Site de l'Association La Vie Astrologique (ex Mouvement Astrologique Universitaire). 8, rue de la Providence. 75013 Paris/ Une approche historico-critique de la littérature astrologique.
Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)
Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
.
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mercredi 30 novembre 2016
lundi 28 novembre 2016
dimanche 27 novembre 2016
samedi 26 novembre 2016
vendredi 25 novembre 2016
jeudi 24 novembre 2016
mercredi 23 novembre 2016
mardi 22 novembre 2016
Jacques Halbronn Des effets pervers de l'emprunt mythologique sur l'identité de l'Astrologie
Des effets pervers de l’empruntr mythologique sur l’identité de l’Astrologie
par Jacques Halbronn
L’alliance Astrologie-Mythologie pose de graves problèmes d’ordre épistémologique, qui sont aggravés par l’alliance Astrologie-Astronomie. En effet, l’esprit de la mythologie n’est nullement celui de l’Astrologie, contrairement à ce que croient devoir ou pouvoir affirmer d’aucuns.
En ettet, la « philosophie » de la mythologie est marquée par le panthéisme, d’où le nom de Panthéon qui englobe l’ensemble des dieux. Autrement dit, la mythologie tend à une certaine forme d’universalité dans la mesure où les diverses divinités se répartissent plus ou moins équitablement la diversité même du monde. Il y aurait en quelque sorte des dieux pour toutes choses, pour quelque activité que ce soit.
Est-ce bien là l’esprit de l’astrologie? On pourrait être tenté de répondre par l’affirmative en s’appuyant sur l’astronomie, laquelle est parvenue à « caser » planétairement toutes les divinités. Et des penseurs aussi lucides qu’un Jean-Pierre Nicola sont bel et bien tomber dans le panneau avec son systéme RET qui englobe dix planétes (du soleil jusqu’à Pluton, plus la Lune, notre satellite)
Pour notre part, nous pensons qu’il s’agit là d’une évolution relativement tardive de la pensée astrologique qui aura conduit à ce « mariage » avec l’astronomie du systéme solaire- et la mythologie. A l’origine, selon nous, l’astrologie ne « communiquait » avec l’astronomie que par un seul et unique canal que l’on pourrait qualifier de « phallique », ce qui souligne l’unicité du dispositif, lequel pourrait être comparé à un pont.(rappelons que le pape est qualifié de pontife), à savoir Saturne, dont la révolution est en analogie avec celle de la Lune, sur la base d’un an pour un jour. De même d’ailleurs, le parcours de la dite planéte n’était pas balisé par 12 secteurs mais par 8.(4×2)
Nous n’avons certes rien contre la mythologie ou contre l’astronomie, si ce n’est que les astrologues y recourent de façon tout à fait excessive et hors de propos. Ils ejn arrivent, de par une telle dérive, à se convaincre que l’astrologie peut traiter de tout et de n’importe quoi puisqu’il y des dieux appointés aux tâches les plus variées .Cela signifie aussi que l’astrologie serait une sorte de savoir total à l’instar du langage qui, lui aussi, n’a pas de limites. Et l’on sait le rôle du langage dans la consultation astrologique, du fait que l’astrologue est sommé de traduite, d’étoffer, de transposer sous une forme accessible les notations symboliques.
L’identité de l’astrologie ne peut que pâtir de tels rapprochements, de telles intrusions qui la dénaturent. L’astrologue est conduit à penser que rien ne saurait être étranger à l’astrologie puisqu’elle est dotée de ce double bagage, astronomico-(mythologique. Cela ne peut que séduire des esprits qui n’ont pas été formés à la recherche et qui ne savent pas s’informer à différentes sources, à tenir compte de plusieurs paramétres par delà celui de l’astrologie.
Pour une grande partie des usagers de l’astrologie, l’arsenal astrologique ne connait pas de limites en ce qui concerne les domaines qu’il permet d’aborder, la seule restriction serait en matière de précision plus ou moins grande. L’astrologue pourrait parler de tout un peu.
Il y auralt là, pourrait-on diagnostiquer, comme un refus de l’altérité, ce ce qui n’est pas soi, projeté sur l’astrologie. Autrement dit, on voudrait voir l’astrologie comme l’on se voit soi-même. Il y aurait tout dans l’astrologie et point ne serait utile d’aller voir ailleurs. Et l’alibi d’une telle démarche, on l’aura compris, c’est bien évidemment la mythologie. A partir du moment où l’astrologie trouve son assise dans la mythologie, rien ne saurait lui être étranger puisque la mythologie englobe une grande variété de dieux et que ces dieux nous sont repérables par le biais de l’astronomie qui les « loge ». Ainsi, la boucle est bouclée, n’est-il pas vrai?
La prévision astrologique doit, selon nous, prendre en compte d’autres paramètres que ceux fournis par cette troîka qu’elle forme avec la mythologie et avec l’astronomie. Pour cela, il lui est nécessaire de se limiter à un seul vecteur planétaire, à savoir Saturne et de circonscrire son domaine à ce qui reléve de la dualité puisque selon nous tout ce qui revêt une forme duelle la concerne. L’astrologie serait épistémologiquement d’essence dialectique. Elle peut ainsi apporter un éclairage qui lui est propre mais en acceptant que d’autres facteurs puissent intervenir et interférer, ce qui débouche sur un dialogue avec des spécialistes d’autres disciplines.
En fait, ce n’est pas au départ l’astrologie qui aura emprunté à la mythologie et à l’astronomie mais ce sont ces deux savoirs qui se seront inspirés de l’astrologie, comme nous l’avons montré ailleurs, notamment à partir des travaux du statisticien Michel Gauquelin lequel a montré que Mars, Jupiter et Saturne ( ce furent là du moins ses premiers résultats, parus en 1955. L’influence des astres. Paris, Ed. Du Dauphin). Ce n’est donc pas par hasard que les actvités que Gauquelin a associées à ces trois astres correspondent grosso modo aux significations accordées à ces trois divinités.(Gauquelin ajoutera Lune et Vénus, par la suite) et c’est encore moins par hasard que les dieux qui ont été dévorés par Kronos sont justement les dieux qui n’ont pas été associés, du moins dans l’Antiquité, à des planétes: Neptune,Pluton, Cérés, Pallas, Junon, Vesta, ces dieux n’ayant été récupérés par l’astronomie qu’à partir de la fin du XVIIIe siècle. C’est pourquoi, le moins que l’on puisse recommander, c’est de cesser de se servir en astrologie de ces dieux-planétes que la mythologie avait fait disparaitre à l’instar de l’astronomie antique, pour des raisons évidentes, à savoir que l’on n’avait pas de place pour tous les dieux de l’Olympe. D’aucuns voudraient que l’on complétât un tel dispositif en intégrant ces astres inconnus et invisibles dans l’Antiquité. Ils sont même disposés à croire que l’Humanité ayant évolué psychiquement, il serait logique de faire un bon accueil à de nouveaux astres. Or, nous venons de montrer que l’alliance entre astronomie et mythologie s’était scellée sur la base du septénaire au point que même le récit mythologique s’en trouvait marqué.
En conclusion, il existerait d’une part une typologie astro-mythologique englobant un certain nombre d’astres tous visibles à l’œil nu mais qui n’aurait aucune vocation cyclique- que Gauquelin serait parvenu à baliser (et nous avons des doutes sérieux en ce qui concerne ses travaux sur l’empreinte lunaire)- et cela ne concerne que le mouvement diurne et non la révolution sidérale et de l’autre, un seul et unique cyclique- sidéral celui de Saturne- rendant compte d’une cyclicité duelle, bien plus dépouillée, au demeurant, que ne le voudrait le recours aux 12 symboles zodiacaux car nous pensons qu’un tel symbolisme doit rester tout à fait en dehors du champ de l’astrologie, si ce n’est à des fins purement de localisation des astres dans le ciel., à l’instar de l’astronomie.
JHB
22. 11.16
lundi 21 novembre 2016
Jacques Halbronn Vers une redéfiniton des politiques de gauche et de droite au prisme de la dialectique peuple/élite
Vers une redéfinition des politiques de gauche et de droite au prisme de la dialectique peuple/élite
par Jacques Halbronn
Dans le domaine poliitque comme dans le domaine religieux, on assiste à une déperdition de sens des discours. Entendez par là que l’on fait comme si les pratiques en vigueur étaient nécessairement fidéle à l’esprit qui leur avait donné naissance. Comme nous l’avons fait pour la notion de « Shabbat », nous allons ici traiter des notions de Gauche et de Droite par delà ce qui figure présentement dans les programmes respectifs. Selon nous, une telle déperditiion expliquerait le désamour tant envers le religieux qu’envers le politique. Mais cela vaut évidemment pour d’autres domaines comme le linguistique.
Qu’est ce qui distingue donc une politique de gauche d’une politique de droite de nos jours, alors que l’on est en plein débat en vue de l’élection présidentielle de 2017, en France? Selon nous, la gauche imite la droite et vice versa, ce qui ne contribue guère à clarifier les enjeux ou si l’on préfére les deux camps tendent à faire à peu près la même chose, si ce n’est avec des dosages différents, qui peuvent d’ailleurs varier au sein même de chaque camp, comme il ressort des primaires, celles de droite et prochainement celles de gauche.
En fait aucun camp n’assume pleinement les positions qui, selon nous, lui correspondent et que l’on peut résumer ainsi; politique de l’emploi face à politique sociale. Or, quand François Hollande annonce qu’il va faire reculer la courbe du chomage, reliant cela à la candidature pour un nouveau mandat présidentiel, il tient selon nous un discours de droite. On sait d’ailleurs le malaise de ceux qui essaient de nous expliquer qu’une politique sociale ne saurait dissuader les gens de chercher un emploi. Il n’empêche que l’idée de revenu universel (envisagée par Manuel Vallls) est bien une idée qui appartient à l’esprit de la Gauche et certainement pas de la Droite. et il s’agit d’en assumer le principe face aux valeurs de la Droite/ On voit donc le danger de s’approprier le programme du camp adverse, voire de surenchèrir sur ses propositions.
En réalité, les deux politiques ne diffèrent pas tant que cela, quand on y regarde de près et le cas de la fonction publique est emblématique : combien de fonctionnaires ne sont-ils pas de facto des bénéficiaires d’une sorte de traitement social, à la façon de ce qui se passait dans les pays socialistes, il y a quelques années? Quand François Fillion, le probable vainqueur des Primaires propose de supprimer des emplois publics, il est dans une logique de Droite en ce qu’il s’en prend par ce biais à une politique sociale.Toute forme de privatisation appartient à la Droite et de natonalisation à la Gauche
Tout cela be ferait guère sens si l’on ne se situait dans l’optique d’alternance, un coup à gauche, un coup à droite et toute la question est de savoir si à telle époque, la politique appropriée est celle de Droite ou celle de Gauche, du moins dans les termes que nous avons précisés plus haut.
Pour ce faire, il importe d ‘accepter la dualité peuple/élite sans laquelle on risque fort de ne pas comprendre grand chose. Il y a deux façons de traiter le peuple, soit par le biais de l’emploi, soit par celui des allocations et on l’ a dit, cela n’est pas si différent si l’on admet que dans bien des cas donner un emploi à quelqu’un, c’est l’aider à survivre et que dans bien des cas, les emplois sont iinutiles, faisant « double emploi », ou factices. On dira que le peuple de Droite préfére l’aide par l’emploi alors que le peuple de Gauche a mieux intégré le principe de solidarité, à commencer par ceux qui ne sont pas ou plus en état de travailler. mais en l’étendant bien au delà.. Il y aurait donc des rhétoriques différentes mais qui reviendraient peu ou prou au même et dans les deux cas qui sont couteuses mais pas de la même façon.
Si l »on admet que l’élite -avec son potentiel créatif, sous les angles les plus divers- est celle qui féconde le peuple, deux cas de figure se présentent: soit l’on mobilise une main d’oeuvre qui secondera la dite élite, ce qui pose des problémes de formation, de compétence pouvant se révéler contre-productifs, soit l’on accorde des « droits » à une certaine masse de gens sans les utiliser pour autant, ce qui peut se révéler préférable.Car pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple? Pourquoi faire à dix ce que l’on peut faire tout seul?
Il reste que le climat social ne sera pas le même dans les deux cas, avec la Droite, il y a une mise au travail d’un maximum de gens aiors qu’avec la Gauche, l’on pratiquera une politique fiscale assez lourde pour couvrir les allocations et autres retraites. Dans les deux cas, tout dépendra du dynamisme de l’élite à créer du travaill, à engranger des excédents au niveau des échanges.C’est dire l’importance qu’il y a – dans tous les cas de figure- à favoriser l’élite, que l’on soit de Droite ou de Gauche, si l’on entend par là non pas la « bourgeoisie » mais ceux qui ont la faculté de créer. Que les ressources dégagées par le « travail » de cette élite – et qui s’appuieront toujours plus sur la robotisation - servent une politique de Droite ou de Gauche importe assez peu mais il est vrai que sous un climat de Droite, ceux d’en haut communiquent beaucoup plus avec les gens d’en bas que sous un climat de Gauche. On sait que les allocataires ne sont guère sollicités pour entrer ou rentrer dans la vie économique et se trouvent donc marginalisés davantage (on est dans « du pain et du cirque ») que les « salariés ». Leur seul point commun est la consommation, que l’on soit allocataire de « droits » ou titulaire d’une fiche de paie tout comme l’élite quel que soit son bord politique a peu ou prou le même profil, le même train de vie, et la même formation.
Actuellement, au regard de nos travaux sur la cyclicité, .la crédibilité sera du côté qui prendront la question de l’emploi à bras le corps, en proposant des solutions prometteuses et courageuses.. Solidarité dans le travail et non dans la protection sociale.
Quid de la question du communautarisme, liée à celle de l’immigration? Là encore deux discours chez les hommes politiques, d’un côté, une volonté unitaire qui refoule les différences et de l’autre, une disposition à assumer la « multi-culturalité ».. Qu’est ce qui est ici de gauche et de droite?
Là encore, il importe de considérer la nécessité d’une certaine alternance. Tantôt, favoriser un certain brassage intercommunautaire et tantôt accepter la multi-cultturalité avec non pas un peuple et une élite mais une élite pour chaque « peuple » au sein de l’Eatt. C’est donc le statut de l’Etat qui va diffèrer. Soit l’Etat est voué à réguler la dite multi-culturalité et se pose en arbitre, l’espace public se trouvant réduit à la portion congrue, soit l’Etat impose le respect d’une laïcité au sein d’un espace public élargi. Qu’est ce qui ici est plutôt de gauche ou plutôt de droite? Si le travail est standardisé, la cuisine, la musique, la langue, diffèrent d’une communauté à l’autre. On dira donc que la Droite serait plutôt « populaiste », unitaire, avec un brassage par le travail alors que la Gauche laisserait à chacun le loisir de dépenser sa « pension » comme il l’entend, ce qui est plus compatble avec une certaine diversité culturelle. On ne s’étonnera donc pas de voir que l’extréme droite soit hostile à cette multi-culturalité.
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JHB
21/10 16
par Jacques Halbronn
Dans le domaine poliitque comme dans le domaine religieux, on assiste à une déperdition de sens des discours. Entendez par là que l’on fait comme si les pratiques en vigueur étaient nécessairement fidéle à l’esprit qui leur avait donné naissance. Comme nous l’avons fait pour la notion de « Shabbat », nous allons ici traiter des notions de Gauche et de Droite par delà ce qui figure présentement dans les programmes respectifs. Selon nous, une telle déperditiion expliquerait le désamour tant envers le religieux qu’envers le politique. Mais cela vaut évidemment pour d’autres domaines comme le linguistique.
Qu’est ce qui distingue donc une politique de gauche d’une politique de droite de nos jours, alors que l’on est en plein débat en vue de l’élection présidentielle de 2017, en France? Selon nous, la gauche imite la droite et vice versa, ce qui ne contribue guère à clarifier les enjeux ou si l’on préfére les deux camps tendent à faire à peu près la même chose, si ce n’est avec des dosages différents, qui peuvent d’ailleurs varier au sein même de chaque camp, comme il ressort des primaires, celles de droite et prochainement celles de gauche.
En fait aucun camp n’assume pleinement les positions qui, selon nous, lui correspondent et que l’on peut résumer ainsi; politique de l’emploi face à politique sociale. Or, quand François Hollande annonce qu’il va faire reculer la courbe du chomage, reliant cela à la candidature pour un nouveau mandat présidentiel, il tient selon nous un discours de droite. On sait d’ailleurs le malaise de ceux qui essaient de nous expliquer qu’une politique sociale ne saurait dissuader les gens de chercher un emploi. Il n’empêche que l’idée de revenu universel (envisagée par Manuel Vallls) est bien une idée qui appartient à l’esprit de la Gauche et certainement pas de la Droite. et il s’agit d’en assumer le principe face aux valeurs de la Droite/ On voit donc le danger de s’approprier le programme du camp adverse, voire de surenchèrir sur ses propositions.
En réalité, les deux politiques ne diffèrent pas tant que cela, quand on y regarde de près et le cas de la fonction publique est emblématique : combien de fonctionnaires ne sont-ils pas de facto des bénéficiaires d’une sorte de traitement social, à la façon de ce qui se passait dans les pays socialistes, il y a quelques années? Quand François Fillion, le probable vainqueur des Primaires propose de supprimer des emplois publics, il est dans une logique de Droite en ce qu’il s’en prend par ce biais à une politique sociale.Toute forme de privatisation appartient à la Droite et de natonalisation à la Gauche
Tout cela be ferait guère sens si l’on ne se situait dans l’optique d’alternance, un coup à gauche, un coup à droite et toute la question est de savoir si à telle époque, la politique appropriée est celle de Droite ou celle de Gauche, du moins dans les termes que nous avons précisés plus haut.
Pour ce faire, il importe d ‘accepter la dualité peuple/élite sans laquelle on risque fort de ne pas comprendre grand chose. Il y a deux façons de traiter le peuple, soit par le biais de l’emploi, soit par celui des allocations et on l’ a dit, cela n’est pas si différent si l’on admet que dans bien des cas donner un emploi à quelqu’un, c’est l’aider à survivre et que dans bien des cas, les emplois sont iinutiles, faisant « double emploi », ou factices. On dira que le peuple de Droite préfére l’aide par l’emploi alors que le peuple de Gauche a mieux intégré le principe de solidarité, à commencer par ceux qui ne sont pas ou plus en état de travailler. mais en l’étendant bien au delà.. Il y aurait donc des rhétoriques différentes mais qui reviendraient peu ou prou au même et dans les deux cas qui sont couteuses mais pas de la même façon.
Si l »on admet que l’élite -avec son potentiel créatif, sous les angles les plus divers- est celle qui féconde le peuple, deux cas de figure se présentent: soit l’on mobilise une main d’oeuvre qui secondera la dite élite, ce qui pose des problémes de formation, de compétence pouvant se révéler contre-productifs, soit l’on accorde des « droits » à une certaine masse de gens sans les utiliser pour autant, ce qui peut se révéler préférable.Car pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple? Pourquoi faire à dix ce que l’on peut faire tout seul?
Il reste que le climat social ne sera pas le même dans les deux cas, avec la Droite, il y a une mise au travail d’un maximum de gens aiors qu’avec la Gauche, l’on pratiquera une politique fiscale assez lourde pour couvrir les allocations et autres retraites. Dans les deux cas, tout dépendra du dynamisme de l’élite à créer du travaill, à engranger des excédents au niveau des échanges.C’est dire l’importance qu’il y a – dans tous les cas de figure- à favoriser l’élite, que l’on soit de Droite ou de Gauche, si l’on entend par là non pas la « bourgeoisie » mais ceux qui ont la faculté de créer. Que les ressources dégagées par le « travail » de cette élite – et qui s’appuieront toujours plus sur la robotisation - servent une politique de Droite ou de Gauche importe assez peu mais il est vrai que sous un climat de Droite, ceux d’en haut communiquent beaucoup plus avec les gens d’en bas que sous un climat de Gauche. On sait que les allocataires ne sont guère sollicités pour entrer ou rentrer dans la vie économique et se trouvent donc marginalisés davantage (on est dans « du pain et du cirque ») que les « salariés ». Leur seul point commun est la consommation, que l’on soit allocataire de « droits » ou titulaire d’une fiche de paie tout comme l’élite quel que soit son bord politique a peu ou prou le même profil, le même train de vie, et la même formation.
Actuellement, au regard de nos travaux sur la cyclicité, .la crédibilité sera du côté qui prendront la question de l’emploi à bras le corps, en proposant des solutions prometteuses et courageuses.. Solidarité dans le travail et non dans la protection sociale.
Quid de la question du communautarisme, liée à celle de l’immigration? Là encore deux discours chez les hommes politiques, d’un côté, une volonté unitaire qui refoule les différences et de l’autre, une disposition à assumer la « multi-culturalité ».. Qu’est ce qui est ici de gauche et de droite?
Là encore, il importe de considérer la nécessité d’une certaine alternance. Tantôt, favoriser un certain brassage intercommunautaire et tantôt accepter la multi-cultturalité avec non pas un peuple et une élite mais une élite pour chaque « peuple » au sein de l’Eatt. C’est donc le statut de l’Etat qui va diffèrer. Soit l’Etat est voué à réguler la dite multi-culturalité et se pose en arbitre, l’espace public se trouvant réduit à la portion congrue, soit l’Etat impose le respect d’une laïcité au sein d’un espace public élargi. Qu’est ce qui ici est plutôt de gauche ou plutôt de droite? Si le travail est standardisé, la cuisine, la musique, la langue, diffèrent d’une communauté à l’autre. On dira donc que la Droite serait plutôt « populaiste », unitaire, avec un brassage par le travail alors que la Gauche laisserait à chacun le loisir de dépenser sa « pension » comme il l’entend, ce qui est plus compatble avec une certaine diversité culturelle. On ne s’étonnera donc pas de voir que l’extréme droite soit hostile à cette multi-culturalité.
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JHB
21/10 16
L'astrologuie nord américain Robert Hand, Que signifie postmoderne?
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dimanche 20 novembre 2016
vendredi 18 novembre 2016
jeudi 17 novembre 2016
jacques Halbronn Les effets pervers du refus du communautarisme et de l'impérialisme
Jacques Halbronn Les effets pervers du refus du communautarisme et de l’impérialisme. L’Etat Empire au lieu de l’Etat Nation
Un Etat qui n’est pas capable de penser le communautarisme et l’impéralisme risque fort d’être amené à pratiquer des « solutions » qui peuvent se révéler tôt ou tard catastrophiques. Autrement dit, assumer les exigences du communautarisme et de l’impérialisme nous apparait comme un garde-fou.
Il est clair que le probléme de l’Allemagne à la fin des années Trente aura a été son déficit colonialiste par comparaison à la France et à l’Angleterre voire à l’Espagne, au Portugal, aux Pays, Bas, à la Belgique. Comme on dit, les voyages forment la jeunesse. On sait l’importance qu’un Mussolini accorda à la conquéte de l’Abyssinie, dans un processus d’imitation assez tardif. Certes, l’Allemagne a -t-elle tenté de pratiquer, elle aussi, une politique coloniale mais avec des fortune mitigées.
Rien n’est plus dangereux qu’un Etat qui connait des victoires militaires mais qui n’a pas de véritable culture coloniale et/communautaire. En l’occurence, l’Allemagne n’eut pas d’autre choix, du moins dans un premier temps, de faire appel à d’autres puissances pour régler « son » probléme juif qui ne faisait que croitre et embellir du fait de ses conquétes européennes. Elle n’avait pas notamment des lieux d’exil comme la Nouvelle Calédonie (après la Commune, avec Louise Michel) ou la Guyane (cf l’Affaire Dreyfus) pour la France. On sait qu’il fut question de déverser ses Juifs sur l’île de Madagascar, colonie française.
Le cas israélein est, selon nous, assez comparable. A la suite des réussites militaires du fait de la Guerre des Six Jours (1967), l’Etat ‘Hébreu » dut administrer de nouveaux territoires, comme cela avait été le cas 25 ans plus tôt pour l’Allemagne nazie. Mais ce challenge faisait probléme par rapport à une certaine idéologie sioniste. Le systéme démocratique de l’Etat hébreu constitua au demeurant un blocage comme ce fut le cas pour la façon dont la France géra le dossier algérien, sous la IVe République. Or, le systéme démocratique est confronté à la queston du communautarisme, du fait que l’on accorde les mêmes droits aux membres de communautés différentes,notamment quand il s’agit de suffrage universel. On notera que l’amendement de la Constitution de 58 se produisit alors même que la France se séparait de l’Algérie : en 1962. C’est alors et alors seulement que l’on adopta le suffrage universel pour l’élection du Président de la Républque.(ce qui eut lieu pour la première fois fin 1965)
Le refus de la diversité communautaire au sein de l’Etat est susceptible, on l’a dit, de générer les pires « solutions » au nom de certains grands principes auxquels on déclare ne pas vouloir toucher. Les dites solutions seraient en fait dans un premier temps, l’exil et dans un second temps-si cela ne marche pas- l’extermination à moins que l’on ne satisfasse d’une sorte d’apartheid, avec des citoyens de seconde zone, n’ayant pas les mêmes droits, comme au temps de l’Algérie « française ». Certes, cette formule de statuts différents peut elle sembler détestable mais elle ne débouche pas pour autant sur certaines extrémités comme ce fut le cas d’ailleurs avec la Turquie post-impériale qui aboutit à des déportations massives de populations. On peut également être perplexe face à la solution trouvée en 1947 par l’Assemblée Générale de l’ONU (29 novembre) instaurant une partition territoriale basée sur le critère religieux.
Ce que nous proposons, c’est de repenser ces principes et ces questions et notamment de substituer à l’idée d’identité nationale celle d’identité impériale. Or, l’Europe-continent – est la mère d’un grand nombre d’empires, depuis Londres jusqu’à Istamboul en passant par Moscou. C’est dire que cette idée impériale n’est nullement étrangère à une bonne douzaine d’Etat européens, sans oublier bien entendu le cas de l’empire romain sans oublier celui de la papauté.
Nous proposons que la France – mais en fait bien d’autres Etats- assument sereinement leur identité, leurs destinées impériales respectives, à savoir que leurs politiques de conquéte, de colonisation, depuis des siècles sinon depuis des millénaires- obéissent à une telle logique d’intégration. Car ce terme d’intégration que l’on emploie de nos jours pour les immigrés faisait d’abord sens au regard de nouveaux territoires conquis, le cas des immigrés n’étant finalement qu’une séquelle de cette Histoire impériale mal assumée et désormais subie à contre coeur,par défaut.
Pour nous l’Etat trouve précisément sa légitimité de son aptitude à gérer les différences communautaires, sans recourir à des solutions d’évacuation hors de ses frontières, lesquelels sont vouées à évoluer dans un sens ou dans l’autre. L’Etat colonisateur, gérant des communautés très différentes, à toutes sortes d’égards, se rend d’autant plus nécessaire. C’est ainsi que la monarchie austro-hongroise trouvait sa raison d’être, en quelque sorte, de la diversité de ses populations. Un Etat parfaitement homogéne ne sert plus à grand chose! C’est pourquoi l’Etat a vocation à se montrer conquérant, c’est à dire à générer de la diversité. Il régne du fait même de telles divisions et on l’a noté ainsi pour ce qui est de l’Irak, la chute de l’Etat irakien ayant produit les résultats que l’on sait, un Etat capable de faire cohabiter sunnites et chiites, par exemple.
Quelles sont les modalités de la coexistence au sein d’Un Etat non pas « nation » mais « empire »? Cela n’a rien d’incompatible avec l’idée de laicité et d’ailleurs la laicité est née de la socio-diversité et ne fait que sens que dans ces conditions. La « Révocation » de l’Edit de Nantes en 1685 à l’encontre des Protestants fut un contre-sens majeur dans l’Histoire de la France. Le cas de l’empire ottoman nous parait somme toute assez exemplaire avec le régime des « dhimmis » accordé aux Juifs et aux Chrétiens et ce n’est pas par hasard que Theodore Herzl s’adressa au Sultan pour résoudre la « Question juive », à la charnière du XXe siècle.
Selon nous, toute communauté doit, par le biais de l’éducation, dégager une élite libérée des automatismes de pensée de la base, de sorte que les différentes élites puissent communiquer entre elles. Il va de soi que les décisions seront prises au sein des instances dirigeantes quand il s’agit des enjeux supracommunautaires, c’est à dire étatiques. Mais les coutumes religieuses et linguistiques formant consensus au sein d’une communauté donnée devront être respectées et pour notre part, nous n’avons rien à objecter à ce que telle ou telle communauté finisse par s’ancrer sur un certain territoire, voire toute un quartier, toute une ville, tout un département. Car si nous refusons toute expulsion en dehors des limites géographiques de l’Etat, nous ne nous opposons pas à des mouvements de populatons au sein du dit Etat, sans perte de citoyennété.
Que l’on nous comprenne bien, notre discours ne concerne pas ici l’Union Européenne. Nous sommes ici en train de considérer le cas d’un Etat comme la France assumant le communautarisme et l’impérialisme. On sait que la France a adhéré- à la fin de la IVe République - au Traité de Rome de 1957 à la suite de ses déboires- en compagnie de l’Angleterre- lors de l’affaire de Suez en 1956.
Qu’est ce qu’assumer une destinée impériale? C’est enseigner aux ressortissants de l’Etat Français une Histoire-Géographie bien plus complexe que « nos ancêtres les Gaulois ». Les enfants nés de l’immigration vers la France, doivent savoir qu’ils sont en France du fait de la colonisation française – en dédiabolisant le terme colonisation mais aussi d’une certaine image de la France comme Etat apte à gérer la diversité non pas des personnes mais des communautés.,En effet, nous prenons ici le contre-pied de la déclaration de Clermont Tonnerre, sous la Révolution, s’adressant aux Juifs de France qui leur promettant tout en tant que citoyens mais rien en tant que « nation » (entendez ici en tant que communauté. On sait que cela n’empêche pas Napoléon Ier d’instaurer un Consistoire). Pour nous le communautarisme n’est pas une tolérance mais une obligation. Rien n’est plus détestable, à nos yeux, que des gens en crise d’appartenance car dans toute communauté, quelle qu’elle soit, il existe des régles et une certaine forme de discipline qui lui permet de fonctionner. L’individu électron libre est ce qu’il y a de plus problématique car il n’y a pas de morale individuelle. Cet individu n’a pas de modéle ou si l’on préfére, il ne vit plus selon le principe de réalité, ce qu’incarne la communauté mais il est mû par un mimétisme sauvage, en une sorte d’ivresse de liberté subjective, d’auto-détermination personnelle.
Bien entendu, comme on l’a dit, une communauté n’est pas pour autant d’un seul tenant, elle peut comporter toutes sortes de sous-groupes, selon des clivages d’âge, de sexe, de profession et nous ne préconisons pas de promiscuité d’autant que les clivages « culturels » ne sauraient en effet occulter d’autres clivages comme ceux relatifs au sexe que l’on tend de nos jours à ne pas vouloir penser sans parler des clivages hiérarchiques qui sont bannis d’un discours démagogique et anarchique.
JHB
17. 11. 16
mercredi 16 novembre 2016
mardi 15 novembre 2016
lundi 14 novembre 2016
Serge Bret-Morel Les anciens astrologues ont-ils vraiment existé?
LES ANCIENS ASTROLOGUES ONT-ILS VRAIMENT EXISTÉ - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=a_yhczQ6q44
19 sept. 2016 - Ajouté par Laurence Honnorat
SERGE BRET-MOREL - ULTIMATEZ16 - JUILLET 2016 - Site internet de Serge Bret-Morel : https://astroscept.com/vendredi 11 novembre 2016
jacques Halbronn La conjonction en Astrologie de 1950 à 2016, du cycle planétaire à l'astrologie alpha oméga
La conjonction en Astrologie de 1950 à 2016 du « cycle planétaire » à l’astrologie « alpha-oméga ».
par Jacques Halbronn
Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale apparait la notion de » cycle planétaire »
André Barbault définit ainsi ce qu’il appelle « cycle planétaire »:
« Le cycle planétaire est une ligne d’univers : de temps, d’espace, de mouvement et de substance, à laquelle participe ici-bas une histoire d’amplitude égale et d’évolution parallèle ,en une interaction entre permanence d’une structure et fluidité du changement. »
« La conjonction en est le moment fort et c’est en son temps que s’inscrivent préférentiellement les plus grandes pages de notre histoire. Toutefois, un point de chute historique tombant avec une grande conjonction n’implique pas une nécessaire liaison entre eux, une autre configuration accompagnatrice pouvant en rendre compte. »
« Ce qui garantit une corrélation est le suivi d’une durée. Le lien est fondé par une continuité, assuré par le déroulement d’un cours de tendance, à la fois à l’intérieur du cycle, d’un aspect à l’autre de ses phases, et, extérieurement, d’une conjonction à une autre du cycle suivant ; dans l’enchaînement du tout et de la partie au long d’un fil continu où se tissent les métamorphoses de l’histoire. »
« L’unité cyclique implique que ce qui est conçu ou ce qui naît à la conjonction, trébuche dans un désordre de différenciation préalable au semi-carré, pour disparaître ou survivre. Prend pied ou prend corps au sextil, s’implantant dan ses premières réalisations. Connaît au carré une crise intérieure par différenciation de ses deux facteurs ; divergence créant un climat de rupture, de déviation, de transformation. Dépasse cette tension au trigone : phase associative ou coopérative, porteuse de succès, chargée de réalisations, temps d’essor. Croissance qui s’essouffle ou s’affronte à des problèmes mineurs au sesqui-carré. Point culminant du cycle basculant sur la décroissance, l’opposition est le temps fort d’un conflit majeur qui, interne, dissocie le courant, engagé sur un déclin, ou, externe, franchissant un Rubicon, permet un dépassement dans un affrontement. Sur la voie plus passive du retour, le sesqui-carré amène souvent une retombée négative de la phase précédente. Avec le trigone se retrouve un climat d’accord, de coopération, dans un champ d’épanouissement, à tendance néanmoins défensive, conservatrice. Au carré, l’entente conçue à l’aspect précédent est remise en question ; sinon, climat de tension, de rupture, de transformation. Au sextil, les dégâts sont réparés ; nouveau resserrement des forces. Le semi-carré installe souvent une crise latente qui traîne plus ou moins jusqu’à la conjonction qui a valeur de bilan : finale de l’aventure, relance à un niveau supérieur ou encore, déplacement du processus historique ».
« C’est la nature des deux astres composant le cycle qui détermine la substance de la manifestation cyclique »
Barbault prend l’exemple du cycle Saturne-Neptune;:
« . Le courant neptunien est en résonance avec un climat public, l’idéologie d’une population, la foi collective d’un peuple. Celui de Saturne place celui-ci sur le registre de la condition prolétaire. Si Jupiter incarne le capital, Saturne représente le travail, la vie laborieuse et âpre des miséreux. Le courant neptunien saturnisé tend donc à prendre un caractère « sauvage » en se durcissant, en libérant une puissance concentrée, radicale, systématique ou extrémiste. Il est donc naturel que la conjonction de ces deux planètes puisse escorter des poussées collectives révolutionnaires, finissant par s’assimiler en particulier aux manifestations d’une extrême-gauche ».
On fera les observations suivantes: d’une part, Barbault combine deux astres de même « nature », au sens astronomique du terme, à savoir deux planétes et de l’autre, il considére la conjonction comme le point de départ du cycle. Et enfin, Barbault rend compte de la problématique du cycles par le caractère des planétes concernées. Sur ces trois points, nous nous portons en faux.
Mais à partir des années soixante, Barbault avait adopté une autre approche qui correpond selon nous une autre approche laquelle ne relie plus du tout les planétes à telle ou telle région du monde ou à telle idéologie. LEs planétes ne sont même plus considérées qualtativement mais uniquement quantitativement..On y reviendra en conclusion du présent article.
Fabrice Pascaud nous en donne un exposé:
En ce début d’année 2016, dire que l’équilibre mondial reste très fragile n’aurait rien d’une révélation. Inutile d’avoir recours à l’astrologie pour s’en rendre compte. Dire que l’économie risque de connaître une chute importante, alarmante avec toutes les conséquences que cela entraînera sur les marchés financiers entre autres semble, hélas, une évidence (!) d’autant plus que le chiffre de l’indice cyclique marque une baisse nette et sensible.
Tout d’abord qu’est-ce que l’indice cyclique ?
« Découvert par Henri Gouchon (1898 – 1978 )[1] et baptisé « Indice de concentration planétaire » puis repris et développé par André Barbault qui lui donna le nom d’« Indice cyclique », cette technique comme son nom l’indique repose sur le phénomène cyclique. Il rend compte d’une cotation exacte des dix grands cycles planétaires. On additionne chacun des écarts interplanétaires des cinq planètes lentes (Jupiter[2] – Saturne – Uranus – Neptune – Pluton) en tenant compte des seuils de la conjonction et l’opposition, autrement dit de la phase ascendante de 0° à 180° et descendante de 180° à 0°.
« La lecture est simple. Lorsque les cycles sont dans leur ensemble en phase de 0° à 180°, les astres s’éloignent de plus en plus les uns des autres, l’indice est donc croissant ce qui se traduit par une courbe ascendante. On pourrait évoquer une dynamique d’expansion. A contrario, lorsque les cycles décroissent dans leur grande majorité de 180° à 0°, les astres donc se rapprochent de plus en plus les uns des autres, l’indice est en baisse et se traduit par une courbe descendante. On pourrait évoquer une dynamique de récession. Ce qui revient à dire que lorsque l’on est dans une tendance à grandes oppositions planétaires, l’indice est à la hausse, et, inversement, il est à la baisse lors d’une forte concentration de conjonctions planétaires.
« Comment en comprendre la portée ? Lorsque les planètes se laissent de la distance entre elles, il y a valeur de respiration, d’espace vital, de souffle, les énergies circulent. Lorsqu’elles se concentrent, se rapprochent, il y a valeur d’étouffement, de resserrement, manque d’oxygène. Un peu comme dans les transports en commun aux grandes heures d’affluence, nous sommes comprimés, serrés les uns contre les autres, on respire mal, limités dans nos gestes, la perspective est bouchée, on attend que ça se dégage, que notre espace vital ne soit plus encombré afin de se sentir à son aise et mieux respirer. L’exemple est terre à terre mais il illustre bien le phénomène.
QUEL EST L’INDICE CYCLIQUE POUR 2016 ?
Au 1er janvier 2016, la position des cinq planètes lentes sur le zodiaque est la suivante :
Jupiter : 173° – Saturne : 251° – Uranus : 16° – Neptune : 337° – Pluton : 285°
Les écarts :
Jupiter – Saturne = 78°
Jupiter – Uranus = 157°
Jupiter – Neptune = 164°
Jupiter – Pluton = 112°
Saturne – Uranus = 125°
Saturne – Neptune = 86°
Saturne – Pluton = 34°
Uranus – Neptune = 39°
Uranus – Pluton = 91°
Neptune – Pluton = 52°
Ce qui donne un indice de 938° pour l’année 2016. Indice qui varie de quelques degrés dans le courant de l’année en fonction de la rétrogradation des planètes.
Étant donné l’accentuation de la concentration planétaire qui est en action, cet indice va baisser de plus en plus. Au 1er janvier 2020, il sera à 568° marquant de fait une importante concentration des cinq planètes lentes et en particulier l’amorce de la triple conjonction Jupiter Saturne Pluton. La chute constante de cet indice indique que nous sommes très loin de la sortie de la crise économique et qu’elle risque de s’accentuer fortement pour ne pas dire gravement.
À titre d’exemple pour la France
XXe siècle
XXIe siècle
L’analyse de cet indice réclame beaucoup de prudence et il ne saurait suppléer l’étude minutieuse de chaque cycle planétaire et de ses liens analogiques à l’échelle mondiale. Mais il a cependant le grand mérite de donner le pouls de l’état monde. Celui-ci est d’autant plus sensible qu’actuellement l’ensemble des cycles planétaires présente de fortes dissonances, les cinq lentes, hormis le cycle Jupiter Pluton (mais ô combien ambigu !), sont en dissonance. Nous sommes donc dans une conjugaison prospective qui converge vers un même résultat : une oppression, le pouls s’accélère sensiblement, s’emballe comme sous l’emprise d’une panique généralisée. »
Nos observations:
Les données fournies dans le texte ci dessus montrent que la « descente » de la courbe est bien plus forte pour les années 80 que pour les deux guerres mondiales: il descend jusqu’à 768° pendant et au lendemain de la « Grande Guerre » puis il redescendra à 570° en 1944. Pour les années 80, on arriva à des minima bien plus marqués encore: 344 et même 309 pour 82 et 83. Et Pascaud de conclure: . »Pour le XXe siècle, l’indice a oscillé dans des écarts extrêmes de 1080° à 309° » . Ce que ne dit pas Pascaud, c’est que la plongée de l’indice cyclique dans les années 80- plus forte que dans le cas des conflits majeurs du XXe siècle, a accouché d’une « souris ». On est très en deça de ce qui était craint/attendu.
D’ailleurs, à partir de 1990, il apparait qu’André Barbault en revient au modéle du « cycle planétaire », en raison du « succés » de sa prévision pour 1989 – concernant la Russie- faite au début des années Cinquante. Cela correspond aussi à un désenchantement par rapport à l’indice cyclique qui n’a pas donné les effets prévus.
Début 1995, nous avons publié « L’Astrologie selon Saturne », une brochure parue aux Ed. de la Grande Conjonction (cf dépot légal BNF) qui esquisse une autre approche de l’Astrologie Mondiale avec l’adoption d’un monoplanétarisme. Autrement dit, nous reprenions l’idée de l’indice cyclique si ce n’est qu’au lieu de combiner cinq planétes (dont trois transsaturneinnes), nous nous limitions à une seule, à savoir Saturne. Par la suite, au début du XXIe siècle, nous introduisimes le référentiels des 4 étoiles fixes royales (Aldébaran, Régulus, Antarés, Fomalhaut) au lieu de celui des axes équinoxiaux et solsticiaux permettant une division en 4 du cycle. En effet, nous pensions que la conjonction d’une planéte avec une étoile constituait un phénoméne plus « réel » que son passage sur le point vernal, lequel n’offre aucun caractère de visibilité à moins justement de l’associer, comme ce fut le cas dans l’Antiquité, à telle ou telle étoile fixe..
Nos travaux s’affineront par la suite et déboucheront sur l’idée que la conjonction n’est pas le point de départ du cycle mais un temps de culmination, pas un temps équinoxial mas un temps solsticial, analogiquement. Il suffit de réfléchir un instant: ce qui se rapproche est au départ séparé comme dans un couple. L’Union est un moment particulier et paradoxal face à la réalité qui est bien plus complexe. On pense à la Tour de Babel qui est un projet et surement pas un point de départ.
Ensuite, ce qui ne s’inscrit pas dans l’orbe, plus ou moins large, de la conjonction, ne reléve plus, selon nous, de l’astrologie. Autrement diit, le temps conjonctionnel est celui propre à l’Astrologie. A partir du moment où la conjonction se défait, se dissout, l’on bascule dans la sociologie et il est donc vain de parler d’aspects successifs si ce n’est à l’instar d’une horloge, d’un compte à rebours. L’ordre astrologique est en quelque sorte « contre-nature » en ce qu’il rapproche ce qui ne devrait pas se rapprocher, ce qui est l’enjeu de toute affirmation unitaire au niveau spatio-temporel, et correspond à une forme de téléscopage. Cela a donné ainsi 2001 avec les Twin Towers à New York ou le Bataclan à Paris, fin 2015., dans les deux cas avec une conjonction Saurne-étoile fixe royale, dans un cas Aldébaran et dans l’autre, juste en face, Antarés.
En bref, la seule échéance proprement astrologique serait la conjonction, tous les 7 ans de Saturne avec l’une des 4 étoiles sus nommées. C’est à ce moment là que l’astrologie telle que nous la concevons doit pouvoir se faire entendre car il s’y passe des choses « imprévisibles » sans le recours à notre astrologie, alpha oméga. Entendons par là que les autres formes d’astrologie sont désormais obsolétes et ont fait long feu, que cela plaise ou non.
En 201
En 2015 -2017, Saturne est en phase conjonctionnelle et cela rend compte d’un certain nombre de décloisonnements et de rapprochements improbables du moins pour celui qui ne dispose pas de l’outil approprié..
JHB
11. 11 16
par Jacques Halbronn
Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale apparait la notion de » cycle planétaire »
André Barbault définit ainsi ce qu’il appelle « cycle planétaire »:
« Le cycle planétaire est une ligne d’univers : de temps, d’espace, de mouvement et de substance, à laquelle participe ici-bas une histoire d’amplitude égale et d’évolution parallèle ,en une interaction entre permanence d’une structure et fluidité du changement. »
« La conjonction en est le moment fort et c’est en son temps que s’inscrivent préférentiellement les plus grandes pages de notre histoire. Toutefois, un point de chute historique tombant avec une grande conjonction n’implique pas une nécessaire liaison entre eux, une autre configuration accompagnatrice pouvant en rendre compte. »
« Ce qui garantit une corrélation est le suivi d’une durée. Le lien est fondé par une continuité, assuré par le déroulement d’un cours de tendance, à la fois à l’intérieur du cycle, d’un aspect à l’autre de ses phases, et, extérieurement, d’une conjonction à une autre du cycle suivant ; dans l’enchaînement du tout et de la partie au long d’un fil continu où se tissent les métamorphoses de l’histoire. »
« L’unité cyclique implique que ce qui est conçu ou ce qui naît à la conjonction, trébuche dans un désordre de différenciation préalable au semi-carré, pour disparaître ou survivre. Prend pied ou prend corps au sextil, s’implantant dan ses premières réalisations. Connaît au carré une crise intérieure par différenciation de ses deux facteurs ; divergence créant un climat de rupture, de déviation, de transformation. Dépasse cette tension au trigone : phase associative ou coopérative, porteuse de succès, chargée de réalisations, temps d’essor. Croissance qui s’essouffle ou s’affronte à des problèmes mineurs au sesqui-carré. Point culminant du cycle basculant sur la décroissance, l’opposition est le temps fort d’un conflit majeur qui, interne, dissocie le courant, engagé sur un déclin, ou, externe, franchissant un Rubicon, permet un dépassement dans un affrontement. Sur la voie plus passive du retour, le sesqui-carré amène souvent une retombée négative de la phase précédente. Avec le trigone se retrouve un climat d’accord, de coopération, dans un champ d’épanouissement, à tendance néanmoins défensive, conservatrice. Au carré, l’entente conçue à l’aspect précédent est remise en question ; sinon, climat de tension, de rupture, de transformation. Au sextil, les dégâts sont réparés ; nouveau resserrement des forces. Le semi-carré installe souvent une crise latente qui traîne plus ou moins jusqu’à la conjonction qui a valeur de bilan : finale de l’aventure, relance à un niveau supérieur ou encore, déplacement du processus historique ».
« C’est la nature des deux astres composant le cycle qui détermine la substance de la manifestation cyclique »
Barbault prend l’exemple du cycle Saturne-Neptune;:
« . Le courant neptunien est en résonance avec un climat public, l’idéologie d’une population, la foi collective d’un peuple. Celui de Saturne place celui-ci sur le registre de la condition prolétaire. Si Jupiter incarne le capital, Saturne représente le travail, la vie laborieuse et âpre des miséreux. Le courant neptunien saturnisé tend donc à prendre un caractère « sauvage » en se durcissant, en libérant une puissance concentrée, radicale, systématique ou extrémiste. Il est donc naturel que la conjonction de ces deux planètes puisse escorter des poussées collectives révolutionnaires, finissant par s’assimiler en particulier aux manifestations d’une extrême-gauche ».
On fera les observations suivantes: d’une part, Barbault combine deux astres de même « nature », au sens astronomique du terme, à savoir deux planétes et de l’autre, il considére la conjonction comme le point de départ du cycle. Et enfin, Barbault rend compte de la problématique du cycles par le caractère des planétes concernées. Sur ces trois points, nous nous portons en faux.
Mais à partir des années soixante, Barbault avait adopté une autre approche qui correpond selon nous une autre approche laquelle ne relie plus du tout les planétes à telle ou telle région du monde ou à telle idéologie. LEs planétes ne sont même plus considérées qualtativement mais uniquement quantitativement..On y reviendra en conclusion du présent article.
Fabrice Pascaud nous en donne un exposé:
« Astro-Politique : 2016 par l’indice cyclique
23 janvier 2016 | Catégorie : ArticlesEn ce début d’année 2016, dire que l’équilibre mondial reste très fragile n’aurait rien d’une révélation. Inutile d’avoir recours à l’astrologie pour s’en rendre compte. Dire que l’économie risque de connaître une chute importante, alarmante avec toutes les conséquences que cela entraînera sur les marchés financiers entre autres semble, hélas, une évidence (!) d’autant plus que le chiffre de l’indice cyclique marque une baisse nette et sensible.
Tout d’abord qu’est-ce que l’indice cyclique ?
« Découvert par Henri Gouchon (1898 – 1978 )[1] et baptisé « Indice de concentration planétaire » puis repris et développé par André Barbault qui lui donna le nom d’« Indice cyclique », cette technique comme son nom l’indique repose sur le phénomène cyclique. Il rend compte d’une cotation exacte des dix grands cycles planétaires. On additionne chacun des écarts interplanétaires des cinq planètes lentes (Jupiter[2] – Saturne – Uranus – Neptune – Pluton) en tenant compte des seuils de la conjonction et l’opposition, autrement dit de la phase ascendante de 0° à 180° et descendante de 180° à 0°.
« La lecture est simple. Lorsque les cycles sont dans leur ensemble en phase de 0° à 180°, les astres s’éloignent de plus en plus les uns des autres, l’indice est donc croissant ce qui se traduit par une courbe ascendante. On pourrait évoquer une dynamique d’expansion. A contrario, lorsque les cycles décroissent dans leur grande majorité de 180° à 0°, les astres donc se rapprochent de plus en plus les uns des autres, l’indice est en baisse et se traduit par une courbe descendante. On pourrait évoquer une dynamique de récession. Ce qui revient à dire que lorsque l’on est dans une tendance à grandes oppositions planétaires, l’indice est à la hausse, et, inversement, il est à la baisse lors d’une forte concentration de conjonctions planétaires.
« Comment en comprendre la portée ? Lorsque les planètes se laissent de la distance entre elles, il y a valeur de respiration, d’espace vital, de souffle, les énergies circulent. Lorsqu’elles se concentrent, se rapprochent, il y a valeur d’étouffement, de resserrement, manque d’oxygène. Un peu comme dans les transports en commun aux grandes heures d’affluence, nous sommes comprimés, serrés les uns contre les autres, on respire mal, limités dans nos gestes, la perspective est bouchée, on attend que ça se dégage, que notre espace vital ne soit plus encombré afin de se sentir à son aise et mieux respirer. L’exemple est terre à terre mais il illustre bien le phénomène.
QUEL EST L’INDICE CYCLIQUE POUR 2016 ?
Au 1er janvier 2016, la position des cinq planètes lentes sur le zodiaque est la suivante :
Jupiter : 173° – Saturne : 251° – Uranus : 16° – Neptune : 337° – Pluton : 285°
Les écarts :
Jupiter – Saturne = 78°
Jupiter – Uranus = 157°
Jupiter – Neptune = 164°
Jupiter – Pluton = 112°
Saturne – Uranus = 125°
Saturne – Neptune = 86°
Saturne – Pluton = 34°
Uranus – Neptune = 39°
Uranus – Pluton = 91°
Neptune – Pluton = 52°
Ce qui donne un indice de 938° pour l’année 2016. Indice qui varie de quelques degrés dans le courant de l’année en fonction de la rétrogradation des planètes.
Étant donné l’accentuation de la concentration planétaire qui est en action, cet indice va baisser de plus en plus. Au 1er janvier 2020, il sera à 568° marquant de fait une importante concentration des cinq planètes lentes et en particulier l’amorce de la triple conjonction Jupiter Saturne Pluton. La chute constante de cet indice indique que nous sommes très loin de la sortie de la crise économique et qu’elle risque de s’accentuer fortement pour ne pas dire gravement.
À titre d’exemple pour la France
XXe siècle
- Entre 1914 et 1918. L’indice a oscillé de 1001° (au plus haut 1914) à 780° (au plus bas 1918) l’indice baissant jusqu’en 1919 à 768°.
- Entre 1939 et 1945, l’indice a oscillé entre 952° (au plus haut 1939) et 570° (au plus bas 1944).
- En 1982. L’indice marque : 344°. En juin : dévaluation du franc de 5,75 % puis premier plan de rigueur, prix et salaires bloqués jusqu’au 31 octobre. Fuite massive des capitaux hors du pays qui oblige le gouvernement à décréter une forte hausse des taux d’intérêt (jusqu’à 12 %), ce qui limite la reprise économique.
- En 1983. L’indice chute toujours : 309°. En mars, nouvelle dévaluation du franc de 2,5 %. Échec de la politique économique du gouvernement Mauroy. Période de Stagflation (simultanément croissance économique faible et forte inflation). Instauration d’un contrôle des changes pour limiter la fuite des capitaux (!)… Année de forte récession.
XXIe siècle
- Crise des subprimes. 2006 l’indice était à 970° – 2007 à 922° – 2008 à 858° – 2009 à 840° – 2008, année du krash, l’indice marquait 838°.
- Pour 2012. L’indice monte à peine : 928°. Zone euro en récession et économie mondiale au ralenti.
L’analyse de cet indice réclame beaucoup de prudence et il ne saurait suppléer l’étude minutieuse de chaque cycle planétaire et de ses liens analogiques à l’échelle mondiale. Mais il a cependant le grand mérite de donner le pouls de l’état monde. Celui-ci est d’autant plus sensible qu’actuellement l’ensemble des cycles planétaires présente de fortes dissonances, les cinq lentes, hormis le cycle Jupiter Pluton (mais ô combien ambigu !), sont en dissonance. Nous sommes donc dans une conjugaison prospective qui converge vers un même résultat : une oppression, le pouls s’accélère sensiblement, s’emballe comme sous l’emprise d’une panique généralisée. »
Nos observations:
Les données fournies dans le texte ci dessus montrent que la « descente » de la courbe est bien plus forte pour les années 80 que pour les deux guerres mondiales: il descend jusqu’à 768° pendant et au lendemain de la « Grande Guerre » puis il redescendra à 570° en 1944. Pour les années 80, on arriva à des minima bien plus marqués encore: 344 et même 309 pour 82 et 83. Et Pascaud de conclure: . »Pour le XXe siècle, l’indice a oscillé dans des écarts extrêmes de 1080° à 309° » . Ce que ne dit pas Pascaud, c’est que la plongée de l’indice cyclique dans les années 80- plus forte que dans le cas des conflits majeurs du XXe siècle, a accouché d’une « souris ». On est très en deça de ce qui était craint/attendu.
D’ailleurs, à partir de 1990, il apparait qu’André Barbault en revient au modéle du « cycle planétaire », en raison du « succés » de sa prévision pour 1989 – concernant la Russie- faite au début des années Cinquante. Cela correspond aussi à un désenchantement par rapport à l’indice cyclique qui n’a pas donné les effets prévus.
Début 1995, nous avons publié « L’Astrologie selon Saturne », une brochure parue aux Ed. de la Grande Conjonction (cf dépot légal BNF) qui esquisse une autre approche de l’Astrologie Mondiale avec l’adoption d’un monoplanétarisme. Autrement dit, nous reprenions l’idée de l’indice cyclique si ce n’est qu’au lieu de combiner cinq planétes (dont trois transsaturneinnes), nous nous limitions à une seule, à savoir Saturne. Par la suite, au début du XXIe siècle, nous introduisimes le référentiels des 4 étoiles fixes royales (Aldébaran, Régulus, Antarés, Fomalhaut) au lieu de celui des axes équinoxiaux et solsticiaux permettant une division en 4 du cycle. En effet, nous pensions que la conjonction d’une planéte avec une étoile constituait un phénoméne plus « réel » que son passage sur le point vernal, lequel n’offre aucun caractère de visibilité à moins justement de l’associer, comme ce fut le cas dans l’Antiquité, à telle ou telle étoile fixe..
Nos travaux s’affineront par la suite et déboucheront sur l’idée que la conjonction n’est pas le point de départ du cycle mais un temps de culmination, pas un temps équinoxial mas un temps solsticial, analogiquement. Il suffit de réfléchir un instant: ce qui se rapproche est au départ séparé comme dans un couple. L’Union est un moment particulier et paradoxal face à la réalité qui est bien plus complexe. On pense à la Tour de Babel qui est un projet et surement pas un point de départ.
Ensuite, ce qui ne s’inscrit pas dans l’orbe, plus ou moins large, de la conjonction, ne reléve plus, selon nous, de l’astrologie. Autrement diit, le temps conjonctionnel est celui propre à l’Astrologie. A partir du moment où la conjonction se défait, se dissout, l’on bascule dans la sociologie et il est donc vain de parler d’aspects successifs si ce n’est à l’instar d’une horloge, d’un compte à rebours. L’ordre astrologique est en quelque sorte « contre-nature » en ce qu’il rapproche ce qui ne devrait pas se rapprocher, ce qui est l’enjeu de toute affirmation unitaire au niveau spatio-temporel, et correspond à une forme de téléscopage. Cela a donné ainsi 2001 avec les Twin Towers à New York ou le Bataclan à Paris, fin 2015., dans les deux cas avec une conjonction Saurne-étoile fixe royale, dans un cas Aldébaran et dans l’autre, juste en face, Antarés.
En bref, la seule échéance proprement astrologique serait la conjonction, tous les 7 ans de Saturne avec l’une des 4 étoiles sus nommées. C’est à ce moment là que l’astrologie telle que nous la concevons doit pouvoir se faire entendre car il s’y passe des choses « imprévisibles » sans le recours à notre astrologie, alpha oméga. Entendons par là que les autres formes d’astrologie sont désormais obsolétes et ont fait long feu, que cela plaise ou non.
En 201
En 2015 -2017, Saturne est en phase conjonctionnelle et cela rend compte d’un certain nombre de décloisonnements et de rapprochements improbables du moins pour celui qui ne dispose pas de l’outil approprié..
JHB
11. 11 16
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jeudi 10 novembre 2016
mercredi 9 novembre 2016
jacques Halbronn De l'intérêt des récurrences pour la recherche astrologique (1995-2016)
De l’intérêt des récurrences pour la recherche astrologique (1995-2016)
par Jacques Halbronn
Quand on veut valider un certain modéle astrologique – quel qu’il soit car l’important c’est bien, au final, qu’il y en ait au moins un de validé même si ce n’est pas celui auquel on s’est longtemps attelé- rien ne vaut la démarche comparative. Mais pour comparer, il faut décanter, faire abstraction de certaines données, du moins jusqu’à un certain point de vraisemblance.Si les astrologues se donnaient les moyens de comparer, de rapprocher, ils auraient pu relier l’échéance américaine de novembre 2016 à une série d »‘événements survenus en France en 1995 et 2002, sans parler de l’élection d’Obama en novembre 2008. Mais comme ils se perdent dans les détails et dans la diversité des thèmes, ils coupent la branche sur laquelle ils sont perchés et se tirent une balle dans le pied.
Le modéle dont nous nous servons s’appelle « alpha-oméga », il est d’une simplicité occamienne, c’est à dire fort économique de ses moyens, à savoir que tous les 7-8 ans, les mêmes causes produisent les mêmes effets. En l’occurence, on s’intéressera à une série de 4 conjonctions (ce qui correspond pour nous au stade alpha) de Saturne enjtre 1995 et 2016, soit sur 20 ans, ce qui concerne les 4 étoiles fixes royales : Fomalhaut Aldébaran, Régulus, Antarés. (respetctivement quand Saturne se situe début poissons, début gémeaux, début lion et début Sagittaire)
La régle du jeu est la suivante: en phase alpha, le haut et le bas se rencontrent et ce qui les séparait s’estompe, pour le meilleur comme pour le pire.
Comment ne pas voir ainsi ce qui rapproche avril 2002 et novembre 2016? Dans un cas Jean-Marie Le Pen, dans l’autre Donald Trump. On est loin des thèses d’Yves Lenoble qui soutient que certaines configurations astrales concernent spécialement la France et plus encore la Ve République.Certes, on peut appliquer un modéle à un pays donné, mais sans aucun caractère d’exclusivité et selon nous chaque cycle constitue un modéle et que l’on ne nous fasse pas le coup de qualifier de modéle unique des dizaines de configurations différentes associant des astres différents! Et encore moins de statistiques!
Le rapprochement Le Pen -Trump est assez flagrant, tant quant à leurs personnalités respectives qu’en ce qui concerne le « scandale » provoqué par leur réussite. Certes Le Pen ne fut pas élu en 2002 président de la République mais il figura au second tour aux dépens du premier ministre sortant, Lionel Jospin. Saturne en avril 2002 10° Gémeaux, sur Aldébaran et Saturne en novembre 2016 à 14° Sagittaire, soit sur un même diamétre.
En 2008, Obama fut élu président avec Saturne à 18° Vierge, après avoir transité sur Régulus. Rappelons qu’une campagne ne se limite pas au jour de l’élection, à commencer par les primaires. Certes, Obama et Trump n’ont pas grand chose en commun si ce n’est que l’électgon d’un président afro-américain (même métis) fut un coup de tonnerre. probablement encore plus stupéfiant que celle de Donald Trump, qui se voulait étranger à l’establishment politique par le style comme par l’expérience.
Quid de 1995 et de 2016 en France? En décembre 1995, Saturne est à 18° Poissons, ayant passé depuis peu sur Fomalhaut. En 2016, on l’a vu Saturne est dans l’orbe d’Antarés. Dans un cas, « Annoncé le 15 novembre 1995, le « plan Juppé » sur les retraites et la Sécurité sociale propose de généraliser aux fonctionnaires et aux entreprises publiques (RATP, SNCF et EDF) les mesures imposées aux salariés du secteur privé par la réforme Balladur des retraites de 1993. En raison des grèves de 1995 en France, qui durent trois semaines dans les transports, le gouvernement cède, mais il réussit toutefois à instaurer des mesures visant à réduire le déficit de la Sécurité sociale. les retraites et la Sécurité Sociale » et en 2016 Myrian El Khomri visait par la Loi Travail à assouplir » de nombreuses règles du Code du travail en privilégiant le recours à la négociation collective, notamment en matière de temps de travail. Mais cette réforme du travail prévoit également des dispositions concernant le licenciement économique, les heures supplémentaires ou les visites médicales au travail. »
Dans ces deux cas de 1995 et 2016, la classe politique entend intervenir sur la vie de la société civile et cela correspond également à une forme d’intrusion non plus du bas vers le haut mais du haut vers le bas, ce qui correspond aux deux cas de figure liés à la conjonctiion de Saturne avec l’une des 4 étoiles fixes royales. (cf notre brochure L’astrologie selon Saturne. Ed La Grande Conjonction 1994-1995, rédigé avant l’adoption des étoiles fixes mais en rapport avec les conjonctions Saturne-Fomalhaut en poissons, ce qui nous avait permis de pointer à l’avance l’année 1995 comme devant être marquée par des mouvements sociaux))
Qui contestera que notre méthodologie vaut mieux que les pratiques actuellement en vigueur et qui font que l’astrologue doit se contenter d’expliquer les événements après coup avec un arsenal obsoléte et dérisoire? Il est clair que la conjonction que nous avons isolée au sein de tout le fatras des praticiens, est marquée par le décloisonnement des clivages socio-politiques.
JHB
10. 11. 16
par Jacques Halbronn
Quand on veut valider un certain modéle astrologique – quel qu’il soit car l’important c’est bien, au final, qu’il y en ait au moins un de validé même si ce n’est pas celui auquel on s’est longtemps attelé- rien ne vaut la démarche comparative. Mais pour comparer, il faut décanter, faire abstraction de certaines données, du moins jusqu’à un certain point de vraisemblance.Si les astrologues se donnaient les moyens de comparer, de rapprocher, ils auraient pu relier l’échéance américaine de novembre 2016 à une série d »‘événements survenus en France en 1995 et 2002, sans parler de l’élection d’Obama en novembre 2008. Mais comme ils se perdent dans les détails et dans la diversité des thèmes, ils coupent la branche sur laquelle ils sont perchés et se tirent une balle dans le pied.
Le modéle dont nous nous servons s’appelle « alpha-oméga », il est d’une simplicité occamienne, c’est à dire fort économique de ses moyens, à savoir que tous les 7-8 ans, les mêmes causes produisent les mêmes effets. En l’occurence, on s’intéressera à une série de 4 conjonctions (ce qui correspond pour nous au stade alpha) de Saturne enjtre 1995 et 2016, soit sur 20 ans, ce qui concerne les 4 étoiles fixes royales : Fomalhaut Aldébaran, Régulus, Antarés. (respetctivement quand Saturne se situe début poissons, début gémeaux, début lion et début Sagittaire)
La régle du jeu est la suivante: en phase alpha, le haut et le bas se rencontrent et ce qui les séparait s’estompe, pour le meilleur comme pour le pire.
Comment ne pas voir ainsi ce qui rapproche avril 2002 et novembre 2016? Dans un cas Jean-Marie Le Pen, dans l’autre Donald Trump. On est loin des thèses d’Yves Lenoble qui soutient que certaines configurations astrales concernent spécialement la France et plus encore la Ve République.Certes, on peut appliquer un modéle à un pays donné, mais sans aucun caractère d’exclusivité et selon nous chaque cycle constitue un modéle et que l’on ne nous fasse pas le coup de qualifier de modéle unique des dizaines de configurations différentes associant des astres différents! Et encore moins de statistiques!
Le rapprochement Le Pen -Trump est assez flagrant, tant quant à leurs personnalités respectives qu’en ce qui concerne le « scandale » provoqué par leur réussite. Certes Le Pen ne fut pas élu en 2002 président de la République mais il figura au second tour aux dépens du premier ministre sortant, Lionel Jospin. Saturne en avril 2002 10° Gémeaux, sur Aldébaran et Saturne en novembre 2016 à 14° Sagittaire, soit sur un même diamétre.
En 2008, Obama fut élu président avec Saturne à 18° Vierge, après avoir transité sur Régulus. Rappelons qu’une campagne ne se limite pas au jour de l’élection, à commencer par les primaires. Certes, Obama et Trump n’ont pas grand chose en commun si ce n’est que l’électgon d’un président afro-américain (même métis) fut un coup de tonnerre. probablement encore plus stupéfiant que celle de Donald Trump, qui se voulait étranger à l’establishment politique par le style comme par l’expérience.
Quid de 1995 et de 2016 en France? En décembre 1995, Saturne est à 18° Poissons, ayant passé depuis peu sur Fomalhaut. En 2016, on l’a vu Saturne est dans l’orbe d’Antarés. Dans un cas, « Annoncé le 15 novembre 1995, le « plan Juppé » sur les retraites et la Sécurité sociale propose de généraliser aux fonctionnaires et aux entreprises publiques (RATP, SNCF et EDF) les mesures imposées aux salariés du secteur privé par la réforme Balladur des retraites de 1993. En raison des grèves de 1995 en France, qui durent trois semaines dans les transports, le gouvernement cède, mais il réussit toutefois à instaurer des mesures visant à réduire le déficit de la Sécurité sociale. les retraites et la Sécurité Sociale » et en 2016 Myrian El Khomri visait par la Loi Travail à assouplir » de nombreuses règles du Code du travail en privilégiant le recours à la négociation collective, notamment en matière de temps de travail. Mais cette réforme du travail prévoit également des dispositions concernant le licenciement économique, les heures supplémentaires ou les visites médicales au travail. »
Dans ces deux cas de 1995 et 2016, la classe politique entend intervenir sur la vie de la société civile et cela correspond également à une forme d’intrusion non plus du bas vers le haut mais du haut vers le bas, ce qui correspond aux deux cas de figure liés à la conjonctiion de Saturne avec l’une des 4 étoiles fixes royales. (cf notre brochure L’astrologie selon Saturne. Ed La Grande Conjonction 1994-1995, rédigé avant l’adoption des étoiles fixes mais en rapport avec les conjonctions Saturne-Fomalhaut en poissons, ce qui nous avait permis de pointer à l’avance l’année 1995 comme devant être marquée par des mouvements sociaux))
Qui contestera que notre méthodologie vaut mieux que les pratiques actuellement en vigueur et qui font que l’astrologue doit se contenter d’expliquer les événements après coup avec un arsenal obsoléte et dérisoire? Il est clair que la conjonction que nous avons isolée au sein de tout le fatras des praticiens, est marquée par le décloisonnement des clivages socio-politiques.
JHB
10. 11. 16
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