Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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lundi 4 juillet 2022

jacques Halbronn Epistémoogie. Si l'astrologie existe, elle peut se manifester subconsciemment, ici et maintenant.

jacques Halbronn Epistémologie : si l’astrologie existe, elle peut se manifester subconsciemment ici et maintenant * Selon nous, les récurrences numériques sont la voie royale pour accéder à l’astrologie et cela ne passe pas par la littérature astrologique qui est de l’ordre de la Surconscience. Il faut se méfier de ce que nous appelons ici Surconscience car cela interfère avec la Subconscience (cf nos textes à ce sujet) En effet, trop de surconscience interfère avec l’appréhension de la Subconscience, c’est ce qui vaut pour le « biais cognitif » que d’aucuns reprochent aux astrologues et astrophiles. En ce sens, la culture ne reléverait-elle pas de cette Surconscience? C’est ainsi que nos travaux en astrologie mondiale engagés dés le début des années soixante-dix partirent d’une observation de l’histoire des empires, se faisant et se défaisant, sous nos yeux en plein milieu du XXe siècle. Dès lors que ce phénoméne faisait apparaitre une certaine durée pour chaque temps – ce qui se faisait et ce qui se défaisait- on aboutissait au nombre 7 en termes d’années. Or, l’étude en paralléle, en quelque sorte, de l’astronomie, rendait possible une corrélation entre le dit phénoméne et le cycle de la planéte Saturne de 28/4. Mais cette méthode que nous préconisons, on s’en doute, peut s’appliquer aux objets d’étude les plus divers. Il s’agit de s’intéresser à un certain nombre de faits saillants susceptibles d’imprégner notre esprit au lieu de partir de tel ou tel texte, plus ou moins ancien, dont la transmission aura pu subir au cours des âges bien des avatars, des altérations par suppression comme par addition. Cela dit, il conviendra de se méfier de certaines formulations trompeuses, comme celle de « guerre », piége dans lequel tombal le regretté André Barbault.à la suite d’un Gouchon. Car il n’est pas , notamment, d’événéments plus différents entre eux que la Première et la « Seconde » Guerres Mondiales. On devra donc s’assurer que les dénominations existantes ne soient pas un leurre, au risque de bâtir sur du sable. Mais, en tout état de cause, il sera toujours préférable de s’intéresser en premier lieu à ce qui est le plus proche, le plus accessible, dans le temps comme dans l’espace car en tant qu’humains, notre perception optimale des choses concerne notre environnement qui nous interpelle spontanément. A contrario, peut-on sérieusement, déclarer que le Ciel nous parle, que nous entendons son « langage »? Selon nous, ce que font les humains nous percute bien davantage que ne peuvent le prétendre les astres. Même si l’on est prêt à admettre qu’in fine, en principe les astres reflétent quelque part une certaine réalité terrestre, cela reste un propos théorique bien plus que sensible. D’ailleurs, encore faudrait-il s’entendre sur la nature de leur « influence » (titre du premier ouvrage de Michel Gauquelin). En 1986, nous plubliames une sorte de manifeste « La pensée astrologique » en tête de l’ (Etrange)Histoire de l’astrologie (Ed Artefact) de Serge Hutin où nous insistions sur la notion d’instrumentalisation du cosmos par certaines sociétés humaines. Par ce terme, nous entendions l’aptitude des humains à utiliser arbitrairement certaines configurations astronomiques comme repérés de temps, sans que cela résultât aucunement d’une mise en évidence de corrélations réelles. Cela signifie que les humains partaient de ce qu’ils connaissaient pour capter le cosmos(le « Septénaire ») et non l’inverse. Certes; avec le recul du temps, une fois ce « branchement » mis en oeuvre,l’on pouvait être tenté d’inverser la démarche c’est à dire de partir du Ciel pour mieux comprendre ce qui se jouait « sur terre ». Mais partir du ciel, qu’est ce à dire: un ciel d’autant plus multiforme, polysémique, qu’il est traversé, émaillé par toutes sortes d ‘interconnexions entre ses composantes, ce qui confine à de l’illisibilité? Le « fil d’Ariane » dans le labyrinthe cosmique est- bel et bien, de l’ordre du fonctionnement des sociétés. JHB 04 07 22

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