Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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samedi 30 septembre 2023

jacques halbronn Retour sur sa tentation horioscopiqe (2020) Autocriique

acques halbronn Retour sur sa tentation horoscopique(2020) Autocritique Il y a quelque temps, nous avions été happé par les sirénes "horoscopiques" et nous souhaitons ici revenir sur ce moment; Prenons ce passage d'un texte que nous avions rédigé à l'époque: "Au regard de cette astro-horoscopie, ce qui distingue les princes les uns des autres n'est pas tant leur caractère à un instant T que leur calendrier, lequel varie de l'un à l'autre, du fait de la position de leur soleil natal car ils passeront, en des temps différents, par des phases et des enjeux tout à fait comparables. L'erreur des horoscopes de presse, c'est d'avoir traduit l'appartenance à tel ou tel signe comme impliquant un caractère différent alors que cela ne faisait que déterminer l'évolution de l'état psychique. Deux princes ne sont fondamentalement différents que lorsqu'ils passent par des phases différentes car ils ne sont pas synchrones. Sur le long terme, l'étude de leurs carrières, avec une succession, une répétition de cycles, s'offre à l'approche statistique. Les princes sont pareils mais pas en même temps." Cette parenthèse qui n'aura duré que quelques mois fut probablement liée à certaines déconfitures prévisionnelles et le texte ci dessus témoigne d'une volonté de ne pas se trouver piégé par des positions par trop radicales prétant aisément le flanc à la critique. Avec l'alibi du signe de naissance, l'on parvenait à moduler singulièrement la démarche prévisionnelle. Nous avions probablement dû être frappé par l'existence de certains aspects à notre soleil natal, à 8° Sagittaire correspondant à des événements marquants de notre carrière. C'est bien là tout le danger de combiner théorie et pratique et d'adapter éventuellement la théorie à la pratique. Probléme de déontologie. Il semble souhaitable qu'existe une division du travail entre théoriciens et praticiens, ce qui éviterait certaines dérives. Le théoricien doit livrer un outil au praticien et ne pas tout faire tout seul! L'horoscopie nous apparait comme une échappatoire en créant une sorte de zone de confort, évitant le stress de mettre tous ses oeufs dans le même panier. On voulait ainsi éviter la mésaventure d'un André Barbault ayant déclaré qu'à tel moment il se produirait forcément telle chose, ce qui nous paraissait un peu téméraire et casse-cou. Par ailleurs, nous avions décidé de parier non plus sur Saturne (cf notre Astrologie selon Saturne) mais sur Jupiter au prisme de ses transits sur le Soleil natal.. On passait d'une astrologie Saturne-Axes équinoxiaux- solsticiaux à une astrologie Jupitér Soleil, le Soleil jouant ici le rôle de point fixe face à un Jupiter en mouvement. Signalons qu'en 1976, dans Clefs pour l'astrologie (Ed Seghers), nous avions proposé une petite courbe planéte-soleil (mais un soleil mobile) et une grande courbe planéte axes saisonniers (fixes). Ci dessous un autre passage exposant notre basculement vers Jupiter où avec un cycle de 12 ans, divisible en 4x3 ans: " On illustrera notre propos avec le Général de Gaulle pour la période 1958 1969; de trois ans en trois ans. Jupiter conjonction Soleil à 0 Sagittaire à partir de 1959 début Ve République Jupiter quadrature Soleil à partir de 1962 Accords d'Evian. Algérie Jupiter -opposition Soleil 1965 Réélection. Suffrage universel Jupiter carré Soleil 1968 la vacance du pouvoir. Mai 68 Baden Baden Remarquablement, les Accords d'Evian qui "bradent" l'Algérie sont signés au tout début de la phase de quadrature, laquelle tend à faire plus confiance aux personnes qu'aux textes. De Gaulle se satisfait de promesses en l'air. En 68 six ans plus tard, le général fait à nouveau faux bond encore sous le coup d'une quadrature en train de se reformer. Il crée le doute. On est loin de la réelection de 1965 et de la mise en place d'une nouvelle constitution de 1959, où de Gaulle apparaissait comme gardien des institutions. Mais remontons dans le temps avec le passage de Jupiter à 0° Gémeaux, opposé au soleil natal à 0° Sagittaire. Cela a lieu un an après l'appel du 18 juin 40 en pleine phase de quadrature laquelle suscite des situations limites. En août 41, avec la phase de conjonction, De Gaulle constitue à Londres un véritable gouvernement de la France Libre Le Comité National Français. Il gagne ainsi en honorabilité. Début 1959, on a vu, un autre processus d'institutionalisation -la constitution de la Ve République -fut lancé; Jupiter se retrouvait sur l'axe conjonction opposition mais cette fois à 0° Sagittaire. : un intervalle de 18 ans, soit un cycle et demi de Jupiter.; à nouveau sortie d'une phase assez aventureuse de quadrature" Nous avions pondu un réquisitoire contre Saturne: "Dans notre étude critique de la Tétrabible de Ptolémée, nous avons montré qu'à l'origine le dispositif des maitrises planétaires ne comprenait pas Saturne et qu'il fallait parler de deux séries de six astres, l'un articulé sur les équinoxes, l'autre sur les solstices. Le sénaire avait précédé le septénaire avant que l'on ne s'ingénie, fort maladroitement à faire une place pour Saturne, quitte à évacuer les positions équinoxiales des luminaires. Si ce coup de force ne s'était pas produit l'on aurait respecté la frontière au delà de Jupiter et évité les dérives qui suivirent jusqu'à l'indice cyclique à 5 planères au lieu de 4." Autrement dit Saturne. Kronos était désigné comme le "odd man out", le facteur en surnombre, un dieu qui n'appartenait même pas à l'Olympe dont Jupiter Zeus était le maitre. En réalité, ce n'était pas Saturne qui était de trop dans le dispositif livré par Ptolémée mais bien le Soleil, dont le rôle était d'être au centre du jeu et non au niveau des planétes liées respectivement à tel ou tel signe zodiacal. Mais poursuivons notre enquéte autour du 12: "La révolution sidèrale de Jupiter est de 12 années terrestres et la Lune rencontre 12 fois le soleil en une seule et même année terrestre. Est-ce une « simple » coincidence ? Nous ne le pensons pas car pour nous, le système solaire est une création intelligente (intelligent design) qui nous envoie des messages pour notre gouverne." A cet argument, l'on pouvait certes opposer le couple Lune-Saturne, deux astres offrant les mêmes chiffres, le 28 lequel divisé par 4 donnait respectivement 7 jours et 7 ans. Revenons un moment sur le cas d'André Barbault, abandonnant le cycle Saturne Neptune pour son indice cyclique (Les astres et l'Histoire, 1967) avant d'y revenir au lendemain des événements de 1989. Cet indice cyclique évitait de se polariser sur une seule configuration et sur un seul pays pour passer dans une dimension mondiale et pluriplanétaire, ce qui évitait certaines déconvenues liées à la carte soviétique et notamment au pari pérdu que l'URSS rejoindrait les USA à l'opposition Saturne-Neptune.(La crise mondiale, Ed Albin Michel, 1963) Mais le dit indice cyclique allait conduite à une déconvenue, à savoir que la Troisiéme Guerre Mondiale n'aurait pas lei comme annoncé pour 1982. Mais Barbault se refusera à changer quoi que ce soit à sa formulation de 1967, au cours du demi siècle qui suivra. Ce qui allait nous réconcilier avec le cycle de Saturne c'est la conclusion que le découpage des phases ne correspondait pas aux axes saisonniers mais était sensiblement antérieur à cette rencontre. Or déjà en 1994, quand nous avions publié L'astrologie selon Saturne,nous avions eu la prudence de situer le passage de Saturne en poissons et non en bélier, autour de 12° du signe, ce qui n'était pas sans faire penser aux astrologue sidéralistes avec leur Ayanamsa de 24° avant le point vernal. La grande question était par ailleurs, celle de l'interprétation des configurations. Pour Barbault, il y avait une courbe qui montait et descendait, censée indiquer le degré de tension au niveau mondial, notamment en termes militaires. Nous avons montré récemment que l'astrologie avait vocation à traiter non pas des guerres mais des alliances, notion essentielle dans la Bible. Autrement dit, il ne s'agit pas simplement de réfléchir sur les configurations célestes mais sur leur portée. Or quand Barbault pointait en 1955(Défense et Illustration de l'Astroloie) l'an 1989, il ne précisait pas de quelle nature seraient les évenements, tout étant possible du moment que cela impliquerai d'une façon ou d'une autre l'URSS.. Il convenait d^être plus précis dans la catégorisation des périodes circonscrites et c'est justement ce qui allait nous permettre de proposer d'avancer le calendrier en faisant alterner les périodes de repli national et celles de synergie supranationale avec à la clef la formatoon ou la dislocation des alliances, 1989 - 91, à '(Est de l'Europe étant le cas d'école d'un démantelement d'un bloc au même titre que le Brexit de 2016 à l'Ouest.Dans les deux cas, Saturne était entré dans une phase du même type, correspondant à une tonalité "solsticiale"-Sagittaire Capricorne).

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