Site de l'Association La Vie Astrologique (ex Mouvement Astrologique Universitaire). 8, rue de la Providence. 75013 Paris/ Une approche historico-critique de la littérature astrologique.
Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)
Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
.
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mardi 16 juillet 2024
jacques halbronn Théologie. Le mot Création implique du dessein et un message intelligibles
jacuqes halbron Théologie. Le mot Création implique un dessein et un message intelligibles
NOtre démarche diffèren singuièrelebr de celle d'n Spinoza. Pour nous, la Création, au sens biblique du terme, à commencer par le premier chapitre du Livre de la Genése, s'adresse à notre Humanité et doit donc lui être accessible et décryptable par l'observation du Ciel qui nous est donné à voir. En ce sens, le Ciel en question serait un livre, Le livre, tout comme les lois, seraient celles dictées et représentées par un tel Ciel. Tout ce qui se présente à nous doit donc être appréhendé comme un fil d'Ariane à suivre. Il y a le jour et la nuit qui incarnent la dualité, tout comme les Saisons mais il y a ausi la Lune avec ses phases contrastées, de la pleine Lune où notre satellite semble comparable, la nuit, au Soleil, à la nouvelle lune, où tout est ténébres.
Mais il ne faudrait pas aborder ces questions sans perdre de vue un principe de dualité. Et notre systéme solaire ne saurait être compris de façon par trop schématique comme impliquant que chaque astre ait un rôle à jouer car, dans ce cas, on perdrait le contact avec la dite dualité. On doit accepter notamment l'idée d'un émetteur et d'un récepteur, d'un moteur, d'un curseur, sur la base d'une cyclicité impliquant nécessairement de la dualité sinon il n'y aurait pas de sens au mouvement. D'où l'importance que nous accordons au passage d'un astre central sur les axes équinoxiaux et solsticiaux.
Mais il est bon de se trouver des repères, des analogies. C'est ainsi que le rapport Lune-Saturne nous apparait comme tout à fait déterminant en ce que les mêmes chiffres nous sont données : 28 jours et 28 ans et nous ne pensons pas que cela puisse être le simple fruit du hasard mais au contraire que cela doit braquer notre regard sur la planéte dénommée Saturne, et donc sur le chiffre 7 qui ressort quand on divise par 4 ces durées, le 4 se retrouvant dans le cycle des saisons. mais aussi dans les 4 planétes situées entre la Lune et Saturne en termes de durée: Mercure, triple de la lune, puis selon une progression (Loi de Bode) Vénus, Mars, Jupiter,notre Terre se trouvant en position médiane. Ce n'est pas non plus par hasard que dans Livre de l'Exode, il soit question d'une succession de périodes de 7 ans. (7 vaches maigres dévorant 7 vaches grasses)
En ce sens, notre Ciel serai bel et bien saturno-centré, et Copernic nous aura mis sur une fausse piste, tout comme Spinoza, au regard du plan de la Création car c'est bien la Terre qui occupe la position centrale du dit systéme. Il y a chez Spinoza une idée de la divinité associée à la Nature, c'est à dire à un "Premier Mobile". Ce qui l'empêche notamment de comprendre la question de "peuple élu", qui lui semble déraisonnable. Pour nous, la Technique l'emporte sur la Science en transformant, transmutant cette dernière, en la dépassant. Nous accordons la plus grande importance au langage et à sa structure car c'est bien là une clef qui nous est donnée, notamment quant au passage du féminin vers le masculin et l'on notera dans le premier chapitre de la Genése, les termes grammaticaux (Zakhar, Neqéva) soient employés. Notons d'ailleurs que Spinoza nous aura laissée un grammaire de l'hébreu. De fait, le masculin est une décantation du féminin qu'il transforme et transmute. Et c'est cette dimension duelle qu'aura complétement manquée Spinoza. En effet, les forces qui auront structuré notre Humanité l'auront dotée d'un ciel , doté d'un mouvement pérpétuel et que l'on aura pu contempler de tout temps sans passer par quelque narratif plus ou moins suspect mais aussi d'un vecteur humain "adamique"dont la génétique, elle aussi, garantit une perpétuation par delà toute transmission, toute tradition, et c'est là que l'on comprend,que l'on saisit la signification de 'peuple élu"..
JHB 16 07 24
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