jacques halbronn Poiur une astrologie EXOLS /DRH autour de la dualité Equinoxialité/Solsticialité

Jacques Halbronn Pour une astrologie EXOLS DRH autour de la dualité Equinoxialité/Solsticialité. Le métier d’avenir pour l’astrologie concerne le recrutement des cadres et leur plan de carrière, il s’inscrit dans le profil du DRH de demain, ce qui passe par des formations appropriées qu’entend délivrer la Faculté Libre d’Astrologie de Paris (inscriptions SMS 06 60 75 52 48) On en exposera ici les grandes lignes. Il s’agit d’abord de se familiariser avec les notion d’équinoxial(ité) et de solsticial(ité) afin d’être en mesure, à la suite d’un entretien, de déterminer le profil de la personne concernée. On aura compris que la nouvelle astrologie travaille en base ergonomique 2 (ou 4) et non pas en base obsoléte 12 (ou 9), Le DRH ainsi équipé astrologiquement devra commencer par classer son « consultant » selon l’une des deux catégories au vu de son vécu au prisme de notre cyclologie septénale, ce qui implique préférablement de couvrir un certain nombre de décennies. On retrouve là le recours à d’anciennes méthodes astrologiques, comme celle de la rectification de l’heure de naissance, passant par la prise en compte d’événements marquants ( mais ici il ne s’agit plus de l’affaire de l’heure, liée aux directions primaires) ainsi que par le repérage de périodes plutôt favorables ou plutot néfastes. Au bout du compte, notre astrologie DRH ou notre DRH astrologue devra délivrer non pas une carte du ciel, un thème natal mais un certificat d’appartenance à l’un ou l’autre de nos groupes, un peu à la façon de la détermination du groupe sanguin., ce qui constituera, à l’avenir, une information précieuse pour l’employeur même si cela recoupe en tout état de cause son « feeling » subconscient. Nous avons donné (sur notre chaine You Tube de la Subconscience) l’exemple de la vie politique entre 1974 et 2002 où l’on voit que les discours de droite sont favorisés par la solsticialité tandis que ceux de gauche le seraient par l’équinoxialité, ce qui sous tend une certaine alternance, si ce n’est que le calendrier électoral ne respecte pas pour l’instant les repéres de notre Astrologie EXOLS, ce qui ne saurait d’ailleurs tarder. En phase solsticiale, on est pour le plein emploi et une solidarité à l’échelle nationale alors qu’en phase équinoxiale, l’on a conscience de la nécessité d’un certain ruissellement vertical, les meilleurs éléments jouant un rôle moteur, avec un appui technologique de plus en plus sophistiqué.« Le socialisme, c’est les soviets plus l’électricité », disait Lénine, quitte à pratiquer une politique sociale à destination des « non employés » (unemployed). On pense à l’idée de « revenu universel » déconnectant les ressources du travail. C’est toute la question des « minima sociaux ». Wikipedia: « L’important est qu’un moyen de vivre ou plutôt de survivre soit garanti à ceux qui n’ont rien, qui ne peuvent rien, qui ne sont rien. C’est la condition de leur réinsertion sociale », indique clairement François Mitterrand avant l’élection présidentielle de 1988 dans sa « Lettre à tous les Français ». À cette fin, Michel Rocard propose, dès sa nomination comme Premier ministre, la création d’un « revenu minimal d’insertion » afin de « permettre à ceux qui sont les plus durement frappés, que notre société laisse partir à la dérive, que la marginalité guette, d’avoir droit à une deuxième chance… » (Déclaration de politique générale, 29 juin 1988). On note une certaine ambiguité dans le débat: une chose est de donner un travail, une autre de survivre., soit deux choix économiques distincts mais qui peuvent se présenter sous un même aspect selon la finalité mise en avant. Mais l’enjeu est que la politique sociale ne nuise pas à la politique économique en termes de productivité. Le débat autour de la durée de l’âge d’accés à la retraite est à relier avec la périodicité EXOLS; On peut se demander en l’occurrence si certains positionnements ne sont pas décalés, déconnectés par rapport à la situation « périodique » en raison de discours tenus à un certain moment et qui ne sont plus « actuels ». En tout état de cause, il importe de relativiser ce qui se décide à un instant T en sachant que cela ne correspondra plus sept ans plus tard. Il nous apparait que toute mesure ne peut être que provisoire et c’est une telle prise de conscience qui fait défaut comme lorsque Michel Onfray entend que le référendum de 2005 vaille une fois pour toutes et ne puisse être réactualisé. JHB 26 05 23