Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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mercredi 12 avril 2023

jacques halbronn Astrologie et politique. Une dissolution souhaitable en 2023

jacques halbronn Astrologie et politique. Une dissolution souhaitable en 2023 Les temps changent et les dernière élections d’il y aura bientôt un an auront été impactées par la fin d’une phase solsticiale. Inversement, l’élection de Macron en 2017 l’avait été par la fin d’une phase équinoxiale.Deux situations paradoxales. En 2016-2017, la tendance allait vers un dépassement des clivages tant au niveau national qu’international, et c’est bien dans ce contexte qu’aura été élu Macron et sa majorité de la République en Marche. En 2022, force est de constater la poids des divisions qui auront empéché de trouver une majorité tant autour du président qu’au Parlement. Double échec qui n’aura même pas permis d’instaurer une cohabitation comme en 1986, 1993 ou 1997! Le cas de 2002 est intéressant car Lionel Jospin, le Premier ministre sortant, ne se retrouvera pas au second tour des Présidentielles, alors que l’on est en phase solsticiale. Il est vrai que 1997 n’est pas 2002. Les temps changent! En 2002, ce fut notamment la candidature de Chevénement – sans parler d’autres éléments d’une « majorité plurielle »_qui fit échouer Jospin pour accéder au second tour, au profit d’un Jean Marie Le Pen. C’est bien là un symptome de solsticialité avec 16 candidatures à la dite Présidentielle en 2002. Or, en 2022, on sort de 7 ans de phase solsticiale avec ses séquelles et on n’a pas encore basculé en phase équinoxiale. D’où cette impuissance pour chaque cas en présence de l’emporter de façon décisive. Mais qui de 2023? A notre avis, la pénétration en phase équinoxiale devrait faciliter à terme des rassemblements plus déterminants.D’où la question de la dissolution à l’horizon. Naivement, l’on serait tenté de dire que de nouvelles élections ne changeront pas la donne mais ce serait faire abstraction de l’alternance des périodes astrologiques telles que nous les avons circonscrites et c’est bien là que l’astrologie a son mot à dire à l’encontre de ce « bon sens » qui ne voit pas pourquoi de nouvelles élections devraient déboucher sur un changement politique. Il convient de se reporter à la dissolution de 1968 voulue par De Gaulle- au lendemain des élections législatives de 1967 et qui donnera de tout autres résultats que l’année précédente à savoir une majorité confortable pour le général. Inversement en 1988, à l’occasion du second mandat de Mitterrand, on était en phase solsticiale et on retrouve exactement la situation actuelle, à savoir ni majorité présidentielle, ni cohabitation, d’où le jeu de l’article 49.3 assumé par Michel Rochard avec sa majoité rélative. Mais en 2023, on n’est pas en 1988. Dans un cas, on est en début de phase solsticiale, dans l’autre en début de phase équinoxiale, les marges de manoeuvre ne sont pas les mêmes. D’ailleurs, la création de la NUPES est déjà marquée par la phase équinoxiale, puisque l’on est dans un « entre deux » déconcertant qui aurait pu être évité si les constitutionalistes avaient maitrisé la problématique cyclique que nous avons décrite. Ce ne sont pas les institutions qui sont en crise mais leur soubassement cyclologique qui en est le maillon faible. Avec le recul, on dira qu’il fallait être bien inconscient d’organiser des élections sous une telle configuration dystopique! En conclusion, une dissolution en phase équinoxiale avancée devrait permettre de dégager un ensemble plus marquant dans un sens ou dans l’autre, renouant soit avec le scénario de 1968 soit avec celui de 1997. On notera que De Gaulle n’était nullement obligé de se lancer dans l’aventure d’un référendum en 1969 si ce n’est que la phase équinoxiale, comme on s’en est expliqué ailleurs, est celle de la réalisation d’attentes plus ou moins anciennes remontant pour De Gaulle lors de la phase solsticiale sous laquelle il arriva au pouvoir, sans pouvoir obtenir tout ce qu’il espérait, ce qui est le propre d’une telle phase.

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