jacques halbronn Dialectique des aspects harmoniques et dissonants en Astrologie 30 ou 45°,

jacques halbronn Dialectique des aspects harmoniques et dissonants en Astrologie 30 ou 45°, Notre modéle, en Astrologie Septénale, s'articule sur une alternance de phases à caractère opposé. Or, l'examen de la théorie traditionnelle des aspects semble bien aller dans ce même sens puisqu'il y est question d'intervalles de portée différente, Il est donc regrettable, que l'on n'articule pas suffisamment le discours prévisionnel sur une telle dualité, notamment en Astrologie Mondiale. En fait, tout intervalle joue le rôle d'interface entre deux intervalles porteurs de valeurs qui lui sont opposées, selon un schéma triangulaire.Encore faudrait-il constituer une théorie cohérente des aspects. L'exposé habituel des aspects en astrologie fait alterner le sextile (60° 2x3), le carré (90° (3x3 ), le trigone (120° (4x30) échelonnés sur un espace de 180°, le carré, entre le sextile et le trigone, étant perçu comme dissonant. Ces aspects déclinent la conjonction (0°) laquelle implique deux astres qui entretiendront, dans la durée, des intervalles successifs, positifs ou négatifs.de 30° en 30°. On est tenté d"ajouter l'aspect de 150°, dit de quinconce (5x3) qui prépare à l'opposition (180° 6x3) Pour notre part, nous préférons jouer sur l'intervalle de 45°, ce qui donne 45+ -90°-135° (sesqui-carré) On préférera diviser 90° en deux temps de 45° plutôt qu'en trois temps de 30° puisque l'on est dans une logique duelle, positif/négatif. Par ailleurs, il est clair que la conjonction et l'opposition sont en analogie. On ajoutera par ailleurs que l'aspect de 90° est positif et non pas négatif et c'est sa moitié 45° qui génére un antagonisme- à mi -parcours- tout comme l'aspect de 135°(90+ 45°) Si l'on en vient aux travaux d'André Barbault, l"on reléve qu'il n'accorde pas d'importance particulière au semi-carré (ou octile 360/8) entre Saturne et Neptune et qu'il ne reconnait pas l'analogie entre la conjonction et l'opposition, ce qui fait le tracé de son indice cyclique ne fait pas sens, quelles que soient les corrélations qui pourraient se présenter, par hasard. Certes, il existe bien une division en 12 du cercle, ce qui donne des multiples de 30° et il y a bien 12 lunaisons en une année terrestre. Mais il s'agit de considérations propres à une tradition astronomique qui ne correspondent pas aux besoins propres à l'astrologie. JHB 09 10 25