jacxques halbronn La prrise de conscience astrologique comme vaccin. La question de la gravitation sociale

jacques halbronn La prise de conscience astrologique comme vaccin. La question de la gravitation sociale. Mieux vaut prévenir que guérir, rappelions- nous. L’image du vaccin astrologique nous semble assez heureuse en ce qu’elle implique de se préparer le plus tôt possible à traverser, à vivre des situations compliquées et complexes plutôt que de pratiquer la politique de l’autruche. Apparemment depuis deux siècles et demi que le systéme démocratique a été initié, .d’abord aux Etats Unis, le niveau de conscience politique reste désespérément faible et les gens semblent toujours surpris qu’il puisse y avoir des périodes bien différentes les unes des autres de par leur logique et leur fonctionnement et même le cycle des saisons, l’alternance du jour et de la nuit ne suffit même pas à intégrer la nécessité de changer périodiquement son fusil d’épaule. Se familiariser très tôt aux régles du jeu qui sous tendent depuis des millénaire le fonctionnement de nos sociétés humaines ne semble pas encore une priorité pédagogique peut être tout simplement parce que ces régles ne sont pas encore bien établies en dépit de l’essor des sciences sociales, politiques. Cette nécessaire pédagogie s’apparente à un vaccin lequel permettrait de calmer les angoisses liées aux changements de phase en les affrontant, en s »habituant à leur impact. Certes, les gens ont appris qu’il y avait régulièrement des élections, garantissant une certaine alternance mais tout se passe comme si la plupart en était arrivé à penser que si l’on changeait les responsables, la politique devait rester indéfiniment la même alors que dans le domaine médical, on a bien vu, que des aménagements s’étaient avérés indispensable, tout comme d’ailleurs au niveau écologique. Mais en matière politique, le retard est patent comme on peut l’observer actuellement. Pour mieux nous faire comprendre, nous nous servirons de l’astronomie et notamment de la question de la gravitation. Selon nous, il existerait une cyclicité de la gravitation sociale. Il y a un pic gravitationnel qui permet d’unifier et de concentrer autour d’une poignée de leaders, à l’instar du systéme solaire, articulé autour du soleil comme son nom l’indique. Mais d’un pic à l’autre, il y a des baisses de tension, ce qui conduit à un relâchement de la centralité sociale, ce qui aboutit à la longue à une certaine forme d’anarchie, à la façon de ce qui a suivi l’érection de la Tour de Babel, avec la diversité des langues qui rend difficile l’intercompréhension.(cf le Livre de la Genése). Or, quand une population a vécu pendant un certain temps dans le relâchement, dans l’absence de centralité, il va lui être difficile de passer à une période de forte gravitation. Et c’est bien là que la vaccination constitue une préparation salutaire quand on sonne la fin de la récréation, ce qui est toujours un peu frustrant et sevrant. Mais il faut bien comprendre que ce retour gravitationnel périodique est nécessaire à une bonne hygiéne politique. Visiblement, les gens ne sont toujours pas suffisamment avertis de ce qui constitue le bon ordre des choses. Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. En termes plus techniques, la montée gravitationnelle correspond au passage de Saturne sur l’axe poissons vierge, tous les 15 ans, ce qui devrait être l’intervalle entre les élections dont le rôle est de repérer les personnages les mieux à même d’incarner la dite gravitation sociale du fait même de leur charisme et de leur aptitude à élaborer de bons plans, de bons modéles. Au bout de 7 ans, cette pression gravitationnelle atteindra son minimum, ce qui générera un certain désordre qui pourra être vécu comme une libération par rapport à un carcan et la pédagogie dont il s’agit ici doit nous préparer aussi à vivre au sein de groupes très variés pouvant être antagonistes. On passe ainsi de Charybde en Scylla: de la centralité verticale aux affrontements horizontaux. JHB 11 05 23 cf ce texte envoyé par Roger Hequet Jacques Habronn La prise de conscience astrologique comme vaccin . La question de la gravitation. dans ASTROLOGIE clDf4-rlhao Prévenir avant que de guérir. Voilà ce qui m’apparaît devoir être le véritable rôle de l’astrologie. Parce que guérir, l’astrologie ne sait pas le faire, sinon en adjoignant au sien quelque autre « savoir » (psychanalyse, sophrologie, etc.), bref, sinon en se faisant beaucoup plus discrète. Jusqu’à n’être plus parfois qu’un alibi. Face à la pathologie l’astrologie n’a rien « inventé », rien découvert de plus que ce que nous connaissions d’autres réponses « techniques », philosophiques ou spirituelles. « On » emprunte au bouddhisme, au christianisme si ce n’est à la « morale » humaniste, à la psychologie et surtout au « bon sens », à quelque raison, mais on ne soigne pas la souffrance par l’astrologie. On accompagne, on « gère » alors celle-ci, laissant au temps le soin de faire, raisonnablement, son œuvre. Comme pourrait le faire « n’importe qui » qui ne serait pas astrologue, mais un « ami ». L’astrologie s’adresse idéalement à l’individu sorti du « doute » de soi, qui « sait », qui « veut » mais… ne sait pas quand, ne sait pas comment. Un individu qui sait son espace et veut l’accompagner dans son temps. Rester synchro avec lui, en « synchronicité ». Apprendre à être, à chaque instant, « là au bon moment ». Faire une partie d’échec de son existence, l’intelligence, la lucidité, la raison, le « savoir », face à une réalité cosmo-biologique, en soi, un déterminisme biomathématique puissant, une telle « mathématique événementielle ». Avec l’Ère du Verseau, le Temps sera désormais la dimension essentielle à l’humanité. Le Temps à cette humanité autant que le temps de soi. Et l’astrologie trouvera ici sa vocation première à guider cet espace, ces espaces, dans ce temps, dans ces temps à venir. Nous quittons une ère d’ESPACE, avec la sédentarisation des peuples humains, la découverte d’autres continents, la colonisation et jusqu’à une guerre mondiale pour un espace vital…. avec pour pic la conquête de la Lune en 1969. Depuis on ne compte plus les distances en km, valeurs spatiales, mais en années lumières, en années, valeur temporelles. Nous entrons depuis relativement peu dans une ère de TEMPS. Un jour viendra où le Temps réellement efficace que chacun donnera à la collectivité sera retenu comme élément fondamental à la vie économique mondiale. Chaque minute proposée de soi sera comptée et comptabilisée et sans doute vaudra-t-il mieux connaître, prévenir, savoir, comprendre, accompagner, ce Temps de soi. L’efficacité humaine dans sa réalisation est sans doute une raison d’être de l’astrologie. Elle n’a, je le répète, aucune vocation et aucun moyen à soigner, à guérir la souffrance sans surtout devoir s’en remettre à d’autres sciences ou savoirs. Et tant que les astrologues consultants et professionnels prétendront le contraire, soulignant même que ce serait une raison d’être à leur « art », elle attirera vers elle toute la souffrance du monde. En toute inefficacité bien sûr.