Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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mardi 14 janvier 2025

jacques halbronn Astrologie et politique. La Droite privatise, la Gauche nationalise

Jacques Halbronn Astrologie et politique. La Droite privatise, la Gauche nationalise Selon notre Astrologie STP, le quadrant respecte trois temps (contrairement à ce que nous avons pu envisager), le temps "fixe" s'intercalant entre le temps "cardinal" et le temps "mutable", cela correspond à un positionnement au centre, alors que le cardinal va vers la gauche et le mutables vers la droite, le cardinal vers les promesses du futur et la droite vers les acquis du passé, le Centre étant lié au temps "présent". Une période de 7 ans (par quadrant) est donc à diviser en trois temps de 840 jours, ce qui implique un compte rebours strict. Ainsi, quand Mitterrand arrive au pouvoir avec l'entrée de Saturne en phase cardinale, fin 1980, il va devoir accepter le "tournant de la rigueur", lorsque Saturne passera de la balance au signe fixe du scorpion, fin 1982. Mais déjà en 1962, De Gaulle avait sensiblement infléchi (trahi?) la Constitution de 1958 en pronant l'élection du président de la République au suffrage universel, ce qui avait provoqué une censure du gouvernement, la seule avant celle de 2024, avec Saturne en verseau, autre signe fixe. On soulignera le fait qu'à bréve échéance, un revirement, sous la Ve République, a ainsi pu se produire, entre 1981 et 1983 , entre 1958 et 1962 Sur le web "Dans la mémoire collective, les questions économiques apparaissent à la fois comme le moteur de la transition socialiste portée par le programme commun et la cause de son échec. Les partenaires de l’union de la gauche justifient la rupture de septembre 1977 par un désaccord fondamental sur les modalités d’extension du secteur public. Point nodal de la querelle, la prise de contrôle par la puissance publique des « filiales » des neuf entreprises promises à la nationalisation renvoie l’image de deux cultures économiques irréconciliables. Alors que le PCF accuse le MRG et le PS d’être « en recul » par rapport au texte signé en 1972, ces derniers dénoncent en retour la « dérive étatiste » du parti de Georges Marchais et refusent l’actualisation d’un texte susceptible de voir basculer l’économie française vers « le collectivisme et le capitalisme d’État » En 1986, le Ps doit accepter une première cohabitation avec Chirac comme Premier Ministre, Saturne étant passe en Sagittaire, fin 85 et les élections législatives étant prévues 5 ans après la prise de pouvoir de Mitterrand en 1981. Ainsi entre 1981 et 1988, trois phases se seront succédées et il serait bon qu'un tel systéme soit intégré dans la Constitution, chaque phase étant relativement brève et chaque parti devant attendre patiemment son tour. Les privatisations sous le gouvernement de Jacques Chirac entre 1986 et 1988 sont un évènement politico-économique important du premier septennat de François Mitterrand qui a eu lieu durant la première cohabitation sous le deuxième gouvernement de Jacques Chirac. Elles conduisent à retirer à l'État français la propriété de plus d'une dizaine de grandes entreprises et à la transférer au secteur privé. JHB 14 01 25

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