jacques halbronn Réflexions autour de l'astrologie selon Antoine de Francesco

jacques halbronn Réflexions autour de l’astrologie selon Antoine de Francesco Son but affiché ; ‘ »renouveler l’astrologie en mettant à jour de nouvelles méthodes ou de nouveaux éléments d’interprétation qui, le plus souvent, ont été ignorés ou inemployés, faute de connaissance ou de documentation. Bien d’entre nous trouvent déjà assez compliquée notre pratique, qui ne l’est en fait qu’à causes d’erreurs millénaires. (..) Ces éléments sont : une nouvelle disposititon des stations(Domiciles etc), une grille désignant le ou les gouverneurs et les positions héliocentriques qui sont un apport substantiel, Cérés, Némésis » L’auteur aborde la question de la « planéte gouvernante » Il répond ‘nous avons créé une grille qui a justement pour but de solutionner cette tâche difficile. L’auteur aborde la question des domiciles « On appelle Stations des endroits priviléfgiés du Zodiaque où les planétes acquièrent des qualités positives ou négatives(..) Les Anciens ne connaissaient que 7 planétes, pour ne pas laisser de signes vides, ceux-ci attribuèrent ces domiciles doubles à cette fin. L’auteur traite de « deux zodiaques que certains confondent ou ignorent. Le Zodiaque sidéral le plus ancien qui fut adopté au temps où les constellations coincidaient avec les signes (..) L’autre zodiaque est tropique (..) L’astrologie utilise le second car la nature de l’influence des planètes résulte de leur latitude Nord ou Sud par rapport à l’équateur » Quelques commentaires sur ce travail d’un chercheur que nous avons bien connu, un habitué des rencontres du Mouvement Astrologique (MAU) tant à Paris qu’en province. L’auteur reconnait la nécessité de rechercher une « dominante ». On voit là l’illustration du passage de l’astronomie à l’astrologie.De Francesco est un adepte d’autant d’astres que de signes et il qualifie le procédé des « doubles domiciles » de solution liée à des données astronomiques insuffisantes. C’est ce que nous avons cru un certain temps jusqu’à énvisager des transplutoniennnes,, prenant le zodiaque pour une sorte de Tableau de Mendeleev, à compléter (cf Clefs pour l’Astrologie, 1976) Autrement dit, l’auteur prone une recherche de dominante à géométrie variable; Pas question pour lui de faire le tri entre les astres du systéme solaire comme nous l’avons proposé dans notre Astrologie selon Saturne. Quant à son traitement des deux Zodiaques, l’auteur n’avait pas compris que les étoiles servaient de repéres visuels pour aborder le passage d’une planéte sur les axes saisonniers ni plus ni moins. . JHB 07 04 24