Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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jeudi 30 mars 2023

Jacques halbronn Initiation à la logique circulaire" à l'intention des astrologues.

jacques halbronn Initiation à la logique circulaire à l'intention des astrologues. On opposera pensée circulaire et pensée linéaire. La logique circulaire prend nécessairement en compte le passé, le présent et le futur. La logique linéaire serait plus statique, moins marquée par la notion de retour, par la problématique d'évolution./involution. Par définition, toute forme de cyclologie reléve la logique circulaire, a conscience d'avoir à respecter un principe éthique d'alternance et d'enchainement, donc d'interdépendance, de chevauchement. Si l'on considére la cyclologie propre à l'astrologie EXOLS, l'on aura compris que les signes mutables qui précédent les signes cardinaux constituent en fait le départ d'une phase saturnienne de 7 ans et de la même façon, la fin d'une saison prépare la suivante, ce qu'indiquent d'ailleurs les mois de mars, juin, septembre et décembre, qui relévent chacun de deux saisons. D'ailleurs, avant la réforme de 1582, c'était au 15 du mois que l'on changeait de signe et non vers le 20/21/(cf le Kalendrier et Compost des Bergers dans ses éditions de la fin du XVe siècle et de la première partie du XVIe. Au prisme de ce principe de circularité, nous décrirons ainsi désormais les phases équinoxiales et solsticiales au prisme de la dialectique Hommes/femmes qui nous apparait comme incontournable. Les phases équinoxiales visent à la promotion des femmes , propulsés par les hommes alors que les phases solsticiales fonctionneraient en sens inverse. Au prisme de nos travaux en linguistique, on dira que les phases équinoxiales relévent de la dérivation et les solsticiales de la matricialité. La dérivation, c'est aller du centre vers la périphérie et c'est l'inverse pour la matricialité et l'on saisit bien ici à l'oeuvre une logique circulaire. C'est ainsi que les femmes qui seront promues devront à terme renvoyer l'ascenseur aux hommes et ainsi de suite; C'est le passage de la phase d'équinoxialité à la phase suivante de solsticialité au cours de laquelle, l'heure sera à la promotion, cette fois, des hommes. Car celui qui n'a pas de pouvoir n'est pas en mesure de promouvoir et pour être promu, il convient de ne pas l'être déjà. La grammaire dont on ne saurait sous estimer la portée anthropologique est par elle même cyclique en ce qu'elle nous conduit à articuler le passé, le présent et le futur. Nous résumerons notre pensée en signalant qu'en termes de communication et de représentation, il y a un temps pour la promotion des hommes et un temps pour la promotion des hommes et que cette promotion doit être assurée par l'autre groupe. Si l'on n'accorde pas un certain pouvoir aux femmes, elles ne pourront, le moment venu être des faiseuses de rois et inversement. Telle est bien la logique circulaire de l'aller-retour, ce qui correspond à un écosystéme. Les astrologues qui n'ont pas encore adopté une telle démarche mentale risquent de développer une vision par trop rigide du passage d'une phase à l'autre alors qu'on est dans le mouvement et le mouvant (le mutable). La pratique des élections "primaires" montre bien l'empiétement d'une phase sur la suivante, la campagne électorale anticipant largement sur le calendrier considéré. Cela dit, il ne s'agit pas de laisser entendre qu'il y aurait équivalence entre les deux sexes. La phase équinoxiale tend vers le bas, la dérivation et la phase solsticiale tend vers le haut, la matricialité. La phase équinoxiale tend à terme vers le pluriel, vers la collégialité, la multiplication et la phase solsticiale vers le singulier, le retour à l'origine, donc vers le pouvoir d'un seul, à partir duquel se développera justement la dérivation. ce qui ne fait pas appel aux mêmes capacités. Autrement dit, la dérivation féminine implique que la roche de Sisyphe atteigne le sommet pour qu'elle soit amenée à en redescendre et la matricialité masculine implique que la roche doit descendue pour qu'il faille la remonter, ce qui implique une recomposition de ce qui a pu se décomposer. Cercle vicieux ou cercle heureux.... On aura compris que la prévision astrologique exige d'assumer certains paradoxes, faute de quoi elle risque d'être prise en défaut. JHB 30 03 23

Jacques halbronn La question des fausses pistes à propos du collectif Solleil & Lune en Astrologie dir André Barbault (1953)

Jacques Halbronn La question des fausses pistes à propos du collectif "Soleil & Lune en Astrologie" dir André Barbault (1953) Il y a 70 ans paraissait, après Jupiter-Sature, un volume sur les luminaires, dans le cadre du Centre International d'Astrologie. Le volume Mars- Vénus annoncé ne paraitra jamais mais Uranus et Neptune seront bien diffusés. En cette même année 1953, se tint un important Congrès International d'Astrologie à Paris, au Palais de la Mutualité et pendant 20 ans, Paris n'accueillera plus le moindre Colloque national ou international.(jusqu'au congrès de septembre 1974 à l'Hotel Méridien) alors que des colloques annuels se tenaient régulièrement en Angleterre et en Allemagne. Depuis, cinquante ans, la France a remarquablement rattrapé son retard, en grande partie, grâce à nous, faut il le souligner. Nous voudrions ici insister sur la notion de dualité en Astrologie, puisque cette série de volumes met en exergue des "couples" planétaires. https://www.amazon.fr/Soleil-Lune-astrologie-Andr%C3%A9-Barbault/dp/B000XA6E0C) Or, il nous semble que ce fut là une fausse piste. A commencer par le fait que nous ne pensons pas que les planétes incarnent des valeurs car cela est du ressort des signes et plus largement du cycle des saisons. Une telle erreur était d'ailleurs courante dans les années cinquante puisque Michel Gauquelin (à partir de 1955), va s'efforcer assez vainement de valider les significations planétaires, par la méthode statistique (L'influence des astres, Ed du Dauphin). Le thème natal està la base de ces diverses significations planétaires, marquées par l'usage d'une mythologie polythéiste. Le pire, c'est qu'en s'intéressant aux polarités célestes, l'on allait négliger les polarités terrestres que sont les hommes et les femmes. D'ailleurs, quand on interroge les astrologues sur le masculin et le féminin,ils nous renvoient aux attributions planétaires et en l'occurence le soleil correspondrait au masculin et la lune au féminin, tout comme Mars et Vénus, respectivement. Pour notre part, nous avons pensé que parallélement au balisage du monde céleste, il convenait de procéder au balisage du monde terrestre et que l'astrologie devait tout autant s'intéresser à l'astronomie qu'à l'anthropologie et précisément ce qui distingue l'astrologie de l'astronomie, c'est cette double allégeance, ce double regard. D'où l'intérêt de la formule 'anthropocosmologie". chère à nos amis belges.http://s160463743.onlinehome.fr/fdaf/vanaise_jacques.htm. Dans le cas du Soleil, son rôle n'est point d'être en dialectique avec la Lune - et même la division en 12 de l'écliptique nous semble bien contestable astrologiquement parlant et c'est une élaboration qui n'engage que les astronomes en leur méta-langage. Le Soleil, à lui tout seul, variera de tonalité en passant notamment par les quadrants saisonniers, le soleil de printemps n'est pas celui de l'Eté et ainsi de suite donc il peut prendre les visages les plus divers de par sa polysémie. On peut donc regretter que le CIA et notamment Barbault, n'aient points cherché à approfondir les notions d'équinoxe et de solstice, comme nous l'avons fait, ce qui eut été bien plus profitable. Certes, Barbault publiera-t-il dans la foulée la série des volumes zodiacaux (Ed Seuil)/. Mais entre ces deux extrémes, le symbolisme planétaire et le symbolisme zodiacal, il n'accédera pas - il fera l'impasse - au symbolisme saisonnier à base 4 voire à base 2. On trouve cependant quelque intérêt à propos du thème d'"ingres" saisonnier dans la littérature astrologique http://nofim.unblog.fr/2013/09/30/les-ingres-un-outil-pour-debutant-en-astrologie/ Signalons le récent texte " L’ingrès de printemps" par Patrick Giani qui écrit "En astrologie, nous accordons beaucoup d’importance aux solstices et aux équinoxes car ce sont eux qui rythment les saisons. C’est pourquoi nous dressons une carte du ciel du moment où le Soleil arrive au premier degré du Bélier (équinoxe du printemps) du Cancer (solstice d’été) de la Balance (équinoxe d’automne) et du Capricorne (solstice d’hiver)." Nous avons signalé que pour nous les changements "saisonniers" ne se produisaient pas sur l'axe Bélier-Balance ou Cancer Capricorne mais sur l'axe Poissons- Bélier et Gémeaux-Sagittaire. Par la suite, Barbault, dix ans plus tard, prendra une autre option, celles des conjonctions planétaires, diversement réparties et cette diversité de répartition (déjà abordée par Caslant et Gouchon) deviendra sa référence primordiale, déjà en 1963 dans La crise mondiale, Albin Michel. Que Barbault ait publié, dans la série concernée, un "Uranus-Neptune" avec Jean Carteret, à savoir deux planétes transsaturniennes, fait évidemment probléme mais c'est bien le trio Uranus- Neptune Pluton qui sous tend son indice cyclique tout comme cela sous tend le RET de l'Astrologie conditionnaliste de Jean-Pierre Nicola. Là encore, une fausse piste. JHB 30 03 23

Jacques Halbronn salue la référence à des événements antérieurs du mêm...

mercredi 29 mars 2023

jacques halbronn Astrologie EXOLS Equinoxes matrice, Solstice, dérivée.

jacques halbronn Astrologie EXOLS Equinoxe matrice, Solstice, dérivée. A la lumière de nos recherches en linguistique diachronique, nous pensons être en mesure de préciser encore mieux les notions d'équinoxialité et de solsticialité. Tout le débat politique ne tourne-t-il pas actuellement sur la question diachronique de l'oeuf et de la poule, du chef et du peuple? A l'aune de nos acquis linguistiques, nous dirons que la solsticialité est plurielle- le peuple et l'équinoxialité, singulière- le chef.. D'où la thèse que nous pronons, à savoir que le peuple dérive, se constitue à partir du chef et non point l'inverse. Cela dit, en phase solsticiale, le chef passe la main au peuple, se décharge sur lui pour un temps, quitte à reprendre l'affaire au bout de 7 ans. La phase solsticiale est une forme d'hibernation (solstice d'hiver) ou de vacances (solstice d'Eté). Ces périodes permettent de relâcher la pression exercée par le pouvoir en passant le relais à des personnes moins impressionnantes, moins humiliantes du fait de leur supériorité intellectuelle, de leur sens stratégique. On aura compris que tous les 15 ans, avec le retour d'une phase équinoxiale, le temps de la verticalité est à nouveau à l'oeuvre et que les personnes mises en avant en phase solsticiale vont devoir s'effacer pour les 7 ans à venir, ce qu'ils ne feront pas nécessairement de bonne grâce, d'où des résistances qu'il faudra briser en faisant appel aux "bonnes personnes" : the right man, a the right time, at the right place". En phase solsticiale, on a affaire au geai paré des plumes du paon (La Fontaine). Cela dit, nous avons expliqué que la période solsticiale impliquait une alliance entre ce qui est tout en haut et ce qui est tout en bas, à savoir les génies et les femmes sur le dos des hommes "moyens" qui avaient occupé le terrain en phase solsticiale. . En linguistique diachronique, le féminin dérive du masculin, tout comme le pluriel du singulier. Il faut donc s'attendre à ce que les femmes se regroupent autour des mâles dominants pour prendre leur revanche sur les hommes ordinaires. JHB 29 03 23

jacques halbronn Linguistique diachronique Formes matricielles et formes dérivées en français

Jacques halbronn Linguistique diachronique .Formes matricielles et formes dérivées en français On entend parfois que la forme "fol" serait plus ancienne que la forme "fou". Il s'agit là d'une contre vérité, et littéralement d'un contre sens puisque c'est l'inverse qui est correct. Pour nous en convaincre, il convient de se servir de la notion de dérivé, fol dérive-t-il de fou ou bien serait-ce l'inverse.? Selon nous la forme dérivée est logiquement précédée de l'état matriciel. Or, c'est fol qui est à rapprocher de folle, de folie, de follement, d'affoler etc alors que fou ne reléve pas d'un ensemble de dérivations. De même pour bel qui dérive de beau et non l'inverse, d'où le féminin belle, le verbe embellir ou encore vieux qui précéde vieil, vieille, vieillissement, vieillir. La multiplicité caractérise les dérivés alors que la matrice est toute seule. Nous donnerons ici toute une série complémentaire de cas pour illustrer notre thèse diachronique laquelle doit prévaloir sur des documents qui iraient en sens contraire. Chaque fois le U- ou plutôt le V- laisse la place au L. pour former le féminin, un adverbe, un verbe, autant de dérivés. marteau, martel verbe marteler puceau, pucelle, dépuceler chapeau, chapelier sceau, sceller niveau, niveler ciseau ciseler peau, peler chateau, chatelain, chatelier Vaisseau, vaisselle, vaisselier Eux -ils/ elle (s) Au - A la Du - De la Je veux, je voulais, volonté Seul, Solitude, isolement sauveur, salut, salvation (anglais) Il nous apparait nécessaire de rappeler que la lettre U et la lettre V ne faisaient qu'un, comme c'est d'ailleurs le cas en hébreu avec le "Vav". L'anglais appelle le "w", "double "u" et l'on observera que "un peu" donne "a few" en anglais. Le français "jeune" (=Jevne) est à rapprocher de l'espagnol 'joven" et de l'italien "giovane" Le U serait donc une consonne et non une voyelle, ce qui fait pendant au N, à la base des diphtongues (an, en, in,on) et dans les deux cas, en cas de dérivation, le N se prononcera pas tout comme le U.V muet au niveau matriciel. JHB 29 03 23

jacques halbronn Asrrologiie et Linguistiuqe. Respecter et restituer les couleurs sonores du français La notion de dégradation.

jacques halbronn Astrologie et Linguistique. Respecter et restituer les couleurs sonores du français. La notion de dégradation. La langue française se distingue nettement de la famille des langues dites latines de par sa richesse phonologique. L’on sait que les locuteurs « latins » ont le plus grand mal à produire le son « u » ou le son « e » alors que c’est à la base de la phonologie du français. En revanche, ces deux sons sont formalisés en allemand, à l’écrit, avec le u et le o « umlaut » (avec trema) Google. « Prononciation de l’Umlaut en allemand : ä – ö – ü Ces deux points au-dessus de la lettre s’appellent en allemand un Umlaut. Nous allons voir des exemples comportant les lettres ä – ö – ü. Pour commencer voici des exemples de mots comportant un ö. 1/ können = pouvoir / être capable de Können Sie mir zeigen, wie das funktioniert? = Pouvez-vous me montrer comment cela fonctionne ? funktionieren = fonctionner Ich könnte es heute machen. = Je pourrais le faire aujourd’hui. heute = aujourd’hui können Sie das bitte wiederholen? = Pouvez-vous répéter, s’il vous plaît ? 2/ mögen = avoir envie de / vouloir Ich möchte gern mit dir ins Kino gehen. = J’aimerais bien aller au cinéma avec toi. das Kino = le cinéma Ich möchte dich keinesfalls stören. = Je ne veux en aucun cas te déranger. keinesfalls = en aucun cas Ich möchte einen alkoholfreien Aperitif. = Je voudrais un apéritif sans alcool. der Aperitif = l’apéritif 3/ öffnen = ouvrir Das neue Geschäft wird nächste Woche öffnen. = Le nouveau magasin va ouvrir la semaine prochaine. werden = devenir / sert à former le futur : werden + infinitif die Woche = la semaine Könntest du bitte das Fenster öffnen? = Pourrais-tu ouvrir la fenêtre, s’il te plaît ? 4/ glücklich = heureux / chanceux Deine Oma wird sehr glücklich sein. = Ta mamie va être heureuse. die Oma = la mamie Darum bin ich jetzt so glücklich. = Voilà pourquoi je suis si heureux maintenant. Man kann nicht immer glücklich sein. = On ne peut pas toujours être heureux. 5/ müde = fatigué Du musst müde sein nach so einer langen Reise. = Tu dois être fatigué après un si long voyage. müssen = devoir die Reise = le voyage Du scheinst mir sehr müde. = Tu me parais très fatigué. scheinen = paraître / sembler / briller Ich bin müde und möchte schlafen. = Je suis fatigué et je voudrais dormir. mögen = avoir envie de / vouloir / bien aimer faire quelque chose 6/ erklären = expliquer / déclarer Ich kann es Ihnen erklären. = Je peux vous l’expliquer. Kannst du mir das nochmal erklären? = Peux-tu me l’expliquer encore une fois ? können = pouvoir / être capable de nochmal = encore une fois Ich werde alles erklären, versprochen. = Je vais tout expliquer, promis. alles = tout – pronom indéfini 7/ der Nächste = le suivant / le prochain Wo ist der nächste Taxistand? = Où est la station de taxis la plus proche ? der Taxistand = la station de taxi Ich komme nächste Woche wieder. = Je reviendrai la semaine prochaine. die Woche = la semaine Wann ist der nächste Feiertag? = Quand est le prochain jour férié ? 8/ der Bär = l’ours Ein Bär kann auf einen Baum klettern. = Un ours peut grimper à un arbre. der Baum = l’arbre klettern = grimper / escalader Er brummt immer wie ein Bär. = Il grogne toujours comme un ours. brummen = grogner / marmonner / bourdonner 9/ das Mädchen = la fille / la gamine / la gonzesse Sie gab dem kleinen Mädchen heiße Milch zu trinken. = Elle donnait du lait chaud à boire à la petite fille. geben = donner klein = petit heiß = chaud die Milch = le lait Sie ist das hübscheste Mädchen der ganzen Schule. = Elle est la plus jolie fille de toute l’école. hübsch = joli ganz = en entier / tout die Schule = l’école Sie war eines der schönsten Mädchen. = Elle était une des plus belles filles. 10/ zählen = compter Ich zähle bis zehn. = Je compte jusqu’à dix. Auf dich kann man ja nicht zählen! = On ne peut pas compter sur toi ! können = pouvoir / être capable de Kannst du schon bis zehn zählen? = Peux-tu déjà compter jusqu’à dix ? » Nous avions déjà signalé le probléme des marqueurs de genre en allemand comme pour klein et kleine en notant que l’allemand ne savait pas rendre à l’oral la forme « ein » comme le fait le français quand il distingue le masculin « un » et le féminin « une », avec diphtongation au masculin et décomposition au féminin, faisant ressortir la lettre « n » qui n’apparait que dans la dérivation féminine, si l’on admet notre thèse d’une décomposition en passant du haut vers le bas. Le français s’articule sur un principe de verticalité; ce qui est en haut tendant à se dégrader au fur et à mesure de son éloignement de la matrice , ce qui rattache notre propos à notre astrologie EXOLS avec le passage de l’équinoxialité à la solsticialité, ce que nous rapprochons de la théorie du Big Bang impliquant une très grande concentration d’énergie au commencement du processus. Wikipedia »Le Big Bang (« Grand Boum »a) est un modèle cosmologique utilisé par les scientifiques pour décrire l’origine et l’évolution de l’Univers1. De façon générale, le terme « Big Bang » est associé à toutes les théories qui décrivent notre Univers comme issu d’une dilatation rapide. Par extension, il est également associé à cette époque dense et chaude qu’a connue l’Univers il y a 13,8 milliards d’années, sans que cela préjuge de l’existence d’un « instant initial » ou d’un commencement à son histoire. » Or, selon nous, la langue française ne peut s’appréhender pleinement qu’au prisme d’un tel phénoméne de concentration suivi d’une dilatation avec le passage de la diphtongue vers une forme dérivée moins sophistiquée comme dans violon/violoniste ou avec la forme en « eu » et « ou »: vieux passe à vieillle, vieillesse, vieillard, vieillissement et mou passe à molle, mollesse, mollement, ramollissement.ou encore fou passant à folle, folie, follement, affolement. Dégradation marquée par la perte d’une certaine qualité sonore que le français aura su pérenniser à l’oral, c’est à dire à une certaine lecture de l’écrit. Ainsi, l’ascendant que le français aura très tôt exercé sur d’autres langues tiendrait à cette supériorité non pas tant de son lexique que de sa qualité phonologique. Certes, il serait bon de réformer le français là où il a pu se dégrader du fait d’un certain mimétisme qui aura conduit les formes inférieures de la langue à en copier les formes supérieures avec notamment le maintien indu de la diphtongation au féminn comme grande qui maintien la diphtongue du masculin ou les substantifs et les adverbes en « ent » qui s’absfiennent à tort de rendre le son du « n ». A ce propos, force est de constater que les autres langues n’ont pas suivi ce biais et doivent en ce sens nous servir d’exemple comme pour la prononciation de « differente » qui ne saurait s’aligner sur le masculin « différent » diphtongué. JHB 29 03 23

jacques halbronn Astrologie EXOLS Poutne à 15 ans d'intervalle 2007-2022. L'axe des mutables

jacques Halbronn Astrologie EXOLS Poutine à 15 ans d’intervalle: 2007-2022 L'axe des mutables Poursuivant nos investigations sur les récurrences de situation à intervalles correspondant à un demi cycle de Saturne, nous renvoyons à l’article ci-dessous (vidéo) Internet: « Russie : ce discours de Vladimir Poutine en 2007 qui résonne avec la crise actuelle en Ukraine Lors d’une conférence sur la sécurité il y a quinze ans, le président russe avait développé sa vision du monde et dénoncé l’unilatéralirisme des États-Unis. Article rédigé par Sylvain Tronchet Radio Francejacques Halbronn Astrologie EXOLS Poutine à 15 ans d'intervalle: 2007-2022 dans ASTROLOGIE placeholder-36b69ec8 Le président russe Vladimir Poutine prononce un discours lors de la 43e édition de la conférence de Munich sur la sécurité, le 10 février 2007. (DMITRY ASTAKHOV / POOL / AFP) Le président russe Vladimir Poutine prononce un discours lors de la 43e édition de la conférence de Munich sur la sécurité, le 10 février 2007. (DMITRY ASTAKHOV / POOL / AFP) » Ce que ne signale évidemment pas l’auteur, c’est qu’en 2007, on avait exactement la même configuration astronomique qu’actuellement, à savoir le passage de Saturne sur l’axe Poissons- Vierge. Tout se passe comme si le seul fait de ce « transit » de Saturne sur cet axe « saisonnier » avait conduit Poutine à mettre les pieds dans le plat. Certes, le transit n’aura lieu qu’en septembre 2007 mais il nous est apparu à plusieurs reprises qu’un effet d’anticipation de plusieurs mois (et parfois même un peu plus) était à prévoir lors des changements septénaux de phase. Le début d’une phase équinoxial met fin à un certain laxisme propre à la phase solsticiale auquel il convient de mettre le hola. Voilà qui vient confirmer toute l »importance de l’axe mutable et les astrologues qui auraient misé sur le passage sur l’axe cardinal auraient été dépassés par les événements. Ce fut d’ailleurs notre erreur en 1976 quand nous avions publié nos graphiques dans la première édition de Clefs pour l’astrologie, restant piégés par une certaine orthodoxie astronomique liés aux équinoxes et aux solstices. alors que par ailleurs, dans le judaisme, l’on sait que le Vendtedi est appelé « veille (erev) du Shabbat ». Un des Dix Commandements stipule « Souviens-toi du jour du sabbat pour le sanctifier. Pendant six jours tu travailleras et tu feras tout ton ouvrage mais le septième jour est le jour du repos, sabbat en l’honneur du Seigneur ton Dieu. Tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni tes bêtes, ni l’immigré qui est dans ta ville. Car en six jours le Seigneur a fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qu’ils contiennent, mais il s’est reposé le septième jour. C’est pourquoi le Seigneur a béni le jour du sabbat et l’a sanctifié »https://erevshabbat.org/fr/pourquoi-erev-shabbat/ Jusqu’à ce que nous découvrions qu’il fallait avancer les temps, nos corrélations cycliques s’avéraient assez décevantes même si dès 1994, nous avions publié un tableau montrant que Saturne n’était pas encore en Bélier lors de nos sondages (cf L’Astrologie selon Saturne) Nous avons même proposé récemment de décaler d’un tiers la précession des équinoxes, ce qui donne une différence d’environ 600 ans pour le changement d’ère, ce qui nous ferait entrer bien plutôt dans l’ère du Verseau, autour de la Renaissance. . JHB 29 03 23

Jacques halbronn Astro. En début de phase équinoxiale, les réformes s...

mardi 28 mars 2023

jacques halbronn L4astrollogie seta scientifique ou ne sera pas

jacques halbronn L’astrologie sera scientifique ou ne sera pas. L'astrologie science du XXIe siècle Postulat ... / Elizabeth Teissier / Réf60394 | eBay En 1994, Eizabeth Teissier, publiait chez Belfond, un ouvrage intitulé L’astrologie science du XXIe siècle (https://www.afis.org/These-d-Elizabeth-Teissier-reactions-dans-les-medias-2)/ Tout dépend évidemment de quelle astrologie il s’agit. Selon nous, le monde aura impérativement besoin d’une astrologie « scientifique, » selon la formule en vogue il y a un siècle chez Un Paul Choisnard. Sera-t-elle prêtre à jouer ce rôle dans les prochaines années? Nous le pensons car l’astrologie aura progressé considérablement dans ce sens, ces dernières années, même si en 1994, elle avait déjà en partie trouvé le bon cap (cf nos Clefs pour l’Astrologie Ed Seghers, Seconde édition, 1993) mais il lui restait encore du chemin à parcourir, des obstacles épistémologiques à franchir comme la question cruciale du balisage des frontières entre phases.(cf notre Astrologie EXOLS en ses dernières moutures) Le spectacle auquel nous assistons actuellement tant sur la scéne internationale que national, préfigure les derives qui nous attendent. C’est la crise des institutions qui est à l’ordre du jour et notamment du « Droit » lequel repose sur des sables mouvants, tel un chateau de cartes. En effet, ces constitutions que l’on nous a proposés depuis plus de deux siècles, ont fait long feu et les gens n’y croient plus car leurs fondements sont factices parce que fabriqués de toutes pièces par les humains et quant à la Loi telle qu’elle est exposée dans la Bible, elle est également suspecte -on pense à ces « Dix Commandements » qui ne sont qu’une emplatre sur une jambe de bois. C’est pourquoi l’astrologie, avec son aura cosmique, nous apparait de plus en plus comme la solution d’avenir sous la forme de phases de 7 ans en 7 ans annoncées d’ailleurs dans le Livre de la Genése. C’est ce que nous avons appelé une astrologie « équinoxiale », cyclique, collective par opposition à cet artisanat et ce bricolage de l’astrologie solsticiale dont la pièce maitresse est le thème natal individuel… Qu’entendons nous par scientifique? Une astrologie qui propose une cyclicité régulière, récurrente, dont chacun peut prendre connaissance et qui s’applique tant au passé qu’au futur selon un seul et même pattern. Il faut comprendre que l’astrologie « solsticiale » est née de l’échec de l’astrologie équinoxiale, c’est un pis aller, un cache misère et la phase solsticiale, ce sont les vaches maigres dont parle Joseph, et qui succédent aux vaches grasses. Il est temps de ne plus se contenter de cette astrologie besogneuse. du pauvre, complétement imprévisible et qui ne fonctionne qu’au coup par coup. JHB 27 03 23

jacques halbronn La démocratie implique une cyclicité, un passage de ...

jacques halbronn L'enjeu des élections ne doit pas être le programme m...

Jacques Halbronn Cyclologie Quand la démocratie devient démagogie et l...

Jacques halbronn Linguistique et cyclologie. Le cycle Dérivation et Matricialité.

jacques halbronn Linguistique et Cyclologie. Le cycle Dérivation et Matricialité. Nous voudrions ici mettre en évidence la dimension cyclique qui sous tend l’usage des langues et notamment du français, pour nous, la langue pilote. Le passage de la forme matricielle la plus condensée vers des formes dérivées multiples n’est pas sans évoquer la théorie cosmologique du « big bang ». On parlera alors d’évolution par opposition au temps de l’involution, consistant à remonter des dérivées vers la matrice. Dans le cas de notre modéle/pattern qu’est la langue française restituée, la matrice se caractérise par une contraction, une concentration que nous associons à la notion de diphtongue dont le français est si friand et inversement quand la diphtongue se dissout, c’est le passage à la dérivation. C’est ainsi que l’on passera de « nation » à « national », de violon à violoniste et ainsi de suite. Une autre forme de matricialité concerne le passage du « au » à « al », comme quand on va du masculin au féminin : il se rend au marché, il rentre à la maison. Il y a une chaine de dérivés: on passe du féminin à l’adverbe et au verbe. Grand (masculin), grande (féminin), grandement (adverbe) et beau- belle- embellir (verbe). On passe de vieux, à vieille, à vieillesse, vieillir, vieillissement.. Nous voyons là un processsus cyclologique dans cet aller retour de la matrice vers ses dérivées et vice vera. Ce qui nous renvoie à nos travaux en astrologie avec l’alternance des phases « matricielles » d’équinoxialité et « dérivées de solsticialié. L’équinoxialité va du haut vers le bas et la solsticialité du bas vers le haut, c’est à dire de l’élite vers le peuple et du peuple vers l’élite. JHB 28 03 23

lundi 27 mars 2023

Jacxques halbronn Astrologies solsticiale versus équinoxiale et la phase équinoxiale actuelle.

Jacques halbronn Astrologies solsticiale versus équinoxiale et la phase équinoxiale actuelle. Selon notre redéfinition des notions de solsticialité et d'équinoxialité, nous dirons que l'on qualifiera une astrologie qui s'accommode d'une certaine complexité de solsticiale à l'inverse d'une astrologie qui prône la réduction du nombre de paramétres, laquelle nous traiterons d'équinoxiale., ce qui implique que l'une sera favorisée par les phases solsticiales de Saturne et l'autre par ses phases équinoxiales, notre caractérologie se voulant connectée à une cyclicité spécifique. Autrement dit, il semble possible de proposer une histoire de l'astrologie oscillant entre ces deux temporalités à savoir 1 une astrologie à tendance syncrétique, combinant tout un arsenal de techniques diverses lesquelles "cohabiteraient" et le thème natal serait typique d'une telle astrologie solsticiale exigeant un certain art de l'interprétation, de la synthèse. 2 une astrologie visant à la simplicité, plus accessible au grand public - comme l'astrologie solaire des 12 signes, se prétant plus à la statistique et ne recherchant pas à appréhender l'individualité mais axée sur un déterminisme collectif et synchronique. Voyons donc si la succession et l'alternance des phases (selon l'Astrologie EXOLS)) met en évidence une telle dualité, dans le temps et dans l'espace. Si l'on prend le cas d'André Barbault, L'on note que les volumes typologiques qu'il dirige sur les couples Soleil Lune, Jupiter Saturne, Uranus Neptune relévent d'un Zeitgeist équinoxial Ce qui est bel et bien le cas tant en 1953 qu'en 1981, à 28 ans d'intervalle (soit un cycle complet de Saturne) 1953 Soleil et lune en astrologie . André Barbault. Armand Barbault. Gustave-Lambert Brahy. Henri Fortin. Guy Fradin. A.-M. Grimm... [Etc. Introduction par André Barbault.] Ed. Centre international d'astrologie, Section psychologique. tout comme celle des éditions Sand Tchou et Solar, au début des années 80. 1981 Le Scorpion / Catherine Aubier ; sous la dir. de Jacques Halbronn / Ed/ Solar Par ailleurs, Barbault publie les Astres et l'Histoire en 1967, Ed Pauvert, également en phase équinoxiale, 14 ans après Soleil-Lune. Pour notre part, en 1993-94, nous contribuions à une telle Astrologie équinoxiale, notamment avec notre brochure L'Astrologie selon Saturne, en début de phase équinoxiale, une seule planéte passant par le même point du ciel servant à couvrir deux siècles d'Histoire de France, de 1789 à 1995. On peut raisonnablement penser que la nouvelle phase équinoxiale qui se profile actuellement devrait être favorable au courant d'une Astrologie équinoxiale,marquée par une recherche de simplicité et de concision. Inversement, quand Barbault publie sue Astrologie et psychanalyse en 1961, on est passé en phase solsticiale. (De la psychanalyse à l'astrologie/ André Barbault,...Publication : Paris : Éditions du Seuil , 1961) Il conviendrait d'inclure pour le XXIe siècle les publications sur support numérique. On pense aux actes de Colloque de 2000 et 2004 que nous avons (co-organisés en période solsticiale (voir sur You Tube et sur le site du CURA de Patrice Guinard) et qui sont foisonnants et ouverts aux formes les plus diverses d'astrologie tout comme celui de 2015-2016 (au Palais de la Chine) mais cela vaut pour les colloques de 1974-1975, qui firent participer et cohabiter toutes sortes de personnalités, tout comme au sein de la Faculté libre d'Astrologie de Paris (fondée en 1975), autour de Catherine Aubier, Marielle Clavel (Garrel), Jacqueline Belluc et Olivier Peyrebrune que l'on retrouve en 2015. Les Colloques auront été notre côté solsticial faisant contre poids à nos recherches "équinoxiales".

Jacques Halbronn Astrologie hybride solsticiale versus Astrologie syst...

jacques halbronn Astrologie Sociétale. L'alternance équinoxial/solsticial de préfére à celle de la Gauche et de la Droite

jacques halbronn Astrologie sociétale. L’alternance équinoxial/solsticial de préférence à celle de la Gauche et de la Droite Nous proposons de reformuler notre grille de lecture en améliorant les termes. Les notions de gauche et de droite nous apparaissent comme empiriques, il vaut mieux distinguer les temps de compromis (horizontalité) et les temps de rigueur (verticalité). Les exemples fournis mettent en évidence d’une part une alternance entre les deux poles (avec un écart de 7 ans environ) et d’autre part, un intervalle d’environ 14 ans pour retrouver une configuration analogue. I La cohabitation solsticiale Nous montrerons que les phases équinoxiales ne permettent pas le partage du pouvoir alors que les phases solsticiales seraient celles du « en même temps. C’est ainsi que lorsqu’une élection a lieu en phase solsticiale (axe gémeaux-sagittaire), cela va favoriser la cohabitation, sous une forme ou sous une autre. Nous donnerons en exemple une série de quatre dates: 1974 1986 2002 et 2017 avec des intervalles autour de 14 ans, dans la vie politique française sous la Vé République. Ce que nous appelons ici « cohabitation » n’aura pas nécessairement identifié comme tel et c’est à l’astrologue de montrer qu’elles relévent d’une même problematique néanmoins, correspondant à l’esprit propre à une phase solsticiale. 1974 L’élection de Giscard d’Estaing passe par une alliance avec Jacques Chirac qui entraine avec lui une partie des « gaullistes ». Chirac n’est pas un premier ministre n’existant que par le fait du Prince mais en ce qu’il constitue une force politique d’appoint. D’ailleurs, en 1976, il renoncera à ce poste. 1986 Cette fois, on a affaire à une cohabitation, désignée comme telle sous la présidence Mitterrand. 2002 Du fait du duel Chirac -Jean Marie Le Pen, les socialistes sont forcés de faire voter Chirac, Jospin, premier ministre sortant, n’étant arrivé que troisiéme au premier tour. 2017 Emmanuel Macron devient Président de la République en recrutant des gaullistes comme Lemaire et Edouard Philippe mais aussi des hommes de gauche, lui même ayant été ministre sous Hollande.. II Le barrage équinoxial Passons à présent à l’autre cas de figure, en phase équinoxiale, cette fois, et marqué par un échec de la Gauche/ 1962, 1978, 1993, 2007, 2023. avec des intervalles tournant autour de 14 ans. En 1962 (on approche de la phase équinoxiale), De Gaulle dissout l’Assemblée Nationale, à la suite d’une motion de censure qui met en minorité son premier Ministre, Géorges Pompidou, due à une opposition à une réforme du mode d’élection du Président de la République. Il obtient une assemblée qui lui est acquise et sera réélu en 1965 en phase équinoxiale. . 1978 Les législatives ne permettent pas aux socialistes d’obtenir une cohabitation sous Giscard. En 1983, interviendra un revirement de la politique de Mitterrand, élu en 1981 qui décevra ses partisans. 1993. Les législatives sont perdues par Mitterrand, en fin de mandat. Balladure Premier Ministre. L’assemblée élue sera dissoute en 97 par Chirac. 2007 La socialiste Ségoléne Royale perd face à Nicolas Sarkozy, aux présidentielles. 2023 L’opposition à Macron, président sortant, n’obtient pas la majorité à l’Assemblée Nationale et ne peut imposer une cohabitation. JHB 27 03 23

Jacques Halbronn Les échéances équinoxiales de 1962 à 2023 et les éch...

dimanche 26 mars 2023

Jacqyes halbronn La notrion de frontière de temps en astrologie. Les rites de passage

jacques halbronn La .notion de frontière de temps en Astrologie. Les rites de passage. On connait de Blaise Pascal, le célèbre philosophe français du XVIIe siècle, auteur des "Pensées" la formule "Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà". Mais il serait bon de passer du référentiel d'espace à celui de temps d'où l'importance du balisage de la course des, associée notamment au Zodiaque . La question des frontières est au coeur de notre Astrologie EXOLS qui segmente le cycle de Saturne en 4 périodes de durée égale, qui sont autant de frontières temporelles qui chaque fois impliquent un certain rite de passage. A quelques mois près, le climat social peut changer du fait d'un changement de phase, ce qui condamne le processus électoral ordinaire qui ne tient aucunement compte de cela et fixe arbitrairement ses propres frontières sans disposer des moyens biotechnologiques pour que cela soit suivi d'effets à la différence des "dieux" ayant crée notre monde et qui avait la logistique adéquate. Il importe de souligner l'importance de l'ascenseur connectant l'étage équinoxial et l'étage solsticial. On observe ce paradoxe, à savoir que les changements de phase conduisent à des réactions, à des résistances liées à la phase précédente. Si comme nous l'avons montré, ailleurs, la fin de phase équinoxiale génére un retrait, un recul des élites au profit des gens d'en bas, ce qui correspond au début d'une phase solsticiale, en revanche, comme on peut l'observer couramment, en fin de phase solsticiale, la réciproque ne semble pas fonctionner pleinement quant au passage de relais, et ceux qui ont baigné dans le bain solsticial ne semblent guère disposés à en sortir. Dans notre ouvrage "L'astrologie selon Saturne", paru il y a 30 ans, nous avons associé le passage de Saturne en Poissons aux mouvements sociaux, ce qui pouvait préter à confusion car les dits mouvements ne correspondaient pas à l'esprit de la phase mais s'y opposaient. On risquait donc d''associer équinoxialité à mouvement social alors qu'il s'agissait là d'une réaction de rejet à caractère solsticial. Autrement dit, l'équinoxialité correspond à une verticalité quand bien même; elle produirait des réactions "horizontales", au nom de la "démocratie". Dans notre étude, nous avions justement cru bon d'associer 1789 à un passage de Saturne en poissons alors que la dite Révolution était bel et bien de nature solsticiale avec notamment l'abolition des priviléges et l'instauration d'une monarchie parlementaire avant de passer à la République, en 1992. Il reste que la référence démocratique correspond au temps solsticial et la réforme voulue par le pouvoir verticale au temps équinoxia. En tout état de cauuse, il serait bon que dès l'école, les enfants apprennent la nécessité structurelle d'une telle alternance et ne se persuadent pas que la démocratie est la panacée universelle. __________________________________________________________________________________________ Annexe Sur le colloque autour l'entrée de Pluton en Verseau, fin mars 2023 Etrangement, cette rencontre coincide avec le passage de Saturne sur l'axe Poissons Vierge, si crucial en Astrologie EXOLS. Nous sommes donc en présence de deux écoles d'astrologie se fixant sur le même mois de Mars 2023. Il y a là une symbolique remarquable confrontant deux visions radicalement différentes de l'Astrologie, l'une monoplanétaire (Astrologie selon Saturne), l'autre polyplanétaire (Colloques Pluton) Mais l'on retiendra que l'on est passé à une ère post-Barbault qui revient au rapport planéte -Zodiaque avec laquelle André Barbault avait voulu rompre dès les années 50 du siècle dernier avec l'accent mis sur le cycle Saturne Neptune puis avec l'indice cyclique, pronant ainsi un tout planétaire ne tenant plus aucun compte de la présence planétaire en rapport avec le cycle tropique des saisons. SAMEDI 25 MARS 2023 Forum 104, 104 rue de Vaugirard 75006 PARIS Association SOURCE L’ENTRÉE DE PLUTON EN VERSEAU : LE SOUFFLE D’UN NOUVEAU MONDE Denis Avronsard, président de Source, Catherine Gestas, Elisabeth Frésard, Marie-Noëlle Baudron, Lynn Bell, Claire Decroix, Josette Bétaillole, Martine Barbault, Luc Bigé, Denis Labouré Denis Avronsard, président de Source, Catherine Gestas, Elisabeth Frésard, Marie-Noëlle Baudron, Lynn Bell, Claire Decroix, Josette Bétaillole, Martine Barbault, Luc Bigé, Denis Labouré Dans ce Congrès d’Astrologie organisée par l’Association Source, qui se déroulera le samedi 25 mars 2023, interviendront Denis Avronsard, président de Source, Catherine Gestas, Elisabeth Frésard, Marie-Noëlle Baudron, Lynn Bell, Claire Decroix, Josette Bétaillole, Martine Barbault, Luc Bigé, Denis Labouré. Vers quel nouveau modèle de société et de monde ? > C’est un changement de société qui touche toutes les stratifications sociales. > Changement climatique, société virtuelle, robotique, transhumanisme, renversement générationnel, montée des extrêmes. > Comment tenir compte de la complexité du monde dans lequel nous vivons ? Quelles nouvelles valeurs pourraient émerger de ces changements ? > Quel peut être l’impact de ces bouleversements pour le collectif et pour chacun d’entre nous ? > Regards croisés des astrologues sur ces remaniements actuels. Une touche artistique sera donnée à notre congrès par la présence de : * Yorgos Delphis grand pianiste pour l’animation musicale. * Anne Marie Durosier pour la présentation des vidéos et des diaporamas de notre Congrès. * Sophie Artois pour l’enregistrement vidéo Samedi 25 de 9h à 18h Tarifs en présentiel : 80 € pour les membres de SOURCE, 120 € pour les non-membres / Tarifs en distanciel via Zoom : 70 € pour les membres de SOURCE, 110 € pour les non-membres / Le congrès sera filmé intégralement : la vidéo intégrale (reprenant toutes les interventions des conférenciers) sera disponible au tarif de 90 € / Inscription obligatoire les places sont limitées Association SOURCE 06 61 18 56 17 contact@catherinegestas.com https://www.source-astrologie.com/

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samedi 25 mars 2023

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Jacques halbronn La notion de frontière de temps en astrologie

jacques halbronn Deux Colloques sur l’entrée de Pluton en Verseau, Paris et Nantes Fin Mars 2023 Posté par nofim le 25 mars 2023 jacques halbronn La .notion de frontière de temps en Astrologie. On connait de Blaise Pascal, le célèbre philosophe français du XVIIe siècle, auteur des « Pensées » la formule « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà ». Mais il serait bon de passer du référentiel d’espace à celui de temps d’où l’importance du balisage de la course des, associée notamment au Zodiaque et un récent colloque s’est tenu à Paris sur le thème de l’entrée de Pluton en Verseau. etrangement, cette rencontre coincide avec le passage de Saturne sur l’axe Poissons Vierge, si crucial en Astrologie EXOLS. Nous sommes donc en présence de deux écoles d’astrologie se fixant sur le même mois de Mars 2023. Il y a là une symbolique remarquable confrontant deux visions radicalement différentes de l’Astrologie, l’une monoplanétaire (Astrologie selon Saturne), l’autre polyplanétaire (Colloques Pluton) Mais l’on retiendra que l’on est passé à une ère post-Barbault qui revient au rapport planéte -Zodiaque avec laquelle André Barbault avait voulu rompre dès les années 50 du siècle dernier avec l’accent mis sur le cycle Saturne Neptune puis avec l’indice cyclique, pronant ainsi un tout planétaire ne tenant plus aucun compte de la présence planétaire en rapport avec le cycle tropique des saisons. SAMEDI 25 MARS 2023 Forum 104, 104 rue de Vaugirard 75006 PARIS Association SOURCE L’ENTRÉE DE PLUTON EN VERSEAU : LE SOUFFLE D’UN NOUVEAU MONDE Denis Avronsard, président de Source, Catherine Gestas, Elisabeth Frésard, Marie-Noëlle Baudron, Lynn Bell, Claire Decroix, Josette Bétaillole, Martine Barbault, Luc Bigé, Denis Labouré Denis Avronsard, président de Source, Catherine Gestas, Elisabeth Frésard, Marie-Noëlle Baudron, Lynn Bell, Claire Decroix, Josette Bétaillole, Martine Barbault, Luc Bigé, Denis Labouré Dans ce Congrès d’Astrologie organisée par l’Association Source, qui se déroulera le samedi 25 mars 2023, interviendront Denis Avronsard, président de Source, Catherine Gestas, Elisabeth Frésard, Marie-Noëlle Baudron, Lynn Bell, Claire Decroix, Josette Bétaillole, Martine Barbault, Luc Bigé, Denis Labouré. Vers quel nouveau modèle de société et de monde ? > C’est un changement de société qui touche toutes les stratifications sociales. > Changement climatique, société virtuelle, robotique, transhumanisme, renversement générationnel, montée des extrêmes. > Comment tenir compte de la complexité du monde dans lequel nous vivons ? Quelles nouvelles valeurs pourraient émerger de ces changements ? > Quel peut être l’impact de ces bouleversements pour le collectif et pour chacun d’entre nous ? > Regards croisés des astrologues sur ces remaniements actuels. Une touche artistique sera donnée à notre congrès par la présence de : * Yorgos Delphis grand pianiste pour l’animation musicale. * Anne Marie Durosier pour la présentation des vidéos et des diaporamas de notre Congrès. * Sophie Artois pour l’enregistrement vidéo Samedi 25 de 9h à 18h Tarifs en présentiel : 80 € pour les membres de SOURCE, 120 € pour les non-membres / Tarifs en distanciel via Zoom : 70 € pour les membres de SOURCE, 110 € pour les non-membres / Le congrès sera filmé intégralement : la vidéo intégrale (reprenant toutes les interventions des conférenciers) sera disponible au tarif de 90 € / Inscription obligatoire les places sont limitées Association SOURCE 06 61 18 56 17 contact@catherinegestas.com https://www.source-astrologie.com/ SAMEDI 25 MARS 2023 Nantes (44) MAHN « URANUS, DE L’IMPOSSIBLE AU POSSIBLE » Valérie DARMANDY Valérie DARMANDY samedi 25 et dimanche 26 mars 2023 “ Son empreinte est reconnaissable à travers des attitudes singulières. La planète dote le natif d’un dynamisme hors norme et l’invite à revendiquer sa liberté. D’émerveillements en défis d’atteindre l’impossible, Uranus signe ces chemins de vie, jalonnés d’aventures, de contestations et de changements. En quête de nouveauté, le quotidien est à réinventer pour ne pas éprouver le sentiment de routine. Si Uranus captive par son éclat, son exubérance génère de l’agacement. ● Imprévisible, impulsif, individualiste, désobéissant, insolent, audacieux, déstabilisant, pionnier, éveilleur, découvrez les multiples expressions d’Uranus harmonique et dissonant dans le thème de nativité. ● Présentation de trajectoires d’hommes et de femmes, Uraniens au cours de différentes époques. ● Les manifestations d’Uranus en astrologie mondiale. “ samedi 25 mars 2023 de 14h30 à 18h30 et dimanche 26 mars 2023 de 9h à 17h30 Vacouva 43 Quai Malakoff 44000 NANTES 100€ pour les adhérents du MAHN ou 120€ pour les non adhérents. Adhésion au MAHN : 20€ MAHN mahn.nantes@gmail.com https://www.astrologie-mahn.com/

vendredi 24 mars 2023

jeudi 23 mars 2023

Jacques Halbronn Astrologie/L'unité de temps politique est de 14/15 ans...

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Jacques halbronn Astrologie EXOLS Le changement de phas en URSS et en France (1956), puis en Israel et en France (2023)

jacques halbronn Astrologie EXOLS Le changement de phase en URSS et en France (1956) , puis en Israel et en France (2023) Il est souhaitable de procéder sur un mode comparatif en Astrologie et c’est pourquoi nous aborderons successivement les impacts de Saturne au même moment dans des pays fort différents, ce qui permettra de relativiser les problématiques locales.. I Le paralléle URSS France Equinoxe solstice (1955 En 1956, réunion du XXe Congrès du Parti Communiste du Parti Communiste qui dénonce le pouvoir personnel de Staline. Saturne est entrée en phase solsticiale. Au même moment, Saturne entrait en Sagittaire, marqueur de phase solsticiale. On voit que la mort de Staline, contrairement à ce qu’écrit André Barbault, n’aura pas été immédiatement suivie d’effets considérables et il fallut attendre un changement de phase, la solsticialité prenant nécessairement le contre pied de l’équinoxialité, et pronant une collégialité et une démocratisation que l’équinoxialité tend à éclipser. En France, Pierre Mendés France en 1954 se caractérise par une certaine concentration des pouvoirs, cumulant le poste de Président du Conseil et de Ministre des Affaires Etrangères. La phase solsticiale qui suivra en 1956 lui sera fatale. On peut penser que si Staline n’était mort en 1953, le passage de Saturne en phase solsticiale ne lui aurait pas été favorable. L’année 1956 sera éprouvante tant pour l’URSS que pour la France avec d’un côté le probléme de la Hongrie et de l’autre de l’Algérie dont les successeurs de PMF ne sauront pas se dégager comme cela avait été le cas avec PMF pour la Tunisie (.discours de Carthage » (31 juillet 1954) et l’Indochine. On aura compris que ce n’est pas la conjonction Saturne Neptune de 1953 -avec la mort de Staline – qui joue ici mais bien le passage de Saturne d’une phase équinoxiale à une phase solsticiale en 1956. On signalera le cas de 1870 avec la création de la IIIe République en phase solsticiale, mettant un terme au « Second Empire » (Napoléon III). Saturne en 1870 est en Sagittaire comme il le sera en 1956. II le paralléle France Israel Solstice- Equinoxe (2023) La situation est ici inversée puisqu’il s’agit cette fois de la transition d’une phase solsticiale vers une phase équinoxiale, ce qui correspond à une intention marquée de réforme qui entraine dans les deux cas un fort mouvement de protestation. Dans le premier cas, le passage de la phase équinoxiale vers une phase solsticiale affaiblira le pouvoir, d’où des remises en question de la domination étrangère mal supportée. En Israel, l’opinion s’insurge Sur Internet « Depuis l’annonce, au début de janvier, du projet de réforme par le gouvernement le plus à droite de l’histoire d’Israël, des manifestations massives ont lieu toutes les semaines dans le pays, pour dénoncer ce que ses détracteurs qualifient de dérive antidémocratique. Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et ses alliés estiment la réforme nécessaire pour rétablir un rapport de force équilibré entre les élus et la Cour suprême, qu’ils jugent politisée ». « Après l’adoption par le Parlement de la retraite à 64 ans ce lundi soir, après le rejet de peu d’une motion de censure, « Élisabeth Borne a indiqué qu’elle saisirait « directement le Conseil constitutionnel » pour un examen du texte « dans les meilleurs délais ». On signalera les précédents de 1789 et de 1804. En 1789, en phase équinoxiale on va vers un changement de régime avec le passage à une monarchie parlementaire sous Louis XVI puis en 1792 avec la Ière République et en 1804, ce sera le passage à l’Empire avec le général Bonaparte., toujours en phase équinoxiale, 15 ans plus tard. Notons qu’en 1965, De Gaulle sera mis en ballotage, ors de la première élection à la présidence de la République au suffrage universel (refusé par la Gauche) en phase équinoxiale. ce qui correspond à une forme de protestation qui se confirmera en 1969 avec le rejet du référendum de 1969. »Le 27 avril 1969, le non l’emporte à 52,41 %. La question posée aux Français était la suivante : « Approuvez-vous le projet de loi soumis au peuple français par le président de la République et relatif à la création de régions et à la rénovation du Sénat ? » . La participation est de 80,13 %. On insistera sur le fait que les réactions ne sont pas le fait des phases elles mêmes mais de leur mauvaise réception. » Il importe de distinguer entre ce qui a lieu en phase solsticiale et en phase équinoxiale en dépit de certaines similitudes. Quand il y a protestation en phase équinoxiale, il s’agit d’une résurgence solsticiale qui n’accepte pas les conditions de l’alternance (on pense au mouvement social de 1995 en phase équinoxiale) alors que la phase solsticiale a vocation structurelle à prendre le contre pied de la phase équinoxiale qui l’a précédée. Inversement, on doit pouvoir trouver des exemples de comportement équinoxial décalé en phase solsticiale, lorsque le leader n’a pas su, à temps, glisser vers une gestion collégiale en se mettant peu ou prou en retrait, alors que la phase équinoxiale est parvenue à son terme. .JHB 23 03 23

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mercredi 22 mars 2023

jacques halbronn Astrologie et sexe; La conjonction des astres liée à celle des hommes et des femmes.

jacques halbronn Astrologie et sexe. La conjonction des astres liée à celle des hommes et des femmes. Dans le rapport entre le terrestre et le céleste, il importe de relier les rencontres entre planétes et axes saisonniers (voire étoiles fixes) et les rencontres entre hommes et femmes, cette dualité apparaissant dès le premier chapitre du Livre de la Genése. Or, l’astrologie actuelle semble avoir totalement voulu oublier cette double dialectique. D’une part, en insistant, avec Barbault, sur les aspects entre planétes aux dépens des aspects planéte.axes saisonniers et des aspects planétes/étoiles/zodiaque et d’autre part en ne mettant pas le role des femmes dans le processus prévisionnel. Or, selon nous, en phase de verticalité – ce qui correspond à la phase de 7 ans qui s’amorce en ce moment même- une telle « conjonction » – on parle des conjoints dans le couple- permet de relier les éxtrémes, ce qui le plus en haut et le plus en base, les hommes supérieurs, les génies versus les femmes alors que la phase solsticiale est celle de l’horizontalité, qui tend à nier de telles différences en pronant une approche médiane, articulée sur l’individualité comme transcendant la dualit et le thème natal serait la marque d’une astrologie solsticiale, celle des hommes ordinaires, des non -génies. Autrement dit, le rôle structurel des femmes serait de capter la génialité -selon la formule d’Antoinette Fouque qui l’oppose à la génitalité-ce qui passe par une aimantation (à rapprocher d’amour) des femmes autour d’une certaine élite masculine, de mâles dominants. Un homme qui n’attire pas les femmes – qui ne serait pas marqué par un certain donjuanisme -au cours de son existence sera un solsticial et non un équinoxial. C’est là un marqueur décisif. Le rapprochement entre hommes et femmes ici n’a pas pour enjeu la procréation comme on pourrait le croire en phase solsticiale mais pour enjeu l’élection, la désignation des leaders, ce qui reléve de la phase équinoxiale. JHB 22 03 23

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mardi 21 mars 2023

Dennis Frank Astrology & the New Paradigm

Astrology & the New Paradigm by Dennis Frank This essay addresses the relationship between astrology and the new paradigm of science. My methodology includes identification of the key metaphysical concepts and principles of the new paradigm from a single source text, which was written as a multi-disciplinary review, using numerous discussions with opinion leaders in various fields. This text is "Uncommon Wisdom" (New York, Simon & Schuster, 1988) by the physicist Fritjof Capra. Relevance to astrology is explained via supplementary analysis and comment from myself. I hope that considerable consistency between astrology and the new paradigm will become evident to the reader, although a contemporary reformulation of astrology remains necessary. Astrologers believe planets affect people. Some even think stars do. Most educated people think they are fools to do so, because there is no known link between planets, stars, and humans. Most people know they are extremely separate! This is because most people grow up learning the prevailing belief system of their society. Following Kuhn, we now call this collective world-view a paradigm. It is a set of beliefs about the nature of reality that tend to seem mutually consistent. When they state what they have learned about it, people tend to assert it as "the truth", which "everybody knows". The so-called Newtonian paradigm of materialist science combined Newton's laws with Galileo's methodology and the dualist philosophy of Descartes. Subject and object were known to be separate due to the absolute difference between mind and matter. The world of objects moved according to the forces at work within it, and a machine modelled this perception. Any machine that worked became very effective in reinforcing this collective perception, so the scientific paradigm displaced christianity as the ruling paradigm of western civilisation. Clocks were invented in the 14th century as time-keeping machines designed as simple models of the local cosmos. The local cosmos is the Sun, Moon, planets & stars as we experience them. When Kepler learnt it's operation a couple of centuries later he described it as 'the clock-work universe'. The name stuck and entered popular usage. Then, early in the 20th century, this began to change when the world's leading physicists came to a different consensual view of how the world works. "The material world they observed no longer appeared as a machine, made up of separate objects, but rather as an indivisible whole; a network of relationships that included the human observer in an essential way." [p.15] Experiments were designed and conducted to establish if the deep level interconnections were real or not. It turned out they were. The separation between things was merely apparent; an underlying unity was proven to be the fundamental reality. Dualist scientific philosophy gradually gave way to holism. Werner Heisenberg quantified the deep-level boundary of scientific knowledge; his uncertainty principle relates what can be known about the parts of the atom. "At the most fundamental level the uncertainty principle is a measure of the unity and interrelatedness of the universe. In the 1920s physicists, led by Heisenberg and Bohr, came to realize that the world is not a collection of separate objects but rather appears as a web of relations between the various parts of a unified whole." [p.18] Holistic philosophy is now the only credible approach when we describe how nature operates. So now the objection to astrology made by the old scientific paradigm seems invalid. There is no absolute separation between people, planets, and stars. All that remains is a need to explain how the deep-level connections between cosmos and humanity operate to account for the perception of many of us that there is some truth to astrology, that - to some extent - it works. Due to the inertial effect of the ruling paradigm there are many people still living who see the world the way they learnt to see it when young. These adhere to the ideas of old-fashioned science. Add to these the many who are by nature pragmatic or sceptical, and will not allow astrology any credibility unless it can be proven to work, and we must acknowledge that the paradigm shift in science will have limited effect in changing the way most people think of astrology. Yet many are attracted to the mystique of the subject, and some of these learn that it is more helpful than anything else in explaining why they have the character and life that they do. We can ease the developmental path for these people if we present the subject in a way that is more user-friendly. Astrology is a fossil discipline with various mutually-inconsistent beliefs and techniques encrusted upon it, and the total package is liable to seem ridiculous to those who study it, particularly the smart ones! These are often alienated sufficiently to abandon it in disgust, and the effect of their withdrawal is to reinforce popular prejudice and scepticism. Those not so well-endowed with critical faculties fall victim to the 'true-believer' syndrome and swallow the entire set of traditions, and their collective effect is to retard progress. When the intake is garbage, the output is garbage, and one need only scan astrological publications to despair at the ongoing prevalence of the robotic approach to astrology. Readers may think it unreasonable of me to be so critical. It seems reasonable to expect people to continue doing what they know, and quite unreasonable to expect them to engage what they don't know. George Bernard Shaw countered this attitude with marvelous finesse: "The reasonable man adapts himself to the world; the unreasonable man persists in trying to adapt the world to himself. Therefore all progress depends on the unreasonable man." Progress in the astrocommunity can only come from those able to make sense of the subject in terms sufficiently user-friendly that the substance of astrology becomes comprehensible to interested students. Those astrologers who reformulate the theory of their subject in contemporary language using metaphysics and concepts that have multi-disciplinary currency are the wave of the future. The purpose of this essay is merely to scout the territory of the new scientific paradigm to identify some relevant concepts, principles, and keywords. Capra observes that Taoism is a traditional holistic natural philosophy. It emphasises "both the fundamental oneness of all phenomena and the embeddedness of individual and societies in the cyclical processes of nature." He cites Chuang Tzu referring to "the constant flow of transformation and change", and Huai Nan Tzu: "Those who follow the natural order flow in the current of the Tao." [p.35] This flow of the Tao is a time current. We flow with it, in tune, if we sense our inner connection to it. If we are cut off from it and ignore the inner promptings our actions will be mis-timed, our lives out-of-synch with the world, and we will be in disharmony with others and society. The value of astrology for people in my generation who developed an intuitive grasp of it has tended to lie as much in the improved capacity for natural timing as in comprehension of one's character potentials. One's personal connection to the cosmic flow of time can be instinctive or intuitive, as when one has it naturally, but astrology may also facilitate one's reconnection (in recovery from upbringing and education). In such cases the mind uses astrology to tune into the flow and thus regenerate the soul and spirit. Temporal flow is therefore a key metaphysical concept, but it has yet to be addressed by science. It is merely tacit within the holistic relation between part and whole referred to earlier. Time is generated by the whole cosmos, but experienced and measured in relation to the natural time cycles created by the local cosmos. Our personal time flows in synchrony with this whole, which functions as a matrix for life on earth. Patrice Guinard recognised the import of this matrix, and I agree it is a key concept. As a temporal function it is midwife to natural development and timing. Within each whole in the natural holarchy, the parts evolve in synergy with each other and each whole system of which they are a part - this is the perspective of holistic philosophy. When this view is applied to specific localities and regions on earth it is ecology, and we refer to ecosystems. When we desire to integrate astrology into the new paradigm, it is necessary to retain the broader, more general view. Capra tells of a conversation he had with Heisenberg after writing The Tao of Physics but before it was published in 1975. " I told him I saw two basic themes running through all the theories of modern physics, which were also the two basic themes of all mystical traditions - the fundamental interrelatedness and interdependence of all phenomena and the intrinsically dynamic nature of reality. Heisenberg agreed with me as far as physics was concerned and also told me that he was well aware of the emphasis on interconnectedness in Eastern thought." [p.49/50] Capra then showed him the various examples in his manuscript of Sanskrit terms used in Hindu and Buddhist philosophy that also demonstrated dynamic connotations, following which Heisenberg declared his complete agreement with Capra. This is a documentation of pan-cultural consensus on basic metaphysical principles that apply, not just to the subatomic realm, but also our realm of living experience. Firstly, the parts of the cosmos are interconnected; secondly, they are in a state of dynamic flow. Capra observes that "in relativity theory the unification of space and time and the dynamic aspect of subatomic phenomena are very closely related. Einstein recognized that space and time are not separate; they are intimately connected and form a four-dimensional continuum - space-time. A direct consequence of this unification of space and time is the equivalence of mass and energy and, further, the fact that subatomic particles must be understood as dynamic patterns, events rather than objects." [p.47] This gives us a picture of the cosmos as a fabric of patterns in temporal flow, with each event as a nexus within that flowing web of interrelated parts. Capra then introduces the other of his two main inspirational mentors in physics, Geoffrey Chew. After Einstein's relativity revolution, and Heisenberg's quantum revolution, "Chew has made the third revolutionary step in 20th-century physics". His 'bootstrap' theory unifies quantum and relativity theory. In this union "nature cannot be reduced to fundamental entities, like fundamental building blocks of matter.. Things exist by virue of their mutually consistent relationships.. The material universe is seen as a dynamic web of interrelated events.. the overall consistency of their interrelations determines the structure of the entire web." [p.51/2] These days we have only to consider the structure of the internet and the World Wide Web to see manifested examples of the web paradigm in action. Obvious relevance to astrology lies in the horoscope being an holistic representation of an event, with the solar system shown therein in phase relation to the local place at that time. It is a diagram of a single nexus in the temporal flux, a diagram of the holistic relationship between that part (event/moment) and the whole (temporal flux, local cosmos). Interpretation provides theoretical meanings to the detailed interrelations. Our experiential time is organic, deriving from our biological dependency on our ecosystem. Various temporal dimensions can be ascertained within the temporal flux of the local cosmos. These are made observable and experiential by the time cycles of earth, sun, moon and planets. It is an important point that science has yet to recognise any experiential basis to planetary cycles. Astrologers have a theoretical edge in this regard - considerably reduced in practice by lack of consensus on the effects and meaning of planetary cycles. Also worthy of note are sociological implications. These theories of physicists obtain authority and impact on the world in proportion to the extent of consensus generated within the community of physicists. They are Greek to anyone else unless interpreted into metaphysical principles that relate to everyday experience. Unfortunately, when translated into common language precise meanings are often lost and experts may despair when unfounded generalisations are made on the basis of their theories. Popularisations of science are prone to this problem: human nature tends to distort a message given half a chance. All we can do here is our best, and draw any general conclusions carefully. It is often said that theories are but models. To those inclined to a postmodern view, this is comforting. No need to worry about truth if you are postmodern. I prefer to recognise that some theories and models capture the truth of nature better than others. Another Nobel laureate physicist, Richard Feynman, made the same point with this Americanism: "To do physics, ya gotta have taste." Yet aesthetic judgement can be made in such a way as to seem consistent with more sensible postmodern values, and Capra quotes Chew to this effect... "A physicist who is able to view any number of different, partially successful models without favoritism is automatically a bootstrapper." [p.61] There is a lesson here for contemporary astrologer-theoreticians: each may capture part of the truth. Better, then, to acknowledge the relative merits of each literary effort than compete in the old-fashioned ego-driven manner. Capra proceeds to discuss the ideas of another leading theoretical physicist, David Bohm. "Bohm's starting point is the notion of 'unbroken wholeness', and his aim is to explore the order he believes to be inherent in the cosmic web of relations at a deeper 'nonmanifest' level. He call this order 'implicate', or 'enfolded', and describes it with the analogy of a hologram, in which each part, in some sense, contains the whole." [p.66] This means that the pattern of the whole also exists within the part. Astrologers traditionally have used the hermetic maxim 'as above, so below' to mean precisely the same thing. The time pattern of the local cosmos is mirrored within the event, and the archetypal qualities that compose that pattern of the whole are also contained within each part that it generates. "Bohm realizes that the hologram is too static to be used as a model for the implicate order at the subatomic level. To express the essentially dynamic nature of subatomic reality he has coined the term 'holomovement'. In his view the holomovement is a dynamic phenomenon out of which all forms of the material universe flow. The aim of his approach is to study the order enfolded in this holomovement, not by dealing with the structure of objects, but rather with the structure of movement, thus taking into account both the unity and the dynamic nature of the universe. Capra moves on to Gregory Bateson, the influential anthropologist. He notes that "Bateson challenged the basic assumptions and methods of several sciences by looking for patterns behind patterns and for processes beneath structures. He declared that relationship should be the basis of all definition and his main aim was to discover the principles of organization in all the phenomena he observed, 'the pattern which connects', as he would put it." [p.74/5] This was indeed a prescient view. Traditional science focused on structure, which was the character of an object most evident in the moment of observation. Over a span of time, repeated observations made it evident that natural systems were more characterised by development processes, and the systemic structure at any one time was but a small part of the whole story. Generally speaking development is cued by the temporal pattern of the planet, so experiential time is the main pattern connecting the part (organisms) to the whole (ecosystem, solar system). People often complain that holism is too nebulous, and in my previous writings I have endeavoured to counter this by detailing explicit principles of holistic philosophy. One such is therefore repeated here: the relation between part and whole in nature is temporal as well as structural. The parts move in unison by virtue of the coordination of the whole. The synchrony may not be evident to any particular observer. It is a matter of focus. The players in an orchestra may be playing different notes at any moment, yet the conductor coordinates them into the collective playing of the same tune. Their unison is in relation to the whole - it is not necessarily evident in relation to any other part of the whole. This is the explanation of Jung's concept of synchronicity - things apparently unconnected emerge in unison due to their underlying connection to the whole. In the moment, that which emerges dances to the same cosmic tune. These temporal relations point to a key metaphysical concept in the contemporary reformulation of astrology. The problem of 'as above, so below' is the lack of apparent meaning. More people will 'get it' if it is translated into contemporary terms. Events are related to the temporal continuum by a time pattern. Meaning of each is given by interpreters in relation to the context of the whole. Things happen at a certain time due to the archetypal nature of that time. Things born and processes begun then are characterised by that archetypal nature. We interpret the detailed meaning from the diagram of the relation between the part and the whole, because the temporal pattern is common to both. "A central aspect of the emerging new paradigm, perhaps the central aspect, is the shift from objects to relationships. According to Bateson, relationship should be the basis of all definition; biological form is put together of relations". [p.80] Here we see relativity emerging as a metaphysical principle in natural philosophy! The part is significant via its relation to the whole. Its meaning cannot be given except in relation to the whole. Meaning is relative to context. "One of the central ideas in Bateson's thought is that the structure of nature and the structure of mind are reflections of each other, that mind and nature are of a necessary unity." [p.82] This is clearly a metaphysical concept, and it seems similar in meaning to 'as above so below'. It implies that the structure of the psyche evolved to form an internal microcosm of nature (nature being the macrocosm). Dane Rudhyar used analogous reasoning in conceiving the natal horoscope as a model of the psyche. The diagram shows the sky without (in relation to the locality) but it also represents the 'sky within', symbolising the nature of the person born then. The idea that the mind reflects, or internally constructs, an experiential view of the external world, makes sense as a primal survival skill. Even animals and insects seem to form mental plans of their environment. It seems to me to also provide considerable support for the notion that the temporal environmental context is also internally reproduced, presumably within the realm of the collective unconscious. "My first breakthrough in understanding Bateson's notion of mind came when I studied Ilya Prigogine's theory of self-organizing systems. According to Prigogine, physicist, chemist, and Nobel laureate, the patterns of organization characteristic of living systems can be summarized in terms of a single dynamic principle, the principle of self-organization. A living organism is a self-organizing system, which means that its order is not imposed by the environment but is established by the system itself. In other words, self-organizing systems exhibit a certain degree of autonomy. This does not mean that they are isolated from their environment; on the contrary, they interact with it continually, but this interaction does not determine their organization; they are self-organizing." [p.87] The "single dynamic principle" referred to here is the holistic coordinating relation between whole and parts that I mentioned earlier. Identifying this as "the principle of self-organization", Capra (writing in 1986) tells us that over "the last 15 years, a theory of self-organizing systems has been developed in considerable detail by a number of researchers from various disciplines under the leadership of Prigogine. One Capra discussed these issues with was a colleague of Prigogine, the Austrian systems theorist Erich Jantsch, author of The Self-Organizing Universe (1980). Capra continues... "when I compared Prigogine's criteria for self-organizing systems to Bateson's criteria of mental process, I found that the two sets of criteria were very similar; in fact, they seemed close to being identical. I realized immediately that this meant that mind and self-organization were merely different aspects of one and the same phenomenon". [p.87] A couple of conclusions can readily be drawn from this. Firstly, Capra intuitively recognised as a deep-level truth a metaphysical principle that had emerged in theories from different academic disciplines, and in the context of multi-disciplinary collaboration. This informs us that it is a key feature of the new scientific paradigm. Secondly, this common factor that structures both mind and natural systems generally is both form-producing and development-generating in its effect. It is therefore an active agency in nature that originates the spatio-temporal pattern, the archetypal design of the natural forms. Remember that the forms of nature are both organisms and ecosystems, and both are systems. Systems theory is encompassed by holistic philosophy, but it is an attempt to be more explicit. Back in the '60s it evolved out of cybernetics, but the focus has trended towards the organic since then due to a growing consensus that we can learn more about life from natural systems than artificial ones. Astrology can be reformulated on the basis of systems theory, in principle, because the human being and the solar system are both natural systems. Capra gives an account of a 1980 discussion with psychiatrist RD Laing. "I emphasised that the quantification of all statements has traditionally been seen as a crucial criterion of the scientific approach, and I agreed with Laing that such a science is inadequate for understanding the nature of consciousness and will not be able to deal with any qualities or values.. 'A true science of consciousness', I went on, 'would have to be a new type of science dealing with qualities rather than quantities and being based on shared experience rather than verifiable measurements. The data of such a science would be patterns of experience that cannot be quantified or analyzed.'" He added that the "conceptual models interconnecting all the data would have to be logically consistent, like all scientific models.. but would also be able to deal with qualities and values based on human experience." [p.145] Any theory of consciousness would have to account for the qualitative variations of experience. Of these, the most interesting have archetypal dimensions and resonances. Astrology, of course, can already account for these. It suffers the limitation of being hamstrung by Jung's old-fashioned theory of the archetypes. More precise meanings are obtainable when the archetypes are identified as natural principles rather than antique social constructs, and I believe anyone with more insight and talent than the average astrologer is inherently capable of recognising these. A sophisticated contemporary reformulation of astrology is therefore well-positioned to play a significant part in the new paradigm, even currently having a competitive advantage in its relation to science. To take advantage of this before it is lost in the passage of time, astrologers will have to agree to modernisation of the theory of their subject. Laing asked Capra for a definition of matter, and after mentioning Einstein's "view of mass being a form of energy and matter consisting of patterns of energy continually transforming themselves into one another.. I had to admit that, while it is understood that all energy is a measure of activity, physicists do not have an answer to the question: What is it that is active?" [p.147/8] This is perhaps the most profound issue that the new paradigm must provide explanation for. That the answer to the question lies outside physics seems evident. Aristotle pointed to metaphysics as the realm of knowledge beyond physics, so I assume a suitable answer can be found there. Smuts, in the 1920s, identified "the whole" as nature's active agency, while more recently systems theory explains that natural systems are the active agents. Capra has a considerable focus on the health implications of the new scientific paradigm. "My first impulse to study systematically the parallels between the paradigm shifts in physics and those in medicine came from Margaret Lock, a medical anthropologist whom I met at Berkeley while teaching a UC extension course on The Tao of Physics." "I remembered from Joseph Needham's books that Chinese philosophy as a whole was more concerned with the interrelations between thing than with their reduction to fundamental elements. Lock agreed, and she added that the Chinese attitude which Needham called 'correlative thinking' also included their emphasis on synchronic patterning rather than causal relation. In the Chinese view, according to Needham, things behave in a certain way because their positions in the interrelated universe are such that they are endowed with intrinsic natures that make their behaviour inevitable." [p.164] Lock referred Capra to the work of Manfred Porkert, "one of the very few Western scholars who can actually read the Chinese classics in their original form" (along with Needham). Lock: "In addition to the yin/yang system the Chinese used a system called Wu Hsing to describe the great patterned order of the cosmos. This is usually translated as the 'five elements', but Porkert has translated it as the 'five evolutive phases', which conveys the Chinese idea of dynamic relationships much better." she explained that "an intricate correspondence system was derived from the 5 phases, which extended to the entire universe. The seasons, atmospheric influences, colors, sounds, parts of the body, emotional states, social relations, and numerous other phenomena were all classified into 5 types related to the 5 phases. When the 5-phase theory was fused with the yin/yang cycles, the result was an elaborate system in which every aspect of the universe was described as a well-defined part of a dynamically patterned whole." [p.165/6] Lock said this "formed the theoretical foundation for the diagnosis and treatment of illness". "Illness is an imbalance which occurs when the ch'i does not circulate properly.. The word literally means 'vapor' and was used in ancient China to describe the vital breath, or energy, animating the cosmos." [p.166] "Among the Chinese concepts Lock and I had discussed.. the concept of ch'i held a special fascination for me. I had often encountered it in my studies of Chinese philosophy. I knew that it is generally translated as 'energy' or 'vital energy' but I sensed that these terms did not convey the Chinese concept adequately." "Like Chinese natural philosophy and medicine, the modern systems theory of life views a living organism in terms of multiple, interdependent fluctuations, and it seemed to me that the concept of ch'i is used by the Chinese to describe the total pattern of the multiple processes of fluctuation." [p.168/9] Capra's book "The Turning Point" was published in 1982, and it remains the best overview of the new paradigm of science. Therein, Capra had written that ch'i "seems to represent the principle of flow as such, which, in the Chinese view, is always cyclical." Three years later he met Manfred Porkert at an acupuncture conference, and arranged with the organizers for a dialogue on 'the new vision of reality and the nature of ch'i, in front of several hundred people. Capra began with a brief summary of the systems view of life, emphasizing in particular the focus on patterns of organization, the importance of process thinking, and the central role of fluctuations in the dynamics of living systems. Porkert confirmed "that, in the Chinese view of life, fluctuation is also seen as the basic dynamic phenomenon". He explained that ch'i is an ancient word meaning "a directed and structured expression of movement; it is not a haphazard expression of movement." Confirming that there is "no direct translation", he added that "Even scholars who are not very particular about using Western equivalents do not translate ch'i." It is close in meaning to energy "but it is not equivalent. The term ch'i always implies a qualification, and this qualification is the definition of direction. ch'i implies directionality, movement in a particular direction." [p.170/1] Capra explains that "when the Chinese say tsang ch'i they refer to the ch'i moving within the functional orbs, which are called tsang. He "remembered that Porkert uses the term 'functional orb' instead of the conventional 'organ' to translate the Chinese tsang in order to convey the idea that tsang refers to a set of functional relations rather than an isolated part of the body." These are associated with conduits commonly called meridians. When he asked if the ch'i flowed along these, Porkert answered "Among other things." He then asked if it was a substance that flows and Porkert said it certainly was "not a substance".[p.171] Capra: "It seems to me that ch'i has something of our scientific concept of energy in the sense that it is associated with process. But it is not quantitative; it seems to be a qualitative description of a dynamic pattern, of a pattern of processes." Porkert: "Exactly. In fact, ch'i transmits patterns. In Taoist texts, which in a way are parallel to the medical tradition, and which I studied at the very beginning of my research, the term ch'i expresses this transmission and conservation of patterns." [p.171/2] Capra: "Now, since it is used as a device for describing dynamic patterns, would you say that ch'i is a theoretical concept? Or is there really something out there, which is ch'i?" Porkert: "In this sense, it is a theoretical concept. It is an evolved and rational concept in Chinese medicine, science, and philosophy. But in everyday language, of course, it is not." [p.172] Porkert explained further that "I have used quality for almost two decades in a restrictive sense, as a complement to quantity. Quality, in that sense, corresponds to defined, or definable, directionality, the direction of movement. You see, we are dealing here with two aspects of reality: mass, which is static and fixed, which has extension and is accumulated; and movement, which is dynamic and has no extension. Quality, for me, refers to movement, to processes, to functions, or to change.." Capra: "So direction is the key aspect of quality. Is it the only one?" Porkert: "Yes, it's the only one." [p.172] Capra then endeavoured to clarify the relation of ch'i to the yin/yang duality. "I knew that this concept is used throughout Chinese culture to give the idea of cyclical patterns a definite structure by creating two poles, which set the limits for all cycles of change." He suggested that "directionality seems to be crucial also to the notions of yin and yang." Porkert agreed. "The terminology implies directionality even in the original, archaic sense. The original meaning of yin and yang was that of two aspects of a mountain, the shady side and the sunny side. That implies the direction of movement of the sun. And when you talk about yin and yang in medicine, it's the same person, the same individual, but the functional aspects change with the passage of time." Capra: "So the quality of direction is implicit when the terms yin and yang are used to describe cyclical movement; and when you have many movements forming an interrelated dynamic system, you get a dynamic pattern, and that is ch'i?" Porkert: "Yes." Capra: "But when you describe such a dynamic pattern, it is not enough to specify the directions; you also have to describe the interrelations to get the entire pattern." Porkert: "Oh, yes. Without relationship there would be no ch'i, because ch'i is not empty air. It is the structured pattern of relationships, which are defined in a directional way." [p.173] Apparently ch'i is more than the natural directional flow pattern of energy - it "is the structured pattern of relationships". It is the systemic development trajectory, in other words, consisting of the dynamic relational pattern of the evolving form of the system. Observed at any time, from any particular point, the structural pattern becomes evident (in relation to the observer). The horoscope represents the structural pattern of the solar system observed at a particular time and place. Depicting the structural pattern of the whole in relation to that part, it could therefore be described as representing the ch'i of the system. Later in the book Capra tells how he embarked upon "an intensive exploration of a wide range of therapeutic models and techniques" for over a year, and eventually realised they had a common aim of restoring and maintaining balance. "Different schools would address different aspects of balance - physical, biochemical, mental, or emotional balance; or balance at the more esoteric level of 'subtle energy patterns'. In the bootstrap spirit, I regarded all these approaches as different parts of the same therapeutic mosaic". He learned that "our interaction and communication with our environment consist of complex rhythmic patterns, flowing in and out of one another in various ways"; illness was "lack of synchrony and integration." [p.193/5] "In their pulse diagnosis [the Chinese] relate pulse to various flow patterns of energy that reflect the state of the entire organism." "If one looked at manifestations of rhythmic patterns, breath would be an obvious one." In conversation with oncologist and cancer specialist Carl Simonton, "Simonton told me that the holding back of emotions is a crucial factor in the development of cancer in general, and of lung cancer in particular. I still remembered RD Laing's impressive demonstration, a few months earlier, of the connection between holding back one's emotions and developing asthma, as a consequence of holding back one's breath as well, and I asked Simonton whether he thought that these emotional patterns were linked to one's breath. "Yes, I think they are connected with breath," he replied, "although I don't know how they are connected. That's why breathing is so important in many meditative practices." [p.209] Capra saw "systems theory as a common language for describing the biological, psychological, and social dimensions of health". "My first formulation was based on the view of living organisms as cybernetic systems, characterized by multiple, interdependent fluctuations. In that model the healthy organism is seen as being in a state of homeostasis, or dynamic balance; health is associated with flexibility, and stress with imbalance and loss of flexibility." [p.215] "I had learned from Prigogine and Jantsch that living, self-organizing systems not only have the tendency to maintain themselves in their state of dynamic balance but also show the opposite, yet complementary, tendency to transcend themselves, to reach out creatively beyond their boundaries and generate new structures and new forms of organization." Capra observes that environmental pressures can induce two types of response from an organism (or system). The usual is a re-balancing, returning from temporary de-stabilisation to the prior state of normality. Sometimes, however, usually due to more extreme pressures, "the organism may also undergo a process of self-transformation and self-transcendence, involving stages of crisis and transition and resulting in an entirely new state of balance." [p.216] "Following Jantsch, I had epitomized Bateson's definition of mental process as the dynamics of self-organization, which means that, according to Bateson, the organizing activity of a living system is mental activity and all of its interactions with its environment are mental interactions. I had realized that this new concept of mind was the first that truly transcended the Cartesian division. Mind and life had become inseparably connected, with mind - or, more properly, mental process - being immanent in matter at all levels of life." [p.216] Capra met the pioneering alternative economist Fritz Schumacher, who spoke of "the difference between what he called 'science for understanding' and 'science for manipulation'." Schumacher explained that the former "has often been called wisdom. Its purpose is the enlightenment and liberation of the person, while the purpose of the latter is power." "During the Scientific Revolution in the 17th century", he continued, "the purpose of science shifted from wisdom to power." He quoted Francis Bacon's famous observation that 'knowledge itself is power', and declared that "since that time the name 'science' remained reserved for manipulative science." [p.226] This latter generalisation rather overstates the case, given the various social sciences that consist mostly of observation with a few dashes of theory and no manipulation whatsoever; however in respect of the overall social impact of science it is probably fair enough. Civilisation proceeds upon the basis of the technology that science makes possible, and wisdom is nowadays so marginal that very few people bother to accumulate it. Schumacher made another comment that seems most astute. Although "he recognized the usefulness of the emphasis on interrelatedness and process thinking in the new physics, he could not see any room for quality in a science based on mathematical models." He insisted on this point: "The whole notion of a mathematical model has to be questioned. The price of this kind of model building is the loss of quality, the very thing that matters most." [p.227] This is music to the ears of that rare beast, the thinking astrologer. Suggestions that the underlying mechanism that links planets and people operates on a mathematical basis imply the exclusion of quality (unless mathematics is reformulated to include archetypal qualities). [I believe that accounting for qualitative variations in passing time is the crux of the matter to as regards the interface between astrology and science in the new paradigm. In devising my own contemporary theory of astrology I intuitively saw that it was necessary to conceive that the astrological archetypes derived from nature. The basic premise is that temporal qualitative variations are archetypal in origin, and emerge in natural systems as the archetypes are generated via the time cycles of the solar system. The theory accounts for only the most basic structural features of astrology as it is generally known - signs, houses, aspects - explaining that the archetypal qualities are actualised at the 12 equal phases of these cycles.] Capra seems to have found Schumacher's view of modern physics somewhat too negative, and responded with reference to its "recognition of patterns". The new physics "implies a shift from isolated building blocks, or structures, to patterns of relationships." Capra speculated that "this notion of a pattern of relationships seems closer, somehow, to the idea of quality. And I feel that a science concerned primarily with networks of interdependent dynamic patterns will be closer to what you call 'science for understanding'." [p.228] Schumacher pondered this awhile then with a smile said that there had been a physicist in his family who he used to have "many discussions of this kind" with. Heisenberg had been married to his sister! It became evident that Schumacher had specific objections to physics. "Physics cannot have any philosophical impact because it cannot entertain the qualitative notion of higher and lower levels of being." He even saw implications for morality... "With Einstein's statement that everything is relative the vertical dimension disappeared from science and with it the need for any absolute standards of good and evil." Schumacher explained his personal philosophy: "a fundamental hierarchical order" of 4 levels - mineral, plant, animal, human - with 4 corresponding characteristic elements - matter, life, consciousness, self-awareness; each higher level containing those lower. Capra describes this traditional holistic philosophy as the "ancient idea of the Great Chain of Being". Schumacher said the vertical levels are "ontological discontinuities". "This is why physics cannot have any philosophical impact. It cannot deal with the whole; it deals only with the lowest level." [p.229] Ken Wilber also makes this point in his book Eye to Eye: the Quest for the New Paradigm (1983, revised 1990). Capra's reply reflected his embrace of systems theory, in which the levels of the holarchy of nature derive from ecosystem interfaces. This transcends physics considerably, of course, but he put himself on safer ground by observing that "following my mentors Heisenberg and Chew, the way in which we divide reality into objects, levels, or any other entities depends largely on our methods of observation. What we see depends on how we look; patterns of matter reflect the patterns of our mind." [p.229] These are metaphysical statements, of course, and a weakness of Capra's otherwise masterly presentation of the new paradigm is perhaps due to his insufficient recognition of the role of metaphysics. Interpretations of scientific findings tend to be subjective, being determined by human nature in general and aesthetic preferences in particular. When expressed as general principles these tend to become metaphysics. Scientists who prefer tangibles and avoid philosophy tend to dismiss such reasoning as unfounded speculation. Scientists drawn to wisdom tend to favour metaphysical insights and the inspirational extrapolations that can be induced by scientific discoveries. Judging the merit of scientific philosophy therefore tends to be a matter of personal taste. Scientists who are adventurous by nature will be keen to transcend old boundaries of belief. Those conservative by nature will defend the old paradigm with dogmatic assertions of the conventional description of reality. The general public tends to be led by whatever progressive trends inspire them, even when these are but intriguing possibilities. The reliable knowledge of science tends to be boring by contrast. Astrology recaptured the fancy of the public because it fulfilled a psychic need that science failed to satisfy, but there remains the question of whether the benefits of astrology to the public are real and substantial - or illusory. For those of us working to define the place of astrology in the new paradigm, this issue poses an ethical choice. Either we strive to make those benefits real, or not. I believe the ethical stance is to help people to see the reality of astrology, and show them how they can use it to help themselves. That's the approach I instinctively felt was required when I first practised it professionally 20 years ago, so I undertook it and applied it right from the start. I have not found it easy, since few people in our society are ready, willing and able to pursue a path of evolutionary development, but at least I made the option available to them. People will choose on the basis of what seems feasible to them. They desire astrology, due to the mystique, but only use what they are able to. Metaphysical principles are what is required to formulate a new theory or paradigm, but these will attract support only if they resonate in the minds of people who access them. As memes, they will spread, but - as always - only on fertile ground. The best we can do as theorists is to formulate them in user-friendly language once we have selected them. Selecting them is always going to be more effective if done on a multi-disciplinary basis. This means starting by identifying general principles that have been recognised in more than one field of knowledge, preferably several. Capra's first book was very influential, and it is rare for a work of contemporary philosophy to be such a publishing success. His second, "The Turning Point" was a more comprehensive and in-depth review of the new paradigm. Publication occurred in early '82, and Capra received his advance copy just before flying to New Delhi to give a speech at the centre for visiting scholars. He didn't know it, but he was to give that copy personally to the prime minister of India, Indira Gandhi, a few days later. He had not been notified of the possibility of meeting her, but on arrival "I was told that she might be able to receive me briefly on the day after my lecture. When my hosts noticed my great surprise they told me that Mrs Gandhi was familiar with my work and, in fact, had repeatedly used quotations from The Tao of Physics in her speeches." The meeting took place, and Capra's account of it includes these words from her... "I believe that life is one and that the world is one. As you know, in Indian philosophy we are always told that we are part of everything and everything is part of us. So the world's problems, necessarily, are all interlinked." [p.336] Such a tradition of holism stands in contrast to the traditional world-view of the west, in which things are separate unless linked by causal relations (in a bipolar manner). Recognising that the traditional holism of eastern ethnicities and contemporary scientific holism a la Capra, Smuts, Koestler, Sheldrake etc, both contain the key concepts 'oneness' and 'interconnections' is the first step necessary to developing a theory of holism. The main problem with holism as a philosophy is that the features of the world that it abstracts to form the basis of theory-building may seem static. It is therefore necessary to specifically include the concept of flow amongst the fundamentals of the theory. Bohm, for instance, achieved this by means of his concept the 'holomovement', by which term he described the universal flux that manifests natural forms out of the realm of potential. The holarchy of natural systems looks like a hierarchy to those old-fashioned enough to be guided in their judgements solely by authority and power, but it looks static to those who see time and development as being as fundamental as the interrelations between parts and wholes. So it seems to me that a process philosophy that fully includes holism is the necessary approach to formulating contemporary astrological theory. Capra also found holism inadequate. He had made an "intuitive choice of the term 'ecological' to characterize the emerging new paradigm. Moreover, I began to see important differences between 'ecological' and 'holistic', the other term that is often used in connection with the new paradigm. A holistic perception means simply that the object or phenomenon under consideration is perceived as an integrated whole, a total gestalt, rather than being reduced to the mere sum of its parts.. A holistic approach does not need to go beyond the system under consideration, but it is crucial to an ecological approach to understand how that particular system is embedded in larger systems." [p.260/1] This seems a valid point, but 20 years down the road it also seems flawed. I suspect his critique was appropriate to the limited comprehension of holism at the time, but now a credible philosophy of holism must take account of context. The subject of analysis, or the object of study, does not reveal its entire meaning unless we include its relation to its environmental context. This environment may be an ecosystem at first glance, or a societal or cultural matrix, but a closer examination will reveal that it is a part of a nested holarchy of enclosing systems. The total environment is really the cosmos. From the perspective of the new paradigm, the cosmos provides both temporal and spatial contexts. The meaning of an event, and the description of a natural system, are relative to this environmental (spatio-temporal) context. Such relativity of meaning is part of the foundational metaphysics of the new paradigm. What I tried to do in my book (The Astrologer and the Paradigm Shift, 1992) was to show how show a contemporary astrological theory could be developed upon a metaphysical foundation of which a theory of holism was the primary component. It was thus an extension of Dane Rudhyar's pioneering work, incorporating an up-to-date multidisciplinary perspective of the new paradigm of science. I endeavoured to transcend the philosophical approach, observing its vulnerability to the criticism that it was too vague, by identifying a range of fundamental features that separated the new paradigm from the old. Some of these are concepts, some metaphysical principles. Some of the latter have qualitative import and some have operational import. This essay has followed the same analytical strategy. Possibly the most important functional principle in the foundational metaphysics of the new paradigm is the holistic relation between part and whole. It is this operative factor that enables holism, as a philosophy, to permanently escape disposal into what Trotsky called 'the rubbish bin of history'. In the writings of scientic philosophy holism is often dismissed as nebulous, or of limited utility. We have all seen it over-promoted in new-age literature as a panacea for all attitudinal ills, and I recall one physicist-author referring to it as 'like a warm bath of mindless gravy'. The advisable antidote to such philosophical blather and mental diffusion is to focus on the coordinating role that wholes play in their relation to parts. It is, after all, what makes the world go round. Whether it be the gravitational coordination of the solar system, the ecological coordination of the ecosystem, or the biological coordination of your body, or the psychological coordination of your mind, the interplay between part and whole determines their mutual developmental trajectory. So when we find Capra referring to "Schumacher's belief in a fundamental hierarchical order, the 'vertical dimension', as he called it" [p.235], we see that a metaphysical principle, the key operational feature of holism, is here recognised. The natural holarchy, the 'great chain of being', was traditionally seen as hierarchical, mainly made evident by 'vertical' power relations. The underdog lies on its back, subordinate to the dominator. The sun swings the planets round their orbits. The ruler rules; the chief commands his tribe, the government controls the populace and regulates social functioning. Holistic theory specifies an abstract principle common to all these instances of its manifestation. The whole system, as an active agency, endeavours to determine its development. It applies functional control sub-systems to properly coordinate its component parts. These parts are, in many cases, relatively autonomous systems themselves, endeavouring to pursue a developmental trajectory. The interplay between part & whole is symbiotic (in principle, and in many cases in nature it is so in practice). The bipolar relation between part & whole has a determining influence in both directions, but the subordinate agency tends to be governed by the higher authority. When more than two levels of the holarchy are viewed in relation, we get a part that is ecosystem to smaller parts or sub-systems within it. Koestler described this dual holistic relation as the 'Janus-faces' of the part/whole. Seen from above, it is the sub-system, ruled by the enclosing system of which it is a part; but seen from below it is the whole, and the ruler of its own parts. This 'vertical dimension' of Schumachers is therefore better seen, in holistic theory, as the active informational link by which wholes coordinate their parts. A mechanist would conceive it as the 'command and control' relation between part and whole, between system and sub-system. Systemic functioning exhibits such behaviour, but this latter view, recognising only the descending directing influence of the whole, ignores the feedback of both information and influence that ascends from the part. The holistic relation between part and whole is therefore evident in a structural sense as the 'vertical dimension' of the holarchy, traditionally deemed hierarchy. In static views, such as scientific schematic diagrams, groupings of natural systems are shown in mutual relation organized by class membership in the vertical direction. Thus does the old concept of the 'great chain of being' get translated into modern representation. Interestingly, astrology has its equivalent representation. The horoscope represents the holistic relation between event and local cosmos. From a temporal perspective, the event is the part, the continuum of all such events is the whole. From a spatial perspective, the place is the part, the cosmos is the whole. From an organic perspective, the entity born then & there is the part, the environment is the whole. The 'vertical dimension' is, of course, the meridian. This directional alignment to the polar axis functions as the conduit for the directing/directional influence of the whole system of which we are a part. The whole system is represented in the horoscope by the sun, moon & planets and signs of the zodiac - the solar system and its orbital intersection with the galaxy. Earth is represented by the horizon. "Throughout the history of western science and philosophy, there has always been the belief that any body of knowledge had to be based on firm foundations. Accordingly, scientists and philosophers throughout the ages have used architectural metaphors to describe knowledge. Physicists have looked for the 'basic building blocks' of matter and expressed their theories in terms of 'basic' principles, 'fundamental' equations, and 'fundamental' constants. Whenever major scientific revolutions occurred it was felt that the foundations of science were moving. Thus Descartes wrote in his celebrated Discourse on Method: "In so far as [the sciences] borrow their principles from philosophy, I considered that nothing solid could be built on such shifting foundations." Three hundred years later, Heisenberg wrote in his Physics and Philosophy that the foundations of classical physics, that is, of the very edifice that Descartes had built, were shifting: "The violent reaction to the recent development of modern physics can only be understood when one realizes that here the foundations of physics have started moving; and that this motion has caused the feeling that the ground would be cut from under science." Einstein, in his autobiography, described his feelings in terms very similar to Heisenberg's: "It was as if the ground had been pulled out from under one, with no firm foundation to be seen anywhere, upon which one could have built." It appears that the science of the future will no longer need any firm foundations, that the metaphor of the building will be replaced by that of the web, or network, in which no part is more fundamental than any other part. Chew's bootstrap theory is the first scientific theory in which such a 'web philosophy' has been formulated explicitly, and he agreed in a recent conversation that abandoning the need for firm foundations may be the major shift and deepest change in natural science".[p.67/8] Heisenberg had told Capra of his stay in India in 1929, when "he had long conversations about science and Indian philosophy.. He began to see that the recognition of relativity, interconnectedness, and impermanence as fundamental aspects of physical reality, which had been so hard for himself and his fellow physicists, was the very basis of the Indian spiritual traditions." [p.43] Discerning this implied equivalence (whether it be similar or same) is an intuitive mental process that results in subjective insight. Rendering the insight into language form is a philosophic endeavour, and 40 years later Capra's own similar insight would take years to produce the distilled writing I have been examining. Such philosophy is not science, and tends to lose currency. However I believe that timeless value can be derived from such writing by means of the identification of metaphysical principles within it. For instance, in the above quote the three "fundamental aspects of physical reality" are key concepts. I suggest the most productive way forward for those of us interested in developing the new paradigm is to identify and collate such fundamental germinal concepts and principles. These principles will constitute the metaphysical bedrock upon which the philosophy and theories of the new paradigm will be erected. Relativity is a term that can be condensed no further - it is already a metaphysical principle. Interconnectedness is perhaps also, though it could be better expressed as interrelatedness - it implies fundamental union with the cosmos, holistic relations generally, belonging, coevolution, network, web. Impermanence is obviously change, though better expressed as a metaphysical principle by 'flux' or 'flow' - the perception of transitory phenomena thereby giving way to a perception of directional development. Capra says he read Kuhn's "Structure of Scientific Revolutions" in September '68 on his flight from Europe to California to take up a teaching & research position. He was somewhat "disappointed by this much-talked-about book when I discovered that its principle ideas were already familiar to me from my repeated readings of Heisenberg. However, Kuhn's book did introduce me to the notion of the scientific paradigm, which would become central to my work many years later. The term 'paradigm', from the Greek paradeigma ('pattern'), was used by Kuhn to denote a conceptual framework shared by a community of scientists and providing them with model problems and solutions. Over the next 20 years it would become very popular to speak of paradigms and paradigm shifts outside of science as well, and in The Turning Point I would use these terms in a very broad sense. A paradigm, for me would mean the totality of thoughts, perceptions, and values that forms a particular vision of reality, a vision that is the basis of the way a society organizes itself." [p.20] Capra tells us of a vigorous intellectual attack launched upon him (as a scientist) in 1980 by his friend of two years, R.D. Laing, in front of a group at the conference "Psychotherapy for the Future" near Saragossa, in Spain. "The main point of Laing's attack was that science, as it is practised today, has no way of dealing with consciousness, or with experience, values, ethics, or anything referring to quality." According to Laing, this situation "derives from something that happened in European consciousness at the time of Galileo and Giordano Bruno. These two men epitomize two paradigms.. Galileo made the statement that only quantifiable phenomena were admitted to the domain of science. Galileo said "whatever cannot be measured and quantified is not scientific"; and in post-Galilean science this came to mean: "What cannot be quantified is not real." This has been the most profound corruption from the Greek view of nature as physis, which is alive, always in transformation, and not divorced from us. Galileo's program offers us a dead world.. Experience as such is cast out of the realm of scientific discourse." [p.139] To be more precise, the only facet of experience admitted to science was the act and result of observation of 'scientific' data, experimental findings. These were usually interpreted to provide meaning, but the subjective determination of the interpretation process remained unrecognised by most scientists until recent times. Capra's response was that "the first step had to be the shift from the mechanistic and fragmented approach of classical science to a holistic paradigm, in which the main emphasis was no longer on separate entities but on relationships. This would make it possible to introduce context and meaning." [p.140] Readers may still retain the old-fashioned belief that science has authority as a belief system because it defines the nature of reality. Capra gives us his view on this: "scientists do not deal with truth; they deal with limited and approximate descriptions of reality." [p.69] As numerous other author scientists have made the same assertion in print, we can confidently assume that it represents the postmodern status quo. This makes science no more authoritative than metaphysics, when it comes to the formulation of a set of general principles that explain how the world works. Brittannica gives this definition of metaphysics: "the philosophical study whose object is to determine the real nature of things—to determine the meaning, structure, and principles of whatever is insofar as it is. Although this study is popularly conceived as referring to anything excessively subtle and highly theoretical and although it has been subjected to many criticisms, it is presented by metaphysicians as the most fundamental and most comprehensive of inquiries, inasmuch as it is concerned with reality as a whole." The new paradigm is currently a different way of understanding reality, shared by progressive thinkers, that is explained by a bundle of philosophic approaches to life. We have seen that holism occupies a central position, with systems theory being a more specific extrapolation. Elsewhere, notably by Ken Wilber, it is referred to as the holographic paradigm. The design and modus operandi of the hologram indeed signal a central principle of relevance. I have suggested process philosophy is also an essential extension. Natural systems develop and transform according to innate informational programs. "When Bateson looked at the living world, he saw its principles of organization as being essentially mental, with mind being immanent in matter at all levels of life. He thus arrived at a unique synthesis of notions of mind with notions of matter; a synthesis that was, as he liked to point out, neither mechanical nor supernatural." [p.88] The point being made here is that natural systems are formed by informational patterns. Dane Rudhyar's emphasis on form was, I suspect, his philosophical attempt to make the same point. Systems in nature take the typical form they do due to inherent organizational patterns, and these inform the component parts. The part/whole relation mentioned earlier functions as a conduit for the directing information from the whole, which consists of instructions to the part on how to organise itself. The development of Capra's philosophy trends, like that of Rudhyar, toward spiritual conclusions. In his debate with Laing, Capra "began with the view of living organisms as self-organizing systems.. and emphasized especially the view of biological forms as manifestations of underlying processes. I then wove in Bateson's concept of mind as the dynamics of self-organization and related it to Jung's notion of the collective unconscious. Finally, having prepared the ground, I.. specified that what I meant by 'consciousness' was the property of mind characterized by self-awareness." Awareness "is a property of mind at all levels of complexity." [p.142] This awareness is the capacity, and activity, of informational interaction with the environment. A natural system co-evolves with its environment, exchanging both energy and information in the process. Only humans, and possibly some highly-evolved animals, have the capacity to be self-aware (conscious). Biological structures "are manifestations of underlying processes". Self-organization "we have identified as mental processes. In this sense biological structures are manifestations of mind. Now, if we extend this way of thinking to the universe as a whole, it is not too far-fetched to assume that all its structures - from subatomic particles to galaxies and from bacteria to human beings - are manifestations of the universal dynamics of self-organization, which means of the cosmic mind. And this, more or less, is the mystical view." [p.143] The psychiatrist Stanislav Grof gave Capra this account (at the 1980 Saragossa conference) of his work... "Many years ago I went through thousands of records of LSD sessions to study specifically those statements that addressed themselves to fundamental cosmological and ontological questions.. While studying these records, I was surprised to find that the seemingly disconnected experiences of these LSD subjects could be interated and organized into a comprehensive metaphysical system, a system that I have called 'psychedelic cosmology and ontology'. The framework of this system is radically different from the ordinary framework of our lives. It is based on the concept of a Universal Mind, or Cosmic Consciousness, which is the creative force behind the cosmic design. All the phenomena we experience are understood as experiments in consciousness performed by the Universal Mind in an infinitely ingenious creative play. The problems and baffling paradoxes associated with human existence are seen as intricately contrived deceptions invented by the Universal Mind and built into the cosmic game; and the ultimate meaning of human existence is to experience fully all the states of mind associated with this fascinating adventure in consciousness; to be an intelligent actor and playmate in the cosmic game. In this framework, consciousness is not something that can be derived from or explained in terms of something else. It is a primal fact of existence out of which everything else arises. This, very briefly, would be my credo." [p.150] "One of the most frequent metaphors that you find in psychedelic reports is that of the circulation of water in nature. The universal consciousness is likened to the ocean - a fluid, undifferentiated mass - and the first stage of creation to the formation of waves. a wave can be viewed as an individual entity, yet it is obvious that the wave is the ocean and the ocean is the wave. There is no ultimate separation. The next stage of creation would be the wave breaking upon the rocks and spraying droplets of water into the air, which will exist as individual entities for a short time before they are swallowed again by the ocean. So, there you have the fleeting moments of separate existence. The next state in this metaphoric thinking would be a wave that hits the rocky shore and withdraws again but leaves a small pool of tidal water." When it evaporates to form clouds "the original unity is obscured and concealed by an actual transformation.. yet the water in the cloud will eventually reunite with the ocean in the form of rain." When water solidifies into ice or "a snowflake that has crystallized from the water in the cloud.. Here you have a highly structured, highly individual, separate entity which bears, seemingly, no resemblance to its source." [p.111/2] Yet ultimately it too returns to source. Capra comments that "Ecological awareness, at the deepest level, is the intuitive awareness of the oneness of all life, the interdependence of its multiple manifestations and its cycles of change and transformation." He suggests that spirituality "could be defined as the mode of consciousness in which we feel connected to the cosmos as a whole. This makes it evident that ecological awareness is spiritual in its deepest essence. And it is the no surprise that the new vision of reality emerging from modern physics, which is a holistic and ecological vision, is in harmony with the visions of spiritual traditions." [p.113] The health implications of the paradigm shift canvassed by Capra are not merely medical, they extend to mental health and spiritual health. In 1977 at Esalen, Grof told Capra about a lecture he had given at Harvard in the late '60s. He had "described how patients in a psychiatric hospital in Prague had made tremendous improvements after going through LSD therapy, and how some of them had radically changed their world-views as a result of the therapy, becoming seriously interested in yoga, meditation, and the realm of myth and archetypal images. During the discussion a Harvard psychiatrist remarked: 'It seems to me that you helped these patients with their neurotic problems, but you made them psychotic.' " Grof commented on this view from the old paradigm. "The criteria used to define mental health - sense of identity, recognition of time and space, perception of the environment, and so on - require that a person's perceptions and views conform to the Cartesian-Newtonian framework. The Cartesian world-view is not merely the principal frame of reference; it is regarded as the only valid description of reality. Anything else is considered to be psychotic by conventional psychiatrists." [p.126] Those caught up in the intellectual, emotional, or spiritual conflict that tends to be generated by a paradigm shift are caught between the belief system of the past and that of the future. How they reconcile the polarity in their mind is often a most challenging question. I have found pragmatism useful in this respect - acceptance that the duality can be conceived as a choice between optional models, so that one can refer to either according to the suitability of whoever one is communicating with. The internal stance required is thus rejection of dichotomy in favour of complementarity. "His observations of transpersonal experiences had shown him, Grof continued, that human consciousness seems to be capable of two complementary modes of awareness. In the Cartesian-Newtonian mode, we perceive everyday reality in terms of separate objects, three-dimensional space, and linear time. In the transpersonal mode, the usual limitations of sensory perception and of logical reasoning are transcended and our perception shifts from solid objects to fluid energy patterns. Grof emphasized that he used the term 'complementary' to describe the two modes of consciousness on purpose, because the corresponding modes of perception may be called 'particle-like' and 'wave-like' in analogy to quantum physics." [p.126] Complementarity is a key metaphysical concept in the new paradigm - it indicates the psychological state (or attitude) that is required in order to transcend duality. It still recognises the two polar opposites of meaning, but it subordinates them within an enclosing holistic context, in which either may have relative validity or significance. Relativity, as mentioned earlier, is another key metaphysical concept in the new paradigm. It relates a subject to a context, making us aware that meaning is relative to some known frame of reference. In everyday life, we invest new meaning in some freshly-encountered situation by reference to what we already know, thus contextualising it. New discoveries, insights, theories and models will accordingly acquire significance in relation to the paradigm that is being used, which is the operational mental context. These concepts, then provide two essential psychological stances to the adept who navigates his/her way through the subject matter of the new paradigm. A more concentrated focus on the key features of the new paradigm may reveal others, and this is achievable by reviewing the quotes in this essay and compiling the main metaphysical principles identified by Capra and the opinion-leaders of the avante-garde of science that he discussed these issues with. I have performed such a selection and the compilation appears below (original wording largely retained). My intent, in doing this, is to illustrate my methodology in distilling the key principles, which appear at the end of each list in dual summary form. The alert reader may notice significant omissions. The holographic principle, for instance, although promoted intensively by other explorers of the new paradigm, receives scant attention from Capra. Nonetheless, his approach was more comprehensive than most, and I expect most will be included. paru sur le site du CURA.