Jacques Halbronn Les leaders à l'écoute du peuple au prisme de l'astrologie

jacques halbronn Les leaders à l'écoute du peuple au prisme de l'astrologie Jean Louis Fournel:"Pour connaitre bien la nature des peuples, il faut être prince, et pour connaitre bien celle des princes, il convient d’être du peuple." Machiavel (au chapitre XV), recommandait en 1513 de son livre le plus connu, au prince d'être à l'écoute du peuple,ce qui suppose que le peuple puisse changer sinon cela ne vaudrait pas la peine de le suivre. Astrologiquement, cela confère au Prince au rôle majeur puisqu'il 'sent" ce que le peuple a envie d'entendre et nous avons récemment insisté sur le rôle essentiellement déclaratif du Chef puisque la déclaration exerce un fort impact sur le "moral" des peuples. Mais comment savoir qui mérite le titre de Prince? Justement, cela tient à cette aptitude laquelle reléve de la Subconscience. Tous ceux qui parlent au nom du peuple ne sont pas des Princes car ils n'écoutent pas le peuple mais projettent sur lui une certaine idéologie égalitaire. C'est ce qui distingue un Jean Luc Mélenchon d'un Eric Zemmour ou d'un Emmanuel Macron. Le premier n'est pas vraiment en phase avec ce que le peuple ressent ici et maintenant, il ne capte pas les variations, les tournants et tient indéfiniment le même discours alors que les deux autres captent la "respiration" (en deux temps) du peuple lequel ne souhaite pas qu'on lui ressort toujours les mêmes propos. Zemmour a senti qu'il fallait dire au peuple en ce moment qu'il convenait de se méfier des approches globales et donc il va dissocier entre les uns et les autres. De même Macron, affirme une certaine exception francaise face au nuclaire et n'hésite pas à etre clivant parce qu'il sent que c'est ce qu'il faut être en ce moment, ce qui est confirmé par la phase solsticiale que nous traversons actuellement alors qu'il a été élu en fin de phase équinoxiale, en 2017. On pense à son traitement de la pandémie et sa façon de s'adresser aux récalcitrants au vaccin. On a encore assisté aujourd'hui à une manifestation à Paris dans ce sens. Au fond, Macron a l'intuition que le peuple, en la phase actuelle en tout cas, ne déteste pas le conflit et la différence alors qu'en 2017, il annonçait la fin des clivages politiques traditionnels. C'est un mauvais procés que de reprocher aux leaders de ne pas s'en tenir indéfiniment aux mêmes déclarations. C'est là la marque d'une culture populaire, d'une conscience politique médiocre. JHB 12 02 22