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Jacques Halbronn Principes de cyclologie astrologique
Principes de cyclologie astrologique
par Jacques Halbrpnn
Le débat actuel autour des rapports Astronomie-Astrologie débouche sur les enjeux de la révolution copernicienne, substtituant au géocentrisme l’héliocentrisme. Les astrologues actuels nous semblent se diviser à ce sujet au vu de leurs positions respectives;
C’est ainsi que toute la théorie cyclique défendu par Barbault ou par Lenoble ne fait guère sens au regard de la science astronomique même si les phénoménes décrits sont observables mais l’on sait qu’il ne faut pas se fier aux apparences dans ce domaine.
Comment la lune pourrait elle former un cycle avec le soleil alors qu’elle ne tourne pas directement autour de lui et que le soleil n’est pas un point fixe puisque 30° environ séparent une de ses conjonctions de la suivante, ce qu permet de constituer un découpage en 12 secteurs
Comment peut-on parler d’un cycle Saturne-Neptune alors que Saturne ne tourne pas autour de Neptune et que Neptune n’est pas un astre fixe?
On voit qu’un telle approche reste marquée par le géocehtrisme si bien que les astrologues qui se croient en régle avec l’astronomie actuelle s’illusionnent:.
A la rigueur, les astronomes pourraient concevoir un cycle planéte-étoile car l’étoile est fixe et que les astronomes ont besoin de repéres fixes pour déterminer une période de révolution.
0r, nos astrologues actuels dédaignent de se servir des étoiles fixes au nom justement de l’hélliocentrisme qui isole notre systéme solaire du reste de l’univers.
Passons à présent à l’interprétation des cycles en astrologie. Que signifie la conjonction, que signifie l’opposition en cyclologie astrologique?
Prenons l’année 1989 avec la Chute du Mur de Berlin, est ce que cela reléve en principe d’une conjonction ou d’une opposition? Selon nous , cette chute est liée à une démission du pouvoir soviétique qui a baissé les bras et a laissé faire. Dans ce cas, c’est bien à un climat correspondant à un aspect cyclique d’opposition qu’il faut s’attendre, ce qui n’est évidemment pas le cas de la conjonction Saturne-Neptune généralement mise en avant.
La conjonction de l’astre rapide sur l’astre fixe ou en tout cas plus lent, correspond à une prise de contrôle du lent par le rapide. Inversement, quand l’opposition se forme, il n’y a plus contrôle.
Mais où était donc l’opposition en 1989? On la trouve avec le barométre astrologique avec la période « oméga » qui correspond à un écart assimilable à une opppsition, puisque le crecle y est divisé en 4 sections, balisées par les 4 étoiles fixes royales, soit 180/4 ce qui donne 45° (semi-carré) Saturne à la fin de 1989. et pendant les années qui suivirent et virent le démantélement de l’URSS s’éloignait toujours plus d’Antarès à 9° sagittaire, passant sur le signe du capricorne.
Le même phénoméne s’observe pour le printemps arabe, où les leaders poliiiques ont quitté le pouvoir. en 2010-2011, 21 ans plus tard mais aussi en 1968. 21 ans avant 1989!
Autrement dit, il semble que la pensée astrologique actuelle manque de colonne vertébrale au niveau doctrinal puisque les astrologues acceptent sans sourciller que l’on utilise un conjonction pour rendre compte d’une séparation, d’une absence. Ce qui est quand même élémentaire. Il semble que Barbault pas plus que Lenoble ne soient point parvenus à élaborer une théorie cohérente des aspects et que du moment qu’il y a un aspect, quel qu’il soit, l’on douve s’en contenter.
Au lieu de se demander s’il n’y a pas un facteur qui aurait été négligé- comme une étoile fixes royale- on se résigne à se contenter de ce qu’on a sous la main et l’on fait avec pour sauver la face.
JHB
04 09 17
par Jacques Halbrpnn
Le débat actuel autour des rapports Astronomie-Astrologie débouche sur les enjeux de la révolution copernicienne, substtituant au géocentrisme l’héliocentrisme. Les astrologues actuels nous semblent se diviser à ce sujet au vu de leurs positions respectives;
C’est ainsi que toute la théorie cyclique défendu par Barbault ou par Lenoble ne fait guère sens au regard de la science astronomique même si les phénoménes décrits sont observables mais l’on sait qu’il ne faut pas se fier aux apparences dans ce domaine.
Comment la lune pourrait elle former un cycle avec le soleil alors qu’elle ne tourne pas directement autour de lui et que le soleil n’est pas un point fixe puisque 30° environ séparent une de ses conjonctions de la suivante, ce qu permet de constituer un découpage en 12 secteurs
Comment peut-on parler d’un cycle Saturne-Neptune alors que Saturne ne tourne pas autour de Neptune et que Neptune n’est pas un astre fixe?
On voit qu’un telle approche reste marquée par le géocehtrisme si bien que les astrologues qui se croient en régle avec l’astronomie actuelle s’illusionnent:.
A la rigueur, les astronomes pourraient concevoir un cycle planéte-étoile car l’étoile est fixe et que les astronomes ont besoin de repéres fixes pour déterminer une période de révolution.
0r, nos astrologues actuels dédaignent de se servir des étoiles fixes au nom justement de l’hélliocentrisme qui isole notre systéme solaire du reste de l’univers.
Passons à présent à l’interprétation des cycles en astrologie. Que signifie la conjonction, que signifie l’opposition en cyclologie astrologique?
Prenons l’année 1989 avec la Chute du Mur de Berlin, est ce que cela reléve en principe d’une conjonction ou d’une opposition? Selon nous , cette chute est liée à une démission du pouvoir soviétique qui a baissé les bras et a laissé faire. Dans ce cas, c’est bien à un climat correspondant à un aspect cyclique d’opposition qu’il faut s’attendre, ce qui n’est évidemment pas le cas de la conjonction Saturne-Neptune généralement mise en avant.
La conjonction de l’astre rapide sur l’astre fixe ou en tout cas plus lent, correspond à une prise de contrôle du lent par le rapide. Inversement, quand l’opposition se forme, il n’y a plus contrôle.
Mais où était donc l’opposition en 1989? On la trouve avec le barométre astrologique avec la période « oméga » qui correspond à un écart assimilable à une opppsition, puisque le crecle y est divisé en 4 sections, balisées par les 4 étoiles fixes royales, soit 180/4 ce qui donne 45° (semi-carré) Saturne à la fin de 1989. et pendant les années qui suivirent et virent le démantélement de l’URSS s’éloignait toujours plus d’Antarès à 9° sagittaire, passant sur le signe du capricorne.
Le même phénoméne s’observe pour le printemps arabe, où les leaders poliiiques ont quitté le pouvoir. en 2010-2011, 21 ans plus tard mais aussi en 1968. 21 ans avant 1989!
Autrement dit, il semble que la pensée astrologique actuelle manque de colonne vertébrale au niveau doctrinal puisque les astrologues acceptent sans sourciller que l’on utilise un conjonction pour rendre compte d’une séparation, d’une absence. Ce qui est quand même élémentaire. Il semble que Barbault pas plus que Lenoble ne soient point parvenus à élaborer une théorie cohérente des aspects et que du moment qu’il y a un aspect, quel qu’il soit, l’on douve s’en contenter.
Au lieu de se demander s’il n’y a pas un facteur qui aurait été négligé- comme une étoile fixes royale- on se résigne à se contenter de ce qu’on a sous la main et l’on fait avec pour sauver la face.
JHB
04 09 17
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