrologie d'une part, et définir l'astrologie comme le savoir des territoires et des démarcations d'autre part, seraient-elles géographiques, revient à s'interroger sur la nature même de l'astrologie. Session 1. L'histoire au service de l'exégèse du texte prophétique La première session a été pilotée par Isabelle Le Berre qui a rappelé les récents travaux de l'invité principal de la session, Roger Prévost, historien et auteur de Nostradamus - Le mythe et la réalité (1999), lequel a de nouveau exposé -- après une émission de Bernard Pivot lors de la sortie de son ouvrage -- son interprétation des Quatrains, qui révèle un Nostradamus archiviste, historien, et peut-être aussi poète. A l'appui de sa démonstration: les quatrains IV 86 et VIII 2 des Centuries, qui utilisent un repérage astrologique, et font référence, l'un à des événements de 1495, l'autre aux incidents météorologiques (orages et précipitations) de 1561, tous deux attestés dans les chroniques locales des régions concernées. Roger Prévost aurait ainsi retrouvé les sources historiques, mais aussi littéraires et spéculatives (comme le traité de Richard Roussat, paru à Lyon en 1550, et déjà signalé par certains exégètes), de plus de 600 des 940 quatrains que comprennent les Centuries. Patrice Guinard a fait remarqué que cette lecture implique que Nostradamus avait a sa disposition une bibliothèque considérable, composée à la fois d'ouvrages historiques, mais aussi d'archives, de bulletins et de chroniques locales. C'est cette bibliothèque essentiellement historique que Nostradamus aurait brûlée, et non une bibliothèque composée en grande partie d'ouvrages ésotériques et magiques. Roger Prévost a également insisté sur la vision cyclique de l'histoire que Nostradamus partageait avec la plupart de ses contemporains, propos que Frank Hernandez, géographe, a illustré par un schéma cyclique montrant la récurrence supposée d'événements historiques qui se seraient déroulés, à plusieurs siècles d'intervalle, dans les mêmes lieux. Reprenant cette idée de cyclicité, Jacques Halbronn, historien des textes prophétiques, a exposé sa conception de la mécanique prophétique, à savoir l'exploitation littéraire d'un corpus dont on pense que les événements décrits sont assez solides et judicieusement choisis pour avoir quelque chance de se reproduire, du moins en partie, dans le futur, en vue de valoriser, essentiellement, une situation politique proche, ou même déjà présente. Ainsi le prophète serait l'instrument d'un courant politique ou d'une mouvance idéologique, qui reste d'ailleurs à définir. Mais l'instrumentalisation du texte prophétique ne s'arrêterait pas là, puisque le corpus nostradamique serait en partie l'oeuvre de faussaires ultérieurs, assez doués pour imiter le style de Nostradamus, aussi bien celui de ses quatrains en vers que celui de sa première préface en prose, ce qui m'apparaît fortement improbable. [Je signale à Jacques Halbronn qu'il existe des départements de "Science des Textes et Documents" au sein de certaines universités, qui mettent en branle des techniques sophistiquées de dénombrement de vocables et des analyses comparatives diverses qui pourraient être utiles pour tester cette hypothèse.] Le débat sur l'authenticité du corpus a été l'occasion pour Jacques Halbronn, qui nie l'authenticité des éditions 1555 et 1557 récemment "redécouvertes" et rééditées par Robert Benazra et Michel Chomarat, d'exposer certains des résultats de sa thèse d'État (1999) sur le texte prophétique en France, et notamment de proposer pour la parution des trois parties des Centuries, les dates de 1559 pour les 353 premiers quatrains, 1568 environ pour les centuries VIII, IX et X, et 1588-1590 pour les autres, ainsi que pour la préface à Henri II. Finalement la question du phénomène prophétique en soi a été soulevée par Isabelle Le Berre, à savoir celle des capacités réelles ou contestées au prophète de Salon à avoir pu anticiper l'avenir. La vision sceptique des historiens Prévost et Halbronn n'a pas été entièrement concédée par les astrologues participant au débat, comme Tristan Lahary, invoquant certains travaux de Jacques Dorsan, qui s'est interrogé sur la possibilité pour Nostradamus d'avoir en réalité utilisé un repérage sidéral et non tropique pour les positions planétaires mentionnées dans les quatrains. [Les conceptions de Jacques Halbronn et de Roger Prévost, quoiqu'en apparence complémentaires, soulèvent un problème crucial qui aurait mérité d'être davantage débattu et qui en fait met à jour leur absence de convergence, si ce n'est leur contradiction. Un nombre non négligeable de quatrains (I 5, I 66, III 41, III 68-69-70, IV 44-45-46-47, IV 49...) de la première édition des Centuries, parue vers 1559 selon Jacques Halbronn qui considère les éditions antérieures comme antidatées, interprétés par Roger Prévost à la lumière des documents historiques, se rapportent à des événements ultérieurs à cette date, par exemple le couronnement de Maximilien II en 1564 (quatrain I 43). Autrement dit, il faudrait repousser encore ce qui serait la première édition authentique d'au moins 5 ans, ou alors cesser de nier le caractère prophétique d'un phénomène qui échappe en grande partie aux limites de la rationalité moderne.] Patrice Guinard a conclu le débat par une analyse comparative, pour le quatrain X 67 (Le tremblement si fort au mois de May), de l'interprétation de Roger Prévost (une forte pluie de grêle le 4 mai 1549 dans la région de Montélimar) avec celle de Vlaicu Ionescu (la brusque offensive allemande du 10 au 21 mai 1940), et tenté de montrer que, compte tenu des positions planétaires indiquées, les deux interprétations restaient plausibles, et que la recherche de la source textuelle comme celle de l'événement futur annoncé n'étaient pas irréconciliables. Ainsi les orages de 1549 pourraient aussi coder, par un jeu sur les dates (1549 «--» 1945), les événements de 1945 (les bombes lancées sur Hiroshima et Nagasaki, marquant la fin de la guerre et le dernier vers du quatrain: Tombera gresle lors plus grosse qu'un euf). Chaque quatrain serait un texte à deux faces, l'une tournée vers le passé, l'autre vers le futur, et la base historique, littéraire ou simplement textuelle des quatrains coderait un avenir pressenti. C'est ainsi que la vision cyclique de Nostradamus trouverait sa consécration. Session 2. Les fondements biologiques de l'astrologie et leur application à la médecine Jean-Paul Citron, biologiste, a exposé les mécanismes déclenchés par le signal gravitationnel dans la cellule. Lors d'une variation gravitationnelle (et en particulier d'origine astrale), la molécule d'ADN se décompacte et se reconfigure. En outre les rythmes planétaires semblent mémorisés au niveau cellulaire, et par suite le signal astrologique se justifierait par sa nature gravitationnelle et par le fait qu'il agirait de manière rythmique. Bernard Blanchet, astrologue conditionaliste, a demandé à Jean-Paul Citron d'expliciter son modèle biochimique pour les signaux à faible intensité, notamment ceux relatifs à Pluton, et Patrice Guinard a soulevé le problème des seuils, en demandant s'il existait une limite quant à l'enregistrement et la sensibilisation de la cellule aux rythmes d'origine cosmique, invoquant la récente découverte de planétoïdes de taille infime au-delà de Pluton-Charon. Jean-Paul Citron a souligné la capacité de l'ADN à réagir à de très faibles intensités et admis la possibilité de l'existence de seuils minima, au-dessous desquels la réponse ne se produirait pas. La fameuse courbe de Gauss pourrait être le modèle formel illustrant ces mécanismes. Concernant l'origine du déclenchement de cette sensibilisation de la cellule aux rythmes planétaires, Jean-Paul Citron a mentionné un phénomène connu des biologistes, la re-méthylation du génome, qui se produit quelques jours après la naissance et qui serait un début d'explication à l'acquisition par le nouveau-né d'une sensibilisation à des rythmes planétaires spécifiques. Bernard Biardeau a présenté un système de correspondances entre les signes zodiacaux et les méridiens de l'acupuncture, et exposé les résultats de son expérience homéopathique, tendant à souligner l'efficacité des substances homéopathiques susceptibles de contrebalancer les faiblesses et déséquilibres planétaires d'un thème natal. Patrice Guinard a ensuite donné la parole à Valérie d'Armandy qui a exposé certains résultats de sa pratique et discuté le problème de l'assimilation des maladies aux facteurs planétaires et zodiacaux. Elle a insisté sur le caractère collectif de certaines maladies récentes, comme le cancer et le sida, qui seraient en quelque sorte intériorisées au niveau psycho-mental à travers les medias, et mis en avant l'observation suivant laquelle une maladie donnée serait moins liée à une dominante planétaire fixe qu'à une sensibilisation généralisée de l'organisme, d'abord d'origine psychique, et de nature neptunienne, et à une activation de cette sensibilisation par la planète Mars. Le docteur Franck Nguyen a exposé avec circonspection son expérience en astrologie médicale, souligné ses limites et montré l'impossibilité de diagnostiquer une maladie à l'aide du seul thème natal. Les données astrologiques seraient à prendre en compte, corrélativement aux autres données d'ordre physique, biologique et organique, et ne relèveraient que d'un déterminisme relatif. Suite à une question de Jacques Halbronn concernant le déclin de l'astrologie médicale au cours du XVIIIè siècle, Franck Nguyen a montré que les techniques modernes avaient suppléé nombre d'outils astrologiques encore répandus à cette époque et devenus aujourd'hui inutiles. Enfin, Patrice Guinard a suggéré que l'efficace des influences astrologiques sur le plan médical pourrait être due principalement à la nature psychique, ou plus exactement psycho-somatique, des facteurs à prendre en compte, et notamment au niveau des transits planétaires. Session 3. La spécificité de l'astrologie française Pierre Barrucand, ex-mathématicien au C.N.R.S., a porté témoignage sur ses rencontres avec certains astrologues français des années 40 et 50, dont la plupart sont aujourd'hui décédés. Virginia Spica a évoqué les réunions bimensuelles animées du C.I.A. (Centre International d'Astrologie) dans les années 60 et son implosion au début des années 70 en raison de conflits de pouvoir. On peut regretter que ce creuset parisien de discussions fécondes n'ait plus aujourd'hui de véritable équivalent et que l'astrologue-consultant s'en tienne à sa pratique et à sa clientèle sans se soucier des éventuels progrès de la recherche. Jacques Halbronn a défini la période 1975-2000 comme étant celle de l'âge des congrès, soulignant son action au sein du M.A.U. pendant ces années, ainsi que l'activité de Patrice Louaisel dans le développement de réseaux régionaux. Véronique Lepage a comparé la situation de l'astrologie française à celle de l'astrologie anglaise, et remarqué que l'expansion de l'astro-psychologie britannique, essentiellement d'orientation jungienne, suite à l'influence de Dane Rudhyar et de Liz Greene, pouvait être due à un besoin, comblant la faiblesse du développement de la psychanalyse britannique, contrairement au rayonnement de la psychanalyse française, de Jacques Lacan à Françoise Dolto. A la suite de ces divers témoignages, Patrice Guinard a recentré le débat sur la question de l'éventuelle existence d'une spécificité de l'astrologie française, notamment au niveau des conceptions théoriques, si ce n'est des pratiques. José Fernández Quintano (Espagne) a fait part de l'écho important qu'a connu l'astrologie française dans son pays, et suggéré que sa spécificité était peut-être à rechercher en comparaison avec la philosophie, dont le courant structuraliste a connu en France un essor incomparable. Il a cependant conclu son intervention en soulignant que la véritable rupture moderne se serait faite avec l'américain Dane Rudhyar qui aurait débarrassé l'astrologie d'une certaine conception prédictive et ésotérique qui était encore celle en vogue au début du XXè siècle. [On pourrait cependant lui objecter que le français Paul Choisnard est décédé plusieurs années avant la parution des premiers ouvrages de Rudhyar, et qu'en 1935, l'Allemagne avait déjà derrière elle une activité de recherche incomparable]. Patrice Guinard a ensuite exposé ses idées concernant la tendance de l'astrologie française à restreindre le corpus astrologique à ses facteurs essentiels. Les planètes hypothétiques de l'école de Hamburg, les mi-points de Witte et Ebertin, les harmoniques de John Addey et d'autres inventions comparables ont connu un écho assez faible dans ce pays. Cette simplification des facteurs pris en compte dans le thème natal s'accompagne d'une technique d'interprétation mettant en jeu des orbes d'autant plus larges. Jacques Halbronn a suggéré que ce penchant serait plutôt dû à une volonté de restructurer le corpus et la tradition au niveau des fondements, d'où la forte tendance "structuraliste" de l'astrologie française, à commencer par Dom Néroman, alors que les allemands et les anglais auraient plutôt cherché à faciliter le travail de l'interprète. Patrice Guinard a souligné que l'astrologie horaire, fort répandue outre-Manche et outre-Atlantique, était restée une pratique relativement marginale en France, ainsi que celle des orbes étroits, ce qui tendrait à montrer, comme l'a reconnu aussi Tristan Lahary, que les techniques ayant directement trait à la prédiction, ne connaissent pas en France le même engouement qu'ailleurs. Steffan Vanel (USA) a conclu la session en montrant que les astrologues américains étaient davantage attirés par la nouveauté que les astrologues du vieux continent, à commencer par les français, ce qui présente l'avantage d'une grande émulation, mais aussi l'inconvénient d'une certaine naïveté concernant la réalité du fait astrologique. Session 4. Le thème astrologique comme mandala de la consultation Jacques Halbronn a ouvert cette session en exposant ses théories, par ailleurs bien connues. Le thème natal, élément essentiel de la consultation, sert à produire du discours. L'instrumentalisation du thème, natal ou horaire, fonde la consultation astrologique. Il importe peu que l'astrologue ait derrière lui de longues années d'études, pourvu qu'il sache gérer le dialogue et maîtriser la situation de consultation. Il n'importe pas plus que la signification donnée aux divers éléments du thème soit ou non issue de recherches d'ordre physico-biologiques, puisque ces significations ne sont finalement que des conventions culturelles, que l'astrologue-consultant saura manier avec plus ou moins de dextérité. Yves Haumont (Belgique), auteur d'une thèse sur la langue astrologique, a comparé le discours astrologique au discours alambiqué de la psychanalyse lacanienne. L'effet serait comparable, puisque le patient ressort sonné de la consultation. Et Roberto Renout a prolongé cette optique en montrant que le thème, projection du ciel sur une surface, n'était pas même nécessaire, et pouvait être remplacé par une série de boules sphériques et colorées, représentant l'ensemble des possibilités astrologiques, au sein desquelles le patient a le loisir, dans la consultation, de choisir ses options, et ainsi de découvrir un espace symbolique qui lui conviendrait, selon ses goûts et ses affinités. Franck Nguyen et David Buffet se sont opposés à ces vues, soulignant le fait que l'astrologue ne produit pas n'importe quel discours, et que tout discours n'est pas interchangeable, comme semble le croire Halbronn. Le malade du poumon n'accepterait pas que le médecin propose de lui soigner le genou, comme l'a rappelé Franck Nguyen. David Buffet a souligné qu'il n'existait pas une uniformité psychologique entre individus, et illustré ses propos par sa pratique des degrés monomères, issue des travaux de Gilles Verneret, et impliquant au contraire une hyper-spécialisation de la lecture du thème. José Fernández Quintano a regretté qu'il n'y ait pas davantage de consensus dans l'interprétation du thème. Steffan Vanel a défendu sa conception de la consultation, et justifié le couplage du thème astrologique avec les lames du tarot, limitant ainsi le penchant de l'astrologue à la projection. Fouzy Hamici a présenté sa pratique intuitive comme celle d'un artiste qui n'aurait pas besoin d'un lourd bagage livresque. Enfin Bernard Blanchet, consultant en entreprise, a disqualifié l'astrologie comme instrument fiable du recrutement, contestant au thème natal sa capacité à informer sur le niveau de compétence de l'individu. [Il semblerait que Jacques Halbronn prenne le client de la consultation astrologique pour un imbécile. Si le patient reçoit une sorte de discours stéréotypé ou plus ou moins adapté à la situation du moment auprès d'un astrologue peu qualifié, ou même auprès d'un brillant artiste qui divague, il n'en résulte pas que la consultation lui ait été salutaire. Et par suite il peut avoir tendance à retourner voir le même astrologue ou un autre, comme dans le cas de la cure psychanalytique infinie à la Lacan. Ce qui fait marcher le commerce, et tous y trouvent leur compte -- qui peuvent remercier Halbronn qui donne ainsi son aval à ce que je serais tenté d'appeler l'incompétence. Mon expérience est tout autre. J'ai remarqué, lors des consultations que j'ai pu donner dans le passé, que si l'astrologue mettait le doigt sur le point sensible, et savait montrer au patient l'abîme existant entre son potentiel psychique et les représentations psycho-mentales qu'il peut s'être forgé de lui-même au cours du temps, démêler l'écheveau en quelque sorte et le guérir de ses illusions par une analyse critique, le résultat était spectaculaire. Le patient reçoit un véritable choc psychologique, comme le réclamait Jung pour la psychanalyse, qui lui donne des indications précieuses sur lui-même s'il sait les accepter. Rien à voir avec le discours d'un bonimenteur qui agit seulement au niveau verbal, à la surface de la conscience. Les conséquences peuvent être que le patient a compris quelque chose et ne désire plus consulter d'astrologue, parce que l'astrologue lui a donné les moyens de se passer de lui. La consultation n'est pas une affaire de description psychologique, mais de transformation psychique.] Session 5. Le statut de l'astrologie Cette session a commencé par un entretien entre Patrice Guinard et Françoise Gauquelin, laquelle a donné quelques précisions relatives à l'interprétation des travaux qu'elle a faits avec son mari Michel, aujourd'hui décédé. Ainsi l'abondance des recherches actuelles, surtout anglo-américaines, concernant la planète Mars et "l'effet Mars" ne signifie pas que cette planète aurait plus d'importance que les quatre autres planètes (Jupiter, Vénus, la Lune et Saturne) pour lesquelles des résultats statistiques ont été trouvés, mais serait due au renouvellement plus aisé des échantillons de sportifs, et donc à une plus grande facilité pour les expériences de replication. Franck Nguyen s'est interrogé sur l'absence de résultats concernant les autres planètes, en particulier Mercure, et suggéré que certaines planètes admettraient une adéquation moins évidente avec la notion de catégorie professionnelle. Jean-Paul Citron a poursuivi son exposé de la veille et tenté d'élucider comment certaines corrélations entre les mécanismes biochimiques pouvaient éclairer certaines affirmations astrologiques: par exemple la corpulence de l'individu (gros ou maigre) qui pourrait être mise en relation avec une valorisation planétaire Jupiter/Lune chez les gros, et Saturne/Lune chez les maigres. Françoise Gauquelin s'est déclarée prête à tester statistiquement cette hypothèse, et Patrice Guinard a demandé si ces corrélations biologiques pouvaient être généralisées à d'autres planètes. Jean-Paul Citron a donné d'autres exemples, et admis que les progrès constants de la biologie demandaient à la fois une certaine prudence, mais permettaient aussi d'envisager de belles avancées dans l'avenir. Patrice Guinard s'est interrogé sur le statut de l'astrologie, et nié que l'astrologie puisse devenir une science, même si les résultats statistiques d'une part, et les recherches d'ordre biologique d'autre part, pouvaient être d'un secours non négligeable quant à la compréhension du fait astrologique. Il a présenté l'astrologie d'abord comme une philosophie, peut-être une philosophie compréhensive des sciences humaines, avec aussi certaines exigences d'ordre astronomique et physique, mais une philosophie qui relève encore d'une certaine forme de croyance ou tout au moins de consentement. Le statut de l'astrologie est tout aussi ambigü pour les sceptiques et pour les historiens, puisqu'on retrouve l'astrologie, surtout ancienne, en appendice des encyclopédies historiques, que ce soit en astronomie, en philosophie ou dans l'histoire des religions. José Fernández Quintano a précisé quelques points concernant un projet d'avenir pour l'astrologie: la formation pluridisciplinaire de l'astrologue, la nécessité d'un débat entre astrologues afin d'éviter l'implosion de l'astrologie en raison d'une pléthore de techniques disparates, et l'intérêt d'une étude attentive de la période babylonienne, encore peu connue, et cependant cruciale pour la compréhension de l'astrologie. Patrice Guinard a essayé de montrer qu'il existait trois attitudes concernant l'astrologie: le "rien ne marche" des sceptiques qui interprètent l'astrologie comme un processus d'auto-suggestion, un simple effet placebo ; le "tout marche" du praticien qui se satisfait d'une technique qui n'a pas besoin de justification ; "il y a quelque chose qui marche" en raison de certaines résonances d'ordre physique, géo-magnétique et biologiques, et la tâche astrologique consiste à rechercher un modèle qui répond à ces exigences. Jacques Halbronn a précisé que tout ce qui existe astronomiquement ne devait pas avoir forcément une signification astrologique, que tout ce que l'astrologie a accumulé au cours de son histoire ne devait pas avoir obligatoirement une utilité aujourd'hui, et que tout le vécu de la personne humaine ne concerne pas nécessairement l'astrologie. Finalement il a opté pour la troisième hypothèse exposée par Patrice Guinard, celle d'une certaine astrologie qui marche, mais non pas en raison d'une recherche d'ordre épistémologique ou d'une vraisemblance d'ordre physique, mais en vertu d'une sélection délibérée, d'un choix arbitraire de nature conventionnelle. Pierre Barrucand est revenu sur la question des éventuelles corrélations entre les éléments astronomiques et les traits de caractère, et s'est interrogé sur l'attitude des scientifiques et sur leur fermeture d'esprit envers l'astrologie, d'autant plus "curieuses" qu'ils sont relativement bien disposés par ailleurs à tester des hypothèses dépourvues de preuves. Pour Ioan Azimel, un ancien élève de Jacques Halbronn, le fait que l'astrologie ne soit pas unifiée serait une force, car elle devient inattaquable, ce qui renforce l'affirmation de son maître, à savoir que l'astrologie se maintient tant qu'elle existe dans l'esprit humain. Patrice Guinard a finalement fait observer qu'aucune recherche n'est possible avec de tels présupposés, et oublié de rappeler pour clore le débat une sentence de son Manifeste, à savoir: L'astrologie serait-elle totalement éradiquée de la culture, l'astral n'en continuerait pas moins à piloter la conscience humaine. Conclusion Pour les trois sessions suivantes, auxquelles je n'ai pu participer, je renvoie au compte-rendu de Jacques Halbronn. Ce colloque a été d'une excellente qualité, tant au niveau des interventions qu'au niveau des débats. La salle était composée essentiellement d'astrologues et de spécialistes, par exemple Paule Houdaille, Richard Pellard ou Christian Gourdain. Daniel Cobbi a été excusé, ainsi qu'Illel Kieser qui m'a adressé le texte de sa communication. Le succès du colloque méritait qu'un effort soit fait pour en rendre compte, et un document video est en préparation. Que tous soient remerciés pour leur participation, et aussi pour avoir compris qu'il n'est pas encore devenu inutile, à l'heure d'Internet, de dialoguer et de confronter ses conceptions de vive voix. Souhaitons que ce type de congrès, rassemblant des astrologues et spécialistes qui discutent entre eux, et non seulement des "professeurs d'astrologie" qui enseignent ex cathedra les résultats de leurs dernières trouvailles à leurs élèves, puisse perdurer, pour l'instant grâce essentiellement à l'entrain et à la générosité de Jacques Halbronn. Patrice Guinard, directeur du C.U.R.A. 20 janvier 2001 Programme et Liste des intervenants présents * Colloque placé sous l'égide du C.U.R.A. (Patrice Guinard) et du M.A.U. (Jacques Halbronn) * XXVème anniversaire de la fondation du M.A.U. (Mouvement Astrologique Unifié) * Premier colloque astrologique du C.U.R.A. * Direction des débats: Isabelle Le Berre (session 1), Patrice Guinard (sessions 2, 3 & 5), Jacques Halbronn (sessions 4, 6, 7 & 8). Samedi 16 décembre 2000 Ouverture du colloque: Patrice Guinard et Claudine Besset-Lamoine Session 1: Nostradamus et l'Astrologie. L'appel au prophétisme. Pourquoi le médecin Michel de Nostredame, qui publiait sur l'astrologie, a-t-il choisi de passer à un autre registre, celui du prophétisme poétique? La part de l'astrologie dans les Centuries. Le prophétisme au secours de l'astrologie. Les astrologues face à Nostradamus (de Neptune à Chiron). Avec Roger Prévost, Isabelle Le Berre, Patrice Guinard, Frank Hernandez, Jacques Halbronn, Tristan Lahary Session 2: Astrologie et Médecine. Liens avec la biologie. La médecine médiévale se raccordait à l'astronomie/astrologie. Puis elle s'en est écarté et l'a évacuée. La recherche biologique lui donne-t-elle tort ou raison? Quelle est sa place chez le médecin d'aujourd'hui? Un astrologue peut-il se situer sur le plan médical? Quelle déontologie? Avec Jean-Paul Citron (C.O.M.A.C.), Valérie d'Armandy, Franck Nguyen (R.A.O.), Jacques Halbronn, Bernard Biardeau, Patrice Guinard Session 3: Y a-t-il une école astrologique française? Existe-t-il, dans chaque pays, une tradition astrologique spécifique? Quelles en sont les raisons? Quelle est et quelle a été la place de l'astrologie française dans le monde? Bilan de l'astrologie française au XXème siècle. Sa dépendance de l'étranger et son rayonnement. Avec Patrice Guinard, Véronique Lepage, Pierre Barrucand, Virginia Spica, José Fernández Quintano (Espagne), Jacques Halbronn, Steffan Vanel (USA) Dimanche 17 décembre 2000 Session 4: Le thème natal comme mandala et rituel. Quelle instrumentalisation? Quels que soient les doutes que l'on puisse exprimer au regard de l'astrologie, le thème natal constitue un vecteur privilégié de communication et d'identification pour l'individu. L'astrologie, à ce niveau là, est-elle un langage ou un savoir? Comment se préparer au métier d'astrologue et comment l'exercer? Quelles relations avec les psys? Avec Yves Haumont (Belgique), Jacques Halbronn, David Buffet (C.A.E.), Roberto Renout, Steffan Vanel, José Fernández Quintano, Marc Cohen, Fouzy Hamici, Bernard Blanchet (A.É.R.A.), Franck Nguyen Session 5: L'astrologie comme savoir frontière. Quelle épistémologie? L'astrologie se situe-t-elle dans le champ de la science ou à ses frontières? Peut-on la cerner par le moyen de la statistique sans l'appauvrir? Sa pérennité fonde-t-elle sa légitimité à se situer à part, sur un autre plan qui échappe aux outils d'investigation habituels? A quelles conditions pourrait-elle être reconnue par l'intelligentsia contemporaine? Quel sera son devenir au XXIème siècle? Avec Françoise Gauquelin (Astro-Psychological Problems), Patrice Guinard, Jean-Paul Citron, Franck Nguyen, Pierre Barrucand, Ioan Azimel, José Fernández Quintano (Beroso) Session 6: Astrologie et astronomie. Le sidéralisme. A côté de la tradition astrologique zodiacale et tropique se sont développés d'autres façons de déchiffrer et de décoder le ciel qui nous renvoient à la question des origines de l'astrologie. Quel est le ciel de référence pour l'astrologie: celui des Anciens ou celui que nous connaissons aujourd'hui? Avec Didier Massoulle (astronome), Christian Lazarides, Jacques Halbronn, Barbara de La Motte Saint-Pierre, Tristan Lahary, Bernard Blanchet, Franck Hernandez Session 7: Astrologie et géographie. Chorographie. L'astrologie mondiale Le modèle astrologique doit-il prendre en compte la diversité des peuples et des régions du monde? Comment savoir si une période sera ou non favorable à un pays? Bilan des prévisions politiques et sociales au XXème siècle. Avec Jacques Halbronn, Franck Hernandez, Valérie d'Armandy, Fouzy Hamici, Barbara de La Motte Saint-Pierre, Michèle Gior, Éric Ruiz, Évelyne Latour, Xavier Faurelle, Yves Haumont Session 8: Astrologie et clivages socio-culturels. L'homme et la femme dans l'équation astrologique. Pertinence des clivages et typologies astro-psychologiques? Le clivage entre pro- et anti-astrologues révèle-t-il un fossé entre certaines catégories socio-culturelles? L'astrologie est-elle pour les femmes une contre-culture, une forme de protestation en tant que savoir non conforme, marginal, "paria", mais qui "marche"? Avec Bernard Blanchet, Yves Haumont, Franck Nicolas, Jacques Halbronn, Véronique Lepage, Tristan Lahary, Marie-France Philip

Jacques Halbronn et son impact sur la vie astrologique anglaise 1978-1992

Jacques halbronn et son impact sur la vie astrologique anglaise 1978-1992 En 1987 paraissaient les Actes d’un Colloque qui s’était tenu en 1984 à Londres, au Warburg Institute. Nous étions alors un habitué de la bibliothèque de cet Institut et nous avions suggéré au Canadien Patrick Curry de nous accompagner en 1983 pour présenter à la direction l’idée d’un Congrès dans le champ de l’Histoire de l’Astrologie, ce qui fut accepté. Ce colloque complétait en quelque sorte un précédent congrès tenu également à Londres en 1981 à notre initiative. Un compte rendu en fut publié en anglais. C’était donc une période où nous intervenions de manière assez marquée dans la vie astrologique britannique. En 1991, nous ferions appel à Curry et à Nicholas Campion pour traiter de l’astrologie d’Outre Manche : ce fut La Vie Astrologique, il y a cent ans (Ed Trédaniel, 1992) En 1990, nous avions publié une étude sur l’influence de Claude Dariot sur la question de l’Astrologie Horaire, notamment chez William Lilly (Ed Pardés avec une introduction de Denis Labouré) On peut même remonter à 1978 avec le Colloque que nous organisames à Paris sur l’Enseignement de l’astrologie et dont les résolutions en anglais furent diffusées lors du Colloque qui se tint, peu après, dans la province anglaise.(texte paru en 1985 dans le guide de la Vie Astrologique, Ed Trédaniel) Il convient de signaler que dans bien des cas les colloques que nous organisions et ceux d’Angleterre se suivaient à une semaine près ce qui permettait notamment à certains intervenants notamment américains d’assister aux deux, comme ce fut le cas pour notre colloque de Bruxelles en 1980. En fait, depuis le début des années 70, nous suivions régulièrement les colloques outre Manche avant de les acclimater sur le continent à partir de 1974,(congrès de l’Hotel Méridien, Porte Maillot, Paris) en prenant langue avec l’ISAR (International Society for Astrological Research)grâce notamment à Alex Ruperti. En 1989, dans la foulée du congrès de 1984 paraitront les actes d’un autre Colloque londonien en Histoire de l’Astrologie , sous la direction d’Annabella Kitson (ed.). » History and Astrology: Clio and Urania Confer ». London: Unwin Paperbacks, Les Actes du Colloque de 1984 parurent sous le titre Astrology, Science and Society. Historical Essays, Edited by Patrick Curry , Boydell Press. On y trouve notre contribution. Dans les ‘Acknowledemts, on peut lire (p. VIII): »I would like to record my thanks (..) to Jacques Halbronn who originally suggested holding the Conference to the Warburg Institute for permitting their conference facilities to be used and assisting with the arrangement » Nous voudrions insister ici sur l’importance de notre travail publié dans Astrology Science and Society, lequel ne circula qu’en langue anglaise .(pp 197- 216) paru sous le titre « The revealing process of translation and criticisme in the History of Astrology » dont nous rendrons éléments Ce texte est en quelque sorte l’aboutissement de notre recherche bibliographique depuis le début des années 80, ce qui servira en 1999 à la publication de notre Catalogue Alphabétique des Textes astrologique français (CATAF), publié sur le site du CURA (Centre Universitaire de Recherche en Astrologie) animé par Patrice Guinard. En 1981, nous avions soutenu un DEA (Master, à l’Université de Lille III)J. Halbronn, « La traduction anglaise des « Jugements astronomiques (…) d’Auger Ferrier », Mémoire de DEA, Departement Anglais, qui annonçait notre recherche sur la fortune d’un autre traité paru à Lyon, dans les années 1550, celui de Claude Dariot; deux traités qui connaitront une fortune certaine au XVIIe siècle, outre Manche Dans la contribution parue dans les Actes du Colloque de 1984, on relévera les sous titres suivants: The French origins of English Learned Introductory Literature », « the problem of the translation of French textes; où nous souloignions à quel point par delà la traduction, la lecture des textes français était relativement aisée pour un lectorat anglophone, en raison de l’impact du français sur l’anglais. French Astrology in Seventeenth Century England, Le titre de notre articie résume bien notre thèse à savoir le rôle des traductions pour la circulation du savoir astrologique et . l’écho des polémiques autour de l’astrologie qui élargissait son rayonnement, ce qui n’est plus guère le cas de nos jours. cf notre section intitulée « The Polemic from 1649 to 1654 and the Later effects ». On retiendra notre étude sur « Jean Bodin and the Relation of Astrology to Politics » auteur dont le discours sur l’astrologie influença probablement Kepler, thèse reprise par N. Campion ( -https://www.astrologicalassociation.com › … Jean Bodin: the father of planetary cycles. Nicholas Campion re-examines the work of Kepler’s less known brilliant contemporary ») JHB 26 02 23

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Jacques Halbronn J.P. Nicola n'a pas su prendre toute la mesure des...

Jacques halbronn L'équinoxial Macron décalé par rapport à une France...

jacques halbronn Epistémologie. L4astrologie conditionnlaise en quesrtion. La dialecrique émerreur récepteur

jacques halbronn Epistémologie..L'astrologie conditionnaliste en question " La dialectique émetteur récepteur. L' astrologie dite conditionnaliste (précdemment conditionnelle) commet deux erreurs: la première, sa référence à la position des astres qui déterminerait la psychologie des individus" l'autre par son refus de voire dans l'étude des astres la base d'une cyclologie et donc un vecteur prévisionnel.. cf wikipedia" "L'astrologie conditionaliste est un courant de l'astrologie française. Pour ce mouvement, l'homme est influencé par l'hérédité, appelé l'héritage terrestre, et par le système solaire, appelé l'héritage céleste. Il ne prétend plus faire des prédictions exactes comme l'astrologie classique, mais affirme que la psychologie des individus dépend de la position des astres En effet., selon nous le thème natal n'est d'aucune utilité informative et même si le texte ci dessus ne le précise pas, il est clair que c'est bien la position des astres à la naissance qui serait déterminante, tout à fait incontournable, pour ce courant astrologique, discours d'ailleurs partagé par l'immense majorité des praticiens de l'astrologie de par le monde, constituant là une véritable doxa. Pour nous, l'"homo astrologicus" (formule datant de 1969 , selon un de nos premiers textes, paru à Jérusalem) est en permanence connecté à certaines positions astrales et nous n'accordons pas de crédit à celles de la naissance qui ne sont qu'un épiphénoméne. Pour ce faire, il s'agit de comprendre que nous sommes génétiquement programmés pour tenir compte de certains positions récurrentes, ce qui est le fondement de toute cyclologie. En d'autres termes, les astres n'agiraient pas sur nous si nous n'étions pas formatés pour capter leurs signaux et ces signaux relévent non pas de la nature des astres mais de leur instrumentalisation (cf la Pensée Astrologie, in Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin, Artefact 1986). Jac Il ne s'agira donc aucunement de démontrer que les astres seraient "par nature" voués à nous "influencer" et nous "conditionner". Or l'astrologie condionnaliste ne propose-t-elle pas un décodage de l'ensemble du systéme solaire sous le nom de RET', décrivant trois groupes de trois planétes plus la Lune; le Soleil constituant étrangement un groupe avec Mercure et Vénus, le troisiéme groupe comprenant trois astres nouvellement découverts, dits "transsaturniens" (cf Jean Pierre Nicola La condition solaire, Paris, 1964)? Pour nous, il n'est pas question d'accorder la moindre signification aux planétes, cette fonction devant être réservée aux secteurs qui balisent leurs parcours. La tradition jusqu'à nos jours, nous enseigne que le soleil "pointe" tour à tour , par sa mobilité apparente, tel secteur mais n'est pas par lui même porteur de signification et inversement les secteurs sont censés rester fixe.La notion d'ascendant va d'ailleurs dans le même sens, en tant que curseur désignant successivement tel ou tel signe et n'étant pas par lui même porteur de signification. En ce qui nous concerne, le curseur est Saturne (cf L'astrologie selon Saturne, 1994) qui parcourt l'écliptique en environ 30 ans (2 fois 15 ans) et dont la course peut notamment être divisée en 4 périodes de 7 ans environ. Il est clair que des astres dont la révolution est annuelle comme le premier groupe Soleil-Mercure Vénus- ne sont pas faits pour marquer le temps astrologique pas plus que ceux dont la révolution est trop lente, comme les planétes transsaturniennes --84 ans, 165 ans, 248 ans!) lesquelles ne sont guère en mesure de constituer un processus récurrent viable tout au long d'une existence humaine. En tout état de cause, l'astrologie n'a besoin que d'une seule planéte pour fonctionner et donc nous réfutons le pluriel ("des astres") utilisé par la description mentionnée plus haut. Pour nous l'astrologie est une théologie politique recourant à un facteur céleste et non une astronomie cherchant pour chaque planéte du systéme solaire un rôle spécifique, ce qui nous apparait comme un contre sens majeur dont l'astrologie du XXIe siècle est invitée à se départir. La tradition démocratique en vigueur ne dit d'ailleurs pas autre chose, se fondant sur un seul et unique paramétre, déterminant la date et donc la durée des mandats électoraux, si ce n'est qu'elle ne s'appuie pas sur des données célestes. Il s'agit donc de combiner astrologie et droit constitutionnel et tel est bien l'objectif final de l'astrologie que de parvenir à instaurer un tel agencement politique dans un certain nombre d'Etats, se substituant ainsi à de précédentes idéologies et religions. Mais il ne faudrait pas croire une seconde que nos propositions impliquent un ordre nouveau. Bien au contraire, elles visent à mettre en évidence un ordre qui n'aura cessé d'existe depuis des millénaires mais qui aura été occulté par une fausse astrologie et une fausse religion politique. Ce qui nous raméne à la question du génétique. Si notre Humanité est sensible aux positions successives de Saturne, c'est qu'elle aura été programmée dans ce sens, il y a fort longtemps, ce qui fait intervenir un processus créatif transcendental dont le livre de la Genése se fait l'écho. "Et Dieu créa le Ciel et la terre (premier verset du Pentateuque).quel que soit le sens donné au mot "Dieu". De nos jours, la notion de récepteur est devenue familière et aucune émission, aucun signal ne valent s'il n'y a pas de récepteur adéquat et c'est donc bien le récepteur qui confère à un astre, quel qu'il soit, tout son impact, étant entendu que le décodage exige une certaine structuration du récepteur en au moins deux périodes en alternance mais il n'est nullement nécessaire de multiplier le nombre de secteurs. (cf Cours gratuit d'Astrologie Conditionaliste - https://www.astroclic.net › cours-astrologie-conditionali..."En Astrologie Conditionaliste, le zodiaque correspond donc aux 12 rapports jour/nuit qui évoluent au cours de l'année. Ce zodiaque est dit « photopériodique " Mais pourquoi faudrait il envisager une quelconque division en 12, qui n'est d'ailleurs aucunement sous tendue par la science astronomique, si ce n'est dans le cadre d'un métalangage purement conventionnel? Au nom d'une recherche de récurrence, base de toute cyclologie digne de ce nom, il nous apparait que l'on peut tout à fait se contenter d'une division en 4 -saisons et que meme l'on peut s'en tenir à des demi cycles, sur le modéle lunaire comme sur le modéle equinoxial/solsticial.. Le refus de l'astrologie conditionnaliste des 'prédictions" est un contre sens de plus car c'est couper la branche sur laquelle l'astrologie doit reposer. C'est en étudiant la réaction des personnes aux phases que l'on est en mesure de déterminer à quel type elles appartiennent et comment tout au long de leur vie, elles en seront marquées d'une façon ou d'une autre. Un tel référentiel nous semble infiniement plus valable que le repérage sur le thème natal comme le prétend la dite astrologie conditionnelle.. '(cf https://astrologie-moderne.eu › jean-pierre-nicola-fonda.) "Pour l'astrologie conditionnelle ou conditionaliste, L'information astrologique contenue dans un thème permet (..) de décoder etc" On peut regretter notamment qu'au lieu d'approfondir la portée psychologique des saisons et notamment le basculement solsticial mettant un terme à l'expansion équinoxiale - le mot solstice signifiant littéralement- le soleil s'arrête'- ce qui revêt une portée prévisionnelle majeure, l'on ait préféré emprunter son jargon à une certaine école philosophique.(Représentation, Existence, Transcendance). JHB 26 02 23

vendredi 24 février 2023

Jacques Halbronn Vie astrologique 1978 et 2008 Centre et Téléprovi...

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Jacques Halbronn La vie astrologique au prisme de l'alternance Equinoxiaux-solsticiaux. L'exemple André Barbault

jacques halbronn La vie astrologique au prisme de l’alternance Equinoxiaux-solsticiaux; L’exemple d’ André Barbault Nous avons déjà souligné l’importance pour la recherche astrologique de travailler sur un corpus chronologique aussi complet que possible et non sur quelques dates mémorables qui relévent plus de l’accouchement d’une phase en fin de parcours que de la conception. D’où l’intéret quand on s’adresse à un public de se référer à des données biographiques de première main, sans telescopage. Mais le probléme, c’est que les astrologues risquent de réagir affectivement aux analyses proposées, quand cela les touche de trop près. Cercle vicieux. Prenons le cas d’André Barbault qui nous a quitté il y a peu de temps, quasi-centenaire. Etait-il « équinoxial » ou « solsticial »? Si l’on considére les années 80 du siècle dernier, un revirement eut lieu en 1989, lors du passage de Saturne d’une phase équinoxiale à une phase solsticiale. En 1974, on était en phase solsticiale et Barbault avait annoncé, preuves à l’appui, une prochaine Guerre Mondiale (cf le congrès de l’Hotel Méridien, Porte Maillot et l’écho dans la presse). Celle-ci était attendue par la communauté astrologique (cf le numéro de le revue Nouvelle Acropole dont un dossier dont nous avions été chargé paru « Horizons 80″) et la prévision ne fut pas confirmée par les faits en 1981-82 et ce en dépit d’une forte « concentration » de planétes (depuis Jupiter jusqu’à Pluton)- c notre texte « f Heurs et malheur de l’astrologie mondiale au XXe siècle « . On était en phase équinoxiale depuis 1978, année qui vit Barbault perdre un procés en diffamation que nous lui avions intenté suite à ses propos dans la revue L’Astrologue. C’était là le point de départ d’une série assez pénible pour Barbault, ce qui nous tendrait à nous le faire cllaser comme « solsticial » où il est en bonne compagnie avec De Gaulle(cf notre étude précédente). Mais la phase équinoxiale a une fin et l’on va glisser vers une nouvelle phase solsticiale et ce dès 1986, mais ce n’est plus l’indice cyclique qui ici à l’honneur mais une vieille prévision datant des années 50 pointant l’année 1989, sur la base du cycle Saturne- Neptune. Fin 1989, c’est la chute du Mur de Berlin et Barbault va ainsi pouvoir effacer l’insuccés de sa Troisiéme Guerre Mondiale, quelques années plus tot, ce qui sauvera sa mise, sa réputation au regard de l’Astrologie Mondiale alors même que Barbault n’était même pas revenu sur sa prévision tout au long de 1989 dans sa revue L’Astrologue. En effet, l’indice cyclique avait remplacé dès 1967 dans l’esprit de Barbault le couple Saturne-Neptune/ Situation typiquement solsticiale où le solsticial s’approprie une prévision abandonnée mais il ne faudrait quand même pas « cracher dans la soupe » comme il l’écrira début 1970.(cf notre étude ttps://fr.scribd.com › document › Jacques-HALBRONN-… Les légendes dorées du. prophétisme, de Nostradamus à. André Barbault « En 1993, on repasse en phase équinoxiale et Barbault assiste à notre succés prévisionnel, à propos des mouvements sociaux en France, à la fin de 1995, à partir d’une toute autre méthode que la sienne puisqu’elle s’articule sur le seul cycle de Saturne en rapport avec le point vernal (L’Astrologie selon Saturne), que nous avions inscrit dans une série dont l’étape précédente n’était autre que Mai 68. Barbault n’avait pas vu venir une telle résurgence! Il se refusera à saluer notre performance dans sa revue car cela lui aurait fait de l’ombre d’autant que la prévision de Barbault pour 1989 était pour le moins ambigue vu que lorsqu’il l’avait formulée (1955 Défense et Illustration de l’Astrologie, notamment), il balisait plutôt les succés du communisme que l’effondrement de l’URSS qui suivit en 1991, ce qui allait aux antipodes de ses attentes idéologiques (cf la Crise Mondiale, Ed Albin Michel, 1983) Au demeurant, 1968 en phase équinoxiale, avait couté à Barbault son poste de vice-président du Centre International d’Astrologie, en raison de l’affaire « Astroflash ». Barbault s’était par la suite approprié, dans la foulée, la revue « L’Astrologue » (aux Editions Traditionnelles), qui était l’organe de ce CIA , d’où la création de la revue Trigone pour combler cette perte.. Mais advient en 71 une nouvelle phase solsticiale et Barbault va préparer son retour en vue du controle de la dite association, comme il s’en explique dans sa correspondance de l’époque avec André Boudineau si bien qu’en 1974, avec l’aide de Paul Colombet, il entame une restructuration du CIA, remettant en question la composition du Conseil d’administration constitué en 1973. Barbault va se servir du Congrès International de septembre 74 mis en place par nos soins, en notre qualité de vice président (entre temps ejecté du Bureau) pour la promotion de ses prévisions de guerre mondiale.. A l’approche d’une nouvelle phase équinoxiale, l’étoile de Barbault va palir et on a vu sa réaction dans sa revue lors de la parution de nos Clefs pour l’Astrologie, qu’il avait escompté rédiger au point de les faire figurer dans sa bibliographie, vendant la peau de l’ours. Il sera éconduit par le directeur de collection et son absence sera criante lors de la série de congrès que nous organiserons en 1977 et au delà, ce qui se terminera par le retentissant échec prévisionnel déjà abordé pour les années 1981-82. En vérité, c’est le sort de tous les leaders, équinoxiaux comme solsticiaux, de passer par ces hauts et ces bas et nul n’y échappe. JHB 24 02 23

jacques halbronn Astropsychologie Pour une typologie des équinoxiaux et des solsticiaux

Jacques halbronn Astropsychologie. Pour une typologie des équinoxiaux et des solsticiaux Pour nous, la première tâche de l’astrologue de demain consistera à déterminer le type de la personne qui vient consulter et non à dresser son thème natal, dont nous pensons qu’il a fini son temps. Pour ce faire, l’astrologie prévisionnelle s’avère incontournable, ce n’est pas un plus, c’est bel et bien la base. La formation des praticiens comportera donc l’acquisition d’une méthodologie, fondée sur la succession septennale, de 7 ans en 7 ans avec une alternance de phases favorables et défavorables, ce qui, selon nous, est assez facile à fixer On étudiera donc toute une série de biographies à l’aune d’un tel dispositif et là encore sans la moindre référence au thème natal, dispositif que nous avions annoncé rejeter dès 1976 dans Clefs pour l’Astrologie (réédition 1993, Ed Seghers). Prenons le cas de Charles De Gaulle. Est-il solsticial ou équinoxial?Son retour en 1958, en pleine phase solsticiale nous donne la réponse tout comme son départ en 1969 en phase équinoxiale, faisant suite à son ballottage en 1965, pour l’élection présidentielle, au début de la dite phase. Mais remontons dans le temps. En 1944, en phase solsticiale, De Gaulle arrive au pouvoir mais il connaitra ensuite une « traversée du désert » jusqu’en 1956. Le président René Coty fera barrage à Pierre Mendés France et sacrera De Gaulle. Wikipedia; De Gaulle n’est pas suivi par son propre parti: on est en phase équinoxiale. Saturne est passé sur l’axe vierge-poissons, porte d’entrée d’une phase équinoxiale. « En mars 1952, les dissensions au sein du mouvement finissent par aboutir à une scission. Vingt-sept députés RPF votent l’investiture du gouvernement d’Antoine Pinay, malgré la consigne contraire donnée par le général de Gaulle. Ces parlementaires sont alors exclus du parti. En juillet suivant, quarante-cinq autres députés RPF rompent avec la formation gaulliste ». Le nom même de SOLSTICE (littéralement arrêt du Soleil) est parlant, c’est le déclin du jour, stoppé net dans sa montée. Autrement dit, de Gaulle serait favorisé par l’éclipse du soleil, ce qui correspond selon nous, à la situation de la France à partir de la Seconde Guerre Mondiale. En 1940, en période équinoxiale, c’est la défaite de l’armée française et la supériorité allemande qui est portée par cette phase car on peut aussi associer un pays avec une phase. De Gaulle, en phase solsticiale parviendra à sauvegarder un certain statut pour la France, notamment au Conseil de Sécurité de l’ONU mais il s’agit là, quelque part, d’une forme d’imposture caractéristique du tempérament solsticial. Les relations franco-allemandes seront marquées par une telle dualité et la création d’un marché commun englobant, en phase équinoxiale, en 1954 (CECA) les vaincus que sont l’Allemagne et l’Italie, sera un retournement, un renversement assez surprenant, si peu de temps après la capitulation nazie de 1945 et qui devrait être assez palpable lors de la phase équinoxiale qui s’annonce/ Le personnage solsticial profite de l’éclipse des personnages solaires lesquels en phase solsticiale ont tendance à se tenir en retrait, ne parvenant pas à se mettre en valeur et laissant la place à des personnages de moindre importance. Autrement dit, le solsticial va profiter d’un refus d’exposition de la part du type équinoxial. Autrement dit, c’est le type équinoxial ou solsticial qui sera le facteur déterminant et non le thème de naissance. L es deux phases sont ce qu’elles sont mais n’exerceront pas les mêmes effets, du fait de la différence et de l’alternance des récepteurs. On donnera quelques exemples montrant dans quelle mesure l’arrivée d’une phase équinoxiale peut se révéler éprouvante pour un tempérament solsticial. C’est ainsi qu’en 1967, le rais égyptien Nasser, à la suite de la défaite lors de la Guerre des Six Jours, proposera sa démission.On est en phase équinoxiale. Nasser et De Gaulle incarnent l’un et l’autre la solsticialité et d’ailleurs au cours de la même période. On rappellera d’ailleurs les propos malheureux du général au sujet du « peuple juif », lors d’une conférence de presse. De fait, la phase équinoxiale est favorable aux juifs et la phase solsticiale les met en péril. En 1944, quand l’étoile de de Gaulle monte, en phase solsticiale, c’est l’aboutissement de la « Solution finale ». Comme on dit, le malheur des uns…. JHB 24 02 23

jacques halbronn Astro. Hiatus entre surinformation céleste et cult...

jacques halbronn L'astrologie contemporaine surinvestit l'astronomie/ s...

jacques halbronn revient sur sa première thèse de doctorat EPHE1979 Le ...

jacques halbronn Avec Barbault, les périodes en Astrologie Mondiale ne...

jeudi 23 février 2023

Teleprovidence Monica Astrologue, Palais Royal, Paris Interview par Roger Hequer pour TV URANIA 2007

Interview Jacques Halbronn par Mireille Petit lors du lancement de Té...

Jacuqes halbronn La vie astrologique et les notice abuisves de certains astrologues.

jacques halbronn La vie astrologique et les notices abusives de certains astrologues. La fortune de nos guides astrologiques, depuis la fin des années 70, aura conduit certains à se présenter de nos jours sous un jour un peu trop flatteur pour leur égo, en passant par une sorte d’autobiographie frolant la mythomanie. Nous avons déjà dénoncé la notice concernant Denis Labouré, dans le programme du prochain Colloque « Source » du mois de mars prochain, où il claironne qu’en 1978, il était devenu Président du GERAS dont il affirme qu’il s’agissait de la plus importante association de l’époque. Une telle déclaration tombait bien mal car s’il est une année où le MAU (fondé en 197, aura dominé de la tête et des épaules le milieu astrologique, c’est bien en cette année là, comme le rappelle le Guide de la vie astrologique -(Ed Trédaniel, 1984). S’agit-il là d’une manoeuvre complice pour minimiser notre impact à la fin des années 80? Un autre cas nous interpelle et concerne Roger Héquet dont la présentation dans le catalogue des Editions Guy Trédaniel nous semble un tantinet trompeuse et en tout cas lacunaire. « Roger Hecquet, concepteur et réalisateur de TV Urania (télévision consacrée à l’astrologie sur internet), a publié Le temps sidéral, aux Editions du Rocher. » Description lapidaire mais dont il n’est pas innocent qu’elle retienne cette information « concepteur et réalisateur de TV Urania (télévision consacrée à l’astrologie sur internet), « Si l’on va chercher des traces de cette » TV Urania », que trouve-t-on? La seule notice du Catalogue sus mentionné. Baglis TV fournit, a contrario, une notice plus juste à notre propos « En 2008, il fonde TELEPROVIDENCE « la télévision astrologique ».laquelle continue à exister 15 ans plus tard. Alors, on peut se demander, à quoi l’on joue ici? Est ce le même calcul que pour Denis Labouré revisitant le passé à sa manière,45 ans après.? Certes, nous ne contesterons pas que Roger Héquet avait eu le projet de lancer une « télévision consacrée à l’astrologie » en 2007 d’autant qu’il nous avait contacté alors. C’est ainsi que le Colloque de 2004 qui avait été entièrement filmé, put fournir une certaine substance à « TV Urania » mais la dite notice présente » TV Urania » comme s’il s’agissait d’ une institution bien connue et établie alors qu’il s’agit là d’une tentative avortée et tombée totalement dans l’oubli. De la meme façon que le GERAS de 1978 avait été éclipsé par le Mouvement Astrologique, TV Urania le sera trente ans plus tard par TELEPROVIDENCE. Nous avions déjà regretté le caractère extrémement lacunaire du travail d’un Yves Lenoble avec son arbre généalogique de 2003 et son Voyage en Astrologie, qui laissait entendre qu’avant les années 90,- donc avant qu’il n’émerge comme leader- la communauté astrologique était chaotique.. Dans ses souvenirs, Lenoble se permet de signaler que nous avons abusé de la maladie de Paul Colombet lors de notre conflit avec le Centre International d’Astrologie qui nous avait éjecté de notre poste de vice-président à la veille même du Colloque International dont nous avions obtenu la tenue à Paris en septembre 1974, dans le cadre de l’ISAR ( International Society for Astrological Research). Comme on dit, la vengeance est un plat qui se mange froid et d’aucuns entendent ainsi exorcisé leurs frustrations en trafiquant la représentation du passé.. … Réaction de Roger Héquet: « Laissez moi vous traiter de menteur en ce qui concerne la création de T Urania. Des dizaines d’astrologues se souvenant doivent sourire de vous voir ainsi travestir la réalité et récupérer tout ce qui vous arrange. vous être gonflé de votre ego. Quelques liens à la suite qui démontrent vos mensonges et certainement des dizaines d’autres que je n’ai pas le temps de rechercher. Sur votre site c’est simple, toutes les vidéos signées Tv urania et que je vous ai offertes avant de quitter le milieu astrologique pour travailler en solo, n’ont rien à voir avec votre télé providence créee après mon départ. Je pourrai demander à Sophie Artois, qui aura été la principale collaboratrice de ce média et à bien d’autres, telle Mireille Petit, Ariane d’Athis qui m’initia plusieurs fois à la radio, etc .. d’en témoigner mais je ne vais déranger personne pour une telle falsification, une telle plaisanterie. Sur Internet : « En 2008, le même Halbron décide, faisant suite à l’expérience lancée l’année précédente par Roger Héquet (TV Urania) de créer une télévision astrologique, « Teléprovidence, également sans équivalent. Mais un jeune loup s »est également fait remarquer dans le domaine des médias astrologiques, même si son champ est sensiblement plus vaste, il s’agit de Frank Agier avec la création en 2006 de la chaine (payante) Baglis TV qui a consacré de nombreuses émissions à l’astrologie (avec l’aide technique d’une collaboratrice de Roger Héquet puis de Jacques Halbronn); … « Mais aussi, de J.Halbronn, de l’époque…. http://maqor.unblog.fr/…/etudes-de-sociologie-du…/ Ou les Editions Trédaniel : Les Editions Tredaniel: https://www.editions-tredaniel.com/roger-hequet-auteur… Et bien d’autres témoignages …. vous êtes un grand falsificateur. Je ne vous salue pas https://www.youtube.com/watch?v=rEhYx2nvOks Réponse de Jacques Halbronn. En 1995, nous avons publié une vidéo La saga du Mouvement Astrologique, avec la collaboration technique de Daniel Kubezyk, à l’occasion du vingtiéme anniversaire de la fondation du MAU. Cette vidéo Miniature de la vidéo : Jacques Halbronn L'épopée du Mouvement Astrologique 1974-1994 pour son 20e 'anniversaire. 2:30 Jacques Halbronn L’épopée du Mouvement Astrologique 1974-1994 pour son 20e ‘anniversaire. 21 janv. 2021 Publiée Miniature de la vidéo : Teleprovidence L'épopée Du Mouvement Astrologique1974 1994 Première Partie, Archives 32:19 Teleprovidence L’épopée Du Mouvement Astrologique1974 1994 Première Partie, Archives Extrait du Colloque de Paris 1995 avec Dorothée Callou, Film muet sur le Colloque d’Août 1978 dans les locaux de la Nouvelle Acropole Le tout premier film tourné sur un co reprenait diverses vidéos que nous avions réalisées lors de précédents colloques et qui auront constitué la substance de TV Urania lors de son lancement. Il est vrai que nous avons profité pendant 5 ans des services (payants) de Sophie Artois, collaboratrice de Roger Héquet, pour développer notre chaine sur le plan purement technique, et par la suite, elle est allée travailler avec Frank Agier pour Baglis TV. En fait, sans ma collaboration, TV Urania n’avait aucune chance. En ce qui nous concerne, nous avons eu l’honnetété de reconnaitre les initiatives de Roger Héquet mais le même Héquet s’est bien gardé de nous mentionner dans sa notice sur le catalogue Trédaniel. Il n’a pas signalé à quel point TV Urania n’avait duré que quelques mois laissant croire qu’il avait dirigé la télévision astrologique jusqu’à ce jour. Nous demandons instamment que la notice relative à Roger Héquet soit corrigée dans les meilleurs délais sur le catalogue Trédaniel, sans préjudice pour le caractère diffamatoire du mail ci dessus. En tout et pour tour, on ne trouve sur Teleprovidence que l’interview par Héquet de Monica avec le logo TV Urania Teleprovidence Monica Astrologue, Palais Royal, Paris Interview par Roger Héquet jacques halbronn La vie astrologique et les notices abusives de certains astrologues. Reglements de compte dans ASTROLOGIE Halbronn Jacques TELE DE LA SUBCONSCIENCE et une interview de Sylviane Attard sylviane attard interviewée par Roger Héquet, Paris dans ASTROLOGIE Halbronn Jacques TELE DE LA SUBCONSCIENCE . Le probléme, c’est que comme TV Urania a disparu, on ne peut pas prouver par ministère d’huissier que la quasi totalité de ce qui fut mis en ligne par TV Urania consistait en vidéos que nous lui avions fournies.. A lui , dans son inétrêt; de nous prouver le contraire. Tout comme 1978 fut une année remarquable pour le MAU, 2008 , trente ans plus tard, le fut pour notre structure et dans les deux cas, tant Labouré que Héquet, tous deux nés en 1956-57 auront revendiqué une place hors de proportion avec leur réelle importance et la suite l’aura confirmé dans le domaine de l’animation de la communauté astrologique.. Mais heureusement le ridicule ne tue pas. JHB 23 02 23

mercredi 22 février 2023

Jacques Halbronn Astrologie La mythologie fragmente l'espace social

Jacques halbronn L'astrologie met l'astronomie au service du théologiqu...

Jacques Halbronn Théologie.Le polythéisme mythologique solsticialise ...

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mardi 21 février 2023

Jacques halbronn Etude des trois Que Sais-je sur l'astrologie depuis les années cinquante.

jacques halbronn Etude des trois Que Sais je 'L'Astrologie" depuis les années cinquante Note: Jacques halbronn est notamment l'auteur des Clefs pour l'Astrologie (1976 et 1993) et de l'article Astrologie de l'Encyclopaedia Universalis, 1993 (http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/astrologie/# texte toujours en place depuis 30 Ans., ce qui correspond au début d'une phase équinoxiale Depuis les années quarante, trois "que sais je" sont parus autour de l'Astrologie,celui de Paul Couderc (1951), celui de Suzel Fuzeau Braesch et celui de Daniel Kunth et Philippe Zarka. Il nous a paru intéressant de les comparer et de déterminer éventuellement quelque évolution de l'image de l'Astrologie.D'emblée, le mot Astrologie, au singulier ne posait-il pas probléme?. L'astronome Paul Couderc précisait ainsi son approche : "La connaissance préliminaire de la technique astrolologique telle qu'elle est généralement admise aujourd'hui est indispensable (..) L'érection d'un thème de naissance d'un individu (..) est la base de toute l'astrologie" En 1989, nous avions reçu Suzel Fuzeau Braech lors d'un Colloque tenu la même année à Paris (organisé avec Christian Gourdain) Son ouvrage commençait par une description du savoir astrologique comme s'il s'agissait d'un ensemble indissociable. En 2005, la nouvelle version traite de l'objet Astrologie sous toutes ses coutures en concluant qu'elle ne saurait "être assimilée à une science".(4e de couverture). Dans les trois versions, l'idée centrale est que l'astrologie traite de l'individu au prisme de sa date de naissance. Dans le dernier Que Sais- je (en 2005 donc plus de 50 ans après le premier) on peut lire:" L'astrologie s'attache à interpréter le destin individuel grâce à l'étude de la position des astres" Abordons les conclusions respectives: pour Paul Couderc , on assiste à un "retour"contre lequel il est urgent de réagir . Or, pour nous, il aurait fallu depuis engager des recherches à nouveaux frais d'ordre anthropologique à savoir à quoi pouvait servir l'Astrologie? Certainement pas, en tout cas, à étudier les individus mais bien plutot à décrire les tensions qui traversent les sociétés. Selon nous, l'astrologie commence par une certaine idée de l'ordre social et les astres se sont vus attribuer des rôles dans ce sens. pour Suzel Fuzeau Braesch, "on ne peut la confondre avec d'autres savoirs (..) ayant fait l'objet d'analyses dans la même collection'(Que sais-je, PUF)/L'auteur constate que ses détracteurs "n'ont pas fait l'effort d'étudier l'astrologie sérieusement comme nous nous sommes efforcé de le faire". On a l'impression qu'il s'agit selon l'auteur d'expérimenter les propositions de l'Astrologie. Or, selon nous, faut il partir des dites propositions ou bien plutot reprendre la question à la base à partir de l'idée de l'astrologie comme mode d'organisation des sociétés humaines? Pour Kunth et Zarka "Les problémes soulevés par les astronomes n'embarassent que fugitivement ces astrologues pour qui l'objet de l'astrologie n'est pas le ciel mais l'homme" Et , en effet, au nom de la démarche d'instrumentalisation(cf notre essai " La pensée astrologique" in L'étrange histoire de l'astrloge" Ed Artefact, 1986), ce n'est pas l'astre qui importe mais le statut qu'on lui confère; Pour nous, l'astrologie ne reléve pas directement de la Science mais de la Technique/technologie ! L'architecte n'a pas à justifier l'usage qu'il fait de tel ou tel matériau, on est dans l'arbitraire du signe. Passons à présent à quelques coups de sonde révélateurs dans le Que Sais je de feu Suzel Fuzeau Braesch, qui ne partage pas le préjugé défavorable d'un Paul Couderc. "Issue d'un mariage contre nature entre une religion astrale et une rationalité rigoureuse, héritee des Grecs, l'astrologie semble indestructible depuis des siècles." Cette autrice ne semble pas avoir perçu les dissonances au sein du savoir astrologique, elle considére celle-ci comme étant d'un seul tenant, à prendre ou à laisser. Or, pour nous l'historien n'a pas seulement à rendre compte de la réception d'un savoir mais aussi de son évolution, de sa corruption. SFB rend hommage à notre description du milieu astrologique (p. 74) tout comme elle citera notre ouvrage de 1986 (La Pensée Astrologique) dans son Astrologie. La preuve par deux, 1992.) à propos de notre thèse de l'instrumentalisation du cosmos par les humains. Quant à Zarka et Kunth, ils mentionnent le nom du regretté Patrice Guinard (p. 121) dans son "Manifeste". mais aussi Yves Haumont (p. 122) Ils reconnaissent que "la recherche n'est pas exclue de l'astrologie dite savante. On comprend mal ce jugement :"Cette littérature astrologique présente des caractéristiques fort éloignées de celles qui régissent la science ; en particulier la multiplicité des systémes particularise chaque astrologue au dépend d'une connaissance de corpus". Il faudrait d'ailleurs se demander ce que recouvre ici le mot "astrologue" :est- ce le praticien ou le théoricien.? Qu'est ce donc que cette "connaissance de corpus"? Notice- Suzel Fuzeau-Braesch n'est pas un auteur comme les autres. Rationaliste et déterministe, elle est cependant pleinement consciente de l'immense complexité de l'univers. Astrologie : la preuve par deux est l'aboutissement de longues années d'étude. Il ne s'agit pas d'un traité d'astrologie ni d'un ouvrage d'astrologue comme il s'en publie tant. C'est la premier test irréfutable d'une scientifique en quête de vérité. Suzel Fuzeau-Braesch étudie une population de 251 couples de jumeaux en les soumettant à un test objectif,.. . Revenons encore quelque temps sur ces trois ouvrages en relevant les passages les plus significatifs. Couderc se demande, dans les annézq 5O "Est-ele une science méconnue par les savants officuels(...) ou la survivance d'une antique supersution? (...) Il n'existe pas, de nos jours, sur toute la Terre, un seul astronome, grand ou petit, qui croir à l'astrologie." Mais en quelle honneur les astronomes ont droit de regard sur l'astrologie, demanderons-nous si ce n'est sur la base d'une histoire de l'astrologie entretenant faussement une telle idée.(cf notre étude sur l'article "Histoire de l'Astrologie" par René Alleau, dans l'Encyclopaedia Universalis) Quant au troisiélme opus, sur l'Astrologie, 50 ans plus tard, il aura été à nouveau confié à un astrophysicien et à un astronome, alors que le deuxiéme l'avait été à une biologiste. https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/_Public/21/032/21032696.pdf. Depuis 1989, elle a publié trois livres qui ont fait du bruit : L’astrologie (coll. Que Sais-je, P.U.F.), Astrologie, la preuve par deux (Éd. Robert Laffont) et Pour l’astrologie (Éd. Albin-Michel). Entretien avec une scientifique hors-normes."(Richard Pellard). Selon nous, ces trois auteurs décrivent l''astrologie telle qu'elle est devenue et non telle qu'elle pourrait être, si elle n'avait été dévoyée, corrompue. A aucun moment,ils n'envisagent de déterminer son projet initial comme si l'astrologie avait eu vocation à se présenter comme une application de l'astronomie alors qu'elle reléve selon nous d'une théologie politique recourant à certaines données célestes à instrumentaliser.. arrticle Wikipedia .."La théologie politique se situe au point de rencontre entre philosophie politique et théologie chrétienne, et se penche en particulier sur la manière dont des concepts et des modes de pensée théologiques peuvent impliquer, justifier ou éclairer des analyses ou des engagements politiques, sociaux, économiques ou leur être sous-jacents" JHB 21 02 23

Jacques Halbronn Réflexions sur l'article de René Alleau "Histoire de l'Astrologie" in Eccyclopeadia Universalis

)Jacques Halbronn Réflexions sur l’article de René Alleau « Histoire de l’astrologie » in Encyclopaedia Universalis, Le texte de Alleau fut remplacé par le notre en 1993 lequel est toujours en place au sein de la dite Encyclopaedia/ Il ne s’agit pas ici de nous situer par rapport à ce que nous écrivions alors mais bien au vu de nos positions présentes. Rappelons que nous avions, dans les années 70, contribué à deux reprises à la Bibliotheca Hermetica dirigée par Alleau (sur Morin de Villefranche et sur Abraham Ibn Ezra) Selon nous, il s’agit d’avoir une approche critiques de textes comme ceux inclus dans le Tetrabiblos de Ptolémée à commencer par ce dispositif central que constitue le rapport des planétes et des signes, exposé dans le premier Livre. Selon nous, contrairement à la lecture habituelle, ce dispositif n’affirme nullement que tous les astres du systéme solaire sont à suivre dans leurs mouvements respectifs mais distingue 4 divinités (Mercure, Vénus, Mars et Jupiter) censées baliser la course de deux astres, la Lune et Saturne et en pratique, la Lune de par la briévété de son cycle ne saurait être opérationnelle, d’où la dialectique un jour pour un an qui se calque sur le seul cycle de Saturne. Il convient donc de distinguer très nettement l’activité des astrologues de celle des astronomes. L’Histoire de l’astrologie n’est certainement pas réductible à un tel binome, si ce n’est que les astronomes ont pu être tentés d’élaborer leur propre astrologie, ce qui semble bien avoir été le cas d’un Ptolémée, compilateur de la Tétrabible au IIe siècle. En ce qui concerne le Zodiaque, l’astrologie, selon nous, n’avait aucune raison de baliser la course de Saturne par le moyen d’une division en 12 et là encore, épistémologiquement, le rôle de l’ Historien est de relever les déviances des systémes. Cette division en 12 peut certes être de quelque utilité pour situer les planétes dans le ciel, sur l’écliptique, mais le « logos » de l’astrologie n’a aucune raison de s’embarrasser d’une telle superstructure et doit en rester à une approche duelle, dialectique. Notons que le Zodiaque a pour matrice un « tétramorphe », lié à une division en 4 (taureau, lion, aigle, homme), ce que ne signale pas Alleau qui nous submerge avec son discours sur le Septénaire et les 12 signes qui se concentre sur une période de dérive de la pensée astrologique.. On aura compris que la question de la « réception » de l’astrologie à telle ou telle époque, au sein de telle ou telle culture, nous apparait épistémologiquement tout à fait annexe, d’autant qu’elle n’ouvre pas de perspective pour une « renaissance »de l’astrologie. Nous avons d’ailleurs « donné » dans cette pratique de la réception dans notre ouvrage « Le monde juif et l’astrologie » (Ed Arché 1985), dont nous ne sommes plus spécialement fier car cette façon de traiter de l’Histoire de l’Astrologie nous semble assez toxique et dépassée. Il nous semble essentiel de ne pas se perdre dans les méandres d’une astrologie « savante », liée à l’astronomie d’hier et d’aujou D’ard’hui, et d’accorder de l’importance à une astrologie dite « populaire » que l’on a souvent perçue comme une forme appauvrie d’astrologie, du fait même de sa simplicité. L’historien de l’astrologie n’a pas à défendre de facto la cause des astrologues de cabinet, tributaires du « thème natal.Du point de vue de la pensée politique, du droit constitutionnel, il est clair que cette astrologie des médias se révéle bien plus compatible avec les enjeux de société que l’astrologie sophistiquée, articulée sur les éphémérides au jour le jour. D’ailleurs, comme le rappelle Alleau, la théorie des grandes conjonctions (Jupiter/Saturne) illustre à merveille cette vocation première de l’astrologie à fournir des repéres accessibles à tous, ne relevant aucunement des données de naissance et ne retenant que deux planétes, les plus lentes connues avant la fin du xVIIIe sièclJace,lorsque les astronomes s’amuseront à baptiser leurs découvertes en recourant à la mythologie, ce qui allait égarer encore plus les astrologues. On reprochera à Alleau de ne pas avoir saisi la dialectique planétes/signes, celle des émetteurs et des récepteurs, ces derniers pouvant être plus nombreux que les émetteurs. Ce n’est pas aux planétes de signifier mais, comme leur nom l’indique, aux signes de jouer le rôle de « significateurs » et c’est pour cette raison que les divinités concernent nons pas les planétes mais bien plutot les signes, comme il ressort de la lecture de l’Astronomicon de Manilius (Ier siècle) dont pourtant Alleau avait donné une édition en 1970 dans sa Collection. JHB 21 02 23 Cet article a été publié le Mardi 21 février 2023 à 17 h 32 min et est catégorisé sous ASTROLOGIE, HISTOIRE. Vous pouvez suivre les réponses à cet article par le fil Flux des commentaires. Vous pouvez laisser un commentaire. Les trackbacks sont fermés. Éditer cet article. Laisser un commentaire Connecté en tant que nofim. Se déconnecter ? Commentaire

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lundi 20 février 2023

jacques halbronn Sur son rapprochement équinoxial avec André barbault

Jacques Halbronn sur son rapprochement « équinoxial » avec André Barbault Nous avions annoncé qu’une nouvelle phase équinoxiale (sur l’axe Poissons-vierge et non sur l’axe Bélier Balance qui n’en est que le prolongement) était vouée à favoriser des alliances assez surprenantes au premier abord. En fait, cela se conçoit assez bien dès lors que l’on évacue les faux clivages, les différences de surface, ce qui caractérise le travail de la phase équinoxiale par opposition (aspect de carré) à la phase solsticiale qui tend à subdiviser à l’envi tout ensemble.Que l’on compare le pacte germano soviétique à la fin du mur de Berlin, comme deux cas de figure antagonistes. En abordant la question de nos affinités avec André Barbault, nous nous situons dans cette même optique et inversement, l’on pourrait montrer que ceux qui se revendiquent de sa pensée tendent au contraire à la trahir comme en témoigne ce Colloque à venir autour de Pluton entrant en Verseau, ce qui ne correspond aucunement à la démarche de Barbault lequel avait pris ses distances avec toute référence zodiacale tant pour ce qui est du cycle Saturne Neptune que pour son indice cyclique. A noter que 14 ans séparent et rapprochent ( cet intervalle remenant des périodes analogues) ces deux entreprises: 1953 et la mort de Staline (cf le bulletin « Astrologie Moderne), 1967 et la parution des Astres et l’Histoire. Par ailleurs, en 1968, Barbault s’était lancé dans l’expérience ‘Astroflash » à savoir l’interprétation des thèmes à partir d’une programmation due à un tout petit nombre de collaborateurs (dont Jean Pierre Nicola) On peur considérer avec le recul Barbault comme notre devancier, notre précurseur dans son traitement des planétes qu’il réduit à un seul graphique montant et descendant d’une part et dans sa démonstration selon laquelle la communication de l’Astrologie en direction du public n’exige que fort peu d’intervenants, par le biais notamment de l’informatique. En ce sens, Barbault restera, pour la postérité, celui qui aura déconstruit le milieu des astrologues professionnels, praticiens et enseignants. Certes, les efforts de Barbault sont jusqu’à présent restés sans grand impact sur le dit milieu et l’on n’a pas cessé de décrire la spécificité de chaque signe, de chaque planéte (suivant d’ailleurs en cela l’exemple d’un Jean Pierre Nicola et de son modéle « RET assignant à chaque facteur un profil propre. Mais Barbault n’en annonçait pas moins une révolution à venir dont nous sommes le porteur, à la façon d’un Jean Baptiste, dans les Evangiles; celle de l’Astrologie EXOLS. Pour préciser notre démarche; nous avons pensé nous baser sur un texte de Roger Héquet qu’il nous a fait parvenir, ces derniers jours: Roger HEQUET « Il y a 10 planètes ou éléments planétaires dans le ciel au dessus de nous et vous ne voulez utiliser qu’une de celles ci … Je pense que c’est par paresse ou parce que vous n’êtes pas outillé intellectuellement pour travailler avec un système plus complexe. Je tente de vous trouver une raison. Enfin vous dites: « Par ailleurs, s’il est heureux, comme le note Roger Héquet, d’observer que certains événements comparables surviennent à 15 ans d’intervalle, encore faut-il leur attribuer un substrat astronomique pertinent »., je me fiche de l’astronomie, je ne travaille qu’en astrologie, avec une base, l’état du ciel, uniquement comme environnement à notre espace-temps natal, radical. Pour l’ACB et pour moi donc, le ciel ne nous aura concerné qu’une fraction de seconde. Le temps de nous constituer d’un patrimoine cosmo-génétique. vous faites partie de ces « astrologues » qui voudraient que l’astrologie soit moins compliquée même qu’un manuel de plomberie et c’est dommage. » Que faut-il comprendre de ce texte? On pense à un propos de Raymond Abellio que nous avons récemment signalé (numéro spécial d’Horizons Fantastiques, dirigé par Daniel Giraud, 1972) lequel était en faveur d’une astrologie ésotérique, dans toute sa complexité et Héquet y trouverait certainement une caution notamment dans sa présentation du thème natal. Abellio n’a pas de mots assez durs pour stigmatiser une astrologie « marchande » et prévisionnelle (suivi en cela par Joelle de Gravelaine dans le même numéro)Or, pour nous, l’astrologie est au service de la Cité, elle se doit d’accéder à une certaine simplicité dans sa formulation, à une prévisibilité au sens où elle doit jouer cartes sur table alors que Héquel plaide pour un astrologue capable de maitriser toute sa complexité. Pour nous, l’astrologie est faite pour le public et non comme un outil asseyant, étayant le pouvoir de l’astrologue sur ses clients et éléves. La phase équinoxiale dans laquelle nous entrons risque fort d’être éprouvante pour le praticien/enseignant de base d’autant qu’il est à prévoir un rapprochement équinoxial entre notre astrologie et des communautés scientifiques ayant jusque là rejeté la doxa astrologique en vigueur. En conclusion; en dépit de certaines différences, Barbault aura bel et bien ouvert la voie à notre Astrologie, par sa quéte d’un schéma unitaire et duel et par la revalorisation de l’astrologue « dominant », directement en lien avec le public par dessus la tete de la corporation des praticiens. On a ici affaire à une lutte des classes au sein du milieu astrologique, dans le sens d’une verticalité, mettant fin à l’horizontalité d’une astrologie artisanale, dont chaque astrologue serait le représentant avec son savoir faire propre.

Jacques Halbronn Autour du numéro des Horizons du Fantastique sur l'Astrologie, 1972

jacques halbronn autour du numéro des Horizons du Fantastique sur l’Astrologie, 1972 On s’intéressera ici à un de ces collectifs sur l’astrologie, du même ordre que celui de la Tour Saint Jacques en 1956, paru lors de la parution des résultats Gauquelin (1955) et d’autres dont il a déjà été question dans les années 80 (Cahiers de l’Hermétisme etc). On y trouve les noms de Daniel Giraud, qui en était le rassembleur et l’intervieweur, d’Alexander Ruperti, d’Alexandre Volguine, d’Antoine Faivre, de Gilber Durand, d’Armand Barbault, de Jacques Berthon, de Serge Hutin, de Joelle de Gravelaine, de Jean Carteret, d’Arnold Waldstein, de Christian Jacq, de Dom Néroman (mort en 1954), de Jean Marie Lhote, de Max Lejbowicz, de Jean Paul Bourre,, de Raymond Abellio. etc On notera la très faible proportion de femmes dans cette liste. Ce numéro parut au lendemain du ‘Retour des astrologues, d’Astroflash, et de la parution de l’Astrologie « Relativiste »,laquelle témoigne d’un processus de recherche. Christian Jacq s’en explique » Notre étude « n’est pas une compilation additionnant les opinions des astrologue contemporains mais une tentative de redécouverte de l’astrologie à sa source et une approche nouvelle de la cosmologie » André Barbault contribua à un tel ensemble par « Une prévision » autour des effets des conjonctions annuelles Soleil Jupiter/Pour notre part, un tel phénoméne annuel n’est guère significatif dès lors qu’il ne prend pas en compte les phases saturniennes de sept ans, lesquelles impriment une même tonalité à toute une période. Le frère d’André, Armand, quant à lui, s’intéresse aux directions et notamment sur le rapport un jour pour un an.(Le secret des directions astrologiques) Arrêtons nous sur ce que dit Daniel Giraud sur l’astéroide Cérés (pp; 95 et seq): (De l’emploi de Cérés en astrologie): d’entrée de jeu, Giraud prend appui sur le nom même de cet objet céleste découvert et baptisé en 1801. On ne fait meme pas référence aux conditions ayant présisé à une telle appellation comme s’il s’agissait d’un fait accompli. « Ce n’est pas seulement le fait de n’employer que 10 planétes pour 12 signes du zodiaque qui pousseà innover en attribuant une valeur particulière au premier des astéroides qui (..) gravite entre Mars et Jupiter (…) Le célébre astrologue romain, Marcus Manilius faisait déjà correspondre Cérés au signe de la Vierge avec son épi » Giraud oppose Cérés à Vulcain. Carteret préférera la fille de Cérés, Proserpine.Giraud interroge Joelle de Gravelaine(éléve de Carteret) sur les nouveax facteurs : »(pp. 80-81): »"La Lune noire est une des valeur représentant symboliquement la qûete de la femme pour son autonomie. Dan Giraud déclare : » Hélas, la plupart des astrologues la refusent en invoquant le grand nombre déjà de valeurs planétaires leur occasionnant trop de travail. Réponse de Joelle de gravelaine: » Est ce qu’on peut dire parce qu’une table n’a que trois pieds qu’il ne faut pas s’embarrasser d’un quatrième parce que cela poserait des problémes supplémentaires? C’est un argument absurde (..) Il ne peut être question de les négliger si on veut progresser dans la connaissance de l’inconscient car elles ne se substituent pas à Neptune (…) ni à Pluton (…) ni à Saturne » En ce qui concerne Raymond Abellio, interrogé par Daniel Giraud (en 1979, nous ferons de même pour le collectif Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau, Ed Albatros) sur la « Structure absolue »: Abellio a le mérite d’insister sur la dialectique et la dualité (pp. 22 et seq): « dualité fondamentale, l’opposition du masculin et du féminin, de la connaissance et de la loi. Opposition qui doit être dialectisée comme toutes les dualités. Il faut donc dépasser cette opposition par une voie montante. Abellio aborde la question de l’intelligibilité de l’astrologie: « »comment voulez vous , s’il n’a pas de formation astrologique que le client comprenne ce que dit l’astrologue? (..) L’astrologue ne devrait pas avoir des clients mais des éléves et c’est le grand grief que je fais à l’astrologie marchande dans la mesure où elle est obligée pour se mettre à la portée des clients qui n’ont pas de culture astrologique d’accentuer le côté prédictionnel qui est tout à fait second. L’astrologie n’est pas par essence prévisionnelle mais gnostique (…)L’astrologie (…) n’était pas secrète mais « défendue » par sa propre difficulté (…) L’ordinateur actuellement n’est pas suffisamment programmé » Le collectif se termine par un texte de Jean Carteret simplement intitulé « Astrologie »(pp. 68 et seq). Carteret place au centre le thème de naissance. « étincelle d’éternité » « Il n »y aura jamais deux fois le même ciel ». Notre commentaire sur ce corpus, datant d’un demi-siècle et correspondant grosso modo à l’époque de notre entrée dans le monde des astrologues. Autant dire que nous sommes à peu près en total désaccord avec tout ce qui y est exprimé à commencer par l’importance accordée au thème natal dont dès 1976 nous demandions que l’astrologie s’en démarque en passant par l’idée selon laquelle la prévision serait étrangère à l’essence de l’astrologie, comme l’affirme ici Abellio. Certes, nous avions suivi alors Jean Carteret à propos des transplutonniennes dans notre travail sur les maitrises planétaires avant de basculer vers une astrologie « saturnienne ». Nous voudrions tout particulièrement prendre le contre pied d’Abellio à propos de ce qu’il appelle une astrologie « marchande » . Nous pensons que l’astrologie avait vocation à être accessible au public le plus large alors que d’aucuns veulent l’inscrire dans le cadre d’une initiation réservée à une élite. Pour nous, l’astrologie est faite pour la Cité, elle n’a pas à être instrumentalisée par quelque caste de prétres seuls capables de la déchiffrer et de l’interpréter. A l’nstar de nos constitutions, l’astrologie doit offrir une pleine lisibilité et baliser le temps au moyen de périodes de durées égales, comme le garantit notamment la constitution des Etats Unis où le vice-président termine le mandat (de 4 ans) du président, quand celui-ci est éliminé.(comme dans le cas de Kennedy en 1963) JHB 20 02 23