Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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mardi 7 novembre 2023

jacques halbronn Retoiur sur l'ouvrage de Suzel Fuzeay Braesch (1928-2008)Astrologie. La preuve par deux Ed R. Laffont 1992

jacques halbronn Retour sur l’ouvrage de Suzel Fuzeau- Braesch,(1928-2008) Astrologie. La preuve par deux. R. Laffont 1992 Cet ouvrage comportait en préambule une partie historique (assortie d’une riche bibliographie) sur une centaine de pages et qui fait pendant en quelque sorte à notre publication en 1986 de l’Etrange Histoire de l’Astrologie (avec Serge Hutin), Ed Artefact. L’auteure avait signé en 1989 la nouvelle édition du Que Sais je sur l’Astrologie.(cf p.97) (faisant suite à celle de P. Couderc). On retiendra surtout ici ses observations sur notre copieuse partie introductive de cette Histoire de l’Astrologie présentée sous le titre « La pensée astrologique » dans son chapitre consacré au « déterminisme astrologique »(pp. 157 et seq) traitant en partie des travaux de Michel Gauquelin (disparu en 1991). où ele nous fit l’honneur de signaler le modéle que nous avions élaboré à l’époque, cela fera bientôt quarante Dans son étude sur A.Müller auteur en 1990 (Planetary Influences in Human Behavior), , Professeur de psychologie à l’Université de Sarre.,SFB écrit « Déjà quelques années plus tôt, Halbronn avait exposé une idée similaire mas moins scientifiquement développée. Pour lui ‘ c’est parce qu’il y a des hommes assumant une activité désignée, encodée comme martienne qu’une planète s’appelle Mars et revêt une signification pour ceux qui sont martiens/ Ce ne sont pas les astres qui conditionnent notre système solaire mais notre systéme social qui se reflète dans les astres » Comment, poursuit-elle, cet auteur voit-il l’instauration d’un tel système qui n’accorde aucun pouvoir aux planètes? Il le dit (..) Il a fallu que l’homme ait établi un certain ordre social impliquant une certaine relation volontaire au ciel ». Une revue belge d’astrologie Le Ciel étoilé a fait paraitre( 1987) un entretien entre halbronn et Michel Gauquelin d’où il apparait encore plus nettement que comme A Muller, Halbronn voit dans les résultats de Gauquelin la mise en évidence d’une transmission génétique, d’une sensibilisation volontaire à telle ou telle planète dans un contexte socioculturel » En fait, la question qui se pose à nous est d’abord celle de l’emprunt de Muller à notre texte paru quelques années plus tôt et dont Patrick Curry avait alors traité dans un compte rendu. Ajoutons qu’en 1992, nous publiâmes, au lendemain de sa mort, les « Personnalités Planétaires » de Gauquelin, avec une postface (à laquelle contribua le Belge Guy Le Clercq) Ed Trédaniel) Quelle est actuellement notre position? Nous avons opté pour une intervention biotechnologique d’extra-terrestres (voir le récent Colloque à la Sorbonne sur ce sujet), ce qui nous dispense de trop investir sur les capacités humaines à s’autodéterminer par rapport au cosmos. Mais dans un cas comme dans l’autre, l’astrologie ne serait pas un phénoméne « naturel » mais ayant exigé une intervention « humaine » mais pas de notre propre « humanité ». Les connexions reléveraient d’une entreprise « technique » Nous préférons parler d’instrumentalisation du ciel, à savoir que le ciel n’agit sur nous que dans la mesure où on lui confère quelque rôle, ce qui neutralise ipso facto les arguments quant à l’invalidité des « influences astrales » naturelles… Par ailleurs, nous avons rejeté l’idée que les planétes seraient respectivement porteuses de significations comme le pensait Gauquelin et avons opté -dès 1994 pour un vecteur unique (cf notre Astrologie selon Saturne, Ed La Grande Conjonction), lequel pouvait nous impacter diversement selon sa position sur l’écliptique. JHB 07 11 23

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