Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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mardi 7 février 2023

jacques halbronn L'astrologie écartéelée entre monothéisme et polythéisme La relation émetteur-récepteurs

Jacques halbronn L'astrologie écartelée entre monothéisme et polytheisme. La relation émetteur -récepteurs. Se complaire dans le « pluriel », le « multifactoriel », le « panthéon » mythologique, le thème natal, les combinaioires de planétes, ce qui est la tendance dominante actuellement ou bien, comme nous le proposons depuis 30 ans, depuis notre Astrologie selon Saturne, faut-il se restreindre à un seul et unique vecteur, comme c’est d’ailleurs déjà le cas avec le « signe solaire »... ? Nous avons insisté récemment sur le fait que ce n’est pas parce qu’il y a des planétes qu’il faut toutes les utiliser comme si la relation émetteur récepteur était automatique et n’exigeait pas une certaine élaboration (cf la notion d’instrumentalisation exposée en 1986 dans notre essai « La pensée astrologique » in Histoire de l’astrologie de Serge Hutin, Ed Artefact) Il nous apparait dès lors que la prise en compte de planétes récemment répertories. n'a rien d'évident car c'est tout le processus d'intégration de ces nouveaux facteurs qu'il importe de considérer, à commencer par le fait que ces astres sont invisibles à l'oeil nu et, en tout état de cause, inconnus, inaccessibles à la conscience collective. C'est donc aller un peu vite en besogne de faire comme si de rien n'était sous prétexte que 'ça marche" comme si cela devait l'emporter sur d'autres paramétres. En insistant sur la nécessité d'un traitement particulier de la relation émetteur récepteur, est- ce que l'on ne couperait pas l'herbe sous les pieds des astrosceptiques en leur répliquant que des conditions sont à réunir pour qu'une telle relation soit en mesure de fonctionner? Et en ce sens les astrologues tenants des transsaturniennes fragiliseraient la cause de l'astrologie tout comme ils le font en laissant entendre que l'astrologie ancienne n'avait pas les moyens de fonctionner en raison de son ignorance des dites transsaturniennes. Selon nous, le monothéisme correspondrait à l'idée d'un monoplanétarisme lequel se justifierait par l'importance qui lui aurait été accordée et non du seul fait du systéme solaire, voie suivie par Jean pierre Nicola, optant pour la thèse selon laquelle, chaque astre du systéme solaire ferait astrologiquement sens, postulat que nous réfutons car selon nous, la diversité, la pluralité concerne les récepteurs et non les émetteurs, un seul émetteur étant en mesure d'activer divers récepteurs. En minimisant le rôle des secteurs (zodiaque), l'on accorde un statut exorbitant à l'émetteur. D'un point de vue psychanalytique, une telle approche conduirait à ignorer la part du féminin - le récepteur- tout comme l'idée de préférer combiner les planétes entre elles en ne tenant pas compte du signe zodiacal est symptomatique d'une certaine forme d'homosexualité, au sens littéral du terme, à savoir le refus de l'altérité. Paradoxalement, le monothéisme implique une relation à l'autre alors que le polythéisme crée une situation d'autosuffisance. l JHB 07 02 23

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