Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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jeudi 14 septembre 2023

jacques halbronn Psychosociologoie. Méthodologie de la quéte identitaire

jacques halbronn Psychosociologie. Méthodologie de la quéte identitaire En 1978, nous avions fondé le Cercle d’Etude et de Recherche sur l’Identité Juive (CERIJ) mais que fallait-il entendre par le mot « Identité »? Comment se forge, se constitue notre identité? Le mot lui même renvoie à la question de l’identique. La formule « quête identitaire » nous semble assez heureuse car elle implique une certaine tension, une recherche pouvant prendre un certain temps, quelque tatonement. On commencera par se demander si la formule « Connais-toi toi même » est pertinente et surtout comment s’y prendre? Est ce que c’est en procédant à une « introspection » que l’on y parviendra? D’où le terme de psychosociologie que nous mettons en exergue à savoir que l’identité, c’est se sentir proche, solidaire de tel ou tel groupe et c’est à partir de là que l’on trouvera des perspectives. On nous objectera que pour m’identifier à un certain groupe, il faudrait encore d’abord savoir qui je suis. On peut certes s’aider en prenant en compte nos appartenances « objectives », celles que la société nous impose, en tant qu’homme ou femme par exemple, en tant que « black » ou « juif » etc. Mais ce sont là des catégories bien trop générales et comme nous le disions en 1978, il existe toutes sortes de façons de vivre sa judéité, par exemple. Il n’en reste pas moins qu’il y a là une sorte d’aller-retour indispensable entre constat sociologique et ressenti psychologique. L’obstacle épistémologique réside ici dans une réticence à s’identifier à un groupe, ce qui va conduire à une recherche de son « moi », sans passer par quelque modéle que ce soit! Il y a aussi la tentaion de s’identifier à un signe zodiacal, celui de notre naissance, ce qui nous fournit une étiquette prédéterminée et il ne restera plus alors que de se retrouver peu ou prou chez les personnes du même signe. Mais là encore l’on pourra préférer passer par son propre « thème natal » et ne pas avoir à se retrouver dans autrui. Car la quéte identitaire, c’est prendre conscience que l’on n’est pas tout seul dans son cas, et que nous nous inscrivons dans un plan général au sein duquel chaque groupe aurait sa raison d’être, ce qui n’est pas la même chose que de se situer à une échelle purement personnelle.Comme on dit, l’union fait la force. Nous avons condamné ailleurs les conflits interindividuels, les attaques à la personne car la clef des confrontations doit être située au niveau des relations de groupe à groupe, si tant est que l’on sache quel est justement notre groupe. Faute de quoi, on est un électron libre,inclassable encore que les gens auront tôt fait, eux, de vous « classer », c’est la question du « regard », chère à Jean Paul Sartre ( Réflexions sur la question juive). Les autres sont probablement mieux placés que nous le sommes pour capter ce qui nous apparente à un groupe donné/ JHB 14 09 23

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