Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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vendredi 18 février 2022

Jacques Halbronn Enquéte sur la revue astrologique Astralis après 1986

Jacques Halbronn Enquéte sur la revue astrologique Astralis après 1986. Nous avons voulu connaitre ce qu’a été le sort de la revue Astralis après 1986, date à laquelle, elle sera reprise au sein d’une nouvelle Association, appelée CEDRA, fondée par Maurice Charvet quelques jours avant d’être dévolue du GERASH vers le CEDRA, dans des conditions que nous avons déjà décrites. En fait, l’on remontera jusqu’en 1983 de façon à étudier si la revue avait changé de style après 1986. On observe qu’avant 1986, Maurice Charvet est présenté comme Président du GERASH avec Véronique Guillet comme Vice -Présidente. (cf n°11 avril mai juin 1985) et l’on ne comprend pas comment le même Charvet peut avoir crée le CEDRA et obtenu dévolution de ses biens, à commencer par la revue Astralis alors qu’une telle voie était expréssément exclue par les statuts du GERASH à savoir que les responsables du GERASH ne pouvaient faire partie de l’association bénéficiaire/Qui plus est le CEDRA ne sera signalé au Journal Officiel qu’un certain temps après la dite « transmission »! Tout cela fait désordre d’autant qu’en 1989; une décision de justice (suite d’ailleurs à une intervention malvenue du dit Charvet) plaçait les dis biens, en attendant, sous le séquestre de Jacques Halbronn, ce qui ne sera levé qu’en 1992. Donc pendant 3 ans, Charvet continue à publier Astralis, dans le non respect de la justice. Abordons à présent le contenu de la revue jusqu’en 2003, à partir du dépot légal de la BNF. On notera qu’elle ne se fait pas l’écho des Congrès organisés par le MAU de Halbronn en 1991 (Montluçon), 1992 (Angouléme); 1993 (Dijon), alors qu’une revue astrologique est censé s’en occuper peu ou prou. Nous verrons ce qu’il en est du suivi des congrès animés par Yves Lenoble à partir de 1990. On s’arrêtera sur un hommage rendu à Alexandre Volguine et à ses Cahiers Astrologiques lesquels assuraient un certain suivi de la vie astrologique. En 1991(n°36) lors de la Présentation de l’astrologie conditionaliste par Jean-Pierre Nicola, il est déclaré (p. 32); »Il était en effet dommage de ne pas trouver dans les pages d’une revue comme Astralis qui se veut ouverte à tous les aspects de la pensée astrologique des textes se référant à l’astrologie condtionaliste ou s’en inspirant » Nous examinerons la rubrique « Lectures » de la dite revue pour voir si certaines publications importantes parues chez Trédaniel et ailleurs entre 1992 et 1997 trouvèrent un écho dans Astralis ou si une censure fut à l’oeuvre; Prenons la série d’ouvrages que nous avons publiés alors: 1992 La vie astrologique, il y a cent ans, 1993 L’astrologie du Livre de Toth, Trédaniel et Le Centiloge de Nicolas Bourdin, Ibidem 1995 La vie astrologique, années trente-cinquante, 1997 LE guide Astrologique, Ed Olivier Laurens entre autres, ne sont pas portés à la connaissance de la dite revue/ Sans oublier l’article Astrologie dans l’Encyclopaedia Universalis et l’exposition Astrologie et prophétie à la BNF. On aura compris que le lecteur d’Astralis ne sera averti d’aucune de nos entreprises, d’aucune de nos pubications, notamment pendant la décennie très féconde de 1990. On ne saurait donc s’y fier pour se faire une idée sérieuse de la vie astrologique durant la dite décennie. Ce qui est une forme de désinformation. Par ailleurs, les numéros d’Astralis pour 1986 ne signalent nulle part quel a été le cours des choses qui aura fait que cette revue paraisse dans le cadre d’une nouvelle association.(cf n°s 13 à 17) On apprend au n° 15 qu’Astralis est liée à une nouvelle association, le CEDRA/ avec une nouvelle adresse, Place des Terreaux (bureaux de Charv)et non plus la rue du Major Martin, toujours à Lyon Par ailleurs, le CEDRA assura une activité d’éditeur et de diffuseur (c n°38, 1991, p. 45) et publia José Luis S. M de Pablos, Horicks et Michaux, Robert Gouiran, Eric Weil, Yves Christiaen, Denis Labouré ou diffusa Yves Haumont; Robert et Francinse Gouiran., Revenons sur l’hommage rendu à Volguine en 2003 ‘(Astralus n°49) rendu par Maurice Charvet (pp/ 29 et seq) pour le centième anniversaire de celui-ci (décés en juin 76) On y célébre la diversité (p. 32) des sujets abordés dans les CA.Nous avions rencontré Volguine, à sa demande, en décembre 75. Le moins que l’on puisse dire est que Charvet n’aura pas pris modéle sur Volguine en matière de déontologie éditoriale/ Une chose est de ne pas publier un article, une autre de ne pas signaler une publication. On retiendra pour la décennie en question une sorte de manifeste de l’édition astrologique: « Petite joyau pour bibliothèque de grands »(p.46):’ »où il est déclaré qu’Astralis a vocation à faire connaitre des travaux qui n’intéresseront pas forcément les éditeurs ayant pignon sur rue/ Coincidence, le dernier numéro déposé d’Astralis, déposé à la BNF (mars 2003) précédait d’assez peu le grand congrès National « L’astrologie et le monde » -(novembre 2004) mais il est peu probable qu’Astralis l’eût annoncé en dépit de la participation d’un très grand nombre de chercheurs en astrologie. JHB 18 02 22

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