jacques halbronn Recherches astrologiques. de Laurent Fabius à Michel Rocard

jacques halbronn Recherches astrologiques. De Laurent Fabius à Michel Rocard. Ces deux premiers ministres, sous Mitterrand , respectivement nommé en 1983 et 1988, à cinq ans d'intervalle, entrèrent en poste sous l'axe Taureau Scorpion. Rocard sera remplacé en 1991 avec l'arrivée de Saturne en verseau. Ces deux hommes sont donc favorisés par l'axe Taureau Scorpion. En ce qui concerne Mitterrand, il est battu en 1978, aux Législatives car Saturne est sur l'axe Lion Verseau. Mais en 1981, Saturne passe en balance, antichambre du Scorpion en ses derniers degrés Voilà donc trois exemples indiquant que l'axe Taureau Scorpion favoriserait plutôt la Gauche alors qu'un Raymond Barre, à droite, est porté par l'axe Lion Verseau et est arrrété en 1981 à cause de l'autre axe. Quant à Mitterrand, il avait opté depuis 1978 pour des valeurs de droite, du fait de la conjoncture astrale et ce n'est qu'en 1983, avec le tournant de la rigueur, qu'il repasse vraiment à gauche. quand Saturne passe en Scorpion, faisant appel à Fabius puis, au lendemain des présidentielles de 1988, à Rocard (cf supra). En 1972, lors de la signature du "Programme commun de gouvernement, Saturne pointe vers la gauche. Mais en 1978, les temps auront changé mais c'est l'échec face à Barre. En fait, Mitterand n'aurait pas du gagner en 1981. C'était trop tôt. Mais les mauvaises relations entre Giscard et son ancien Premier Ministre, laisseront le champ libre à Mitterrand: Sur le web "Au cours de la semaine qui a suivi le premier tour de l'élection présidentielle, M. Valéry Giscard d'Estaing a écrit à M. Jacques Chirac. Dans cette lettre très argumentée, le président de la République alors en exercice prenait appui sur l'analyse des résultats du dimanche précédent - et, semble-t-il, sur la faiblesse du score obtenu par M. Georges Marchais - pour faire valoir qu'un soutien sans ambiguïté du maire de Paris au président sortant était indispensable pour empêcher un échec du camp majoritaire. En outre, M. Giscard d'Estaing invitait M. Chirac au grand meeting préparé pour le 3 mai, à la porte de Pantin.M. Chirac ne s'est pas rendu au meeting de la porte de Pantin. Le président sortant n'a pas obtenu l'adhésion spectaculaire, qui lui paraissait nécessaire pour conjurer le danger et s'il s'est employé, personnellement, à donner des gages à l'électorat gaulliste, il a attendu en vain un geste solennel. Le 6 mai, le maire de Paris s'est contenté d'appeler l'attention des électeurs sur les risques d'une éventuelle élection de M. Mitterrand.Ne recevant pas la réponse attendue, le président sortant et ses conseillers obtenaient en revanche ce qu'ils considéraient comme une confirmation. "L'Élysée semblait convaincu que M. Chirac obéissait à une stratégie visant à faire battre le chef de l'État en place. M. Giscard d'Estaing voulait-il des preuves ? Ses collaborateurs pouvaient lui en fournir. Au lendemain du 26 avril, des militants avaient en effet été chargés de téléphoner aux permanences de députés R. P. R. ou de comités de soutien à M. Chirac. La manœuvre consistait à se présenter comme un électeur gaulliste hésitant à la veille du second tour et demandant conseil. La réponse était enregistrée. Réponse les plus courantes : " Pas de consigne, vous faites comme vous voulez ! " Et même parfois des propos presque encourageants aux personnes affirmant qu'elles étaient tentées de voter pour le candidat de la gauche." JHB 19 06 24