Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
.
Soutenez nous en achetant à notre librairie en ligne sur priceminister/Rakuten VULCAINJH.

06 60 75 52 48 teleprovidence@yahoo.fr



"Désormais, vous pouvez profiter de nos vidéos sur you tube en demandant simplement "teleprovidence"ou"Halbronn". Si certaines vidéos en venaient à manquer sur notre site, elles seront sur You Tube"

samedi 6 mai 2023

Jacques halbronn Epistémologie pour une astrologie en phase équinoxale. Le besoin de structureS. Fin de la condition de paria

jacques halbronn Epistémologie pour une astrologie en phase équinoxiale: le besoin de structures. Fin de la condition de paria. En cette période équinoxiale, l’occasion s’offre à nouveau pour l’astrologie de se reconstituer sur des base saines. Cela implique notamment de déterminer clairement la dialectique des phases mais aussi leur contenu et d’abandonner des dispositifs de médiocre qualité qui ont pu se répandre en phase solsticiale marquée par un mimétisme de bas étage, l’incurie, l’incompétence et le faux semblant, ce qui exige une certaine lucidité. Il revient à la communauté astrologique de se doter d’un modéle performant, même si cela doit couter à certains, à plus d’un titre. Il est temps de mettre fin aux saturnales, époque où l’on intervertit le haut et le bas et le cycle de Saturne détermine cette alternance de ce qui est en haut et de ce qui est en bas (cf la Table d’Emeraude) En introduisant la dialectique b.a.-ba - Equinoxialité/Solsticialité- laquelle commence à être désormais intégrée par pas mal de gens en raison de son ergonomie – nous dotons l’astrologie d’un viatique lui permettant de figurer honorablement en ce XXIe siècle dans une démarche transdisciplinaire et non plus comme un savoir « paria ».. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple? D’aucuns sont rassurés par la complexité parce que cela leur offre une échappatoire en cas d’échec, car l’on peut toujours dire que l’on aura oublié de prendre en compte tel ou tel facteur. Cela leur enléve un poids, du stress et dès lors être astrologue deviendrait une activité « cool ». Nous proposons de partir sur de bonnes bases ce qui implique de fixer un calendrier universel, balisé de sept ans en sept ans et que tout astrophile doit avoir en tête une fois pour toutes tout comme il sait à quel signe correspond telle date de naissance.C’est un minimum. Or, actuellement, la plupart des astrologues n’ont pas en tête les positions planétaires matricielles ni les événements politiques qui les accompagnent. Il leur faut à chaque fois consulter l’ordinateur tant le matériau dont ils se servent est en perpétuel changement, notamment pour tout ce qui touche à la « carte du ciel » du systéme solaire en un instant T. C’est pourquoi, nous avons montré que Saturne suffisait à marquer le cours des choses et les basculements successifs (et on n’a pas besoin d’Uranus pour ce faire!) Mais encore fallait-il préciser aussi clairement que possible ce qui distingue une phase d’une autre faute de quoi le message ne peut qu’être confus et sujet aux interprétations les plus diverses.Or, beaucoup d’astrologues ne prennent même pas la peine d’établir une quelconque classification des phases à moins que l’on admette que la typologie zodiacale fasse l’affaire et nous sommes très sceptiques sur l’intelligibilité d’une tel systéme à base 12 car nous pensons qu’au delà du 2, il y a foule, le trois c’est le « très », le beaucoup. Pour que l’astrologie (re) devienne crédible, elle devra jouer la carte de la transparence et non celle de l’hermétisme. Certes, plus l’outil est complexe à manier, plus le praticien en tirera quelque mérite mais c »est bien là un piétre calcul/ Il ne faut pas traiter l’astrologie comme une personne malade à ménager, à ne pas trop secouer. C’est là l’esprit de la solsticialité qui se place du côté des plus faibles à l’opposé de celui de l’équinoxialité. Certes, l’on sait à quel point toute réforme rencontre des protestations mais il faut en passer par là et l’astrologie, plus que tout autre domaine, aura beaucoup à y gagner et pas grand chose à perdre.. Autrement dit, il faut mettre l’astrologie « à la portée de tous » mais non pas, comme le proposaient en 1935 un Maurice Privat dans son » L’Astrologie scientifique à la portée de tous » (Ed Grasset) ou trente ans plus tot l’Anglais Alan Leo et son « Astrologie de tout le monde ». Manuel astrologique n 1. 1906 (que nous avons réédité chez Trédaniel en 1987) mais en faisant de l’astrologie une chose commune, partagée, bagage de tout honnête homme et non d’une poignée d’artisans besogneux, maitrisant mal leur outil, tant il est insaisissable et incontrolable du fait de sa très faible ergonomie. JHB 05 05 23

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire