Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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dimanche 12 octobre 2025

jacques halbronn Les deux volets non opérationnels du systéme solaire au regard de l’approche astrologique.

jacques halbronn Les deux volets non opérationnels du systéme solaire au regard de l’approche astrologique. Au dernier congrès FDAF ( 11. 10. 2025), l’on aura accordé beaucoup trop d’importance à la partie marginale du système solaire, à savoir les planétes les plus rapides (Le soleil et son « escorte ») et les plus lentes (transsaturniennes) En effet, la formation d’une conjonction entre Mercure, Vénus, Soleil est extrémement fréquente et donc statistiquement guère pertinente dans le cadre de l’étude des thèmes. En effet »Mercure et Vénus, en tant qu’auxiliaires du Soleil, ne s’éloignent jamais vraiment beaucoup de lui, et sont des planètes qui restent d’ailleurs elles mêmes toujours très proches dans le ciel, elles ne se font par exemple jamais de carré ou d’opposition vue de la terre, cela est totalement impossible » (Christophe Guillaume) En ce qui concerne, les planétes découvertes au delà de Saturne, à partir de la fin du XVIIIe siècle, celles-ci sont extrémement lentes, respectivement, 84 ans, 165 ans, 248 ans pour Uranus, Neptune et Pluton et leurs configurations se feront nécessairement tout fait rares, ce qui là encore ne les destine pas à jouer un rôle significatif en Astrologie. Rien n’est plus ridicule que de voir un astrologue tenter d’expliquer quelque actualité du moment en recourant à des astres au cycle lent, au risque de conférer tel événement un caractère exceptionnel de façon tout à fait artificiel. Reste donc le trio central, Mars, Jupiter et Saturne et au sein de ce trio, nos travaux accordent le plus de crédit à la planéte Saturne avec sa révolution de 28 ans environ que nous rapprochons de celle de la Lune , notre satellite, avec ses 28 jours environ. Selon nous, on a la preuve du réformatage de notre système solaire par une équipe « alien » car une telle coincidence ne saurait être le fait d’une évolution « naturelle ». On a là, au contraire, l’exemple d’un « dessein intelligent » (intelligent design) . C’est à un tel dispositif que se référerait le premier chapitre de la Genése, en son premier verset. Elohim créa le Ciel (quel Ciel) et la Terre ( notre planéte accueillant notre Humanité) Michel Gauquelin n’a conservé en 1955 (L’influence des astres) que Mars, Jupiter, Saturne et la Lune, et il y a jouté Vénus par la suite. En tout état de cause, il nous semble plus raisonnable pour la recherche astrologique de s’en tenir au quatuor Mars, Jupiter, Saturne, Lune. (cf supra) La prise en compte de planétes situées au delà de Saturne illustre l’adage le mieux est l’ennemi du Bien. Cela correspond en astrologie sépténale à l’ubris de la phase « Din » qui est celle du commencement de chaque période de 7 ans. Cela conduit les astrologues à rechercher des événements marqués par le retour de ces planétes lentes, notamment Uranus (Cycle trois fois plus long que celui de Saturne). Dans notre « Astrologie selon Saturne » (1995), nous avons montré que l’on pouvait baliser l’Histoire moderne de la France au moyen de la seule planéte Saturne, de par son passage sur le point vernal (0° bélier). Le fait qu’une planéte soit invisible à l’oeil nu devrait d’ailleurs d’emblée la disqualifier. C’est pourquoi la conjonction Saturne -Neptune n’est pas recevable car elle était inconnue des Anciens, ce qui est, à nos yeux, un critére déterminant. JHB 12 10 25

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