Jacques Halbronn A propos d'un texte de Jean Paul Citron "un vrai compte rendu des Clefs" (1978)

Jacques Halbronn à propos 'un texte de e Jean Paul Citron "Un vrai compte rendu des Clés" (1978) Le texte en question parut dans notre revue "Grande Conjonction" d'avril 78 dans un volume intitulé "Arcanes du savoir astrologique". Le titre que nous avions choisi faisait allusion au compte rendu d'André Barbault dans la revue L'Astrologue, ce qui occasionna un procès en diffamation par voie de presse que nous avions gagné en appel. Ci dessous des extraits de la contribution de Jean Paul Citron, un proche de Jean-Pierre Nicola. Extrait ;' L'uniplanétarisme " Jacques halbronn est convaincu de la validité de l'uniplanétarisme, c'est à dire du fait que l'individu n'est marqué fondamentalement que par une seule planéte à la fois, ce qui lui permet de critiquer l'horoscope moderne qui fait de chacun de nous un "arlequin" en tenant compte de nombreux facteurs souvent contradictoires pour expliquer notre personnalkté. L'unipolanétarisme conduit l'auteur à dégager des "dominantes sensorielles" (p. 3 "L'auteur disringue deux courbes à examiner - la petite courbe qui schématise les conjonctions, carrés et opposition de la planéte avec le soleil-La grande courbe qui représente le passage de la planéte dans les cadrans saisonniers succesifs" Nous avions dès la fin de 1976 publié tout un dossier sur notre 'Astrologie Sensorielle", dans le magazine fémin "Cosmopolitan. Par la suite, nous avons associé associé aux femmes le ça lié à l'ouie et à la vue et aux hommes le ça lié à l'odorat et au goût.En fait, nous sommes passés en 1994 à la thèse selon laquelle une seule planéte comptait en astrologie, à savoir Saturne, selon une relecture structurelle du dispositif des domiciles, où les planétes centrales, Mercure, Vénus, Mars et Jupiter, n'avaient qu'un rôle symbolique comme diviseurs en 4 du cycle. Autre extrait La courbe de Gouchon : " dont le défaut est de ne pas être cyclique et qui tient compte de Neptune et de Pluton" Cette coutbe est celle de l'indice cyclique de Barbault Extrait sur les maitrises " Pour compléter le tableau des maitrises, l'auteur fait appel à deux transplutoniennes, Vulcain et Proserpine. Par aillurs, il est amené à privilégier singulèrement la planéte Uranus en l'intégrant au septénaire traditionnel, au nom de la Loi de Bode( (...) Jacques halbronn ne craint pas d'attribuer la maitrise du bélier à la Lune et celle du taureau au Soleil, en effet, le Soleil se trouve ainsi en relation (de dignité ou de débilité) avec les quatre signes fixes qui marquent le coeur de chaque saison. Mathématiquement, c'est défendable mais cela a soulevé bien des réactions chez des astrologues partisans de relations plus symboliques entre planétes et signes" Cela dit, notre travail sur les maitrises ne préjugeait aucunement de l'utilisation des planétes au delà de Saturne, à la différence du RET de Nicola. Déjà à cette époque, nous n'avions pas pour principe de vouloir que tout ce qui existait astronomiquement et mythologiquement devait servir ipso facto dans une pratique astrologique (cf nos Mathématiques Divinatoires, 1983, Ed Trédaniel) Extrait sur les phases " L'auteur critique l'astrologie conditionnelle (celle de Nicola): ce qui importe pour qualifier une saison n'est pas son mouvement globale (décroissance du jour pour l'Eté par ex) mais le point de départ de cette saison (durée maximum du jour); ainsi les saisons d'excitation pour Nicola, deviennent des saisons d'inhibition pour J. Halbronn et vice versa". Notre commentaire: il est clair que les deux équinoxes ont des points communs entre eux tout comme les deux solstices, ce qui confirme que l'opposition ne saurait être un aspect négatif. Pour nous, les équinoxes correspondent à un état unitaire (d'où le terme "équi" pour égalité) alors que les solstices sont marqués par la mis en échec de cet état( d'où le terme "stice" indiquant l'arrêt) Note: en décembre 2000, Jean Paul Citron participera au Colloque MAU CURA, à Paris (cf les Actes sur le site du CURA.free.fr) JHB 20 05 23