Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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lundi 13 juin 2022

Jacques Halbronn Astrologie EXOLS Les fonctions masculines et les fémines. Le MLF en 1968

Jacques Halbronn Astrologie EXOLS Les fonctions masculines et les féminines. Le MLF en 1968 Dans notre entreprise de différenciation des rôles masculins et féminins, dans le cadre de ,nos travaux sur l'équinocialité (astrologie EXOLS), nous entendons préciser des points qui restent flous quant à la répartition fondamentale des fonctions et "missions" respectives. Nous nous intéresserons à la création du MLF, Mouvement de Libération de la Femme en, soulignant qu'il s''agissait bel et bien d'un processus de différenciation des sexes, notamment autour des notions de génialité et de génitalité. Wikipedia MLF "Antoinette Fouque propose l'existence d'une libido spécifiquement féminine« située à un stade génital post-phallique », de type oral-génital : une « libido utérine » ou « libido femelle » qu'elle nomme « libido 2 », puis, dans les années 200025, « libido creandi »N 1, Elle souhaite poser ainsi les bases d'une théorie de la génitalité au seuil de laquelle Sigmund Freud et Jacques Lacan se seraient arrêtés. Articulant psychanalyse et politique, elle estime qu'au fondement de la misogynie, il y a l'envie primordiale de la capacité procréatrice des femmes, qu'elle nomme « envie de l'utérus » Selon Bibia Pavard, pour Fouque, le désir féminin comme « envie de pénis » d'après Freud est une réduction et un écran à ce qu'elle nomme l'« envie d'utérus » chez les garçons" Or, c'est en 1968 que se fond le MLF, soit en début de phase équinoxiale de Saturne. On peut penser qu'en 2025-26, près de 60 ans plus tard, un renouveau de la réflexion sur le masculin et le féminin pourrait se déployer du fait d'une nouvelle phase équinoxiale qui préciserait équitablement une certaine "division du travail". Il nous faut revenir au Pentateuque - Genèse (Berechit) - Chapitre 9, 2 "Dieu bénit Noé et ses fils, en leur disant: "Croissez et multipliez, et remplissez la terre!"(https://www.torah-box.com › torah-pdf › torah › genese) Selon nous, cela précise la fonction masculine dans le déclenchement du processus de procréation, ce qui se concilie avec la polygamie et la multiplication des partenaires féminins (harem). Symétriquement, comme nous en sommes déjà expliqué ailleurs (sur NOFIM. unblog.fr), les femmes contribueraient à faire "accoucher" l'homme de sa vocation, à l'instar des "muses". Cela conduirait les femmes à rechercher des hommes à protéger, sur une période bien plus longue que les 9 mois de l'enfantement. Ainsi, le couple se constituerait autour d'un contrat lié à ces deux engagements complémentaires : pour l'homme, un lien d'abord physique et pour la femme, un lien "spirituel", plus subtil. Dans un précédent texte consacré aux topiques freudiennes (le ça et le Surmoi), nous proposions que le ça de la femme serait lié à l'ouie, à la parole mais aussi au visuel (cf notre Psychologie sensorielle) tandis que le ça de l'homme serait lié au toucher, mais aussi au goût et à l'odorat. Le ça correspond à une forme de compulsion qui peut comporter des dérives et des déviances, faisant probléme socialement. Un cas intéressant concerne les manifestations d'attachement de la femme à la partie masculine de la famille, à savoir le père, le mari, le ou les fils, selon une problématique de protection d'un autre ordre que celle affectant le comportement de l'homme par rapport à la femme; C'est ainsi que la femme peur surréagir aux attaques visant les "mâles" de son espace affectif par une stratégie de surprotection pouvant se traduire par une attitude de rejet de celui ou de ceux qui s'en prendrai(ent) à ses 'protégés". JHB 13 06 22

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