Jacques Halbronn La vie astrologique. Illustrarion dezs changements de phase propres à l'astrologie EXOLS ' (1977-1997)

jacques halbronn La vie astrologique. Illustration des changements de phase propres à l'astrologie EXOLS. (1977-1997) Nous avons exposé lors d'un précédent texte la problématique du passage d'une phase (A) à un autre (B) et vice versa.Comme il est de coutume dans notre démarche pédagogique, nous nous efforcerons de suivre un tel continuum sur une trentaine d'années, au prisme de la vie astrologique contemporaine en notant que le milieu astrologique n'est guère enclin à utiliser l'astrologie dans la fixation de son calendrier d'activités, réservant en pratique le recours à celle-ci à sa clientéle d' éléves et de patients. Or, pour nous, l'astrologue doit travailler en priorité sur des données vérifiables, recensées, référées notamment par les moteurs de recherche et non sur des éléments fournis par un seul interlocuteur lequel d'ailleurs ne dispose pas immédiatement de tout le corpus d'informations le concernant; En ce sens, l'avénement de Google introduit un clivage entre googlisables et non googlisables/googlisés. Les données dont il sera traité sont toutes vérifiables sur Internet... Nous verrons qu'il y a alternance entre phases solsticiales et équinoxiales, les premières favorisant les faiblement googlisées et les secondes les personnalités fortement googlisées. Autrement dit, le changement de phase fera alterner ces deux types de populations, la phase solsticiale tendant à minimiser le role de la minorité pensante et la phase équinoxiale visant à les placer en position optimale pour irriguer l'ensemble, par un retour du refoulé.. Comme nous l'avons souligné, l'astrologie serait avant tout la science des alliances se nouant et se dénouant et c'est le basculement d'une phase à une autre que l'astrologue aura tout intérêt à suivre car c'est là qu'il se montrera le plus utile, à savoir grosso modo tous les 7 ans, vu qu'une fois le passage interphase se sera déroulé, l'horizon devient ensuite déchiffrable par tous et il n'y aura plus guère alors d'effet de surprise jusqu'à nouvel ordre. L'erreur serait donc de croire qu'il n'y a pas de raison que cela change. La phase équinoxiale universelle - puisque tout le monde passe par là en même temps donc sans lien avec le thème natal- va générer de nouvelles alliances souvent inespérées. Si l'on a affaire à un adversaire, il faut s'attendre à quelque ralliement imprévu sinon imprévisible; A contrario, dès lors que l'on se rapprochera d'une phase solsticiale, l'on verra se défaire certains liens tant chez autrui qu'au sein de son propre camp. C'est ainsi que - à l'approche d'une phase équinoxiale et donc en fin de phase solsticiale -nous nous trouvions assez isolé sur la scéne hexagonale astrologique, nous avons obtenu des renforts significatifs du coté de l'étranger et à l'extérieur du milieu astrologique au grand dam de nos concurrents. Dressons -en une liste qui ne saurait être exhaustive. Saturne, fin 1977, passe du Lion à la Vierge - signe qui est en astrologie EXOLS le portail d'une phase équinoxiale et il restera en la dite phase jusqu'à la fin de 1985 et ce, pour tout le monde et en tous cas pour tous les "leaders". qui constituent la population la plus visée par une telle cyclicité. Si le sujets des colloques internationaux que nous avons organisés est bien connu et repértorié dans notre Guide de la Vie Astrologique (Ed Trédaniel, 1985), on ajoutera au dossier les publications.En 1980, les Editions Sand Tchou nous proposent de nous occuper du Grand Livre du Sagittaire (en tant que natif du signe) avec Solange Dessagn. L'année suivante, c'est Solar qui nous contacte en vue de prendre le relais de sa série zodiacale initiée par Yvan Othenin Girard qui ne poursuit pas au delà du signe des Gémeaux. Nous ferons appel à Catherine Aubier, à Françoise Colin, à Margierite de Bizemont, entre autres. En 1979, les éditions Albatros feront paraitre "Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau", (en relation avec la revue L'Autre Monde Roger Faloci, une revue extérieure au milieu astrologique. Il s'agissait là des actes d'un Colloque tenu en septembre 1977. Par la suite, le belge Georges Schepers publiera deux volumes de contributions de nos Colloques de Metz et de Toulouse Par ailleurs en 1979 nous soutiendrons une thèse de doctorat en Etudes Orientale qui paraitra aux Ed Arché en 1985 sous le titre Le monde juif et l'astrologie. Ajoutons que c'est alors qu'un certain Gabriel (alias Joel Dronsart) nous contactera pour faire paraitre son Traité de l'Heure dans le Monde. En 1983, les Ed Trédaniel feront paraitre nos Mathémétiques Divinatoires avec une préface de Jean Charles Pichon. C'est en 1985 que se mettra en place une Fédération de l'Enseignement Astrologique qui sera présidée par Denis Daprey, laquelle profitera de nos contacts. . Fin 1985 se termine la phase équinoxiale et se profile donc une phase solsticiale. Début 1986, la dynamique allait se poursuivre avec notre élection à la Vice présidence du GERASH mais c'est le temps des trahisons du côté de Denise Daprey et de ses proches comme Aurore de Lauberie.qui nous mettront des batons dans les roues, ce qui conduira à une situation fort confuse, marquée par des procés. En 1992, la famille de Michel Gauquelin qui vient de décéder va nous poursuivre en raison de la parution des "Personnalités planétaires" (Ed Trédaniel) que nous avions accompagnées d'une étude critique. Mais Trédaniel adoptera une position assez ambigue dans cette affaire. En Angleterre, le Colloque en Histoitre de l'astrologie que nous avions suscité qui se tiendra au Warburg Institute de Londes, en compagnie de Patrick Curry ; en 1984, verra ses Actes parus soula seule direction de ce dernier. En 1990, Denis Labouré publiera chez Pardés un traité de Claude Dariot sur l'astrologie horaire que nous avions découvert et il s'en fallut de peu que notre contribution ne soit pas reconnue. On pourrait allonger la série des situations troubles avec la sortie des Grandes Ephémérides de Gabriel aux Ed. Trédaniel en 1990. En 1990; Yves Lenoble commencera à organiser des congrès en récipéant des personnalités qui étainet des habitudés de nos rencontres, à commencer par Alex Ruperti. Nous étions toujours un peu "roulé dans la farine", le "dindon de la farce" et même au niveau universitaire, notre directeur de thèse, en linguistique, Louis Jean Calvet, nous laissa tomber.(1987-89) et Yves Lecerf proposera de prendre le relais sur des bases qui se révéleront bien fragiles, et cela trainera en longueur comme d'ailleurs notre thèse d'Etat sur le prophétisme avec Jean Céard(depuis 1985) Arrive une nouvelle phase équinoxiale, entre 1993 et 2000 et les choses vont prendre une autre tournure. A la Bibliothèque Nationale, on nous charge de l'organisation d'une exposition "Astrologie et prophétie" (1994) Grâce à François Secret, nous aurons la charge de l'article Astrologie dans l'Encyclopaedia Universalis. Les Ed. Seghers rééditent nos Clefs pour l'Astrologie (1993) et France Loisirs la collection zodiaque chez Solar dans oublier une collection dont nous serons chargés chez Trédaniel en 1993 où paraitront les ouvrages dEtteilla (L'astrologie du Livre de Toth) et de Nicolas Bourdin (Le Centilogue (sic); En 1994, nous publierons dans nos propres structures plusieurs ouvrages dont un Guide des Astrologues qui paraitra en 1997 (Ed O. Laurens), et qui avait fait l'objet d'un contrat (non suivi d'effet) avec les Editions du Rocher , dans la collection dirigée par Fanchon Pradalier Roy A SUIVRE JHB 04 10 23