Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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samedi 28 octobre 2017

Orélien Péréol , Anne-Marie Houdebine Hommes et femmes , le déni des différences

différence des sexes - Féministes en tous genres

feministesentousgenres.blogs.nouvelobs.com/.../différence+des+sex...
Il y aurait un invariant biologique – la différence des sexes, condition sine qua non de la procréation 


Femmes : la quadrature du sexe - La Tribune

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8 mars 2013
Certains défendent la thèse qu'il n'y a pas de différence entre un homme et une .... déni



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Hommes et femmes, le déni  de différences

Peu à peu, s’organise dans les mass-médias une idéologie des rapports entre les hommes et les femmes inadéquate pour employer un mot à la mode dans les mass-médias et mortifère. Il suffit de parler aux autres autour de soi pour voir que ce discours a l’adhésion de fort peu de monde, quand il a pas une incrédule moqueuse et agacée.
Cependant, il est hégémonique, rien d’autre ne peut s’exprimer. Comment arrêter cette violence intellectuelle, ces nombreux illogismes répétés, qui font des non-femmes des bourreaux de naissance, des coupables par principe identitaire ?
Pour la Saint-Valentin, les hommes sont plus attentionnés envers leur compagne, amie, amante que les femmes : 70% souhaitent cette fête à leur conjointe, contre 62% des femmes ; 56% des hommes font un petit cadeau, 46% des femmes. Ces pourcentages, proviennent de Direct matin du 14 fév 2014 qui écrit : Contrairement aux idées reçues… Ces idées ne sont pas reçues, elles sont fabriquées avec insistance par le dénigrement et la condamnation identitaire des hommes ; elles sont entretenues avec soin par la répétition lourde et l’exclusion de toute idée un tant soit peu différente.
Jean-Louis Livi écrit : « C’est un film féministe. Les femmes y sont fortes et les hommes lâches. » (Le journal 20 minutes du 26 mars 2014). Cette insulte collective à la moitié de l’humanité est interdite par les Droits de l’Homme qui supposent l’égalité de tous en droit (et en dignité). Une loi sur la discrimination existe qui s’applique à ce propos, apparemment admis. Mais qui ne s’applique pas à ce groupe !? Cette définition du féminisme n’est pas acceptable. Ce n’est pas la définition d’un chemin vers l’égalité. C’est la définition d’une condamnation globale, d’un racisme, d’un ostracisme.
Les interprétations sont toujours dans l’idée que les hommes sont odieux avec les femmes. Le Progrès de Lyon (22 mars 2004) titre : Prostitution déguisée pour payer la fac. L’article évoque des hommes très riches qui paient jusqu’à 600 euros des jeunes étudiantes pour aller au restaurant et faire la conversation. Cela concerneraient 7000 étudiantes qui arrivent pour certaines à gagner 3000 € par mois. Des hommes donnent 3000€ euros par mois à des femmes. Eh bien, c’est « une violence faite aux femmes dans un beau papier-cadeau… « c’est clairement de la prostitution » disent les commentatrices qui sont des féministes de « Osez le féminisme ». Aucun débat n’est possible. Il n’y a pas de place pour un autre argument. Dans le titre, dans le choix des commentatrices et dans la violence de leur propos, tout est clos et la condamnation des hommes est la seule façon de voir la chose. J’ai payé mes études en travaillant tout le temps, le soir, les vacances, en acceptant n’importe quel boulot, j’appartiens à la domination masculine comme ces hommes qui paient des jeunes filles pour les emmener au restaurant !
Dans une société de violeurs ?, Marcela Iacub cite Audrey Pulvar : « La présomption d’innocence est inaliénable, mais la présomption de véracité des propos de la plaignante aussi. » Le 22 mai 2011, à propos de l’affaire du Sofitel de New-York. Cela signifie en clair que si on ne peut pas renoncer à la présomption d’innocence officiellement, il faut appliquer une présomption de culpabilité envers un homme sur parole d’une femme.
C’est ce qu’on trouve dans les trois exemples très divers que j’examine ci-dessus.
Dans le même mouvement, une théorie du genre réduit le sexe à l’anatomie et considère que tout le reste est du genre. Dans les mass-médias le mot genre est en train de prendre toute la place. « Les études sur le genre s'appuient sur un corpus de travaux empiriques validés au sein de communautés scientifiques internationales dont la rigueur et l'autonomie intellectuelle sont reconnues » On veut bien le croire, mais lesquels ? Et la rigueur intellectuelle de ces travaux empiriques est reconnue par qui ?
Il s’agit bien d’une théorie : http://abonnes.lemonde.fr/education/article/2014/02/01/pourquoi-il-y-a-plus-de-maitresses-que-de-maitres_4358359_1473685.html?xtmc=abcd&xtcr=28 Dans cet article, un professeur des écoles fait classer des images en trois tas (trois catégories) : stéréotype féminin, stéréotype masculin, pas de stéréotype. Quand on a des catégories et qu’on sépare les choses, c’est une théorie. Quant à la question du titre : Pourquoi plus de maîtresses que de maîtres ? » Pas l’ombre d’une réponse. Ni d’une revendication de parité à l’Education nationale, ni d’un changement d’organisation pour que cela change. « La difficulté, quand on interroge les stéréotypes, c'est qu'on en est souvent soi-même imprégné », reconnaît l’enseignant.
Le déni est clairement exprimé par Nathalie Bajos, présentée dans Télérama comme une chercheuse, qui rappelle (c’est un rappel selon Télérama) : « Accepter la différence fondamentale entre les sexes dans la sexualité, c’est donner sens aux inégalités entre les sexes qui perdurent dans les autres sphères sociales. »
Il n’y a plus qu’à éliminer le sexe (dans le discours c’est quasiment fait) et la sexualité. Ça va venir.




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