Site de l'Association La Vie Astrologique (ex Mouvement Astrologique Universitaire). 8, rue de la Providence. 75013 Paris/ Une approche historico-critique de la littérature astrologique.
Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)
Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
.
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samedi 22 juillet 2023
Le Ciel des Mésopotamiens
LE CIEL DES MESOPOTAMIENS
Sous le Soleil des Envahisseurs Aliens du Cosmos Galactik d'Anus
ALIEN INVASION
DES SEMITES DANS L'ESPACE AVEC DES SOUCOUPES VOLANTES
AREA 51
ZEUS MARDUK ALLAH YAVE
GRAND MAITRE ELOHIM SUR SON ROCHER
HISTOIRE DES ALIENS
La première grande période historique de cette région est la civilisation sumérienne, qui s’établit autour de -5300 et qui voit en particulier la naissance de l’écriture, sous forme cunéiforme, entre -3500 et -3000. Vers -1900 commence une première période où la Mésopotamie va être dominée par la cité de Babylone. C’est la période paléo-babylonienne, qui unifie la région pendant 300 ans jusqu’à la chute de Babylone aux mains des hittites vers -1600. Ils vont rapidement laisser la place aux cassites jusque vers -1155.
La région est ensuite dominée par l’influence grandissante des assyriens, un peuple du nord de la Mésopotamie. L’empire néo-assyrien est établi en -911 et dure jusqu’à la chute de la capitale Ninive en -612, aux mains des babyloniens et de leurs alliés mèdes et scythes. Babylone reprend alors son influence et c’est l’ère la plus riche en découvertes, l’empire néo-babylonien (aussi connu sous le nom d’ère chaldéenne), qui commence en -626 et durera jusqu’à la conquête par les Perses en -539. Il y a eu de nombreux contacts avec les Egyptiens ce qui explique les figures similaires, les Asiatiques mais aussi les peuples d'Europe.
UFO de Annunaki avec la prostituée aux enfers, l'Elite des Aliens, les Dieux de la Montagne et Anu le Moloch
Chez les babyloniens, le chemin à la gloire de MARDUK le grand TAUREAU AILE distingue trois voies dans le ciel. Le chemin d'ENLIL rassemble les étoiles dont le lever s'opère dans la zone boréale au solstice d'été. Le chemin d'ANU regroupe les étoiles qui se lèvent à l'Orient dans la zone intersolsticiale, c'est à dire l'arc délimité par les points sur l'horizon oriental par la position du soleil entre les deux solstices. Le chemin d' EA concerne le chemin dont le lever s'effectue dans la zone australe au solstice d'hiver.
MUL.APIN BABYLONIEN
Le Troupeau Lumineux
Des tablettes mésopotamiennes datant d'environ 1800 AV J.-C indiquent aussi le nom des étoiles et les observations des mouvements planétaires. A travers les âges, nous constatons que les noms des étoiles signifiaient la même chose, bien que les mots réels dans les différentes langues sont différents. Ainsi, la constellation VIERGE, qui pourrait signifier que cette constellation est « VIERGE », Bethulah en hébreu, Parthénos en grec, Kanya en Inde, etc., tous ces noms signifient tous VIERGE.
Sont nom sumérien est AB.SIN que l'on peut rapprocher avec le nom ABSINTHE. Cela peut aussi indiquer un point géographique antique, une terre " VIERGE ". La boisson ABSINTHE est un ensemble de spiritueux à base de plantes d'absinthe (Artemisia absinthium), on peut rapprocher cette plante avec l'ARBRE DE VIE et son FRUIT qui deviendra la FLEUR DE VIE. La plante évoque également ARTEMIS, la déesse de la chasse DIANE. Ces symboles sont déjà en Egypte bien avant Babel, les Perses et les Grecs.
MATHEMATIQUE ET ECRITURE
On raconte que la civilisation sumérienne se distingue par un développement très poussé des mathématiques, Sumer développe un système sexagésimal, basé sur le nombre 60, plutôt que notre système décimal fondé sur le nombre 10. C’est à cette civilisation que nous devons la division du cercle et du ciel en 360 degrés et la division des heures en 60 minutes puis en 60 secondes. Nous ne saurons probablement jamais pourquoi les sumériens ont choisi le nombre 60 comme base.
IHistoriquement, les astronomes sumériens veulent se repérer plus facilement dans le ciel. Pour ce faire, ils associent certaines étoiles qui apparaissent proches dans le ciel en groupes plus faciles à reconnaître. Une approche plus systématique de l’observation du ciel est décrite dans un ensemble de tablettes qui datent de l’époque assyrienne, vers l’an -1000, et ont survécu jusqu’à nos jours : les tablettes Mul Apin.
Mais uujourd'hui, les égyptologues ont peu à peu retracé la naissance de l'écriture égyptienne. Ils montrent qu'elle ne doit rien à sa cousine mésopotamienne. C'est une invention des Égyptiens eux-mêmes, ce qui confirme une hypothèse émise il y a vingt-cinq ans. Nous ne venons absolument pas de Sumer !
C'est en effet en 1986 qu'une équipe d'archéologues allemands dirigée par Günter Dreyer, de l'Institut archéologique allemand du Caire, met au jour les plus anciennes inscriptions hiéroglyphiques égyptiennes connues. Elles ornaient des étiquettes en ivoire, en os ou en bois, qui étaient fixées au col de jarres de stockage. Au total, les archéologues en découvrent un peu moins de deux cents dans une tombe, appelée U-j, à Abydos, ville située près du Nil dans le centre de l'Égypte actuelle.
La découverte fait sensation car datée de 3250 av. notre ère., elle repousse de plusieurs centaines d'années l'apparition de l'écriture en Égypte. Mieux, selon certains résultats de datation, ces inscriptions devanceraient de près d'un siècle les plus anciennes connues pour la Mésopotamie, les tablettes proto-cunéiformes d'Uruk.
Selon d'autres chercheurs, l'écriture cunéiforme viendrait des hyéroglyphes de l'Egypte antique ! A partir du IIIe millénaire les figures sont simplifiées et les dessins utilisés par les sumériens pendant plusieurs siècles disparaissent alors pour la nouvelle forme d'écriture qui est associée aux sons, donnant du même coup la possibilité de transcrire le langage lui-même.
Chaque croquis représente un mot ou un son comme dans un rébus. Sur le plan graphique l'écriture est stylisée, les courbes commencent à se décomposer en segments en forme de clou et de coin, afin d'inventer une nouvelle écriture sans représentations. L'écriture de Sumer n'est qu'une adaptation de ce qu'il y avait avant sous forme de hyéroglyphes en Egypte. C'est ensuite avec les Phéniciens que l’écriture fut révolutionnée avec l’invention de l’alphabet (un signe = un son). Inventé il y a 3 000 ans, l’alphabet phénicien serait l’ancêtre de tous les alphabets du monde. Les Araméens propagèrent les lettres phéniciennes de l’Égypte à l’Indus.
Le docteur Gunther Dreyer, directeur de l ‘Institut archéologique allemand d’ Égypte a trouvé dans les tombeaux d ‘Abydos des inscriptions avec des éléments phonétiques, ce sont des hiéroglyphes très anciens et datés antérieurement à 3250 avant notre ère ! Celà précède l’écriture de la Mésopotamie, qui a commencé d’abord comme un système de comptabilité.
La découverte d’une datation de civilisation plus ancienne fut découverte à 250 km au sud d’Assouan à Quadan, la datation obtenue est de 13000 à 9000 ans avant notre ère., ce qui est beaucoup plus ancien que la période sumérienne.Des historiens indiquent une généalogie des Dieux régnant en Egypte 23 200 ans et une autre régnant pendant 13 400 ans avant les pharaons.
ZODIAQUE BABYLONIEN
Près de deux mille ans avant le zodiaque circulaire de la synagigue de Bet-Alpha, les dirigeants du Proche-Orient, surtout à Babylone, invoquaient leurs Dieux sur les documents des traités; (Kudurru). Ils ont été blasonnés avec les symboles célestes de ces Dieux, c'est à dire les planètes et le début d'un Zodiaque dans un cercle céleste, embrassé par un serpent ondulant qui représentait certainement la Voie lactée. Si les archéologues ont trouvé des signes astronomiques babyloniens clairement marqués en douze parties, ces symboles célestes étaient taillés sur des pierres sans un cercle céleste.
Reconstitution d'un Zodiaque Mésopotamien à partir des symboles les stèles
On dit souvent que le vestige horoscopique le plus ancien connu provient de Babylone mais les noms et les symboles du zodiaque ont été conçus par les Grecs, le mot " Zodiaque " est d'origine grecque, signifiant " cercle animal ". Il est admis que l'inspiration proveint de l'Egypte, où le zodiaque avec ses symboles, ordre et noms inchangés était certainement connu.
On a retrouvé les signes du Zodiaque sur des tombes égyptiennes sans influence des Grec et des Babyloniens comme dans la Tombe de Senenmout, l’architecte de Hatchepsout (XVIIIe dynastie). Ces détails ne se retrouvent plus tard dans les couvercles de sarcophages de l’époque romaine et l’inspiration de l’iconographie est bien égyptienne, il manque des signes et des symboles en Mésopotamies.
Planisphère de la Bibliothèque d’Assurbanipal -668 à -627 av. JC
Le seul disque " céleste " que la Mésopotamie nous a transmis est celui du Planisphère de la Bibliothèque d’Assurbanipal provenant de Ninive en Assyrie vers -668 à -627, exposé au British Museum de Londres. Il n'y a absolument rien d'autre ! Ce planisphère en argile est sculpté comme un cercle, cependant ce n'est pas un Zodiaque. Tout est en écriture Cunéiforme et il n'y a pas de constellations correspondant à un dessin.
La Mésopotamie n’a jamais atteint la perfection, la géométrie, le degré de finesse de l’Art Astronomique Égyptien. Les noms des constellations sur la planisphère d'Assurbanipal serait celui des Rois légendaires anté-déluviens qui régnèrent avant 2900 avant J-C avec un système numérique sur une base de 60.
Certains dessins sumériens sont des montages récents, la Mésopotamie ne nous a laissé que des tablettes en terre cuite de format rectangulaires, bien loin des desssins sur le site de GOBEKLI TEPE en Turquie - Syrie, connu comme le premier endroit au monde où le blé fut cultivé à grande échelle, 8 000 ans avant les pyramides, c'est à dire il y a 12 000 ans. Les divinités du croissant fertile s'inspirent certainement de la cosmologie des Egyptiens avec des adaptations, ce sont ensuite les Grecs et les Romains qui vont réunir l'ensemble des signes pour la création d'une nouvelle matrice.
Correspondance entre notre Zodiaque et la planisphère d’Assurbanipal
Les documents astrologiques dans les tombes egyptiennes racontent une autre histoire. La culture des mésopotamiens est donc plus proche des Hellènes. Le Zodiaque avec sa division en 12 signes de 30° est une réalisation récente, les limites de notre actuel Atlas datent de 1928. Il est possible de repenser une carte du ciel en se basant sur les tablettes, c'est à dire une reconstitution du ciel Mésopotamien, mais il n'y a aucun document ou cyclindre indiquant un Zodiaque avec toutes les figures.
Les Mésopotamiens pratiquaient l'année luni-solaire, avec la Lune pour régulateur principal, même à l'époque des Arsacides, les Mésopotamiens n'avaient pas encore ramené les constellations zodiacales à une étendue égale pour toutes. Le zodiaque mésopotamien ainsi ébauché aurait été subdivisé et complété plus tard, peut-être par suite de l'adoption de l'année luni-solaire, qui exigeait au moins douze compartiments.
Le dérangement de l'ancien système par le fait de la précession des équinoxes a pu aussi motiver des retouches. Ainsi, s'apercevant que l'équinoxe avait quitté les " Deux Chèvres " avatar du TAUREAU (2450 av. J.-C.), les Mésopotamiens auraient intercalé entre le TAUREAU et les POISSONS un nouveau symbole solaire, le BELIER, pour marquer l'équinoxe du printemps, et affecté la partie antérieure du SCORPION à l'équinoxe d'automne.
Astrolonomie de l'Egypte au plafond du tombeau de Sénènmout en 1463 av. JC
En Egypte, Sénènmout, architecte d'Hatchepsout, a imaginé le fameux temple funéraire de Deir el-Bahari, dans la nécropole thébaine, sur la rive ouest du Nil, face à Louxor en Égypte. Pour rester à proximité de sa reine, il a fait construire pour son propre usage une tombe (répertoriée TT 353) qui recèle un document historique de première importance : son plafond astronomique, qui livre de précieuses informations sur l'ampleur et l'exactitude des connaissances astronomiques des anciens Égyptiens. Sur les murs se trouvent des textes du livre des morts. Le calcul des trajectoires des étoiles au fil des siècles permet d'affirmer que cette nuit est celle du 14 au 15 novembre 1463 av. J.-C.
L’astronomie babylonienne était purement mathématique
la civilisation Babylonienne ne connaissait rien à la géométrie en astronomie.
Le plafond de la tombe de Ramsès II (XIXe dynastie) date de -1213 av. J.-C environ, c'est un calendrier sculpté, il coïncide exactement avec l’ordre des signes du zodiaque. Le début du calendrier correspond aux deux derniers mois de l’hiver (Verseau et Poissons). La fin correspond aux deux premiers mois de l’hiver (Sagittaire et Capricorne). Les dates indiquées pour les signes astrologiques, sont celles qui sont utilisées aujourd’hui.
Ces plafonds astronomiques Egyptiens n'ont pas d'équivalent en Mésopotamie et il est faux et idiot de dire que le plus vieux des Zodiaques est Babylonien, il n'y en a pas ! D’après Denis Savoie, chef du département de l’astronomie à Paris, l’astronomie babylonienne était purement mathématique et il affirme clairement que la civilisation Babylonienne ne connaissait rien à la géométrie en astronomie.
LE CIEL DES ALIENS
Tout dépend de l'orientation de la carte du ciel, mais il semblerait qu'à l'origine le Dieu des sumériens est ENKI (Ea) notre signe du VERSEAU, c'est le GRAND UN (great one) ou AN au sommet de l'édifice, il est peut être un avatar de NEPTUNE et semble importer de l'Egypte. Avec les reforges le Dieu principal devient EL (Yavé), c'est un TAUREAU, il représente certainement ZEUS et c'est notre constellation de la BALEINE. Cette figure se trouve au-dessus de la constellation des Poissons, comme sur le Zodiaque Greco-Egyptien de Denderah.
Le socle des religions et des empires (nous trouvons déjà l'aigle impérial) est donc en mouvement selon les époques. Ces divinités de notre matrice forment l'ANUNAKI c'est à dire les constellations dans le ciel et c'est la base de nos civilisations, c'est à dire que tout est faux sauf pour l'élite et la domination. L'organisation du ciel babylonien est à la fois une projection et un modèle des rapports sociaux, et un médiateur des desseins et impératifs divins.
Le ciel babylonien s'inscrit dans un canevas général du monde, dans une représentation du " cosmos " à six étages, dont les trois célestes sont le monde inconnaissable d'ANU (ce n'est pas l'Anu Egyptien avatar de Hiorus) coiffant les deux mondes célestes moins inaccessibles, celui des dieux, puis celui, visible, des étoiles, planètes et constellations. En dessous figurent le monde terrestre et humain, le monde aquatique abyssal, et enfin le monde des morts, l'outre-monde qui communique avec les étages supérieurs.
Le repérage solsticial et équinoxial, qui nécessitera la réorganisation du ciel mésopotamien au cours du IIIe millénaire, justifie le déploiement du vivant (cycle de Dumuzi) et de l'histoire (épopée de Gilgamesh). L'univers ontologique mésopotamien est entièrement, définitivement et de part en part, imprégné du cycle solaire et de son déploiement au sein des constellations.
Les Babyloniens voyaient le ciel. En voyant le ciel, en se voyant dans le ciel, ils se comprenaient eux-mêmes, ils se voyaient tels que le cosmos les renvoie à leur propre être, i.e. à l'image d'eux-mêmes imprégnée d'une dimension cosmique, symbolique, et surtout ontologique. C'est ainsi qu'ils ont créé l'astrologie, ou plutôt les astrologies, les multiples formes de l'astrologie dont les ultimes avatars chaldéens, développés sous forme mathématique et calculatoire, adoptés par les Grecs et les civilisations qui s'en sont inspiré.
Source : http://cura.free.fr/09-10/1002gavin.html
LES QUATRE ETOILES ROYALES
Les 4 Etoiles de la Grande Babylone des Elohims de Dieu
La reconstitution de ce ciel des anciens montre que ce partage du ciel par quatre étoiles est approximatif. En 3150 av J.C. ALDEBARAN du Taureau et ANTARES du Scorpion étaient à peu près à la place qui leur revient, mais REGULUS du Lion et FOMALHAUT du Poisson Austral en étaient distantes d'une dizaine de degrés. Par contre, vers 2300 avant J.C. REGULUS et FOMALHAUT étaient à leurs places, et c'est ALDEBARAN et ANTARES qui ne l'étaient plus. Au millénaire suivant, ce repèrage purement babylonien Sémitique et Perse avait perdu son sens.
Le SPHINX des mésopotamiens est donc une création exclusive pour leur culte astrologique en relation avec le ciel de l'ORIENT à l'Est du Delta sacré du Nil. Les " Etoiles royales " est le nom généralement donné en astrologie aux quatre étoiles fixes de première grandeur, particulièrement importantes dans les thèmes. Elles furent les étoiles-repères du calendrier babylonien, c'est un CUBE. Plusieurs images symboliques sont associées à chacune de ces étoiles.
Dans cet assemblage on remplace parfois REGULUS du Lion par RIGEL, de la constellation d’ORION, et ANTARES qui est une étoile néfaste car étant « le fossoyeur des caravanes » chez les Mésopotamiens, par la bénéfique SPICA (Epi de la Vierge). On représente le plus souvent ALDEBARAN par un œil, REGULUS par un cœur ou une couronne, ANTARES, dont le nom provient d’Arès-Mars, par un poignard ou un cimeterre, et SPICA quand elle est représentée, par la sphinge ou sphynx, à la tête et la poitrine de femme ou par une gerbe, puisque c'est la constellation de la VIERGE. Les 4 étoiles royales de l'ORIENT ne sont donc pas les 4 étoiles royales des Egyptiens.
- ALDEBARAN : La principale constellation du Taureau, Gardienne de l’Est.
- REGULUS : De la constellation du Lion, Gardienne du Nord.
- ANTARES : Cœur de la constellation du Scorpion, Gardienne de l’Ouest.
- FOMALHAUT : Du Poisson Austral, Gardienne du Sud.
Avec le déplacement du ciel à cause de la précession des Equinoxes, c'est toute la culture de l'Orient qui est aujourd'hui à Terre, elle n'a plus aucun sens astronomique et il faudrait attendre que le ciel retrouve ça place dans le grand cycle de 26 000 années pour retrouver le ciel des Mésopotamiens, mais les étoiles et les planètes ont aussi leurs cycles ce ne sera jamais identique !
La CROIX du Zodiaque a donc changée de place dans le ciel, les anciennes étoiles royales (ou gardiennes du ciel) de l'antiquité persane (Régulus, Antarès, Fomalhaut et Aldébaran) ne forment plus la croix du Zodiaque inventée il y a environ 5000 ans en Mésopotamie.
Afin de suivre ces étoiles, le culte et son centre religieux s'est déplacé en montant vers le Nord, ce qui explique la création de Rome pour faire perdurer l'occultisme. Dans l'antiquité, l'AIGLE représente le SCORPION avatar de SETH, et le VERSEAU représente l'ANGE et l'HOMME. Cela a son importance puisque c'est notre système basé sur la dualité.
Cette croix n'est pas symétrique, les alignements et les symboles à travers les constellations depuis le croissants fertile sont donc purement un système utilisé comme MATRICE politico-religieuse en relation avec les étoiles.
Cette symbolique a été fréquemment et largement utilisée depuis l'époque gréco-romaine jusqu'à nos jours. Selon Jacques Halbronn, le zodiaque a subi diverses corruptions et les attributions des dieux-planètes aux signes ne correspondent pas. Ainsi, les gémeaux évoquaient au départ un couple (dans les almanachs et les livres d'heures, le mois de mai représente un couple, comme dans Les Très Riches Heures du duc de Berry) ce qui correspond à Vénus et non à Mercure comme on peut le lire dans le Tetrabiblos de Claude Ptolémée (IIe siècle de notre ère).
Dans certaines représentations de la France romane, on voit le Christ éclairant de son auréole, tel un soleil, entouré de douze animaux représentant ses apôtres. Il y a aussi l'association traditionnelle des quatre évangélistes aux quatre signes fixes : Luc et le Taureau, Marc et le Lion, Jean et le Scorpion (représenté sous la forme transfigurée de l'aigle8) et Matthieu et le Verseau (l'Homme déversant le flot de la connaissance), composant ainsi le Tétramorphe. Cette symbolique est sans doute issue d'une tradition plus ancienne symbolisant les quatre saisons, d'après la concordance entre ces différentes saisons et la position du soleil dans ces différentes constellations :
- Le taureau pour le printemps (symbole de fertilité)
- Le lion pour l'été (symbole de la puissance, due à la chaleur écrasante)
- Le scorpion pour l'automne (symbole de la mort qui arrive, l'empoisonneur)
- Le verseau pour l'hiver (saison des pluies).
Les quatre étoiles fixes dites royales correspondent à une telle distribution : Aldébaran dans la constellation du Taureau, Régulus dans celle du Lion, Antarès dans celle du Scorpion et enfin Fomalhaut dans celle du Poisson Austral, à proximité de la constellation du Verseau. Enfin, certains auteurs ont établi un parallèle entre les douze tribus d'Israël et les signes du zodiaque.
Jésus de Nazareth est originaire de la tribu de Juda, dont il est dit dans la Genèse qu'elle est « comme un jeune lion » et donc dans le signe du Lion, comme HORUS l'ancien que l'on a enlevé du ciel, il n'y a pas de Zodiaque Egyptien avant les invasions Perses, Sémites finalement l'arrivée des Grecs, pourtant plusieurs signes viennent bien de l'Egypte !
LES ARCHANGES GARDIENS DU CUBE COSMIQUE
Les quatre étoiles royales ou les " sentinelles de l'Est " ont été aussi des étoiles ARCHANGE. La géante rouge ALDEBARAN du TAUREAU était MICHAEL le commandant militaire de l'armée céleste. Les autres étaient GABRIEL et son étoile FOMALHAUT du POISSON AUSTRAL la garidenne du Sud. RAPHAËL était l'étoile REGULUS du LION la gardienne du Nord et URIEL et son étoile ANTARES gardienne de l'Ouest dont le nom provient d’Arès-Mars.
D'autres ANGES - ETOILES (Raziel, Metatron, Zadkiel et Sandalphon) marquaient les autres directions (Nord-Est, Sud-Est, etc..) comme sur une boussole. Ceux-ci sont les signes du Zodiaque copié sur l'Egypte, et les anges gouvernent les maisons des 12 signes et les mois de l'année.
Selon Eric Morse (1) à un moment ces étoiles marquent aussi les SOLSTICES et les EQUINOXES avec la précession des équinoxes. L'étoiles ALDEBARAN (Taureau) marquait le point zéro dans le BELIER en 3044 AV-JC. FOMALHAUT (Poisson Austral) marquait le point zéro dans le CAPRICORNE en 2582 AV-JC. REGULUS (Lion) marquait le point zéro dans le CANCER en 2345 AV-JC. Mails il semblerait bien que le Zodiaque complet avec ses 12 signes n'est pas été enconre inventé, cette théorie semble plus que douteuse, de plus les signes changent plusieurs fois, ça ne tient pas debout !
(1) Source : Eric Morse - The living stars
Armoiries du Souverain de l'Iran (1932-1979) avec la Croix du Zodiaque entre les deux Lions
Le ciel des Perses (l'Iran) n'est pas le ciel du croissant fertile, et avec le temps les étoiles bougent. Ainsi, parfois, on remplace REGULUS par RIGEL, de la constellation d’ORION, et ANTARES qui est une étoile néfaste car étant « le fossoyeur des caravanes » chez les Mésopotamiens, par la bénéfique SPICA, c'est à dire l'Epi de la constellation de la Vierge.
Plusieurs images symboliques sont associées à chacune de ces étoiles. On représente le plus souvent ALDEBARAN par un œil, REGULUS par un cœur ou une couronne, ANTARES par un poignard, un cimeterre, ou une épée, SPICA par la sphinge ou sphynx, à la tête et la poitrine de femme ou par une gerbe.
Ces quatre étoiles ont aussi été caractérisées comme des chevaux, elles sont les célèbres " Quatre Cavaliers de l'Apocalypse " et les chariots dans le livre de Zacharie. Petit à petit suite au déplacement des coordonnées célestes, d'autres étoiles prennent la place des anciennes gardiennes du ciel. Ces étoiles deviennent les ANGES DECHUS quand elles ne servent plus pour l'astro-théologie et vec les réformes religieuses elles sont déplacées. C'est ainsi que MICHAEL (Saint Michel) fut placé au pôle nord céleste, remplaçant la Petite Ourse, RAPHAEL (St Raphaël) hérite du pôle sud céleste à la place de l'Hydre Mâle et du Toucan.
Selon la légende hébraïque dans le Sepher Razial, l'archange RAZIEL est le " secret de Dieu " qui a été donné à Adam (à l'homme) dans le jardin d'Eden (les étoiles), par la main de Dieu. La légende indique que ce recueil varié de l'ancienne tradition hébraïque a été le premier livre jamais écrit. Cet ANGE secret peut être assimilé à l'astronome qui détient les secrets, il n'est donc pas obligé de suivre la formation des mâges et il peut ainsi éviter le rituel de la sodomie et l'ouverture de son chakra de l'anus (du Père AN-ANOU).
LA GENESE ASTROLOGIQUE
Les signes du zodiaque ont été initialement institué par ADAM, SETH et ENOCH avant le déluge. Leur sens a été transmis à NOE qui a préservé les écritures selon la littérature hermétique ENOCH que l'on peut assimiler à THOT le scribe sur un prisme d'Emeraude caché en Egypte. Ce prime n'est autre que le Zodiaque de Denderah qui explique la création de l'homme et les mystères de l'Egypte Antique, il est aussi la Pierre Philosophale, la femeuse substance alchimique.
Dans la Synagogue de Beth Alpha datant du V siècle, il y a une mosaïque naïve représentant les signes du zodiaque. La preuve d'une correspondance entre les Patriarches Prédiluvian et les Signes du zodiaque se trouve dans l'inscription de la Synagogue juive de Ein Gedi (Ain Jidy ou Aïn Jidi en Arabe) dans le désert de Judée.
Cet mythe ayant été utilisé pour la GENESE existe déjà en Mésopotamie avec les Sumériens, il s'agit du combat entre GILGAMESH et le Taureau ENKIDU, ils deviennent des Frères dans le Signe des GEMEAUX. Cet épisode oppose GILGAMESH, régi par Mars dans la maison du BELIER, à ENKIDOU régi par VENUS. Le mythe Solaire est identique à la Mythologie classique (Hercule, Héracles), le Judaïsme, le Coran et la Bible.
La GENESE et le DELUGE des inventeurs de la Bible est une copie de la culture de l'Egypte déjà largement manipulée. Contrairement à la mystique, le Zodiaque est utilisé dans le sens de rotation de l'année et des saisons avec le culte solaire de la journée, il est donc inversé du vrai Zodiaque (de l'année) mais bien basé sur le Zodiaque. Maintenant que nous savons que dans l'ancienne Egypte le Zodiaque n'existait pas, la Genèse raconte obligatoirerment la reforge de la société par un Mage (Thot) à une époque, cela pour faire correspondre le calendrier avec les nouvelles étoiles.
Voir : La Genèse Astrologique
RIGVEDA
Le plus ancien des Vedas de la littérature ancienne et les écritures de l'hindouisme, le Rigveda contient des histoires d'origine poétique et mythologique impliquant les dieux et leurs descendants. Dans la mythologie hindoue, les Angiras sont des êtres célestes et des descendants de dieux, qui veillent sur les humains et protègent les incendies sacrificiels. Les Angirasas sont parmi les plus anciennes familles de Rishis dans le Rigveda.
Dans ce texte, AGNI, le dieu du feu, est parfois appelé ANGIRAS. La divinité suprême du panthéon sumérien est AN, ou ANU. Dans les deux premières lettres du mot sanskrit An-gir-as, AN pourrait se référer à ANU et GIR pourrait se rapporter au dieu du feu Akkadien. DinGIR dans l'écriture cunéiforme signifiait ciel, c'est aussi un dieu ou une déesse.
Les maîtres du ciel étaient perçus comme des divinités par les habitants de la terre. Cela rappelle Angiras et ses descendants, les Angirasas étaient un groupe d'êtres supérieurs qui traversent les royaumes entre dieux et les hommes, une élite inter-stellaire et inter-dimensionnelle.
REPTILES ELOHIMS
Les tablettes astronomiques de Sumer décrivent le ciel en trois parties, le Nord, l'équateur et le Sud. La tablette concernant le trajet apparent de la Lune est plus récente. On peut presque dire que c'est une vue 'astrologique' des éléments célestes. On passe en effet d'une vision souvent équatoriale des étoiles divisée en trois domaines, à une vision qui indique la place des étoiles sur l’écliptique :
- Le Père au Ciel, Enlil , il , El elion, Dieu suprème, l'Esprit créateur ou Idée Créatrice
- Le Soleil, Anou à l'équateur, le Fils de An et de Ki (a)
- Le Protecteur, Ea est en dessous
Ce changement astronomique préfigure le zodiaque de l’époque achéménide, vers le cinquième siècle et dénote la décadence car les références se font en relation aux documents anciens. Il existe deux versions de la tablette relative à la Lune qui ne se différencient que par l'étoile de départ, celle de l'équinoxe, mais le contenu est inchangé.
Homme à 2 têtes, EA (Verseau) avec son Aigle, ENLIL (Carpicorne) avec Anu et son couteau au centre
Le ciel des mésopotamiens est approximatif et il n'y a pas de carte ou un seul document indiquant qu'il est précursseur des Zodiaques et du ciel des Egyptiens, bien au contraire puisque l'on trouve ces symboles sans l'infulence des Grecs et des Mésopotamiens sur plusieurs tombes en Egypte. Les symboles et la source est identique en Inde, en Asie et chez les Gaulois et les Celtes, mais aussi chez les Amérindiens et les Mayas. C'est aussi le secret des VIKINGS, la base est identique.
Il y a des trous et des constellations manquantes en se basant sur les tablettes du croissant fertile et des Perses, comme sur le Zodiaque Greco-Egyptien de Denderah nous trouvons un RENARD ou un LOUP (ou peut-être un chien) au centre, il représente la polaire de l'époque, c'est notre URSA MINOR (Petite Ourse) à proximité de la CHARRUE (plough) et du WAGON. Cette partie du ciel est aussi utilisée par les Celtes et les peuples du Nord de l'Europe, c'est le Chariot d'Arthur dont le nom est " ARTH " c'est à dire " OURS ".
Le POISSON-CHEVRE des Mésopotamiens n'est donc pas une nouveauté et il est une manipulation du ciel antique. C'est avec les invasions de l'Est que le culte revient en Egypte avec des figures modifiées. Avec les Grecs et les Ptolémées, les Déesses de l'Egypte sont masculanisées par le pouvoir religieux dominant l'ensemble du bassin méditerranéen.
Le problème de la réalisation d'une carte du ciel par des inventeurs reste un mystère, les Egyptiens devaient possèder une carte des étoiles plus ancienne car plusieurs constellations de l'hémisphère Sud sont représentées. Cette science existait certainement avant l'antiquité Egyptienne, c'est le royaume perdu il y a plus de 10 000 ans ! Le Zodiaque astrologique Chinois donne également des indices précieux et on trouve en Chine plus ancienne carte du ciel à ce jour.
Voir : La Vierge et les Centaures
L'INVASION DES ALIENS ELOHIMS
Un auteur propose de considérer que cette tablette consacrée au trajet lunaire n'est qu'une copie adaptée d'un document de l'an 1 100. Tout indique que vers le dernier millénaire, alors même que les instruments permettaient une grande précision, il n'y a plus cette poussée, et on passe dans une phase de maturité et déclin qui conduira, à la chute, à transposer le calendrier lunaire de douze mois sur le zodiaque. Les étoiles sont des divinités, la notion de constellation est absente, elles n'existèrent qu'à la décadence, dans les derniers siècles.
AN (Anu ou Anus) et KI (la vie manifestée) sont les descendants de ABSU, les eaux primordiales et de TIAMAT, la (terre) chaotique primordiale. La notion de constellation est absente. Les 'constellations' n'existèrent qu'à la décadence, dans les derniers siècles. L'auteur est de parti-pris et détruit systématiquement le texte biblique pour en donner sa version. Toutefois, ce serait bien le texte Mésopotamien qui aurait été repris pour les Saintes Ecritures avec des éléments et des rituels de l'Egypte antique.
Il est prouvé que les Sumériens et les autres après eux utilisent le Zodiaque avec les figures de l'Egypte mais dans le sens contraire de la rotation zodiacale. Les textes de la GENESE de la Bible comme l'épopée de GILGAMESH, racontent une histoire en utilisant le soleil de la journée et de l'année, c'est le culte d'ATON Egyptien, qui existait cependant avant l'invention du monothéisme par AKHENATON le déstructeur.
Voir : La Genèse Astrologique
DES GEANTS NEPHILIMS
Maîtres Reptiliens de l'Espace Dominateurs des Esclaves Aveugles
Il suffit pourtant de comparer « l’Apocalypse » de saint Jean au « Livre d’Hénoch » qui aurait été composé, selon la majorité des spécialistes, entre le début du second tiers du IIe siècle avant notre ère et 64 avant J.-C., pour comprendre tout l’intérêt de cette source d’inspiration prophétique. C'est à ce moment que le culte commence à être modifié pour la création d'une Nouvel Ere des Poissons.
Les Géants issus de l’union coupable des « Veilleurs du Ciel » et des « Filles des hommes » ont été détruits mais les esprits issus de leur chair sont restés sur la terre. Ils y sont appelés « esprits mauvais », et ils ne cessent de s’élever contre les enfants des hommes jusqu’au jour du Jugement. Les « satans » sont distincts des anges déchus (les constellations manipulées) et des mauvais esprits sortis de la chair des GEANTS, car ils ne sont pas voués aux tourments de l’enfer comme les premiers.
Le dieu-Lune Nanna / Sîn (El - Al - Hubal) sur son trône (Tablette de Sippar - XIe siècle AV-J.C.)
et Osiris le géant (seigneur et Pharaon) sur son trône (Livre des Morts).
En d’autres termes, les « mauvais anges » contre lesquels lutte Mikaël ne sont pas des hommes ordinaires, profanes et ignorants ; ce sont des savants et des initiés qui ont séduit « les filles des hommes », c’est-à-dire les intelligences et les âmes, par de fausses doctrines et par des inventions perverses, sur lesquelles ces puissances fondent leur domination temporelle et leurs crimes contre les Justes.
De cet enseignement mensonger, de la trahison du serment initiatique et du parjure, de la chute de la pure spiritualité de la tradition dans les ténèbres matérielles de ses applications contingentes, sont nés tous les maux de l’humanité, intellectuels, psychiques et physiques. Les GEANTS sont les NEPHILIM, nés du commerce coupable des « Veilleurs du ciel » avec les « filles des hommes » portent un nom analogue au grec NEPHELA (variantes nephelion, nephelen), en latin NEBULA. Les puissants NEPHILIM dominent les aveugles avec les secrets des Etoiles volées aux anciens et manipulées.
Ainsi désignait-on non seulement les « nuages », les « nuées », mais aussi les taches nébuleuses dans les yeux et qui empêchaient de voir. Les GEANTS (les maîtres ou les seigneurs initiés aux mystères) représentent, symboliquement, les « Assembleurs de nuées », ceux qui couvrent la lumière du ciel par leurs « énormes » erreurs lesquelles « dévorent tout le fruit des hommes jusqu’à ce que ceux-ci ne puissent plus les nourrir ». Les pharaons et les seigneurs étaient toujours plus grand que leurs sujets dans l'art, il n'est donc pas question d'une race de d'homme géant mais bien de pouvoir sur la ruche ignorante.
Dans le nouveau testament, la « Cité sainte » dont il est question semble être la « Cité des Anges » plutôt que Jérusalem. Selon l’ancienne tradition patristique, celle de l’Orient (Grégoire de Nysse), comme celle de l’Occident (Grégoire le Grand), l’homme est destiné à combler le vide laissé dans le Chœur des Anges par la chute des Anges rebelles, auteurs du mal et causes du péché.
Source : http://sophia.free-h.net/spip.php?article476
ANGES ET ARBRE DE VIE
En Mésopotamie nous trouvons les Génies ailés à tête d'oiseau bénissant devant un arbre de vie. l'arbre de vie est un symbole d’immortalité, cet arbre est devennu l'arbre de vie de la Kabale avec une fusion de la généalogie des Dieux plus où moins authentique avec des correspondances planétaires. Dans la Bible, l’arbre de vie, symbole d’immortalité, est planté par Dieu au milieu du jardin d’Éden.
Le végétal est aussi associé au rajeunissement, comme cette plante que rapporte Gilgamesh dans son Epopée du fond des eaux. L’image des pierres précieuses dans les arbres du jardin merveilleux de l’Épopée est une manière d’évoquer le caractère inestimable des arbres.
Génie ailé à tête d’oiseau bénissant devant l’arbre sacré (vers 865 av. J.-C.) - Palais d’Assurnazirpal II
et les divinités Hap-Meht et Hap-Reset devant le papyrus et le lotus
Les deux Génies sont des avatars du Dieu Egyptien HÂPY le signe du VERSEAU. Le Nil portait des noms différents selon les régions qu'il traversait, le dieu du Nil du Sud a à sa tête un groupe de plantes de LOTUS tandis que celui du Nil du Nord a un groupe de plantes de PAPYRUS, le premier Dieu est appelé HAP-RESET, et le second HAP-MEHT. Lorsque le deux formes du Dieu sont indiqués en un seul caractère, il devient le Dieu HÂPY notre signe du zodiacal du VERSEAU.
HÂPY tient dans ses deux mains les deux plantes, le PAPYRUS et le LOTUS (ou lys) dont il était censé verser l'eau sur les deux Nils. Un VASE (ou pot) est rempli par de l'EAU MORTE et le deuxième est rempli par de l'EAU DE VIE, c'est l'eau des vivants et l'eau des morts. D’autres représentations mettaient la divinité doublement en scène, HÂPY pouvait aussi être figuré avec une double tête de CANARD. Ce lien que tressent les deux HÂPY constituait un signe hiéroglyphique que les Égyptiens appelait SEMA " l’union ".
Chaque année, le Nil débordait de son lit pour fertiliser les rives asséchées par le climat aride de l'Égypte. Le LIMON NOIR qu'il transportait rendait possible la culture. Symbole de ces crues annuelles, HÂPY avait un rôle prépondérant dans la vie des Égyptiens de l'antiquité : du niveau de ces crues dépendait la survie de ce peuple ce qui explique son caractère ANDROGYNE car il pouvait être positif ou négatif quand les crues étaient faibles, l'arrivée de l'été et de la crue du Nil apportait aussi les maladies, le Dieu du fleuve verse les deux eaux (eau de vie et eau de la mort).
Les Égyptiens croyaient que le Nil a augmentait dans la première cataracte appelée QERI c'est à dire la DOUBLE CAVERNE ", et que le Nil du Sud était pour eux que la partie de la rivière qui s'étend de l'île Eléphantine à un endroit quelque au Nord de l'actuelle vile d'Assiout. Cette DOUBLE CAVERNE a été comparée aux deux mamelles de l'Egypte, elle était la MAISON DU NIL et la COUCHE DU NIL où le jeune homme vigoureux Dieu du Nil regardait jusqu'à la saison de l'inondation pour remplir l'ensemble du pays. Le gardien de cette inondation était le Dieu KNOUM, le potier qui façonne l'oeuf cosmique avec l'aide de la Grand Déesse du Fleuve.
Voir : Hapy le Verseau - Des Poissons dans le Ciel
On retrouve cette image avec le Dieu ANTYWEY, il est certainement à l'origine de l'alpha et l'oméga de la bible et des figures de JANUS - JEAN - OANNES, cette image de dualité est aussi visible en Sumérie et à Babylone. SETH a été identifié avec diverses divinités de tempête étrangère, y compris BAAL, TESHUB, et TYPHON. SETH était l'un des rares autres dieux mentionnés par leur nom dans la Bible, et peut-être donné son nom (Set-Hen) à SATAN en hébreu.
L'histoire de la rivalité mortelle entre les frères et OSIRIS semble susceptible d'avoir été l'inspiration pour l'histoire de CAIN et ABEL. Il est également intéressant de noter que le nom du fils de CAIN est SETH, et que presque tous les méchants dans la Bible, y compris Judas avec ses cheveux roux, la couleur de SETH.
Dans l'Ancien et au Moyen Empire, il ya des représentations de ces deux dieux en liaison avec le LOTUS et le PAPYRUS, les plantes symbolisent l'union de la Haute et de la Basse-Egypte. Les peintures de la tombe de Ramsès IV représentent SETH et HORUS comme un seul dieu, avec deux têtes fixées sur un cou. Cette représentation est aussi celle du Dieu HAPY le VERSEAU Egyptien !
Avec l'invention de l'arbre de vie qui n'est autre que l'arbre généalogique des Dieux Egyptiens, on s'éloigne encore un peu plus de la vérité. Selon de nombreux spécialistes et des auteurs, le SEPHIROT n'est même pas dans le bon ordre (généalogique) ! L'invention tardive du mythe Osirien démontre aussi la manipulation sectaire, la TRINITE vient après les 4 éléments et HORUS l'ancien (fils de l'homme et fils des 4 grands Dieux). N'oublions pas que les tables de la LOI (les commandements) du patriacrche Abraham sont aussi la STELE du Dieu OSIRIS.
Il y a aussi une manipulation avec THOT le scribe, son image est celui du MAGE, il semble intervenir tardivement dans le culte, et à ce jour personne ne peut démontrer que la fameuse table de THOT ou table d'émeraude existe, en tout cas il n'y a que des tables fantaisistes dont celle du mage dégénéré (et agent de la CIA) A. Crowley. Ce que l'on trouve n'est absolument pas authentique, ce sont des inventions récentes qui explosent avec la redécouverte de l'Egypte !
Les fautes sont nombreuses, il y a une confusion avec les oiseaux, c'est ainsi que le flamand rose et les hérons deviennent des serpents (c'est peut-être parfois volontaire) bien qu'il y a eu des divinités serpents dès l'antiquité de l'égypte, c'est un animal solaire capable de transmutation.
Voir : Secret de l'Arbre de Vie
LES FIGURES POSITIVES RAYEES DE LA CARTE
Chez les Egyptiens, ce qui est féminin est positif, tout ce qui est masculin (MALE) est maléfique. Il y a une confusion avec les figures du ciel Egyptien, une figure féminine ne représente pas obligatoirement une femme et un principe féminin. Pareil avec la LUNE qui est associée à OSIRIS alors HATHOR porte la couronne solaire.
C'est ainsi que les ANGES deviennent exclusivement des entités maléfiques au service du seigneur, ils sont des leviers psychologiques sur la masse ignorante, mais en évoquant un ARCHANGE il est tout à fait possible que la figure représente en réalité un Démon ou un Génie que l'on retrouve dans la Cabbale ou les vieux ouvrages coraniques. Ils sont des inventions fantaisistes dont l'objectif est bien évidement la déstruction de l'Egypte. Ces figures sont identiques chez les Hindoux où l'on retrouve l'éternel combat entre le bien et le mal.
Une version des Archanges avec à gauche l'ange cabalistique du Djin Maymûn qui est une figure de Mandragore
Ils sont des avatars des constellations et les figures s'inspirent des anciens Zodiaques
L'étoile SIRIUS de CANIS MAJOR (petit chien) la plus brillante étoile du ciel, ne figure jamais parmi ces étoiles royales. En Egypte SIRIUS est un avatar de la déesse NEITH-ISIS, elle assimilée à LUCIFER car elle pointe son ARC en direction du soleil levant de l'Est (RÊ). Elle ne peut donc pas figurer depuis l'Est car elle ne devait pas indiquer le Soleil levant en Perse. Puis l'Etoile s'est déplacée avec la précession des Equinoxes.
Le culte en mésopotamie et dans le croissant fertile devient excusivement masculin, les déesses de l'Egypte sont enlevées du ciel ou transformées en prostituées, ce qui explique la dispartion de ces anges dans le ciel et la continuation des Grecs et des Romains de ce qui a été réalisé avant, bien que les Grecs participent largement à la création de la religion en Orient.
LE CIEL DES ALIENS
Reconstitution du ciel Mésopotamien à partir des tablettes
PREMIERE TABLETTE
01 - Gamma Andromède - La Charrue, Enlil, qui est en tête des étoiles d’Enlil
02 - Alpha Triangle - Le Loup, le Versoir de la Charrue
03 - Alpha Persée - Le Vieil Homme, Enmešara ou Persée
04 - Alpha Aurige - Le Crochet, Gamlu ou Aurige
05 - Alpha et Beta Gémeaux - Les Grands Gémeaux, Lugalirra et Melamtaéa ou Castor et Pollux
06 - Dzèta Gémeaux - Les Petits Gémeaux, Alamuš et Nin-Ezengud
07 - Gamma ou Alpha Crabe (à l'heure actuelle, sur l'écliptique, c'est Delta) - Le Crabe, le Trône d’Anu
08 - Epsilon Leo (Ras Elased Austral) - Le Lion, Latarak
09 - Alpha Leo - L’étoile qui est sur la poitrine du Lion, le Roi, Régulus
10 - Beta et Delta Leo (Denebola et Zosma, non consensuel) - Les étoiles faibles qui sont sur la queue du Lion, le Roi
11 - Gamma Com - La Palme d’Eru, Zarpanitu
12 - Alpha Bouvier ou Arcturus - Le Lien, Enlil qui décrète le destin du pays
13 - Beta Com - L’étoile qui est devant elle : l’Abondant, le Messager de Ninlil
14 - Alpha CBr - L’étoile qui est derrière elle : Dignité, le Messager de Tišpak
15 - Alpha UMa - Le Chariot, Ninlil ou la Grande Ourse
16 - Dzèta UMa - L’étoile qui est sur le Timon du Chariot ou Grande Ourse
17 - 80 UMa - Le Renard, Erra, le Puissant parmi les dieux
18 - Gamma Bouvier - L’étoile qui est en face du Chariot : la Brebis, Aya
19 - Eta Dra - Le Lien attelé, Anu, le Grand dieu du ciel
20 - Beta UMi - Le Chariot céleste, Damkianna ou Ourse Mineure
21 - Alpha UMi - L’étoile qui est sur sa rêne, l’Héritier du Sublime
23 - Heh Oph & Mu Epsilon - Les Dieux Debout d’Ekur, les Dieux Assis d’Ekur ou Serpentaire
24 - Alpha Lyr - La Chèvre, Gula ou la Lyre
25 - Beta Her - L’étoile qui est en face d’elle, le Chien ou Hercules
26 - Alpha Lyre - L’étoile brillante de la Chèvre ou Lyre : Lamma, le Messager de Baba
27 - (?) Lyre - Les 2 étoiles qui sont derrière : Ninsar et Érragal (?)
28 - Alpha Cygne - Le Démon tempête à la gueule béante ou Cygne, Nergal (Mars)
29 - Alpha Lac - L’étoile qui est à sa droite : le Cochon, Damu
30 - Alpha Cas - L’étoile qui est à sa gauche : Le Cheval
31 - Andromède - La constellation qui est derrière elle : le Cerf, le Messager de l’Astre
32 - (?) And - Les étoiles faibles qui sont dans la poitrine du Cerf
33 - Le Mulot, l’Arc-en-ciel (a)
34 - Alpha Tri - L’étoile brillante qui est sur le rein du Cerf
35 - Beta And - La Destructrice
36 - Lorsque les étoiles du chemin d’Enlil ont terminé
37 - Une grande étoile, sa lumière est pâle, divise le ciel en parties et se tient là, l’étoile de Marduk-Jupiter, le voyageur
38 - Jupiter, modifiant en continu sa place et voyage au travers du ciel
39 - Les 33 étoiles d’Enlil.
Les 23 étoiles d'Anu (équatoriales)
40 - Gamma Peg - Le Champ, le Trône d’Éa ou Enki, qui va en tête des étoiles d’Anu
41 - Delta Psc - L’étoile qui est en face du Champ, l’Hirondelle ou Poissons
42 - Eta Psc - L’étoile qui est derrière le Champ, Anunitu
43 - Alpha Ari - L’étoile qui est derrière elle, le Journalier ou Travailleur, Dumuzi
44 - Eta Tau (= M 45) - L’Étoile, les Sept dieux, les Grands dieux ou Pléiades
DEUXIEME TABLETTE
01 - Alpha Tau - Le Taureau céleste, la Mâchoire du Taureau, la Couronne d’Anu
02 - Alpha Tau - Le Fidèle Berger d’Anu, Papsukal, le Messager d’Anu et d’Inanna
03 - Alpha Ori - Les deux étoiles qui sont en face du Fidèle Berger du ciel ou Orion
04 - p3 & p4 Ori - Lulal et Latarak (tel que dans le texte : d. + LÚ.LÀL - u - d. + la-ta-ra-ak)
05 - Alpha Lep - L’étoile qui est derrière lui : le Coq
06 - Alpha CMa - la Flèche, la flèche du grand guerrier Ninurta
07 - e CMa - L’Arc, Ishtar l’Élamite, la fille d’Enlil (Vénus).
08 - Dzèta Hya - Le Serpent, Ningizida, Seigneur du Monde d’En-bas
09 - GammaCrv - Le Corbeau, le corbeau d’Adad.
10 - Alpha Vir - Le Sillon, Šala, l’Épi ou Spica
11 - Alpha Lib - La Balance, la Corne du Scorpion (Pinces du Scorpion)
12 - Alpha Aql & Beta Del - Eta Oph - Zababa, l’Aigle, le Cadavre
13 - Vénus - La Souveraine unique, changeant sans cesse de position et voyageant dans le ciel
14 - Mars - Salbatanu, changeant sans cesse de position et voyageant dans le ciel
15 - Saturne - La Planète constante , changeant sans cesse de position et voyageant dans le ciel
16 - Mercure - La Planète puissante, dont le nom est Ninurta, se lève et se couche à l’est
17 - Mercure - qui se lève cette fois à l’ouest durant le même mois
18 - Les 23 étoiles d’Anu.
Les 15 étoiles de Ea (Enki)
19 - Alpha PsA (Alpha Poisson Austral ou Fomalhaut, censé être l'étoile qui influence toute la constellation) - Le Poisson, Éa qui vient marche en tête des étoiles d’Éa.
20 - Alpha Aqr & Dzèta Pup - Le Grand, Éa ; l’Étoile d’Éridu, Éa ou Enki. Le Grand est un des noms flatteurs du Verseau.
21 - Gamma Vel - L’étoile qui est à sa droite : Ninma?. Texte : (DIŠ MUL) šá ina 15-šú GUB-zu + mul.+ nin-ma?
22 - Gamma Cen - ?aba?iranu [« le Froid hirsute »], Ningursu
23 - Alpha Cru - L’étoile qui est à côté de lui : la Herse, l’arme de Marbitu
24 - A l’intérieur de laquelle on voit l’Apsû (Eaux Primordiales, foncières)
25 - Beta Cent & Alpha Cent - Les 2 étoiles qui sont derrière lui : Šullat et ?anniš, Šamaš et Adad
26 - L’étoile qui est derrière elles [qui] se lève comme Éa
27 - Eta Cen - Et se couche comme Éa : Numušda, Adad
28 - Eta Lup - L’étoile qui est à droite du Scorpion : le Chien enragé, Kusu
29 - Scorpion - Le Scorpion, Išhara, la Dame des régions inhabitées
30 - Alpha Scorpion - La Poitrine du Scorpion, Lisi, Nabû
31 - Les 2 étoiles qui sont dans la queue du Scorpion
32 - Lambda Scorpion & Upsilon Scorpi - Šarur et Šargaz. Texte : d. + šár-uru4 u d. + šár-gaz
33 - Theta Scorpion - L’étoile qui est derrière eux : Pabilsag (l'étoile Pablisag : mul.PA.BÍL.SAG)
34 - Alpha CrA & Alpha Cap - Nef processionnelle, Carpe-chèvre étoile Magur, Etoile Suhur Maskus - DIŠ mul.MÁ.GUR8 mul.SUHUR.MÁŠ.ku6
35 - Les 15 étoiles d’Éa (le Verseau)
LA FAUSSE GENESE DES SUMERIENS
Le Hoax de Marduk le Déstructeur
Selon les travaux lumineux de Zécharia Sitchin, le livre de la genèse sumérienne s’interprète aisément en retranscrivant les noms sumériens par les noms des planètes de notre système solaire. La création de notre système solaire : Au début était Apsou (le soleil), Moummou (Mercure) et Tiamat (planète inconnue de nos astronomes). De l’union du soleil et de la planète Tiamat naquirent Lahmou (Mars) et Lahamou (Vénus). Ensuite naquirent Anshar (Saturne) et Kishar (Jupiter). De Saturne et Jupiter naquit Anou (Uranus). Anou engendra à son tour Noudimmoud/Ea (Neptune). Gaga (Pluton) naquit de Saturne.
Dans la profondeur du ciel, MARDOUK naquit et fut attirée dans le système solaire par Neptune. Elle pénétra notre système solaire dans le sens inverse du système orbital. Sous l’effet gravitationnel de Saturne et Jupiter, sa trajectoire s’incurva vers Tiamat. En passant à sa proximité, un des quatre satellites de Mardouk brisa Tiamat. Sous le choc, dix de ses satellites furent détruits. Cet événement cosmique créa la ceinture des astéroïdes entre Mars et Jupiter, donnant naissance également aux comètes de notre système solaire. Après la collision, ce qui restait de la planète Tiamat ainsi que Kingou, seul satellite à ne pas avoir été pulvérisé, furent projetés sur une nouvelle orbite plus proche du soleil, donnant ainsi naissance à la Terre et à la Lune.
Quant à Pluton, qui jusqu’alors était un satellite de Saturne, elle fut projetée hors de son champ gravitationnel pour occuper la place que nous lui connaissons. Cette genèse expose clairement comment furent créés la ceinture d’astéroïdes, les comètes et la mise sur orbite des planètes de notre système solaire tel que nous le connaissons. Les cartes du ciel sumériennes respectent la taille, l’ordre et la position respective des planètes. Voilà donc résolue l’énigme des deux planètes inconnues : Tiamat, qui donna la Terre et la Lune, et MARDOUK.
Il n'y a pas de planète MARDOUK revenant tous les 3 600 ans dans notre système solaire, MARDUK est un titre signifiant " Seigneur " ou " Maître ", il est assimilé à JUPITER / ZEUS le maître et gardien du culte (et donc du système) sur son peuple, c'est un avatar du PHARAON ou plus tard du ROI.
Zecharia Sitchin sollicitant la ou les tablettes de référence utilisées pour évoquer cette planète n’ont rien donné. Les travaux postérieurs de plusieurs chercheurs dont l'écrivain et chercheur Anton Parks ont définitivement mis un terme au mythe de cette planète, Anton Parks démontrant en n 2006 - 2008 que Zécharia Sitchin faisait fausse route. Il n'y a absolument aucune carte du ciel des Sumériens !
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