Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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samedi 20 novembre 2021

Jacques Halbronn Une nouvelle acception des congrès astrologiques proposée par Yves Lenoble

Jacques Halbronn : Une nouvelle acception des congrès astrologiques proposée par Yves Lenoble On reléve sur les sites et écrits d’Yves Lenoble deux propositions éminemment discutables. Et l’on peut parler de diffamation, de contre-vérités et de fake news au regard de l’histoire du milieu astrologique francophone. Première pièce Yves Lenoble | Le site des astrophiles http://www.yveslenoble.com « Il a organisé de 1991 à 2003 le congrès des astrologues et astrophiles français « . Commentaire: Yves Lenoble aura modifié sensiblement à partir de 1991 la notion de congrès astrologique telle qu’elle s’était imposée depuis une quinzaine d’années. D’ailleurs, il emploie l’expresson « congrès des astrologues et astrophiles », ce qui dénote une vision hybride car sous le terme astrophiles, il vise les éléves en astrologie voire les clients de astrologues et de fait la composition du public ne comporte qu’une faible minorité d’astrologues, en dehors de ceux qui sont payés pour donner une conférence d’une certaine durée alors que la régle voulait que les congrès réunissent avant tout des astrologues confirmés et cette régle remontait déjà aux années trente, avec le congrès de Paris de 1937. Les astrologues ne figurant pas au programme étaient l’exception, ce qui réduisait le nombre d’astrologues présents à une douzaine dans des salles de plusieurs centaines de places. Etrangement, le Salon de l’Astrologue qui était adjoint à ces congrès rassemblait nombre d’astrologues dans leurs stands mais lesquels ne participaient pas à la dynamique des dits congrès. Par ailleurs, pendant les années considérées, on compte un certain nombre de congrès d’astrologues mais apparemment Lenoble n’aura pas pris la peine de lire notre « Guide astrologique » (Ed Laurens 1997) qu’il ne mentionne pas dans ses « indications bibliographiques ». Citons en 1995, le Congrès de Nantes organisé par l’ADREA (FDAF) d’Alain de Chivré, en 1996, le Congrès de Lyon, organisé par le CEDRA et les Congrès tenus sous l’égide du MAU, en 1991 à Montluçon, en 1992 à Angouléme, en 1993 à Dijon, en 1995 à Paris ou encore les congrès d’Astrologos (Gilles Verneret) , sur Lyon en 1995 et 1996, et encore sur Lyon, en 1998 (RAO). Que dire en décembre 2000 du Congrès CURA (Guinard)-MAU à Paris (qui fut filmé). Enfin, en 2000, à Montpellier, la FAES,(Fédération des Astrologues de l’Europe du Sud) dont faisait partie Lenoble organisera un congrès. (cf le Guide de la vie astrologique, 2006) Deuxiéme pièce »Yves Lenoble : Le 1er congrès a eu lieu en 1990,(…) Car en 1990, le milieu astrologique était pauvre en échanges et en rencontres . C’était même l’inertie » Autrement dit, avant 1990 il ne se passait rien de bien dynamique en France « en échanges et rencontres ». Or, étrangement, les années qui précédérent 1990 avaient été particulièrement riches si ce n’est l’absence du dit Lenoble dans certaines d’entré elles. On signalera les congrès MAU de Paris de 1987, 1988, 1989 et dans ce dernier congrès Yves Lenoble était d’ailleurs intervenu (cf l’enregistrement vidéo). Ou bien si l’on suit Lenoble, ce n’étaient pas des congrès selon son gout avec trop de débats qui feraient mauvaise effet sur les « astrophiles » qui étaient la source de revenu et il ne fallait pas cracher dans la soupe! Il serait trop long de rappeler ici les dizaines de rencontres qui se tinrent à partir du congrès de Paris (ISAR, JIAPs) de 1974 (cf leGuide de la Vie Astrologique. Paris, Trédaniel, 1984) dont le Congrès d’Orléans de Denise Daprey FEA en 1985 ou celui de Cannes de Danièle Rousseau, proche de Lenoble, FFA) Faut il signaler, entre autres, les actes des colloques de Metz et de Toulouse (1982), ou encore le congrès de Nantes de 1983 ‘(avec Alain de Chivré)? Et puis, bien évidemment, Lenoble se garde bien de parler de la période 2004-2011 qui fut celle de la télévision astrologique Teleprovidence du MAU, à la suite du super colloque de novembre 2004, entièrement filmé= et auquel il participa. Avec le recul, la place de Lenoble pour les 40 ans allant de 1974 à 2014 nous apparait comme d’une importance tout à fait moyenne et il était nécessaire de le remettre à sa place. Il ne reste d’ailleurs de ses congrès que des Actes et fort peu de documents audiovisuels. Comme nous l’avons écrit ailleurs,avec Lenoble, c’est la revanche des profs d’astro sur les chercheurs, avec l’avantage de profiter d’une manne financière permettant de recruter quelques intervenants, souvent d’ailleurs abonnés d’une année sur l’autre. Nous demandons, à toutes fins utiles, donc instamment au sieur Yves Lenoble de corriger les lacunes de ses présentations donnant une image déformée de la vie astrologique, car cela tombe sous le coup de la diffamation..

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