Jacques halbronn La théorie des maitrises en Astrologie l'aura coupée du référentiel saisonnier zodiacal.

jacques halbronn La théorie des miatruses en Astrologie l'aura coupée du référentiel saisonnier zodiacal Selon nous, le dispositif reliant les signes zodiacaux aux planètes, par le biais des "maîtrises" avait eu probablement pour objet d'évacuer le symbolisme zodiacal en lui substituant un symbolisme planétaro-mythologique plus expliicite, chaque divinité étant associée à une certaine activité socio-professionnelle, ce qui inspirera le travail statitistique d'un Michel Gauquelin visant à relier telle planéte à telle activité. Mais, ce faisant, l'astrologie allait se couper du référentiel saisonnier qui sous tend le symbolisme zodiacal. Allait-elle gagner au change? En effet, le symbolisme zodiacal émane du cycle saisonnier, la preuve étant qu'il dépend, s'articule sur les équinoxes et des solstices (tropiques) avec les signes "cardinaux". chaque saison comportant trois signes. Or, à partir du moment où l'on abandonne le symbolisme zodiacal pour le panthéon mythologique, on perd le lien avec les saisons, vu que les attributions mythologiques ne sont pas constituées sur une telle base. On comprend qu'un André Barbault ait cru bon de renoncer à toute référence zodiacale dans son Astrologie mondiale. Or, le symbolisme équinoxialité/.solsticialité est absolument incontournable du fait de sa dualité, donc de l'alternance qu'il sous tend. Certes, le symbolisme zodiacal s'était il sensiblement corrompu et son lien avec les saisons parfois assez obscur mais de là à jeter le bébé avec l'eau du bain... Selon nous, uu tel déphasage aura ôté à l'astrologie son fondement essentiel, la faisant partir à la dérive. Sur le site AstroAriana on peut lire " C’est d’une manière impropre mais pratique qu’on évoque les Signes de Printemps, d’Été, d’Automne et d’Hiver. En effet, les saisons n’existent que pour le Soleil. Par exemple, pendant que le Soleil se trouve en Gémeaux, Vénus peut très bien se trouver en Cancer. Le schéma ci-dessus décrit la croissance du jour dominant en durée (pour le Soleil) ou des arcs diurnes (pour la Lune et les planètes) de l’équinoxe" Nous pensons, au contraire, que le passage d'une planéte sur les axes équinoxiaux et solsticiaux n'est pas le seul privilége du Soleil et que le systéme des saisons vaut pour une planéte comme Saturne (cf notre Astrologie selon Saturne). Un tel jugement nous semble donc tout à fait excessif et réducteur.. Nous avons montré à quel point toute la cyclologie astrologique dépendait de tels passages, tous les 7 ans, (sur la base du cycle sidéral de Saturne) avec cette dualité d'une équinoxialité et cette unicité de la solsticialité, ce qui impacte considérablement l'organisation socio-politique de notre planéte Terre? En ce qui concerne le nom des jours de la semaine liés aux noms des dieux-planétes, il ne s'agit nullement de quelque réference aux données astronomiques (Mars pour Mardi, Mercure pour Mercredu dit, etc mais d'une volonté comme pour les secteurs zodiacaux, de mettre en avant un modéle mythologique ayant valeur psychosociologique. Cela dit, pour qu'un dispositif puisse fonctionner, il faut dégager un curseur lequel ne saurait être assimilé à quelque significateur. On ne peut pas être au four et au moulin (en même temps/ Nous pensons qu'il ne faudrait pas assimiler -comme le font les cultures germaniques (Sunday, Sonntag) le Soleil au Seigneur (Dimanche, Domenica), ce qu respectent les cultures latines. De même pour les connexions des dieux planétes avec la diviision en décans et en termes. L'interprétation astronomique -toujours en vigueyr de nos jours) du dispositf des domiciles aura engagé l'astrologie sur une fausse piste qui lui aura été fort dommageable. JHB 08 01 24