jacques halbronn Le notion de "film" astrologique. Le déroulement cyclique.

jacques halbronn La notion de « film » astrologique : le déroulement cyclique Pour nous, l’astrologie correspond à une sinusoîde, modéle que nous avions préconisé dès 1976 lors de la première édition de nos Clefs pour l’astrologie; Ed Seghers, ce qui implique un continuum et une régularité et égalité des phases. Cela n’est rendu possible qu’en s’en tenant qu’à un seul astre actif se combinant avec un certain nombre de secteurs, à commencer par les deux axes saisonniers (équinoxes, solstices). En recourant à l’image cinématographique, nous insistons sur la nécessité et la dynamique d’une continuité passant certes par des hauts et des bas. La sinusoide n’est pas sans faire penser à la courbe de Gauss. upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/01/... Courbe de Gauss - Loi normale - Modalisa DOUANCE] Les statistiques de la courbe de Gauss Courbe de Gauss, en cloche : distribution dite normale de ... Entendons par là qu’une période astrale obéit à un processus progressif suivi d’une régression qui revient au point de départ. En ce sens, pour l’astrologie mondiale, il importe de ne pas aller plus vite que la musique, de ne pas précipiter les choses, ce qui pose le probléme de la conjonction laquelle ne fait que marquer un commencement et une fin mais non une culmination, un « comble ». Or, force est de constater que dans l’esprit de beaucoup de chercheurs astrologie, tout se passe comme si le moment de la conjonction était comme une sorte d’aboutissement événementiel. On s’imagine donc que le moment conjonctionnel serait particulièrement remarquable, ce qui reviendrait à croire que la conception est spectaculaire dans le processus de procréation. Nous nous portons en faux contre une telle idée et selon notre logique sinosoidale et gaussienne, il faut attendre un certain temps pour que les choses prennent tournure. C’est ainsi que les événements de 1989-91 dans le monde communiste-soviétique ne correspondent pas au début d’une phase solsticiale (1986) -au sens de l’astrologie EXOLS- mais bien à une maturation, d’une exacerbation d’un phénoméne de repli national (cf . L’ Astrologie mondiale / »le grand déséquilibre planétaire de 1982-1983, la prévision historique par la connaissance des rythmes du cosmos Fayard. Paris - 1979) Le probléme tient à notre définition technique des conjonctions et l’on risque de choisir de faux repéres si l’on décide de tout miser sur les conjonctions. C ‘est ainsi que l’indice cyclique Gouchon Barbault sera parti d’une synchronie entre conjonctions planétaires et guerres mondiales.(les astres et l’Histoire, Pauvert, 1967), ce qui aura conduit à inventer la thèse selon laquelle il fallait considérer le nombre de conjonctions à un moment donné! Le danger réside ici dans l’élaboration d’une théorie ad hoc qui sera celle de l’indice cyclique laquelle théorie globalise les conjonctions, ce qui n’a plus rien à voir avec la théorie d’Albumasar sur les « grandes conjonctions » articulée sur la seule conjonction Jupiter Saturne et les triplicités (les quatre éléments distribués entre les 12 signes zodiacaux) Si l’on veut notamment comprendre quelle sera l’évolution de la période équinoxiale actuelle, qui débuta avec le passage de Saturne sur l’axe Vierge-Poissons, il importe de comprendre que cette phase n’en est qu’à son début et qu’elle ne produira des effets visibles à grande échelle qu’en son milieu, c’est à dire grosso modo à 45° au delà de la dite conjonction, soit à 15° bélier. JHB 11 08 23