Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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samedi 5 août 2023

jacques halbronn Epistémologie. Remettre l'astrologie sur les bons rails par un principe de continité périodique

Jacques halbronn Epistémologie. Remettre l’astrologie sur les bons rails par un principe de continuité périodique. On a l’impression que l’astrologie avance à vau-l’eau, ce qui l’empêche de se réformer par manque de repéres. Pour notre part, nous nous sommes efforcés d’en fournir au moyen notamment des notions d’équinoxialité et de solsticialité. (d’où notre astrologie EXOLS) si ce n’esy qie ,nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il fallait fixer les axes non pas au début des signes cardinaux mais à celui des signes mutables, ce qui n’est pas sans fare penser aux thses de l’astrologie dite sidéraliste avec son « ayanamsa » de 25° environ,visant à avancer le passage d’une planéte dans le Zodiaque, ce qui reviendrait finalement au même.(cf les ouvrages de Jacques Dorsan) Nous pensons avoir déjà fourni suffisamment d’exemples probants pour illustrer voire valider notre démarche. Il faut faire la part de découvertes empiriques, à savoir la perception de certaines récurrence chronologique que l’on cherchera à théoriser avec les moyens du bord. Entendons par là que des chercheurs peuvent converger sur certaines observations de terrain tout en proposant des modéles explicatifs fort différents comme par exemple un intervalle de 15 ans entre événements apparemment du même ordre.. Car c’est bien en signe « mutable » que e basculement périodique semble bien se produire, soit les axes gémeaux-sagittaire pour l’axe solsticial et poissons-vierge pour l’axe équinoxial; Mais l’on peiut aussi être tenté de se référer aux conjonctions de Saturne avec les 4 étoiles fixes royales(axes Regulus Fomalhait et Aldébaran Antarés étant entendu que nous ne nous servons que du seul cycle du dit Saturne, sorte de RER astrologiqe se substituant à la multitude de « petits trains » (TER). Malheureusement, on doit s’attendre à ce qu bien des astrologues hésitent à franchir le pas, par manque de confiance en soi car accepter les arguments de quelqu’un,c’est en endosser le conclusions, à son propre compte. Souvent, les gens ne sont pas en mesure de suivre un raisonnement parce qu’ils ne fient pas à leur propre aptitude à raisonner! D’où un fort risque de stagnation. Le seul progrès jamais assumé semble bien avoir été lié à la découverte par les astronomes de planétes au delà de Saturne sans parler des principaux astéroides et de la disqualification de Pluton en tant que planéte à part entière. Un André Barbault aura voulu émanciper l’astrologie du cadre zodiacal lequel lui paraissait moins sûr que la réalité proprement planétaire. Une telle « réduction » allait priver l’astrologie d’une division régulière et constante de l’écliptique. Or, l’astrologie, selon nous, ne saurait renoncer à mettre en place un certain balisage de l’espace céleste, ce que la diversité des conjonctions planétaires ne permet point. Nous dirons que l’astrologie a besoin d’une unité de mesure fixe et nous avons proposé des périodes de 7 ans, correspondant à la division en 4 secteurs égaux du cycle saturnien,ces secteurs impliquant une certaine binarité alternative, ce qui nous semble plus heureux qu’une différenciation à base 12, comme on persiste à l’enseigner dans les manuels d’astrologie. En écoutant divers astrologues, l’on s’aperçoit que ce n’est pas le terrain qui détermine leur méthode de travail mais la conformité à un certain schéma théorique tant et si bien que tout semble se passer comme si l’astrologie avait vocation à nous dire ce qu’il en est, ce qui fait penser à la Caverne de Platon; Wikipedia La Grotte de Platon, attribué à Michiel Coxcie, milieu du XVIe siècle. Huile sur bois de peuplier. Musée de la Chartreuse, Douai. exposé temporairement à Beaubourg en octobre 2016 pour Magritte, la trahison des images « L’allégorie de la caverne est une allégorie exposée par Platon dans La République. Elle expose en termes imagés les conditions d’accession de l’homme à la connaissance du Bien, au sens métaphysique du terme, ainsi que la transmission de cette connaissance. L’allégorie met en scène des hommes enchaînés et immobilisés dans une caverne. Ils tournent le dos à l’entrée et voient non pas des objets, mais les ombres des objets qui sont projetées contre le mur. Ils croient voir la vérité, alors qu’ils n’en voient qu’une apparence. » Autrement dit, l’astrologue ne connaitrait le réel que par le biais de l’astrologie et serait incapable de prouver qu’elle aurait éventuellement tort et il aurait à convaincre ceux qui veulent bien l’écouter de la nécessité pour leur salut de « croire » en l’astrologie. Nous avons pris le parti contraire: il s’agirait de valider l’astrologie du fait de ses corrélations avec une certaine chronologie. Mais une telle voie est semée d’embuches et on serait donc dans une sorte de cercle vicieux du fait du caractère aléatoire des observations et des recoupements. Quel dilemme! Nous avons proposé de nous en tenir à l’idée de période et non d’événement Plutot finalement que de rapprocher des moments éloignés les uns des autres – car une hirondelle ne fait pas le printemps- il nous semble préférable de montre qu’il existe une certaine continuité des années durant une certaine homogénéité évenementielle au cours d’une même période, ce que seule une astrologie réduite à la portion congrue permet d’envisager car l’inflation de facteurs conduit inévitablement le chercheur parier sur de la discontinuité:En ce sens, le fait de s’intéresser (comme Gouchon et Barbault) aux « guerres mondiales » pourrait faire sens si l’on admet la poursuite d’un même processus mais encore faut il disposer d’un modéle théorique pertinent pour sous tendre et circonscrire une période d’une certaine durée…. JHB 06 08 23

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