Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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samedi 18 juin 2022

jacques halbronn Astrologie et linguistique. La planéte est le nom, le signe est l'adjectif

Jacques halbronn Astrologie et Linguistique. La planéte est le nom, le "signe" est l'adjectif L'avenir de l'astrologie va-t-il se jouer autour de questions d'ordre grammatical? La linguistique nous apparait comme une formation souhaitable pour penser l'astrologie. dès lors que l'on a conscience de la dialectique entre le nom et tout ce qui vient se greffer autour: adjectifs, adverbes, conjugaison, déclinaison, préfixes, suffixes sans oublier les pronoms personnels et possessifs. Tout cet appareil qui entoure le nom permet de fonctionner, ergonomiquement et économiquement, avec un nombre limité de noms, de "radicaux". Si l'on traduit ce propos dans le champ astrologique, l'on s'aperçoit qu'avec une seule planéte, l'on peut appréhender un grand nombre de situations, dès lors que l'on combine celle-ci avec tel ou tel facteur complémentaire, additionnel. Or, force est de constater que beaucoup d'astrologues auront multiplié le nombre de planétes en ne prenant pas la mesure du processus complémentaire que constitue leur parcours sur l'écliptique, notamment. C'est ainsi qu'André Barbault, en Astrologie mondiale, aura fait l'impasse sur les variations apportées par la positon des planétes en tel ou tel secteur de l'écliptique en rapport avec le cycle saisonnier. et ce tant dans le traitement du cycle Saturne Neptune que pour son indice cyclique. Pour notre part, nous avons dès 1976, dans Clefs pour l'Astrologie (ed Seghers) proné une dualité planéte et axes équinoxiaux et solsticiaux, ce qui nous aura conduit à nous contenter par la suite, d'une seule planéte, la septiéme et ultime, (dans le Septénaire) à savoir Saturne (cf le Septiéme Sceau du Livre de l'Apocalypse) En conclusion, nous avons affaire à deux écoles astroloiques, les "nominalistes" qui considérent que l'on a besoin de nombre de planétes et les "attributistes" qui proposent des qualificatifs, des attributs pour suivre le parcours d'une seule et unique planéte, comme c'est d'ailleurs le cas pour le signe de naissance, basé sur le passage du soleil sur les 12 signes zodiacaux, successivement (cf aussi la théorie des ères zodiacales). En ce qui concerne la mythologique, on nous objectera que nous avons affaire à plusieurs dieux, dont certains ont servi à nommer les planétes mais ne s'agit-il pas en fait de variations autour d'un dieu central passant par des états, des avatars successifs? JHB 18 06 22

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