Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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dimanche 15 mai 2022

Jacques Halbronn Astrologie. L'épineuse question des "orbes" et la répartition du temps

Jacques Halbronn Astrologie. L’épineuse question des « orbes » et la répartition du temps. Quand on interroge un astrophile/astrologue sur la durée d’impact d’une configuration astrale, se souléve nécessairement la question dite des « orbes ». On nous répond que tout dépend de l’orbe que l’on s’est fixée et cela vaut aussi, au niveau informatique. On s’accorde en général sur une fourchette, une « marge », entre 5 et 10° mais cela peut varier selon les critères choisis. On s’intéressera ici aux causes puis aux conséquences d’une telle problématique. I Les causes Dès lors que l’on dresse une carte du ciel, pour un instant T, les « aspects » seront rarement exacts (partils), d’où le recours à l’orbe. Ensuite, comme l’on prend en compte un nombre important de planétes et autres facteurs, l’on ne peut, en principe,accorder des marges trop importantes vu qu’il faudra répartir le gâteau du temps en parts en proportion. L’accroissement du nombre de facteurs conduit mécaniquement à diminuer l’ampleur des orbes accordées. Par ailleurs, les astrologues penchent volontiers pour un certain degré de précision, ce qui est susceptible, d’affecter le montant « orbique », ce qui va dans le sens de la demande de précision quant à l’heure (et donc du lieu) de naissance. C’est ainsi que Roger Héquet ( ACB) sera en faveur d’orbes très faibles. On fait de nécessité vertu. II Les conséquences Le grand perdant, dans cette affaire, est la notion de phase, de période au profit du surinvestissement de celle d’événement « ponctuel ». Or, pour déterminer une période, il faut aménager un commencement et une fin, tout comme on a besoin de deux points pour tracer une ligne. En outre, comme son nom l’indique, l’orbe est « circulaire », c’est à dire qu’elle couvre à égalité ce qui précéde et ce qui suit le moment de la configuration stricto sensu. Faut il alors circonscrire une phase autour du dit moment, en amont comme en aval? Nos propositions Pour notre part, la période étant un commencement, il n’y a pas de raison que cela couvre ce qui est avant la configuration. Par ailleurs, en référence au cycle saisonnier, comme au mouvement diurne, on va d’un point à un autre, et le printemps va s’étaler sur trois mois. et ainsi de suite et le pic ne sera pas le début du processus. Il est clair que selon l’option choisie, la prévision variera singulièrement. On nous répondra peut être qu’une configuration sera effective jusqu’à ce que se présente une autre configuration englobant d’autres facteurs mais cela conduit à des périodes de tailles extrémement variables et nullement calibrées. Pour nous, l’astrologie a besoin d’un mode unique de balisage du temps, d’une seule et même « unité » de mesure. JHB 15 05 22

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