Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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vendredi 14 mai 2021

Jacques Halbronn Pour une anthropocosmologie du ternaire: Mars, Jupiter, Saturne

Pour une anthropocosmologie du ternaire : Mars Jupiter Saturne Par Jacques Halbronn Nous pensons que le cœur du système solaire est ternaire : Mars, Jupiter et Saturne. De fait, au delà de Saturne, les planètes sont invisibles à l'oeil nu et en deça de la Terre, elles sont « scotchées » au Soleil avec des maxima d'élongation pour Mercure et Vénus, ce qui produit une sorte de groupe aux possibilités « séquentielles » limites : pas d'opposition entre Soleil, Mercure ou Vénus etc. Michel Gauquelin était du moins dans un premier temps (L'influence des astres, Paris, Dauphin, 1955) à isoler Mars, Jupiter et Saturne. Quant à Jean Pierre Nicola, il avait fait de ces trois planètes le groupe média, « E » du RET sans pour autant éliminer les deux autres. Revenons donc sur cette ternarité dont nous avons déjà largement décrit les fonctions et les séquences pour Jupiter et Saturne. Quid de Mars, au cycle le plus court des trois ? Au prisme d'une certaine lecture biblique des premiers chapitres du Livre de la Genése, nous dirons que nous avons affaire à la Femme (Eve) alors que les deux autres planètes correspondraient aux deux types d'hommes, que nous avons décrits dans nos précédentes études à savoir le jupitérien et le saturnien. Si Saturne est lié à la Lune et Jupiter au Soleil, nous dirons que Mars est lié à Vénus, ce que vient confirmer la mythologie. Nous serions donc tentés de remplacer le dieu Mars par la déesse Vénus ou par Cérés, dont le nom – lié à la Sicile d'où l'astre fut aperçu pour la première fois - fut justement proposé et adopté pour le premier astéroide découvert, en 1801 entre Mars et Jupiter, s'inscrivant dans le tableau de la Loi de Bode. Et d'ailleurs, les autres astéroides découverts dans la foulée dans les premières années du XIXe siècle- portent tous des noms de déesses : Pallas, Junon, Vesta. Nous serions donc en présence d'une présence féminine affirmée, au cycle nettement plus rapide que celui de ses partenaires Jupiter et Saturne, ce qui d'une certaine façon est limitatif, ne permettant pas de donner du temps au temps, avec des échéances trop rapprochées les unes des autres. Moins de deux ans pour la révolution de Mars. Dans la Bible, Dieu après avoir créé un être à son image, à la fois, nous dit-on, mâle et femelle, semble avoir changé d'approche en faveur du couple, ce qui ferait de l'homme de la seconde catégorie un être moins parfait, plus fragile du fait qu'il doive compter avec une partenaire censée l'aider et mettre fin à sa solitude. Dans les Evangiles, il est question de la naissance miraculeuse de Jésus, né d'une femme, Marie, et d'une divinité (cf l'Annonciation). Pour nous, cela indique que la femme peut aussi bien donner naissance à un homme de la seconde catégorie qu'à un homme de la première catégorie, dont ferait partie Jésus. La femme – ou en tout cas une certaine femme - serait polyvalente permettant ainsi de produire, le cas échéant, tant l'androgyne à l'image du « Créateur » que l'homme ou la femme ordinaires. Nous trouvons donc de la sorte une passerelle entre théologie, astronomie, astrologie. En ce sens, l'astrologie ne tendrait aucunement à prôner l'idée d'une similitude entre les sexes mais une complémentarité. Par ailleurs, les femmes sont dotées d'un cycle qui leur est propre, appelé « menstruation »puisqu'il est mensuel du moins jusqu'à la ménopause. D'ailleurs, il y aurait aussi à propos de la planète Saturne une dimension féminine, puisque nous l'associons à la Lune, du fait notamment de leurs chiffres respectifs (sur la base d'un jour pour un an) Les deux cycles planétaires utiles en astrologie restent ceux de Jupiter et de Saturne, déjà mis en vedette, il y a environ 1000 ans par l'astrologue musulman, Albumasar (cf l'ouvrage de Richard Lemay) auteur de la théorie des « grandes conjonctions » qui fut le fer de lance de l'astrologie mondiale pendant des siècles et en ce sens, André Barbault en incluant en Astrologie Mondiale les planètes au delà de Saturne (Uranus, Neptune et Pluton) aura fait fausse route. Quant au premier groupe – que l'on appelle « l'escorte solaire », on sait qu'il constitue à lui seul une sorte de « planetarium » dans le thème natal, ces trois astres  inséparables restant toujours assez proches les uns des autres., ce qui les disqualifie au niveau cyclique. JHB 14 05 21

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