jacques Halbronn Initiation à l’astrologie alpha-oméga.
Intiation à la nouvelle ‘astrologie « alpha-oméga »
par Jacques Halbronn
Notre pratique de l’astrologie passe par l’observation de la société et l’objet de l’astrologie devrait se limiter aux tensions existantes et récurrentes entre le sommet et la base, le haut et le bas de l’échelle sociale, pour paraphraser la Table d’Emeraude et nous ne pouvons pas ne pas évoquer ici l’esprit des Saturnales, puisque c’est de Saturne qu’il sera essentiellement question. En effet, la dialectique entre le peuple et ses maitres est aussi vieille que le monde et cela passe par des hauts et des bas.
Notre découpage du cycle de Saturne passe par la mise en place de huit points sensibles, quatre conjonctions (soit un écart de 0° planéte-étoiles) et quatre « séparations » (soit un écart planéte-étoiles de 45° environ)
Exposons brièvement notre représentation de la vie sociale (cf notre récente étude sur la Ve République selon l’astrologie alpha-oméga). d’une part la seigneurie, qui rassemble une « élite » masculine vouée au « haut de gamme » et d’autre part la maisonnée qui rassemble une « domesticité » faite de femmes, d’esclaves, d’étrangers, de bêtes, de machines, tout ce petit monde étant voué à des tâches de bas de gamme.
Deux temps donc en alternance: un temps alpha et un temps oméga, correspondant respectivement à la conjonction et à la « séparation » (180/4), soit un découpage en périodes d’approximativement 7 ans.
I Le temps de la conjonction
Les deux « camps » s’efforcent de parvenir à une certaine synergie (syn est le cum du grec). On s’entend autour d’un « contrat social » (Rousseau), chacun appréciant ce que l’autre peut lui apporter.
Saturne est donc conjoint avec Aldébaran ou avec Regulus ou avec Antarés ou avec Fomalhaut.
II Le temps de la séparation
Cette fois, il n’y a rien à voir. Saturne n’est plus du tout conjoint avec l’une ou l’autre des fixes Il parvient au mi-point de ces deux points qui eux n’ont pas bougé, le contact entre les deux camps ne se fait plus.
Qu’est-ce à dire? Que chaque camp revendique son autonomie, entend se passer de l’autre partie en jouant des atouts qui sont les siens. Il y a séparation de corps. On ne se fréquente plus guère. C’est un temps de repli.
Le camp de la maisonnée pense qu’il en sait assez pour se débrouiller à l’avenir. Il n’a plus envie de dépendre de l’élite qui au demeurant lui a déjà donné pas mal de choses au cours des années, qui sont conservées dans des livres, des enregistrements. Ne pas dépendre du bon vouloir des gens d’en haut. Cela passe évidemment par un usage intensif de toute une technologie, ce qui n’a rien d’étonnant vu que selon nous les femmes seraient assimilables à des androïdes.
Quant au camp de la seigneurie en phase oméga, il adoptera ce que nous appellerons l’esprit du Shabbat, à savoir si l’on s’en tient à ce qui se trouve dans les Dix Commandements, l’interdiction de toute aide extérieure, venant d’en bas ce qui englobe, tout apport minéral, végétal, animal. L’homme se veut sans le moindre appareillage et entend se contenter de ce que peut lui apporter son propre organisme, son « jardin » intérieur. C’est un temps de libération par rapport à la maisonnée laquelle n’exerce plus la pression propre à la phase alpha.
Dans ce second cas de figure, il faut s’attendre à voir émerger des modes de vie séparés mais rappelons que ces temps sont assez éphémères et ne se perpétuent évidemment pas au delà d’une certaine orbe que nous laissons à chacun le soin d’établir.
On conçoit ce que peut avoir de salutaire un tel plan. Reste la question de ses origines, de sa mise en œuvre qui n’est pas sans poser de graves questions qui jettent un nouveau regard sur le passé de l’Humanité.
Cette astrologie minimale -qui est complétée par l’astrologie de Gauquelin avec ses 4 grandes familles (Vénus, Mars, Jupiter et Saturne, nous avons des doutes sur la Lune)- constitue un modèle universel qu’il revient évidemment d’appliquer à chaque situation de par le monde. Selon nous, en dépit de l’extréme sociodiversité culturelle, notre modèle tend à unifier l’Humanité par le biais d’une synchronie qui n’est pas tant celle entre les hommes et les astres -(-titre d’un ouvrage de Gauquelin) que celle entre les diverses communautés de par le monde, marchant d’un seul pas, au même rythme.
L’astrologie alpha (lettre qui évoque un nœud) – le Aleph représente une tête de bœuf dans l’alphabet phénicien qui a donné son nom à la lettre grecque) -oméga (les deux plateaux d’une balance, comme une sorte de w) ne se veut pas une astrologie « connectée » capable de dire ce qu’il en est de chaque cas particulier, sur la base du seul modèle. Elle laisse à ceux qui l’adopteront pour outil toute liberté de le compléter par la prise en compte de données locales.
On aura deviné que ce type d’astrologie n’a pas besoin d’astrologues pour fonctionner. Il s’adresse bien plutôt à des psychologues et à des sociologues, à des ethnologues et à des juristes.
JHB
11/ 10 16
par Jacques Halbronn
Notre pratique de l’astrologie passe par l’observation de la société et l’objet de l’astrologie devrait se limiter aux tensions existantes et récurrentes entre le sommet et la base, le haut et le bas de l’échelle sociale, pour paraphraser la Table d’Emeraude et nous ne pouvons pas ne pas évoquer ici l’esprit des Saturnales, puisque c’est de Saturne qu’il sera essentiellement question. En effet, la dialectique entre le peuple et ses maitres est aussi vieille que le monde et cela passe par des hauts et des bas.
Notre découpage du cycle de Saturne passe par la mise en place de huit points sensibles, quatre conjonctions (soit un écart de 0° planéte-étoiles) et quatre « séparations » (soit un écart planéte-étoiles de 45° environ)
Exposons brièvement notre représentation de la vie sociale (cf notre récente étude sur la Ve République selon l’astrologie alpha-oméga). d’une part la seigneurie, qui rassemble une « élite » masculine vouée au « haut de gamme » et d’autre part la maisonnée qui rassemble une « domesticité » faite de femmes, d’esclaves, d’étrangers, de bêtes, de machines, tout ce petit monde étant voué à des tâches de bas de gamme.
Deux temps donc en alternance: un temps alpha et un temps oméga, correspondant respectivement à la conjonction et à la « séparation » (180/4), soit un découpage en périodes d’approximativement 7 ans.
I Le temps de la conjonction
Les deux « camps » s’efforcent de parvenir à une certaine synergie (syn est le cum du grec). On s’entend autour d’un « contrat social » (Rousseau), chacun appréciant ce que l’autre peut lui apporter.
Saturne est donc conjoint avec Aldébaran ou avec Regulus ou avec Antarés ou avec Fomalhaut.
II Le temps de la séparation
Cette fois, il n’y a rien à voir. Saturne n’est plus du tout conjoint avec l’une ou l’autre des fixes Il parvient au mi-point de ces deux points qui eux n’ont pas bougé, le contact entre les deux camps ne se fait plus.
Qu’est-ce à dire? Que chaque camp revendique son autonomie, entend se passer de l’autre partie en jouant des atouts qui sont les siens. Il y a séparation de corps. On ne se fréquente plus guère. C’est un temps de repli.
Le camp de la maisonnée pense qu’il en sait assez pour se débrouiller à l’avenir. Il n’a plus envie de dépendre de l’élite qui au demeurant lui a déjà donné pas mal de choses au cours des années, qui sont conservées dans des livres, des enregistrements. Ne pas dépendre du bon vouloir des gens d’en haut. Cela passe évidemment par un usage intensif de toute une technologie, ce qui n’a rien d’étonnant vu que selon nous les femmes seraient assimilables à des androïdes.
Quant au camp de la seigneurie en phase oméga, il adoptera ce que nous appellerons l’esprit du Shabbat, à savoir si l’on s’en tient à ce qui se trouve dans les Dix Commandements, l’interdiction de toute aide extérieure, venant d’en bas ce qui englobe, tout apport minéral, végétal, animal. L’homme se veut sans le moindre appareillage et entend se contenter de ce que peut lui apporter son propre organisme, son « jardin » intérieur. C’est un temps de libération par rapport à la maisonnée laquelle n’exerce plus la pression propre à la phase alpha.
Dans ce second cas de figure, il faut s’attendre à voir émerger des modes de vie séparés mais rappelons que ces temps sont assez éphémères et ne se perpétuent évidemment pas au delà d’une certaine orbe que nous laissons à chacun le soin d’établir.
On conçoit ce que peut avoir de salutaire un tel plan. Reste la question de ses origines, de sa mise en œuvre qui n’est pas sans poser de graves questions qui jettent un nouveau regard sur le passé de l’Humanité.
Cette astrologie minimale -qui est complétée par l’astrologie de Gauquelin avec ses 4 grandes familles (Vénus, Mars, Jupiter et Saturne, nous avons des doutes sur la Lune)- constitue un modèle universel qu’il revient évidemment d’appliquer à chaque situation de par le monde. Selon nous, en dépit de l’extréme sociodiversité culturelle, notre modèle tend à unifier l’Humanité par le biais d’une synchronie qui n’est pas tant celle entre les hommes et les astres -(-titre d’un ouvrage de Gauquelin) que celle entre les diverses communautés de par le monde, marchant d’un seul pas, au même rythme.
L’astrologie alpha (lettre qui évoque un nœud) – le Aleph représente une tête de bœuf dans l’alphabet phénicien qui a donné son nom à la lettre grecque) -oméga (les deux plateaux d’une balance, comme une sorte de w) ne se veut pas une astrologie « connectée » capable de dire ce qu’il en est de chaque cas particulier, sur la base du seul modèle. Elle laisse à ceux qui l’adopteront pour outil toute liberté de le compléter par la prise en compte de données locales.
On aura deviné que ce type d’astrologie n’a pas besoin d’astrologues pour fonctionner. Il s’adresse bien plutôt à des psychologues et à des sociologues, à des ethnologues et à des juristes.
JHB
11/ 10 16
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