jacques halbronn Astrologie EXOLS Le passage vers une nouvelle phase et les tensions entre ses composantes

Jacques Halbronnn Astrologie EXOLS Le passage vers une nouvelle phase et les tensions entre ses composantes. La fin d'une phase provoque des dysfonctionnements qui contraignent à changer son fusil d'épaule et à passer à un plan B. Il ne faut pas perséverer au delà des limites de temps imparties, s'acharner sur une méthode qui a fait long feu quitte à se fixer de nouvelles échéances pour plus tard. Nous sommes actuellement en fin de phase solsticiale et force est de constater que les synergies sous tendant la dite phase ne fonctionnent plus. En l'occurrence, le "peuple" ne parvient pas à dégager une majorité au Parlement. On a perdu la recette appropriée et la Constitution de la Ve République (1958) a prévu le coup avec l'article 49.3 en cas de blocage quand il n'y a même pas de possibilité technique de cohabitation. Autrement dit, c'est le peuple qui n'a pas été à la hauteur des espérances que l'on avait placées en lui. Le miracle démocratique n'a pas eu lieu lors des dernières législatives, ce qui met le Parlement sur la touche. Inversement, en fin de phase équinoxiale, c'est l'autre type de synergie qui a des ratés,à savoir une mésentente entre leaders. On pense à la fin du Pacte germano-soviétique de 1939: Wikipedia ". Le pacte est brisé le 22 juin 1941 , par la décision d'Hitler d'attaquer l'URSS en déclenchant l'opération Barbarossa, laquelle entraîne une alliance soviétique immédiate avec le Royaume-Uni" On est au début d'une phase solsticiale. Quinze ans plus tard, le président René Coty ne permettra pas à Pierre Mendés France de former un nouveau gouvernement. On est dans la dissension au sommet de l'Etat. La phase solsticiale en profitera pour recourir aux méthodes qui sont les siennes. A la suite de la venue - début 56, de Guy Mollet à Alger -"le gouvernement a subi la loi de l'émeute, la guerre est relancée, la République est prisonnière d'Alger" [J.-P. Rioux, La France de la Quatrième République. L'expansion et l'impuissance, 1952-1958, Paris: Le Seuil, 1983]. Passons à des exemples pris dans le milieu astrologique. En 1986, Patrice Louaisel retrouve la Présidence du GERASH dont il avait été le fondateur en 1974. L'Assemblée Générale nous désigne comme Vice-Président à une large majorité. Mais Louaisel ne tarde pas à démissionner, ce qui débouchera sur la prise de controle par Maurice Charvet en obtenant la dévolution des biens de l'association à une nouvelle structure, le CEDRA. En 1989, Yves Lenoble jouera la carte solsticiale en s'appuyant sur un public d'éléves en astrologie (AGAPE)), par opposition à notre politique de rencontres réservées aux chercheurs. Etrangement, en 1974, André Barbault, au prétexte d'une réforme à nos dépends - nous étions Vice Président depuis l'année précédente- va nous conduire à créer notre propre association, le MAU ( Mouvement Astrologique Universitaire).en 1975. Nous allons fonder la Faculté Libre d'Astrologie de Paris autour d'un noyau d'enseignants en astrologie . Dans les deux cas, à 12 ans d'intervalle, c'est la conséquence de l'échec d'une phase équinoxiale, à savoir un refus d'entente entre leaders. qui aura favorisé la prise de pouvoir par les "professeurs" et donc des éléves, en bas de l'échelle du savoir astrologique. Un autre exemple de dissessnion au sommet qui fait le lit de la phase solsticiale concerne le sort de Gorbatchev; Wikipedia "Le 19 août 1991, parti en vacances dans sa villa de Foros en Crimée, il est un temps écarté du pouvoir par un quarteron d'apparatchiks du Parti communiste soviétique qui l'enferment dans sa résidence d'été. La date de ce putsch de Moscou ne fut pas choisie au hasard, car c'est le 20 août que Gorbatchev devait signer un traité instaurant une nouvelle Union, appelée Union des républiques souveraines soviétiques (puis Union des républiques souveraines), réduisant notamment le rôle du KGB et de l’État centralisé, qui avaient tout à y perdre, au profit des républiques17. Le soutien d'Helmut Kohl s'avère insuffisant alors que le président François Mitterrand déclare vouloir attendre les intentions des « nouveaux dirigeants » soviétiques, reconnaissant de facto le gouvernement issu du putsch et n'hésitant pas alors à lire en direct à la télévision une lettre envoyée par Guennadi Ianaïev, l'auteur du coup d'État. Finalement, le putsch échoue et Boris Eltsine, alors président de la RSFSR, devient le grand bénéficiaire de cet échec après avoir reçu dès les premières heures le soutien du président américain George H. W. Bush et du Premier ministre britannique John Major. Gorbatchev quitte la direction du Parti communiste de l'Union soviétique le 24 août 1991 et les activités du Parti communiste de Russie — le plus important d'URSS — sont suspendues par décret du président russe Eltsine le 29 août lors d'une séance du Soviet suprême. Le parti est purement dissous le 6 novembre."