Site de l'Association La Vie Astrologique (ex Mouvement Astrologique Universitaire). 8, rue de la Providence. 75013 Paris/ Une approche historico-critique de la littérature astrologique.
Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)
Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
.
Soutenez nous en achetant à notre librairie en ligne sur priceminister/Rakuten VULCAINJH.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
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récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
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06 60 75 52 48 teleprovidence@yahoo.fr
lundi 31 octobre 2016
dimanche 30 octobre 2016
samedi 29 octobre 2016
Claire Henrion Ephebdo ou la Cagouille Céleste. 30 Octobre-7 novembre 2016
Ephebdo ou la Cagouille Céleste du 30 octobre au 7 novembre 2016
Aujourd’hui à 1h00
Ephebdo
ou la Cagouille Céleste du 30 octobre au 7 novembre 2016
Bonjour,
La
Cagouille Céleste est en ligne ! Suivez pas à pas les événements naturels, tout
en apprenant à discerner les différents référentiels.
Ainsi
que les cartes du ciel en 4x4 de la Nouvelle Lune et du Premier Quartier http://rockastres.org/spip.php?rubrique4
Quelques
petites modifs sur la fiche à imprimer dans le but d’en faciliter la
lecture :
- les
heures sont reportées immédiatement à droite de la date
- les
longitudes écliptiques sont reportées colonne de droite avec un code couleur,
relatif à l’astre concerné : gris=Lune, noir/jaune=Soleil, vert=Mercure,
rose Vénus, etc … (couleurs du RET http://rockastres.org/spip.php?article88)
+ soulignement
de la couleur de la plus lente si 2 astres sont concernés;
+ fond
bleu pour l’héliocentrique
BON
PIED, BON ŒIL !
Claire
Cartes
du ciel astrologiques obtenues avec le logiciel « Zodiac » d’André Van der
Linden http://users.skynet.be/AstroZodiac/
Rock'Astres
association loi 1901
Les pieds sur Terre, les yeux au Ciel
http://rockastres.org/
jacques Halbronn Le triple formatage de l'astrologie sur ses adeptes
Le triple formatage de l'astrologie sur ses adeptes
par Jacques Halbronn
L'astrologie possède d'un pouvoir d'emprise sur les représentations de ses adeptes qui s'exerce non seulement sur celes qui concernent le monde mais aussi sur celles qui touchent aux personnes.En ce sens l'astrologue-l'astrophile qu'on le désigne comme on voudra- est pris en charge par l'Astrologie tant dans sa sphère publique que dans sa sphère privée. On pense à l'idée de Dieu, à la fois créateur de l'Univers mais également scrutateur de nos comportements individuels.
On entre en Astrologie en acquèrant un certain langage qui est voué à basculer comme une langue maternelle dans des automatismes c'est à dire que tel ou tel terme technique -planéte, zodiaque, maisons, bon /mauvais aspect/transit, -finira par produire une réaction en chaîne d'associations d'idées qui seront grosso modo les mêmes chez tous les adeptes. Ce qui caractèrise les automatismes, c'est qu'ils ne font pas appel à la réflexion, ce qui est somme toute assez reposant.
I Le formatage de la pensée
On ne contestera pas que la croyance en l'astrologie - quel que soit le sens que l'on attribue au mot croyance- ne détermine un certain mode de pensée, une façon d'appréhender le monde lequel obéirait à des déterminismes célestes, quel que soit le mode de détermination..que l'on envisage.Il y aurait donc une philosophie de l'astrologie autor de l'idée que le systéme solaire serait à la fois cause et conséquence de ce qui se passe sur notre Terre, selon qu'on est plutôt aristotélicien ou néo-platonicien, ce qui est somme toute assez secondaire..
II Le formatage du psychisme.
A ce formatage de la pensée vient s'ajouter un formatage du psychisme - à moins que cela ne soit l'inverse-. Voilà donc un savoir qui ne se contente pas de nous parler du monde mais nous fournit des données particulières - qu'aucun autre savoir ne délivre- sur ce que nous sommes en tant que personne, individuellement, ce qui est la fonction du thème natal, dressé pour l'heure, le lieu, la date de naissance.mais cela vaut aussi pour le seul signe solaire qui change tous les 30 jours environ au cours d'une année..
Or, la combinatoire de ces deux formatages génére un "bloc" doué d'une résistance, d'une résilience considérables puisqu'il y a interdépendance entre les deux registres. Ce qui fait que l'astrologie devient très vite une affaire personnelle puisqu'elle implique non seulement une représentation du monde mais aussi de ce que nous sommes en tant que personnes. S'en prendre au savoir d'un astrologue, c'est le menacer dans l'image qu'il s'est faite de lui-même du fait même de l'astrologie.
On ne doit jamais oublier à quel point l'astrologue - et cela vaut donc pour l'éléve, le client et donc le praticien voire le théoricien est impliqué, à tous les niveaux- du fait de son engagement.- C'est tout son univers mental qui est en jeu quand on questionne la valeur de l'astrologie comme si l'on avait affaire à une sorte de greffe qui n'aurait pas été rejetée et c'est tout l'art de l'enseignant que d'éviter le rejet en neutralisant par divers procédés le systéme immunitaire.
C'est pourquoi il nous semble malsain d'avoir affaire à un savoir qui nous parle à la fois du monde extérieur et du monde intérieur, et cela notamment dans le cas d'un modéle protéiforme qui entend appréhender chacun d'entre nous dans son unicité, qui en est en quelque sorte le garant, le barrage contre le risque d'une dissolution du moi. Autrement dit, l'astrologie entend nous parler de la totalité de l'Humanité sans ^pour autant négliger ce qui est le plus particulier à chacun d'entre nous.. On pense à un physicien qui non content d'explorer la Nature découvrirait ce que la Nature a prévu à son sujet. L'objet d'étude nous renverrait ainsi au sujet observant et l'interpellerait./ On imagine que si la Science avait suivi cette double voie, elle n'aurait pu progresser comme elle l'a fait, du fait de cet "obstacle épistémologique" dû à l'interaction sujet-objet poussé à de telles extrémités.
De fait, quand on rencontre une personne impliquée, peu ou prou, dans un "trip" astrologique, il ne faudrait surtout pas perdre de vue que -même si l'astrologue ne le confesse pas- que l'astrologue s'est construit intellectuellement mais aussi psychiquement sur ce savoir. Prendre ses distances par rapport à l'astrologie est-ce possible quand on a adhéré, des années durant, à l'idée que le thème astral serait comme un miroir de notre psyché? Le cas de Serge Bret-Morel, ex-astrologue comme il se présente auteur de l'ouvrage Astrologie: la fin des mystères- éditions Mensa, 2016 (mais il aurait pu aussi bien s'appeler la fin des mythes, ou la démystification) ne nous semble pas aussi simple que l'auteur veut bien le dire. Il ne semble pas que dans ce livre - à moins que cela nous ait échappé- il ait pris la peine de nous rendre compte de la façon dont il serait parvenu à se détacher non seulement du savoir astrologique comme représentation du monde mais comme dépositaire d'une certaine représentation de son être. Car comment ne pas se demander si quelqu''un qui a pratiqué l'astrologie pendant disons une quinzaine d'années, aurait pu échapper à une telle tentation, à savoir la perspective de ne pas se voir au prisme du regard de son entourage, familial, social? Or, selon nous, la principale cause d'une adhésion à l'astrologie, c'est cette insatisfaction, cette frustration au niveau relationnel. Vient-on à l"astrologie pour des motifs philosophiques ou pour des motifs psychologiques? Et si la seconde explication l'emporte, il est clair que le rejet des premiers motifs ne résout pas la question des seconds. Il aurait donc été heureux que Serge Bret-Morel s'en explique et ce d'autant qu'un troisiéme motif vient se greffer chez lui, à savoir que l'astrologie a pu être un vecteur d'ascension sociale, au sein d'une association astrologique- dont il était devenu l'un des principaux responsables. Il est vrai que pour sa pat, il s'est retrouvé assez vite membre du bureau de l'Observatoire Zététique, ce qui est révélateur du poids de certaines ambitions On aura compris que les hiérarques du milieu astrologique sont donc triplement investis dans leur rapport à l'astrologie et que tout ce qui risquerait de compromettre une telle construction, intellectuelle, psychique et sociale- ne saurait être vécu sereinement.
On retrouve le même schéma dans le monde religieux notamment chez des dignitaires qui entretiennent un tel triple rapport avec la doctrine qu'ils ont adoptée et c'est probablement ce qui distingue la Science de la Religion que de ne pas servir à une quelconque définition de soi-même en tant que sujet. C'est pourquoi nous dénonçons toute forme d'astrologie qui prétende décrire la personne par delà des appartenances sociales qui n'en dépendent pas comme celles du sexe. L'insistance de certains astrologues à vouloir substituer aux catégories existantes par ailleurs celles de l'astrologie nous apparait comme le signe d'un malaise identitaire, d'un traumatisme de l'appartenance..
JHB 29. 10 16
par Jacques Halbronn
L'astrologie possède d'un pouvoir d'emprise sur les représentations de ses adeptes qui s'exerce non seulement sur celes qui concernent le monde mais aussi sur celles qui touchent aux personnes.En ce sens l'astrologue-l'astrophile qu'on le désigne comme on voudra- est pris en charge par l'Astrologie tant dans sa sphère publique que dans sa sphère privée. On pense à l'idée de Dieu, à la fois créateur de l'Univers mais également scrutateur de nos comportements individuels.
On entre en Astrologie en acquèrant un certain langage qui est voué à basculer comme une langue maternelle dans des automatismes c'est à dire que tel ou tel terme technique -planéte, zodiaque, maisons, bon /mauvais aspect/transit, -finira par produire une réaction en chaîne d'associations d'idées qui seront grosso modo les mêmes chez tous les adeptes. Ce qui caractèrise les automatismes, c'est qu'ils ne font pas appel à la réflexion, ce qui est somme toute assez reposant.
I Le formatage de la pensée
On ne contestera pas que la croyance en l'astrologie - quel que soit le sens que l'on attribue au mot croyance- ne détermine un certain mode de pensée, une façon d'appréhender le monde lequel obéirait à des déterminismes célestes, quel que soit le mode de détermination..que l'on envisage.Il y aurait donc une philosophie de l'astrologie autor de l'idée que le systéme solaire serait à la fois cause et conséquence de ce qui se passe sur notre Terre, selon qu'on est plutôt aristotélicien ou néo-platonicien, ce qui est somme toute assez secondaire..
II Le formatage du psychisme.
A ce formatage de la pensée vient s'ajouter un formatage du psychisme - à moins que cela ne soit l'inverse-. Voilà donc un savoir qui ne se contente pas de nous parler du monde mais nous fournit des données particulières - qu'aucun autre savoir ne délivre- sur ce que nous sommes en tant que personne, individuellement, ce qui est la fonction du thème natal, dressé pour l'heure, le lieu, la date de naissance.mais cela vaut aussi pour le seul signe solaire qui change tous les 30 jours environ au cours d'une année..
Or, la combinatoire de ces deux formatages génére un "bloc" doué d'une résistance, d'une résilience considérables puisqu'il y a interdépendance entre les deux registres. Ce qui fait que l'astrologie devient très vite une affaire personnelle puisqu'elle implique non seulement une représentation du monde mais aussi de ce que nous sommes en tant que personnes. S'en prendre au savoir d'un astrologue, c'est le menacer dans l'image qu'il s'est faite de lui-même du fait même de l'astrologie.
On ne doit jamais oublier à quel point l'astrologue - et cela vaut donc pour l'éléve, le client et donc le praticien voire le théoricien est impliqué, à tous les niveaux- du fait de son engagement.- C'est tout son univers mental qui est en jeu quand on questionne la valeur de l'astrologie comme si l'on avait affaire à une sorte de greffe qui n'aurait pas été rejetée et c'est tout l'art de l'enseignant que d'éviter le rejet en neutralisant par divers procédés le systéme immunitaire.
C'est pourquoi il nous semble malsain d'avoir affaire à un savoir qui nous parle à la fois du monde extérieur et du monde intérieur, et cela notamment dans le cas d'un modéle protéiforme qui entend appréhender chacun d'entre nous dans son unicité, qui en est en quelque sorte le garant, le barrage contre le risque d'une dissolution du moi. Autrement dit, l'astrologie entend nous parler de la totalité de l'Humanité sans ^pour autant négliger ce qui est le plus particulier à chacun d'entre nous.. On pense à un physicien qui non content d'explorer la Nature découvrirait ce que la Nature a prévu à son sujet. L'objet d'étude nous renverrait ainsi au sujet observant et l'interpellerait./ On imagine que si la Science avait suivi cette double voie, elle n'aurait pu progresser comme elle l'a fait, du fait de cet "obstacle épistémologique" dû à l'interaction sujet-objet poussé à de telles extrémités.
De fait, quand on rencontre une personne impliquée, peu ou prou, dans un "trip" astrologique, il ne faudrait surtout pas perdre de vue que -même si l'astrologue ne le confesse pas- que l'astrologue s'est construit intellectuellement mais aussi psychiquement sur ce savoir. Prendre ses distances par rapport à l'astrologie est-ce possible quand on a adhéré, des années durant, à l'idée que le thème astral serait comme un miroir de notre psyché? Le cas de Serge Bret-Morel, ex-astrologue comme il se présente auteur de l'ouvrage Astrologie: la fin des mystères- éditions Mensa, 2016 (mais il aurait pu aussi bien s'appeler la fin des mythes, ou la démystification) ne nous semble pas aussi simple que l'auteur veut bien le dire. Il ne semble pas que dans ce livre - à moins que cela nous ait échappé- il ait pris la peine de nous rendre compte de la façon dont il serait parvenu à se détacher non seulement du savoir astrologique comme représentation du monde mais comme dépositaire d'une certaine représentation de son être. Car comment ne pas se demander si quelqu''un qui a pratiqué l'astrologie pendant disons une quinzaine d'années, aurait pu échapper à une telle tentation, à savoir la perspective de ne pas se voir au prisme du regard de son entourage, familial, social? Or, selon nous, la principale cause d'une adhésion à l'astrologie, c'est cette insatisfaction, cette frustration au niveau relationnel. Vient-on à l"astrologie pour des motifs philosophiques ou pour des motifs psychologiques? Et si la seconde explication l'emporte, il est clair que le rejet des premiers motifs ne résout pas la question des seconds. Il aurait donc été heureux que Serge Bret-Morel s'en explique et ce d'autant qu'un troisiéme motif vient se greffer chez lui, à savoir que l'astrologie a pu être un vecteur d'ascension sociale, au sein d'une association astrologique- dont il était devenu l'un des principaux responsables. Il est vrai que pour sa pat, il s'est retrouvé assez vite membre du bureau de l'Observatoire Zététique, ce qui est révélateur du poids de certaines ambitions On aura compris que les hiérarques du milieu astrologique sont donc triplement investis dans leur rapport à l'astrologie et que tout ce qui risquerait de compromettre une telle construction, intellectuelle, psychique et sociale- ne saurait être vécu sereinement.
On retrouve le même schéma dans le monde religieux notamment chez des dignitaires qui entretiennent un tel triple rapport avec la doctrine qu'ils ont adoptée et c'est probablement ce qui distingue la Science de la Religion que de ne pas servir à une quelconque définition de soi-même en tant que sujet. C'est pourquoi nous dénonçons toute forme d'astrologie qui prétende décrire la personne par delà des appartenances sociales qui n'en dépendent pas comme celles du sexe. L'insistance de certains astrologues à vouloir substituer aux catégories existantes par ailleurs celles de l'astrologie nous apparait comme le signe d'un malaise identitaire, d'un traumatisme de l'appartenance..
JHB 29. 10 16
vendredi 28 octobre 2016
Jacques Halbronn, président du MAU: Quel est le profil et la fonction d'une élite astrologique?
Jacques Halbronn, président du MAU : Quel est le profil et la fonction d’une élite astrologique?
En 1975, d’entrée de jeu, dans les mois qui suivirent sa fondation, au mois de juin, l’association MAU (Mouvement Astrologique Universitaire) se structura selon un double schéma: d’une part la Faculté Libre d’Astrologie de Paris (FLAP) et de l’autre les Journées Internationales astrologiques de Paris (JIAPs), dont la première édition datait en fait de septembre 1974.(Hôtel Méridien, Porte Maillot)
Un tel agencement- avec le recul, s’avèra des plus judicieux car il correspondait à un agencement tout à fait pertinent d’un point de vue sociologique. D’un côté, des personnes (au départ trois femmes demeurant à Paris, Catherine Aubier, Jacqueline Belluc et Marielle Clavel), soit le sigle ABC) désireuses de transmettre, de former sinon de formater des éléves,souhaitant acquérir les bases de l’Astrologie, d’en maitriser le langage comme on le ferait lors de l’apprentissage d’une nouvelle langue, « étrangère ». De l’autre, des chercheurs dispersés dans le monde entier; s’exprimant dans des langues diverses, et prêts à se retrouver périodiquement à Paris ou ailleurs à notre invitation. On retrouvera le recensement des congrès successifs organisés par le MAU dans le Guide de la Vie Astrologique, paru fin 1984.(Ed Trédaniel) Les cours – à partir de 1979 eurent lieu assez vite rue de la Providence alors que les colloques se tenaient au FIAP (Foyer International d’Accueil de Paris, FIAP) ou en province voire au delà des frontières.
Au vrai, ces deux structures communiquaient assez peu entre elles La FLAP contribuait financièrement à la tenue des JIAPS mais n’en constituait pas pour autant le public tant le niveau des débats des JIAPS dépassait celui des cours d’astrologie.
La FLAP correspondait à ce que nous appellerons la « base » et les JIAPS à l’élite. Toute communauté a besoin de ces deux plans pour exister dans le monde/ En effet, le développement d’automatismes de langage est certes un précieux ciment pour souder le dit groupe mais cela tend à le rendre incapable de communiquer avec d’autres disciplines lesquelles elles aussi ont leurs propres routines.
Quant aux JIAPs, elles devaient à contribuer à faire émerger une élite, une intelligentsia, capable d’avoir un regard critique sur un savoir consensuel, comme allant de soi et devenu en quelque sorte subconscient, c’est à dire fonctionnant sans qu’on y prenne garde, presque à l’insu du praticien ou de l’enseignant.
Un tel binôme se poursuivit durant une vingtaine d’années (1975-1995), avec donc les cours et les colloques. Mais au bout d’un certain temps, nos cours commencèrent à innover et à véhiculer un enseignement non orthodoxe, donc marqué par ce que nous appelâmes la cosmothèrapie (cf Clefs pour l’Astrologie, Seghers, 1994) et qui entendait avant tout préparer les éléves à l’ »exercice de l’astrologie et non à les exposer lourdement au savoir astrologique.
A la fin des années 80;- en 89 - apparut à Paris, à l’instigation de Solange de Mailly Nesle, une structure d’enseignement, intitulée AGAPE. -Association des Astrologues Psycho-professionnels-qui réunissait une équipe d’enseignants comme l’avait fait la FLAP, quinze ans plus tôt.. Et dès 1990; Yves Lenoble commença à tenir des congrès à Paris qui d’une certaine façon tenaient lieu de cours magistraux pour les éleves de l’AGAPE, qui suivaient en quelque sort des « travaux pratiques » (TP)
Autrement dit, la dualité que nous avions posée n’était plus respectée et les colloques organisés dans ce cadre, n’étaient plus que le prolongement des formations. Les chercheurs ne pouvaient plus se réunir entre eux et débattre librement puisqu’ils dépendaient du public des éléves et de leurs subsides, puisque la pratique allait s’instaurer d’une rémunèration des intervenants.
On aura compris que l’élite a un autre cahier de charges que la base. Elle est notamment responsable de recruter des éléments formés aux méthodes universitaires et qui n’entendent pas à faire de l’astrologie leur profession, ou du moins pas en ouvrant un cabinet ou en formatant des éléves quant aux bases. La base d’un groupe ne jure que par ses bases.
De nos jours, le milieu astrologique semble ne pas vouloir comprendre que son élite doit se caractériser par un questionnement quand à ce qu’est l’astrologie. Rien à voir évidemment avec le fait de répondre aux questions que les clients (se) posent sur ce qui les attend dans la vie.
Dès lors, la base et l’élite ne peuvent qu’entrer en conflit et on l’a vu avec Serge Bret Morel qui a décidé carrément de se situer dans l’orbite de l’anti-astrologie.(Zététique, avec son livre Astrologie: la fin des mystères, Ed Mensa, 2016). Bret Morel ne semble pas avoir compris que faire partie de l’élite d’une communauté implique de prendre ses distances avec les automatismes qui sont à l’œuvre en elle. Et de fait, le milieu astrologique semble de moins en moins disposé à tolérer des critiques portées sur l’astrologie, qu’il analyse comme une sorte de trahison.
Or, il suffit de remonter de quelques décennies en arrière, pour observer qu’une certaine élite exista au sein du milieu astrologiques, depuis le temps du Polytechnicien Choisnard, à la charnière du XXe sièce en passant par les années trente autour de l’ingénieur des Mines signant Néroman (Collége Astrologique de France)jusqu’aux années cinquante avec Michel Gauquelin suivi de Jean-Pierre Nicola dans les années soixante, au cours desquelles André Barbault entendit faire bouger les lignes du savoir astrologique. En 1976, nous publiâmes chez Seghers « Clefs pour » l’Astrologie, soit 40 ans avant l’ouvage de Bret -Morel, tout en revendiquant notre appartenance à la communauté astrologique; à commencer par l’organisation de Colloques. Et sur la 4e de couverture, était annoncé explicitement le rejet du thème natal/ Il ne semble pas qu’à l’époque on nous en ait voulu, ce qui montre bien que le milieu astrologique comprenait la nécessité pour son élite de se démarquer d’un certain ronronnement, ce qui valut d’ailleurs à Barbault que son projet pour la dite collection ne fut pas retenu, lui qui n’avait pas de références universitaires.
Résultat des courses flagrant de nos jours, qui saute aux yeux quand on entre dans la salle d’un Congrès Astrologique, tant à Lyon, Paris, Bordeaux ou Nice; des salles qui ne comportent que des femmes d’un certain âge. Certains ne veulent pas y voir un signal d’alarme, ils pratiquent la politique de l’autruche, arguant du fait que les hommes ne sont pas assez développés spirituellement et autres fadaises auxquelles personne ne croit. Qu’en sera-t-il dans dix ans alors que le renouvellement ne se produit pas et que les écoles d’astrologie servent non pas à former de futurs professionnels mais se muent en des séances hebdomadaires d’initiation à titre personnel, ce qui correspond à l’évolution de la consultation astrologique basculant vers une exposition intensive et pas forcément bénéfique au discours astrologique. On est loin de mettre en garde contre le contre-transfert et l’astrologue est censé croire à l’astrologie comme son client et là encore, il y a visiblement un manque de recul/
Tout cela, on l’aura compris, isole l’astrologie des autres disciplines car un savoir qui n’a pas su constituer son élite ne saurait communiquer avec l’élite formée au sein d’autres savoirs. Seules en effet les élites sont en mesure de créer des passerelles entre diverses communautés car comme dit l’adage, les grands esprits se rencontrent. En refusant d’approfondir l’astrologie quant à ses fondements, en ne mettant en avant que le « ça marche », les responsables actuels dotés d’un certain pouvoir, en deviennent les fossoyeurs, les gardiens d’un ghetto. Ils jouent sur une certaine paranoia selon laquelle l’astrologie serait persécutée, incomprise et n’hésitant pas à soutenir que les critiques concernant l’astrologie ne peuvent tenir qu’à l’ignorance. La moindre observation concernant telle ou telle notion astrologique ne saurait donc tenir qu’à une méconnaissance du sujet. Dès lors, les astrologues sont de moins en moins capables de défendre la cause de l’astrologie laquelle ne se réduit pas au savoir faire de l’interprétation du thème natal. Ils ne comprennent pas que l’on n’est pas dans le tout ou rien et que Gauquelin apporta en son temps des validations précieuses dont les thuriféraires de l’astrologie se contentent de déclarer qu’il n’ a pas assez cherché, faisant ainsi la fine bouche.
Ces astrologues hyper conservateurs et qui croient sauver la mise et donner le change en adoptant l’usage de nouvelles planétes, donnent au final une très mauvaise image-frileuse et sclérosée- de l’astrologie, Mais le pire c’est que ce faisant, ils montrent leur méconnaissance des réalités sociologique, des rapports de force entre l’élite et sa base, ce qui fait douter de leur aptitude à comprendre le monde et à coacher ceux qui font appel à eux. . Mais l’on sait que les savetiers sont les plus mal chaussés.
JHB
28 10 16
jeudi 27 octobre 2016
jacques Halbronn. Le paralléle Genése I et II et Genése IV et V et la guerre des dieux
Le paralléle Genése I et II et Genése IV et V et la guerre des dieux
par Jacques Halbronn
La critique biblique n’aura pas manqué, depuis le XVIIe siècle de pointer un certain nombre di’ncohérences dans le Pentateuque. Dans certains cas, certains rapprochements entre des textes assez semblables nous semblent éclairants et cela vaut notamment pour des observations concernant les cinq premiers chapitres du Livre de la Genése de sorte que l’on ne peut, selon nous, lire les chapitres I et II sans immédiatement se référer aux chapitres qui suivent, IV et V, car divers recoupements s’offrent à nous qui permettent de ne pas se limiter à une seule occurrence dont l’interprétation pourrait nous égarer.
La thèse que nous exposons ici est la suivante: il y a un parraléle à faire entre Genése I et V tout comme entre Genése II et IV concernant l’androgynat d’Adam et le couple.Ish/Isha.
I Le paralléle Genése I et V
Genése I 27
« Alors Dieu crée Adam à son image (..) il les crée mâle et femelle »
Genése V 2-5
« Le jour où Dieu a crée Adam, il l’a fait pour qu’il lui ressemble Dieu le créa mâle et femelle (..) A l’âge de 130 ans, Adam a un fils qui lui ressemble vraiment. Il s’appelle Seth. » et la filiation masculine se poursuit sur plusieurs générations.
On note que le chapitre V est plus « complet » que le chapitre premier de la Genése, puisqu’il y est question d’un enfantement d’Adam apparemment sans aide d’une femme.
II Le paralléle Genése II et IV
Genése II 16 m
« Pour l’homme ce n’est pas bon d’être seuk. Je vais lui faire une aide qui lui convienne parfaitement (..) Mais pour lui -même, il (Adam) ne trouve pas l’aide qui lui convienne parfaitement. Alors le Seigneur Dieu fait tomber l’homme dans un sommeil très profond, il lui prend une côté et il referme la peau à sa place. Avec cette côte, le Seigneur Dieu fait une femme et il l’améne à l’homme. (…) On l’appellera femme de l’homme parce qu »elle vient de l’homme
Genése IV
« Adam s’unit encore à sa femme. Elle (certaines traductions mettent à tort Eve alors qu’il s’agit de Isha/Ishto) met au monde un fils. Elle l’appelle Seth et elle dit : » Cain a tué Abel mais Dieu m’a donné un autre fils à sa place ».
Nos observations:
la naissance de Seth connait deux versions, l’une qui passe par l’union de deux sexes et l’autre qui ne fait appel qu’au seul Adam/ Dans un cas c’est sa mère qui nomme son fils Seth alors que dans le second, c’est Adam et lui seul.
Ce qui est frappant, c’est le fait que la fin de Genése IV précéde immédiatement le début de
Genése V, autour de deux versions contradictoires des conditions de la naissance de Seth
Dans Genése V, le texte revient sur cet Adam créé mâle et femelle à l’instar de Genése I tout
comme Genése IV réitère ce qui a été narré à Genése II. Autrement dit, la dualité des versions
est confirmée puisqu’elle est donnée sur le mode de la récurrence.
Tout se passe, selon nous, comme si l’on avait voulu accorder une place sensiblement égale aux deux versions dans un souci de compromis. Même la dualité Elohim/Yahvé pourrait avoir relevé d’une sorte d’arrangement, de pacte, de paix conclue entre deux camps.
En quoi aurait consisté un tel compromis et quelles en auraient les termes et les modalités?
On pense au Shabbat, qui introduit ipso facto une certaine dualité et donc un double modus
vivendi, réitèré dans les Dix Commandements lors de l’exposé consacré au dit Shabbat. Il y a un
temps pour chaque chose, nous rappelle le Livre de l’Ecclésiaste, attribué à ce Salomon dont
le célébre « jugement » est emblématique d’une recherche de compromis. Selon nous, la cyclicité est le vecteur par excellence du compromis, répartissant le temps entre les parties comme
dans le conflit opposant Déméter à Hadès, au sujet de sa fille, Perséphone.
D’ailleurs, le commandement du Shabbat ( Exode, XX, 8) se référe-t-il à la Création (Genése I)):
« Pendant six jours, tu travailleras et tu feras ton ouvrage mais le septiéme jour est un sabbatt ‘..(…) Car en six jours, Yahvé a fait le ciel et la terre (..) mais il s’est reposé le septiéme »
Un compromis qui aurait pu correspondre à une sorte d’armistice entre les belligérants, les uns
menés par Elohim, les autres par Yahvé, deux versions étant en quelque sorte autorisées
à s’exprimer avec des « temps de parole » comparables, chaque s’appropriant la version de son choix et notamment les femmes d’un côté, les hommes de l’autre, clivage qui est respecté dans les synagogues dites « orthodoxes », « consistoriales » (en France)
Nous irons plus loin en soutenant que la procréation est également marquée par un esprit de
compromis puisque la mère porte et délivre indifféremment garçons et fille, perpétuant ainsi
un certain statu quo pouvant être évoqué au Jour du Pardon, du Jugement (donc de la balance) (Yom Kippour, célébré à l’automne, à l’opposé de la Fête de Pâque (Pessah), commémorée au printemps.
Au prisme du systéme Alpha-Oméga, nous voyons que là encore régne un compromis
puisque le temps Alpha est celui de l’union homme-femme alors que le temps Oméga est
celui durant lequel Adam se débrouille seul, en androgyne, comme c’est le cas lors du Shabbat.
Ce systéme cyclique serait lui -même marqué par un sens assez aiguisé du compromis, articulé sur une série de phases d’une durée de 7 ans, à rapprocher des 7 jours de la Création.
La femme est un être voué à la cyclicité et cela en fait la gardienne, l’arbitre du temps mais c’est aussi ce qui en fait une machine (androide)
Selon nous, l’Adam androgyne est lié à la phase oméga (en rapport avec la balance et donc à Hadès et l’automne) alors que la femme est liée à la phase alpha (printemps) et donc à Déméter. Au regard de la vision d’Ezéchiel (cf aussi le Sphinx), la femme (verseau serviteur) est représentée aux côté du bœuf, constituant ainsi la maisonnée alors que l’homme est associa au lion et à l’aigle, animaux sauvages, rebelles à l’ordre institué par les Elohim et auquel le Shabbat les soustrait
périodiquement – un Shabbat non pas de jours mais d’années, sept.
Pour revenir au conflit entre Déméter et Hadès, l’on se référe bel et bien à un compromis qui est
toujours en vigueur de nos jours.
.On ne parle jamais autant d’unité que lorsque la réalité est foncièrement duelle à commencer par la dualité en notre propre corps, ce qui correspond à l’âme et rappelons que l’on s’est demandé si les femmes en avaient une.
En tout état de cause, la femme est bel et bien présentée en Genése II comme l’auxiliaire de l’homme – cela y est même répétée à deux reprises avec le même verbe (racine Azor). Tantôt
l’homme est invité à revivre son androgynat originel et tantôt à y renoncer pour faire équipe
avec la femme.
Mais comment comprendre la formule « il les fit mâle et femelle ». Cela désigne un récit de la
Création qui vaut pour Adam mais qui ne prévoit pas l’utilité d’un partenaire. On est dans l’axe Genése I-V. Ce serait donc l’autre récit, alternatif où l’homme est en quelque sorte enchainé )
la femme, qui correspondrait à l’état institué par les Elohim, selon l’axe Genése II-IV et présenté comme une amélioration, un aménagement optimal pour Adam. Autrement dit, Genése I
intégrerait des éléments relatifs à un état antérieur à l’arrivée des Elohim lesquels seraient
intervenus pour transformer le dit état.. Ce n’est pas « Dieu » qui aurait revu sa copie mais
une nouvelle puissance imposant un autre ordre des choses, un Dieu s’opposant voire se substituant à un autre. Mais l’on sait que le « premier » Dieu ne se privera pas d’intervenir par
la suite en nouant un pacte avec le peuple hébreu, d’abord avec Abraham puis avec Moïse et l’on comprend dès lors les enjeux liés à l’antijudaisme, sous ses diverses formes. Comme dans
la Guerre de Trois, les dieux se feraient la guerre en épousant le parti de camps adverses. Ety
l’on sait aussi à quel point l’astrologie a pu être stigmatisée tout au long des siècles, elle
qui est le vecteur de la domination des Elohim, même si cette domination est porteuse
de quelque compromis.
.
JHB
27 10 16
par Jacques Halbronn
La critique biblique n’aura pas manqué, depuis le XVIIe siècle de pointer un certain nombre di’ncohérences dans le Pentateuque. Dans certains cas, certains rapprochements entre des textes assez semblables nous semblent éclairants et cela vaut notamment pour des observations concernant les cinq premiers chapitres du Livre de la Genése de sorte que l’on ne peut, selon nous, lire les chapitres I et II sans immédiatement se référer aux chapitres qui suivent, IV et V, car divers recoupements s’offrent à nous qui permettent de ne pas se limiter à une seule occurrence dont l’interprétation pourrait nous égarer.
La thèse que nous exposons ici est la suivante: il y a un parraléle à faire entre Genése I et V tout comme entre Genése II et IV concernant l’androgynat d’Adam et le couple.Ish/Isha.
I Le paralléle Genése I et V
Genése I 27
« Alors Dieu crée Adam à son image (..) il les crée mâle et femelle »
Genése V 2-5
« Le jour où Dieu a crée Adam, il l’a fait pour qu’il lui ressemble Dieu le créa mâle et femelle (..) A l’âge de 130 ans, Adam a un fils qui lui ressemble vraiment. Il s’appelle Seth. » et la filiation masculine se poursuit sur plusieurs générations.
On note que le chapitre V est plus « complet » que le chapitre premier de la Genése, puisqu’il y est question d’un enfantement d’Adam apparemment sans aide d’une femme.
II Le paralléle Genése II et IV
Genése II 16 m
« Pour l’homme ce n’est pas bon d’être seuk. Je vais lui faire une aide qui lui convienne parfaitement (..) Mais pour lui -même, il (Adam) ne trouve pas l’aide qui lui convienne parfaitement. Alors le Seigneur Dieu fait tomber l’homme dans un sommeil très profond, il lui prend une côté et il referme la peau à sa place. Avec cette côte, le Seigneur Dieu fait une femme et il l’améne à l’homme. (…) On l’appellera femme de l’homme parce qu »elle vient de l’homme
Genése IV
« Adam s’unit encore à sa femme. Elle (certaines traductions mettent à tort Eve alors qu’il s’agit de Isha/Ishto) met au monde un fils. Elle l’appelle Seth et elle dit : » Cain a tué Abel mais Dieu m’a donné un autre fils à sa place ».
Nos observations:
la naissance de Seth connait deux versions, l’une qui passe par l’union de deux sexes et l’autre qui ne fait appel qu’au seul Adam/ Dans un cas c’est sa mère qui nomme son fils Seth alors que dans le second, c’est Adam et lui seul.
Ce qui est frappant, c’est le fait que la fin de Genése IV précéde immédiatement le début de
Genése V, autour de deux versions contradictoires des conditions de la naissance de Seth
Dans Genése V, le texte revient sur cet Adam créé mâle et femelle à l’instar de Genése I tout
comme Genése IV réitère ce qui a été narré à Genése II. Autrement dit, la dualité des versions
est confirmée puisqu’elle est donnée sur le mode de la récurrence.
Tout se passe, selon nous, comme si l’on avait voulu accorder une place sensiblement égale aux deux versions dans un souci de compromis. Même la dualité Elohim/Yahvé pourrait avoir relevé d’une sorte d’arrangement, de pacte, de paix conclue entre deux camps.
En quoi aurait consisté un tel compromis et quelles en auraient les termes et les modalités?
On pense au Shabbat, qui introduit ipso facto une certaine dualité et donc un double modus
vivendi, réitèré dans les Dix Commandements lors de l’exposé consacré au dit Shabbat. Il y a un
temps pour chaque chose, nous rappelle le Livre de l’Ecclésiaste, attribué à ce Salomon dont
le célébre « jugement » est emblématique d’une recherche de compromis. Selon nous, la cyclicité est le vecteur par excellence du compromis, répartissant le temps entre les parties comme
dans le conflit opposant Déméter à Hadès, au sujet de sa fille, Perséphone.
D’ailleurs, le commandement du Shabbat ( Exode, XX, 8) se référe-t-il à la Création (Genése I)):
« Pendant six jours, tu travailleras et tu feras ton ouvrage mais le septiéme jour est un sabbatt ‘..(…) Car en six jours, Yahvé a fait le ciel et la terre (..) mais il s’est reposé le septiéme »
Un compromis qui aurait pu correspondre à une sorte d’armistice entre les belligérants, les uns
menés par Elohim, les autres par Yahvé, deux versions étant en quelque sorte autorisées
à s’exprimer avec des « temps de parole » comparables, chaque s’appropriant la version de son choix et notamment les femmes d’un côté, les hommes de l’autre, clivage qui est respecté dans les synagogues dites « orthodoxes », « consistoriales » (en France)
Nous irons plus loin en soutenant que la procréation est également marquée par un esprit de
compromis puisque la mère porte et délivre indifféremment garçons et fille, perpétuant ainsi
un certain statu quo pouvant être évoqué au Jour du Pardon, du Jugement (donc de la balance) (Yom Kippour, célébré à l’automne, à l’opposé de la Fête de Pâque (Pessah), commémorée au printemps.
Au prisme du systéme Alpha-Oméga, nous voyons que là encore régne un compromis
puisque le temps Alpha est celui de l’union homme-femme alors que le temps Oméga est
celui durant lequel Adam se débrouille seul, en androgyne, comme c’est le cas lors du Shabbat.
Ce systéme cyclique serait lui -même marqué par un sens assez aiguisé du compromis, articulé sur une série de phases d’une durée de 7 ans, à rapprocher des 7 jours de la Création.
La femme est un être voué à la cyclicité et cela en fait la gardienne, l’arbitre du temps mais c’est aussi ce qui en fait une machine (androide)
Selon nous, l’Adam androgyne est lié à la phase oméga (en rapport avec la balance et donc à Hadès et l’automne) alors que la femme est liée à la phase alpha (printemps) et donc à Déméter. Au regard de la vision d’Ezéchiel (cf aussi le Sphinx), la femme (verseau serviteur) est représentée aux côté du bœuf, constituant ainsi la maisonnée alors que l’homme est associa au lion et à l’aigle, animaux sauvages, rebelles à l’ordre institué par les Elohim et auquel le Shabbat les soustrait
périodiquement – un Shabbat non pas de jours mais d’années, sept.
Pour revenir au conflit entre Déméter et Hadès, l’on se référe bel et bien à un compromis qui est
toujours en vigueur de nos jours.
.On ne parle jamais autant d’unité que lorsque la réalité est foncièrement duelle à commencer par la dualité en notre propre corps, ce qui correspond à l’âme et rappelons que l’on s’est demandé si les femmes en avaient une.
En tout état de cause, la femme est bel et bien présentée en Genése II comme l’auxiliaire de l’homme – cela y est même répétée à deux reprises avec le même verbe (racine Azor). Tantôt
l’homme est invité à revivre son androgynat originel et tantôt à y renoncer pour faire équipe
avec la femme.
Mais comment comprendre la formule « il les fit mâle et femelle ». Cela désigne un récit de la
Création qui vaut pour Adam mais qui ne prévoit pas l’utilité d’un partenaire. On est dans l’axe Genése I-V. Ce serait donc l’autre récit, alternatif où l’homme est en quelque sorte enchainé )
la femme, qui correspondrait à l’état institué par les Elohim, selon l’axe Genése II-IV et présenté comme une amélioration, un aménagement optimal pour Adam. Autrement dit, Genése I
intégrerait des éléments relatifs à un état antérieur à l’arrivée des Elohim lesquels seraient
intervenus pour transformer le dit état.. Ce n’est pas « Dieu » qui aurait revu sa copie mais
une nouvelle puissance imposant un autre ordre des choses, un Dieu s’opposant voire se substituant à un autre. Mais l’on sait que le « premier » Dieu ne se privera pas d’intervenir par
la suite en nouant un pacte avec le peuple hébreu, d’abord avec Abraham puis avec Moïse et l’on comprend dès lors les enjeux liés à l’antijudaisme, sous ses diverses formes. Comme dans
la Guerre de Trois, les dieux se feraient la guerre en épousant le parti de camps adverses. Ety
l’on sait aussi à quel point l’astrologie a pu être stigmatisée tout au long des siècles, elle
qui est le vecteur de la domination des Elohim, même si cette domination est porteuse
de quelque compromis.
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JHB
27 10 16
mercredi 26 octobre 2016
jacques Halbronn Les dieux extra-terrestres et la planéte élue, au prisme de l'astrologie
jacques Halbronn Les dieux extra-terrestres et la planéte élue au prisme de l’astrologie
De la même façon que nous avons proposé de réfléchir sur les motivatons des machines pour disposer de repéres pour comprendre la psyché féminine, il convient de réfléchir sur les motivations des dieux pour comprendr la psyché masculine.
Mais dans le cas des dieux, il ne s’agit pas pour nous de penser à un dieu qui serait à l’origine de toute vie dans l’univers mais des dieux qui ont aménagé notre petit monde, ce qui n’est déjà pas si mal. C’est à cette échelle plus modeste qu’il importe de prendre la mesure de la « Création », surtout quand l’on songe à quel point ce dieu est décrit de façon anthropomorphique comme quand on nous dit qu’il se reposa au bout de six Jours, ce que nous avons déjà interprété ailleurs comme l’image même de la binarité cyclique de toute activité et que l’on célébre symboliquement lors du Shabbat hebdomadaire – c’est à dire tous les 7 jours, ce qui correspond selon nous à un cycle de 7 ans mis en place par les « Dieux » (Elohim). Quant à l’expression « à notre image », elle ne fait guère sens pour un Dieu « architecte de l’Univers ». Mais il suffit à certains qu’on emploie un seul et même mot pour croire que l’on parle chaque fois de la même chose. Et le tour est joué!
Il est bien fâcheux que les Juifs confondent dans leurs prières le dieu qui s’est adressé à eux et le dieu architecte de l’Univers dans sa totalité alors que ce Dieu est lui-même issu de cet Univers comme nous le sommes nous-mêmes, si ce n’est qu’il est plus avancé que nous dans son évolution.
Diverses traditions- on pense à ce qui est dit autour des « Pléiadiens » – (amas d’étoiles de la constellation du Taureau) ont conservé le souvenir d’une intervention-colonisation extra-terrestres mais elles n’ont pas précisé en quoi cela avait consisté.
Une telle approche permet d’ailleurs de mieux comprendre la notion d’élection. Il est clair en effet que ces extra-terrestres ont bien du faire leur choix parmi toutes les planétes sur lesquelles intervenir et l’on peut donc parler de la Terre comme d’une planéte « élue ». Et à un autre niveau, il est un dieu qui va « élire » un peuple, ce qui correspondrait à une création dans la création. Mais ces deux temps ne correspondent aux mêmes protagonistes et ne présentent pas les mêmes enjeux. Si l’idée d’extra-terrestres est relativement facile à appréhender, on s’interroge en revanche sur la nature de ce « Dieu » dont on ignore s’il avait un corps matériel comme devaient l’avoir les Elohim dont les fils (Bnéi Elohim) se croisèrent avec les fils des homme (mais alors quid de leur androgynat puisque Adam fut d’abord fait mâle et femelle à leur image? Ce sera la cause du Déluge.
Genése Chapitre VI
Lorsque les hommes eurent commencé à être nombreux sur la surface de la terre, et qu’il leur fut né des filles, | |
les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qui leur plurent. | |
Et Yahweh dit: » Mon esprit ne demeurera pas toujours dans l’homme, car l’homme n’est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. « | |
Or, les géants étaient sur la terre en ces jours-là, et cela après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants: ce sont là les héros renommés dès les temps anciens. »Il est possible que les Hébreux soient les descendants de tels croisements. |
Selon nous, c’est tout le système astrologique qui aura été élaboré et établi par les Elohim -et on laisse de côté ici la question de la nature de cette astrologie). On ne saurait en effet expliquer le lien entre les hommes et les astres sans une intervention en quelque sorte artificielle, contre-nature et c’est pourquoi la science moderne se déclare incapable d’expliquer qu’il puisse avoir un lien significatif entre les hommes et les astres.
Mais un tel systéme astrologique exige un relais au niveau humain et ce sont les femmes qui, selon nous, jouent ce rôle, remplissent cette fonction consistant à capter certains signaux célestes et à les traduire et les répercuter par leur comportement collectif. Autrement dit, les hommes (l’élément masculin) ne seraient, quant à eux, point « sensibles » aux signaux auxquels les femmes sont programmées à réagir.
Mais comme c’est le fait de tout cycle, il faut rechercher une forme de dualité dont nous avons vu qu’elle était déjà affirmée dès le premier chapitre de la Genése avec un temps actif, industrieux et un temps de méditation, de repos(Shabbat), l’un étant le temps des automatismes et l’autre d’une certaine forme de liberté.
On comprend mieux ainsi le récit de la « création » de la femme en vue de seconder ( Ezer -aider- est répété à deux reprises au chapitre II de la Genése à propos du rôle de la femme, qui n’est nullement posé comme semblable, égale à l’homme. En ce sens, on peut penser que la femme serait un androïde, une machine conçue pour perpétuer un certain ordre sur la terre, tel que voulu et instauré par les Elohim. Entendons que ce pouvoir des astres prévoit des temps durant lesquels l’homme peut s’affranchir de la surveillance exercée, de façon subconsciente, par la femme. D’ailleurs, dans le Talmud, il y a un débat -traité Shabbat- quant à savoir si Israel a ou non un Mazal, c’est à dire reléve de quelque signal céleste, auquel ce peuple obéirait.
Or, si les hommes ne sont pas connectés aux dits signaux, ils ne les capteraient que par le truchement des femmes, c’est à dire non pas de l’intérieur, comme elles, mais de l’extérieur, par elles.
D’où l’importance extréme à accorder au Shabbat – dont le respect est un des Dix commandements. Or, force est de constater que ce temps shabbatique n’est pas correctement respecté. Le Temple – la synagogue- doit être un lieu de recueillement du moins pour le temps du Shabbat (ou si l’on transpose du Dimanche), qui exclue la présence des femmes mais aussi de tout objet voué à servir l’homme, en temps « normal », ce qui concerne aussi les rouleaux de la loi qui ne doivent absolument pas, selon nous, être manipulés durant le Shabbat mais à la sortie du Shabbat (temps de la Havdalah, c’est à dire de la séparation, de la différenciation)
Le temps du Shabbat est le temps où l’on revient avant la création de la femme (Isha, issue de Ish, comme le montre l’analyse grammaticale, isha étant formé à partir de ish)
Le judaisme ne nie pas que ces Elohim existent mais il maintient une présence pré-coloniale, pré(-Elohiste (comme on parle d’une Amérique pré-colombienne).
Tout se passe en fait comme si un accord avait été passé entre les Elohim et les « terrestres » qui fait penser à celui conclu entre Déméter et Hadès
« Déméter demande justice à Zeus. Ce dernier consent à ce que la jeune fille revienne à la lumière, à la condition qu’elle n’ait absorbé aucune nourriture. Or, la jeune fille a mangé sept grains de grenade. Voici Coré retenue aux Enfers, elle est l’épouse d’Hadès et prend pour nom : Perséphone (Proserpine chez les Latins). Déméter refuse alors de nourrir la terre, Zeus trouvera un compromis pour satisfaire les deux dieux en querelle : Perséphone passera six mois de l’année chez Hadès et six mois chez Déméter. »
C’est un tel type d’accord, fondé sur une division égale du temps en deux parts qui semble s’être finalement instauré entre les Elohim et les terrestres.
Les termes principaux semblent en avoir été les suivants:
d’une part, un temps « shabbatique » durant lequel, les hommes échapperaient à l’influence des femmes, c’est à dire notamment des signes célestes. A ce propos, avec le Shabbat, comme septiéme jour, on est loin du compte. Nous pensons plutôt à une division égale de la semaine, soit deux fois trois jours et demi. Du dimanche Oh au mercredi midi, le temps’ »cosmique » et du mercredi midi au samedi minuit, le temps dégagé du temps en question. Mais cela doit se traduite en fait non pas tous les 7 jours mais tous les 7 ans car il est clair qu’à l »échelle de la semaine, cela ne fait guère sens. Rappelons toutefois la correspondance jour/année que l’on retrouve
Livre des Nombres: Ch XIII
« Vous avez mis 40 jjours à explorer le pays, vous supporterez donc les conséquences de vos fautes pendant 40 ans, une année pour chaque jour. »
On retrouve là la relation Lune-Saturne, la Lune ayant un cycle de 29 jours et Saturne un cycle de 29 ans.
D’autre part, il fut convenu que l’homme et la femme se reproduiraient conjointement, produisant tantôt des garçons tantôt des filles, ce qui permettrait aux terriens de perdurer à travers les âges mais aussi à ces androïdes que sont les femmes.
Bien entendu, tout cela ne put se mettre en place que grâce à une biotechnologie très avancée pour l’époque -mais rappelons que ces extra-terrestres avaient su traverser l’espace- et qui l’est encore largement pour la nôtre.
Reste la question de ce Yahvé qui intervient, non plus par le biais des astres, mais par celui de miracles, ce qui est tout à l’opposé du respect d’un plan établi une fois pour toutes. La Sortie d’Egypte avec la traversée de la Mer Rouge est d’un tout autre registre que celui que nous venons de décrire. L’on voit que la Genése et l’Exode dont nous avons montré ailleurs qu’ils formaient une sorte de diptyque, nous parlent dans les premiers chapitres des Elohim mais ensuite, ils disparaissent en quelque sorte, laissant derrière eux toute une logistique que nous avons décrite. Et ces Elohim n’ont rien à voir avec ce qui se passe dans le Jardin d’Eden ou sur le mont Sinaî et d’ailleurs les « commandements » qui sont proférés ne sont pas du même ordre que ceux qui relévent des signaux célestes. Yahvé serait éventuellement un dieu chtonien antérieur à la venue des Elohim et dont on peut dire qu’il se situe dans le Hadès dont il a été question plus haut, cet enfer, ce Tartare, il serait à associer à Pluton/Hadés alors que les Elohim correspondraient à Cérés/Démeter et à tout ce qui est cyclique. On retrouve là le féminin du côté des Elohim et le masculin du côté de Yahvé. Le temps du Shabbat est celui de Yahvé et la sortie du Shabbat sonnerait le retour de l’ordre élohiste dont les femmes seraient les agents.
JHB
26 10 16
mardi 25 octobre 2016
astrologues et astronomes s'affrontent autour du Zodiaque
Astrologues et astronomes s'affrontent autour du zodiaque - YouTube
www.youtube.com/watch?v=2m14yoPgsiY&feature=youtube...
15 janv. 2011 - Ajouté par euronews (en français)
Astrologues et astronomes s'affrontent autour du zodiaque. euronews (en français ...jacques Halbronn La cyclicité comme source d'égarement de la conscience
La cyclicité comme source d'égarement de la conscience Exemple en astrologie alpha-oméga
par Jacques Halbronn
Ce qui rend particulièrement ardue la description de notre Humanité tient à l'împact de la cyclicité, sous toutes ses formes. En effet ce qui est cyclique signifie au minimum que deux phases alterneront, de façon, dialectique.
Cela signifie que tout phénoméne marqué par de la cyclicité sera voué à présenter certaines contradictions, dès lors que l'on se situe sur une certaine durée. C'est ainsi que le même territoire n'aura pas la même image en Eté et en Hiver. Mais alors se pose la question: à quel moment du cycle, le phénoméne sera dans son état le plus "normal", le plus représentatif en tout cas de ce qu'il est? On pense à la chauve -souris qui tantôt se veut souris, tantôt oiseau.
Autrement dit, le cycle nous apparait comme un véritable obstacle épistémologique (Bachelard) qui rend possible le déni puisque le phénoméne marqué par de la cyclicité tend à nous échapper, à nous glisser entre les doigts.
Traiter d'un phénoméne marqué par le cycle est fort risqué car l'on s'expose régulièrement au démenti. Quand nous décrivons un fait, cela ne signifie pas que celui-ci peut s'observer à tout moment de telle ou telle façon. Il convient donc de le décrire justement de façon cyclique, ce qui conduit à une certaine forme de prévision: dans quel état le dit phénoméne sera dans sa phase A ou dans sa phase B, si l'on s'en tient à un tel modèle assez simple?
Dans le cas de l'astrologie alpha-oméga, alternent les états alpha et oméga, les premiers -correspondant à la conjonction Saturne-Etoile Fixe Royale- et les seconds à la séparation des dits astres, l'un état mobile et l'autre fixe.
La phase alpha conjonctionnelle est source de confusion, de mélange en ce qu'elle favorise des rapprochements entre entités différentes. Ce n'est pas en phase alpha que le travail d'analyse sera le plus évident à mener à bien. C'est donc bien en phase oméga du cycle saturnien de 7 ans que l'on aura toute chance d'y voir un peu plus clair.
Autrement dit, le temps qui est celui de la description devrait impérativement être indiqué et d'ailleurs, tout document concernant l'humain, le social, se devrait d'être situé chronologiquement avec la plus grand précision. Entendons qu'une description non datée n'aurait guère de portée scientifique, selon nous.
Le temps de la conjonction - qui se produit tous les 7 ans en astrologie alpha-oméga.-est favorable à toutes sortes d'infiltrations car les milieux sont alors d'une certaine porosité les uns par rapport aux autres et le rejet des éléments étrangers moins systématique. On est dans un temps d'interpénétration. On aura compris que la phase oméga présente un profil littéralement inverse avec un renforcement des cloisonnements.
Les deux phases donnent ainsi une idée du phénoméne assez extréme dans un cas comme dans l'autre, la réalité étant à rechercher probablement dans un juste milieu.
Il n'en reste pas moins que l'observateur d'un phénoméne donné se devra de faire la part des choses et en tout état de cause situer son étude dans la durée, c'est à dire dans le cadre d'un cycle de 7 ans, du moins au regard de l'astrologie alpha-oméga, étant entendu qu'une méthodologie analogue sera de mise face à n'importe quel processus cyclique et d'ailleurs dans le cas où l'on aurait une première impression d'une absence de cyclicité, il importerait d'en avoir le cœur net car cela pourrait bien être l'effet d'une illusion d'optique.
En ce qui concerne notamment nos travaux sur le masculin et le féminin, il nous apparait que la cyclicité y joue un rôle tout à fait capital puisque l'état alpha pousse à un rapprochement entre les sexes et que l'état oméga incite à une prise de distance.Cela dit, la phase conjonctionnelle que l'on peut qualifier d'unitaire ne permet guère de différencier avec quelque rigueur les deux sexes et ce sera donc la phase de détachement (écart maximum Saturne-étoiles fixes royales) qui sera la plus favorable à l'observation analytique, la conjonction étant plus de l'ordre de la synergie sinon de la symbiose.
Mais l'on comprend que si l'on ne prend pas de telles précautions, on aura beau jeu de nier telle ou telle description contrastive et de déclarer que le temps des différences et des clivages est définitivement dépassé, alors qu'aucun état alpha ou oméga, ne dure plus de trois ans et demi (7/2) et encore dans ces chiffres faudrait-il inclure des temps intermédiaires plus ou moins longs.
Dès lors, tout discours sur la dualité passera évidemment mieux en phase oméga qu'en phase alpha où il risque fort d'être quasiment inaudible. Nous sommes actuellement depuis deux ans environ en phase alpha et encore pour une bonne année. Il faut s'attendre avec la prochaine phase oméga à un sérieux retour du refoulé - si l'on considére la phase alpha comme surmoique- ce qui passe par un certain déni du réel- et donc à une exacerbation de clivages de toutes sortes pour 2018-2019. En soi un tel cas de figure n'est pas rare puisqu'il se reproduit grosso modo tous les 7 ans , en alternance avec l'état alpha, en sens inverse. Mais c'est la première fois que l'astrologie sera en mesure d'aborder l'avenir avec un bagage conceptuel de qualité et cela fait toute la dfférence avec les échéances précédentes.
Cela dit, la prochaine phase oméga devrait ébranler la communauté astrologique et mettre à mal un certain consensus mou, fondé sur des automatismes de langage.
25. 10 16
par Jacques Halbronn
Ce qui rend particulièrement ardue la description de notre Humanité tient à l'împact de la cyclicité, sous toutes ses formes. En effet ce qui est cyclique signifie au minimum que deux phases alterneront, de façon, dialectique.
Cela signifie que tout phénoméne marqué par de la cyclicité sera voué à présenter certaines contradictions, dès lors que l'on se situe sur une certaine durée. C'est ainsi que le même territoire n'aura pas la même image en Eté et en Hiver. Mais alors se pose la question: à quel moment du cycle, le phénoméne sera dans son état le plus "normal", le plus représentatif en tout cas de ce qu'il est? On pense à la chauve -souris qui tantôt se veut souris, tantôt oiseau.
Autrement dit, le cycle nous apparait comme un véritable obstacle épistémologique (Bachelard) qui rend possible le déni puisque le phénoméne marqué par de la cyclicité tend à nous échapper, à nous glisser entre les doigts.
Traiter d'un phénoméne marqué par le cycle est fort risqué car l'on s'expose régulièrement au démenti. Quand nous décrivons un fait, cela ne signifie pas que celui-ci peut s'observer à tout moment de telle ou telle façon. Il convient donc de le décrire justement de façon cyclique, ce qui conduit à une certaine forme de prévision: dans quel état le dit phénoméne sera dans sa phase A ou dans sa phase B, si l'on s'en tient à un tel modèle assez simple?
Dans le cas de l'astrologie alpha-oméga, alternent les états alpha et oméga, les premiers -correspondant à la conjonction Saturne-Etoile Fixe Royale- et les seconds à la séparation des dits astres, l'un état mobile et l'autre fixe.
La phase alpha conjonctionnelle est source de confusion, de mélange en ce qu'elle favorise des rapprochements entre entités différentes. Ce n'est pas en phase alpha que le travail d'analyse sera le plus évident à mener à bien. C'est donc bien en phase oméga du cycle saturnien de 7 ans que l'on aura toute chance d'y voir un peu plus clair.
Autrement dit, le temps qui est celui de la description devrait impérativement être indiqué et d'ailleurs, tout document concernant l'humain, le social, se devrait d'être situé chronologiquement avec la plus grand précision. Entendons qu'une description non datée n'aurait guère de portée scientifique, selon nous.
Le temps de la conjonction - qui se produit tous les 7 ans en astrologie alpha-oméga.-est favorable à toutes sortes d'infiltrations car les milieux sont alors d'une certaine porosité les uns par rapport aux autres et le rejet des éléments étrangers moins systématique. On est dans un temps d'interpénétration. On aura compris que la phase oméga présente un profil littéralement inverse avec un renforcement des cloisonnements.
Les deux phases donnent ainsi une idée du phénoméne assez extréme dans un cas comme dans l'autre, la réalité étant à rechercher probablement dans un juste milieu.
Il n'en reste pas moins que l'observateur d'un phénoméne donné se devra de faire la part des choses et en tout état de cause situer son étude dans la durée, c'est à dire dans le cadre d'un cycle de 7 ans, du moins au regard de l'astrologie alpha-oméga, étant entendu qu'une méthodologie analogue sera de mise face à n'importe quel processus cyclique et d'ailleurs dans le cas où l'on aurait une première impression d'une absence de cyclicité, il importerait d'en avoir le cœur net car cela pourrait bien être l'effet d'une illusion d'optique.
En ce qui concerne notamment nos travaux sur le masculin et le féminin, il nous apparait que la cyclicité y joue un rôle tout à fait capital puisque l'état alpha pousse à un rapprochement entre les sexes et que l'état oméga incite à une prise de distance.Cela dit, la phase conjonctionnelle que l'on peut qualifier d'unitaire ne permet guère de différencier avec quelque rigueur les deux sexes et ce sera donc la phase de détachement (écart maximum Saturne-étoiles fixes royales) qui sera la plus favorable à l'observation analytique, la conjonction étant plus de l'ordre de la synergie sinon de la symbiose.
Mais l'on comprend que si l'on ne prend pas de telles précautions, on aura beau jeu de nier telle ou telle description contrastive et de déclarer que le temps des différences et des clivages est définitivement dépassé, alors qu'aucun état alpha ou oméga, ne dure plus de trois ans et demi (7/2) et encore dans ces chiffres faudrait-il inclure des temps intermédiaires plus ou moins longs.
Dès lors, tout discours sur la dualité passera évidemment mieux en phase oméga qu'en phase alpha où il risque fort d'être quasiment inaudible. Nous sommes actuellement depuis deux ans environ en phase alpha et encore pour une bonne année. Il faut s'attendre avec la prochaine phase oméga à un sérieux retour du refoulé - si l'on considére la phase alpha comme surmoique- ce qui passe par un certain déni du réel- et donc à une exacerbation de clivages de toutes sortes pour 2018-2019. En soi un tel cas de figure n'est pas rare puisqu'il se reproduit grosso modo tous les 7 ans , en alternance avec l'état alpha, en sens inverse. Mais c'est la première fois que l'astrologie sera en mesure d'aborder l'avenir avec un bagage conceptuel de qualité et cela fait toute la dfférence avec les échéances précédentes.
Cela dit, la prochaine phase oméga devrait ébranler la communauté astrologique et mettre à mal un certain consensus mou, fondé sur des automatismes de langage.
25. 10 16
lundi 24 octobre 2016
samedi 22 octobre 2016
Les prophéties Mayas
les prophéties mayas - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=MK1kV-XVX3Q
15 nov. 2013 - Ajouté par Deseille Michel
Franck Echardour8 months ago. Dans cette présentation, il y a des confusions entre la tradition Aztèque et la ...
vendredi 21 octobre 2016
Daniel Véga Catalogue astrologique
Conférence de Daniel Véga du 30 sept. 2016 à Montpellier. Quel est le sens des crises que nous vivons ? Que ce soit au niveau individuel ou collectif, notre monde apparaît en profonde mutation. Fin d'un monde et émergence d'un nouveau ? Quelle est la nature du changement global de paradigme ? L'astrologie permet d'apporter des éléments de réponse grâce à la connaissance des cycles planétaires et l'art de l'interprétation de symboles millénaires et universels. Astronomie des ères précessionnelles et leurs symbolismes astrologiques et ésotériques. L'ère du Verseau, les Yugas indiens et la science des rayons en astrologie ésotérique selon les écrits d'Alice Bailey. Le changement de croix et les Rayons 6 et 7. Correspondances avec les crises mondiales et l'évolution des consciences. Relations analogiques avec des événements mondiaux. Le livret électronique PDF A5 38 pages seulement 7€
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Dans ce livret, Patrick Giani analyse la symbolique de Pluton en Capricorne et sur la Croix Cardinale (Capricorne, Bélier, Cancer et Balance) et donne une interprétation des transits dissonants (conjonctions, carrés et oppositions) sur le thème natal avec une description sur les différents plans physiologique, psychologique, événementiel, spirituel et karmique. L'auteur offre une interprétation enrichie et approfondie avec ce livret qui est une réédition partielle de son best seller maintenant épuisé "Comment positiver vos transits planétaires...". Livret électronique A4 de 49 pages, seulement 9€.
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jeudi 20 octobre 2016
Claude Jarry des Loges Prévisiions astrologiques Automne 2016
Prévisions astrologiques par signe ascendant automne 2016 par Claude Jarry des Loges 1/2
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