Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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jeudi 2 mars 2023

Jacques Halbronn Les Juifs comme marqueurs astrologiques tant positifs que négatifs. Manifeste du MIPEPJ.

jacques halbronn Les Juifs comme marqueurs astrologiques tant positifs que négatfs Manifeste du MIPEPJ C’est un domaine de recherche qui nous aura occupé dans les années soixante que celui des rapports entre génie et judéité. Nous avions lancé alors un « Mouvement International pour l’Epanouissement du peuple juif » (MIPEPJ) dont nous reproduirons en annexe les thèses par la suite. C’est d’ailleurs, selon nous, le déni de la génialité juive qui constitue une des marques de l’antisémitisme stigmatisannt une forme de « suprématisme ». Or, dans le cadre de nos travaux en Astrologie, il nous est apparu que certaines phases déterminent des variations dans le rapport au monde juif, ce qui laisserait entendre que les Juifs seraient liés à une certaine forme de cyclicité faisant partie de l’organisation des sociétés humaines (selon un certain Intelligent Design).. Dans notre systéme, il y a deux phases, l’équinoxiale qui serait marquée par la verticalité et qui serait favorable aux Juifs comme dotés d’un rôle spécifique à jouer et la solsticiale qui entendrait mettre fin à une telle « domination », selon un processus de déni pouvant aller jusqu’à leur élimination. C’est ainsi que la Solution Finale conduisant à la Shoah se sera déroulée en phase solsticiale quand Saturne passa sur l’axe Gémeaux Sagittaire en 1942. Or, cette date correspond par ailleurs à l’arrêt de la progression allemande, avec la défaite de Stalingrad. En 1905, le génie d’un Albert Einstein éclatait avec la parution de plusieurs articles retentissants, au moment du passage de Saturne sur l’axe Vierge- Poissons au carré de l’axe Gémeaux-Sagittaire. En 1907, alors que Saturne transite encore sur le même axe, le juif Henri Bergson publie son ouvrage majeur. Wikipedia « L’Évolution créatrice, parue en 1907, est son livre le plus connu et le plus étudié. Cet ouvrage constitue l’une des contributions les plus profondes et les plus originales à l’étude philosophique de la théorie de l’évolution. Pierre Imbart de La Tour affirme qu’un « livre comme L’Évolution créatrice n’est pas seulement une œuvre, mais une date, celle d’une direction nouvelle imprimée à la pensée ».(..)Après la parution de ce livre, la popularité de Bergson augmentera considérablement, non seulement dans les cercles académiques, mais aussi dans le grand public. » En 1967, la Guerre des Six Jours marque une victoire israelienne remarquable en pleine période équinoxiale. Prenons le cas du Juif Leon Trotsky/ Wikipedia « Après la mort de Lénine en janvier 1924, il s’oppose rapidement à Staline et à ce qu’il désigne comme la bureaucratisation du parti et du régime et en prenant la tête de l’Opposition de gauche ; Staline le fait finalement chasser du gouvernement dans le cours de 1924 puis en 1927 du Parti communiste, avant de l’exiler en Asie centrale en 1928 puis de le bannir d’URSS en 1929. Trotski entreprend a Lanlors d’organiser ses partisans, qui se réunissent finalement en 1938 au sein de la Quatrième Internationale Or, en 1927, Saturne passe en phase solsticiale; Trotski est exclus du PC URSS puis exilé en 1928 en Asie Centrale et enfin banni d’URSS en 1929. Mais en 1938, en phase équinoxiale débutant en 1037, Trotsky retrouve de l’influence. En ce qui conecerne Hitler, nous avons noté plus haut que la phase solsticiale qui débute en 1942 ne lui aura guère été favorable. Ce qui nous conduit à penser qu’il aurait eu une certaine hérédité juive Ce point reste en débat. (« Adolf Hitler aurait eu du « sang juif » : d’où vient cette rumeur ? par Charlotte Yankovitch) mais nous pensons que l’argument astrologique n’est nullement à négliger.. En 1956, en début de phase solsticiale, l’expédition franco-anglo-israelienne de Suez est un fiasco géopolitique et quant au Juif Pierre Mendés France, le président de la République, René Coty, n’en veut pas pour Président du Conseil, à l’opposé de ce qui s’était passé pour le juif Léon Blum en 1936, avec le Front Populaire, en phase équinoxiale, Saturne venant de passer sur l’axe poissons- vierge. Or, l’on notera que Léon Blum sera marqué par le même calendrier qu’Hitler : Sur Internet « Le 19 février 1942 s’ouvre le procès de Riom. Voulu par le Maréchal Pétain, ce procès politique doit juger les responsables de la défaite de 1940. Parmi les accusés, Léon Blum, qui par ses convictions et son talent d’orateur en a fait une tribune pour mettre en accusation le régime de Vichy et a redonné de l’espoir aux défenseurs de la République. Milo Lévy-Bruhl, auteur d’une préface à la dernière réédition de À l’Échelle humaine de Léon Blum (Le Bord de l’eau, 2021), nous rappelle l’importance de ce procès dans le cours de notre histoire contemporaine’. Ainsi, le traitement des Juifs serait lié au passage de Saturne alternativement sur les axes équinoxiaux et solsticiaux. Nous avons adopté l’idée selon laquelle l’astrologie déterminerait des périodes favorables ou néfastes pour les diverses catégories d’humanités. C’est une idée ancienne que celle de la détermination du « faste » et du ‘néfaste » et selon nous il pourrait s’agir là d’un marqueur essentiel pour valider un certain impact de l’astrologie. Enfin, à propos de la crise ukrainienne, on ne saurait ignorer la judéite de Zelensky, en cette phase équinoxiale dans laquelle nous sommes en train d'enter. Sur Internet; Le président ukrainien, un symbole face à l'histoirehttps://www.radiofrance.fr › franceculture › podcasts 21 mars 2022 — Première chose, Volodymyr Zelensky est juif, c'est peut être un détail pour vous, mais pour l'Ukraine cela veut dire beaucoup. Sur Internet L’astrologie au service du développement personnel Jours fastes et néfastes ? zodiaque2.jpg « En astrologie indienne et chinoise, on va voir les astrologues pour qu’ils aident à définir des jours fastes pour les grands évènements de la vie : fondation d’un commerce, début d’une entreprise, ou date d’un mariage. Ce sont des habitudes inscrites dans la vie courante contre lesquelles personne n’aurait véritablement l’idée d’aller. Bien sûr, on peut voir des dérives (comme cela a pu se manifester en Thaïlande avec le régime) mais en tant qu’astrologue, je certifie que la date à laquelle on commence quelque chose d’important est fondamentale. Les grands évènements, comme les naissances, manifestent un début, une sorte de commencement absolu qui aura ses particularités et son « chemin de vie » en propre. Par exemple, dans le cas d’un mariage, en faisant le thème du jour et de l’heure du mariage, on connaîtra les grands tournants d’un couple, les naissances d’enfants, les déménagements qui scanderont les étapes de cette vie commune. Bien évidemment, ça n’annule pas le thème des époux, mais ça vient se greffer sur eux et confirmer des aspects que de prime abord, on aurait pu ne pas remarquer. Comme pour tous les évènements, on se trouve alors en possession d’une nouvelle entité qui raconte l’histoire d’un autre point de vue, presque autonome par rapport à la vie des gens qui pourtant, animent et incarnent cet événement. « Archives 1967 Manifeste du Mouvement International pour l’épanouissement du peuple juif (MIPEPJ) Extraits du Manifeste (au lendemain de la Guerre des Six Jours) (..) Au lendemain d’une grande victoire, l’erreur des Juifs serait de penser que seule la dispersion était anormale et que la réunion est l’état naturel ‘ (.) (..) Il n’y a pas de rupture au cours de l’Histoire juive entre avant et après l’acquisition de sa religion, il n’y a pas eu adoption. Le Juif conscient d’aujourd’hui n’accepte pas sa religion, sa Loi sous l’influence d’un prophète qui lui parla voilà trois ou quatre mille ans, pas plus que ne le fit le juif contemporain ou d’Abraham. Sa religion est partie (intégrante) de lui-même; peu importe même qu’il admette cette religion (..) elle siège au cœur de l’être (.) Mais l’étude de la religion juive débouche sur d’autres horizons encore. Il reste en effet à tirer des conséquences du contenu de cette religion*. Non seulement, les Juifs ont pensé de même façon et avec la même constance la nature de ce contenu? Ils ont défendu une conviction millénaire : les Juifs sont le peuple élu (…) sans en prendre directement conscience, ce qui renforce la prédominance du naturel sue la volonté. (…) La nature du juif est plus profonde, plus naturelle, elle existe avant son Histoire et ne fait que se teinter légèrement des influences diverses et successives qu’elle traverse et dont elle est souvent la cause. Il n’existe pas de transmission des caractères acquis au niveau d’un peuple vrai; le Juif transmet à son fils ce qu’il a reçu de ses ancêtres : son sang fécondateur, non ses habitudes. (…) Le peuple juif est différent et supérieur aux autres peuples. Le terme Peuple en ce qui le concerne revêt un sens exclusif. Le Juif ne se sait pas Juif parce qu’il n’ait au sein d’un cadre qui lui impose de l’extérieur sa nature, le Juif se choisit Juif parce qu’il est intérieurement Juif. Quant aux conversions, elles n’ont point de signification par elles-mêmes : un non Juif se convertissant au judaïsme ne sera juif que si toutes les générations qui le suivent son juives, Dans ce cas, cela indiquerait que lui-même descend de Juifs ; un Juif se convertissant à une autre religion ne perd pas sa nature de Juif car celle-ci réapparaît irréductiblement dans les générations suivantes, sinon il n’était pas Juif originellement. (..) Il apparaît que le peuple Juif doit être considéré comme un peuple de génies, comme le vrai peuple ; celui dont chaque membre arrive à la conscience nationale par’ son propre chemin (.) Le non Juif n’existe pas en lui-même mais s’intègre à une enveloppe appelée faussement peuple qui le colore illusoirement d’une nature superficielle et interchangeable qui, elle, justifie l’internationalisme. L’illusion tient à ce que le non -Juif possède l’avantage de la stabilité en temps de paix et qu’en temps de guerre, sa trace se perde immédiatement (quelques générations s’il doit quitter son enveloppe. Le Juif est cosmopolite parce qu’on a la possibilité de constater qu’il l’est. Seul le Juif n’est pas apte à l’internationalisme. (… ) Quant au peuple juif, sa source semble, (…) limitée au texte de l’Ancien Testament: mais les premières pages du livre ont une signification ésotérique et non historique : l’origine du peuple juif reste obscure. Dire qu’il s’agit d’une quelconque tribu sémitique est ne pas voir l’essence des faits : ce qui est différent a été différent : l’hypothèse la plus satisfaisante est que le peuple juif est un rameau indépendant de l’espèce humaine, que son origine ne doit donc point être greffée sur le tronc commun ou -si elle doit l’être- à une date extraordinairement antérieure à toute l’histoire connue de l’Humanité (…) Le Juif ne doit ni chercher à s’assimiler individuellement ou collectivement, ni être livré uniquement à lui-même. Or paradoxalement, la tendance actuelle de l’État d’Israël va dans ces deux directions à la fois. Sous l’influence des antisémites, l’État d’Israël veut montrer qu’il peut cultiver la terre, remplir toutes les fonctions de la société, (au risque) de créer un prolétariat juif gaspillant le potentiel créateur de chaque Juif ; par ailleurs, (on) veut que cet État soit composé en majorité de Juifs, ce qui le condamne n’avoir qu’une envergure politique limitée par le nombre et par le territoire (…) Ainsi l’état présent d’Israël se comporte de manière incohérente au regard de son formidable patrimoine humain et ne veut voir que ce qu’il a sous les yeux et non ce qu’il pourrait construire, il tombe dans le mirage des « faits ». Deux phénomènes l’obsèdent : son territoire ‘historique », sa « religion ». Car il craint, en ne s’agrippant pas à ces deux idées de ne plus être un État légitime. Comme si l’essence du peuple juif tenait uniquement à l’un ou à l’autre. (…) Le passé du peuple juif ne s’arrête pas à la Palestine, ni à la religion mosaïque. Il faut remonter beaucoup plus dans l’histoire. Aussi Israël n’a aucune raisons de se limiter à la Palestine ni même de se concentrer autour d’elle. Ainsi l’observateur sérieux qui revient d’un voyage en Israël revient avec une série d’énigmes, de phénomènes, de questions – fécond ou non- à investiguer ? Mais il en devrait être de même pour n’importe quel voyage ; il n’y a pas davantage de mystère juif que de mystère non juif car qui ignore l’un ignore l’autre. Ces interrogations qui sont loin de concerner uniquement la situation présente en Israël puisque ce serait se condamner à ne rien pouvoir reconsidérer sont : pourquoi les Juifs ont-ils été dispersés, pourquoi sont-ils restés dispersés ; pourquoi les Juifs ont-ils été persécutés, comment ont-ils été persécutés, pourquoi les Juifs possèdent-ils une religion originale, pourquoi l’ont-ils conservée- pourquoi existe-t-il un tel contraste entre la grandeur atteinte par certains Juifs et le sort collectif Juif : est-ce que le sionisme est capable d’apporter une solution à la situation toujours provisoire du Juif, l’installation en Israël doit-elle faire des Juifs des individus ordinaires ou du moins différents des Juifs de la Diaspora ou bien transcender les valeurs juives, comment ? Que penser des prédictions bibliques quant à l’avenir des Juifs : peut-on employer le terme peuple dans le même sens pour les Juifs et les non –Juifs ; en fin de compte, le Juif se distingue-t-il du non Juif ? S’agit-il d’une « race » ou simplement d’une « religion » ou encore d’un « état social artificiel et provisoire » ? Qu’est-ce que l’être non juif ? Pourquoi et comment a-t-on cinq millions de Juifs au moins à l’époque du Troisième Reich ? Pourquoi aurait-on massacré l’ensemble de la population juive du globe si les événements purement guerriers ne l’avaient empêché ? Quelle différence marquée par son histoire sépare le Juif de tous les êtres –hommes ou non –de cette planète ? Est-ce que le problème juif est un problème important ? On a répondu maintes fois à chacune de ces questions : on a méconnu l’être juif d’une part, on a mal répondu à chacune de ces questions d’autre part. Le grand tort des dirigeants juifs-cela englobe l’ensemble de la population israélienne au moins, comme on l’a montré- n’est pas d’avoir échoué dans leur politique mais bien plutôt d’avoir trop bien réussi dans leurs objectifs, ceux d’une politique erronée : leur grand tort est d’essayer de faire progresser les Juifs : des êtres qu’ils ne connaissent pas, Il y a constamment deux manières d’étudier les existants Juifs et les autres : l’une statique, l’autre dynamique. L’analyse dynamique non seulement complète l’analyse statique mais la détruit. » JHB 02 03 23

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