Jacques Halbronn L'astrologie mondiale est saturenienne en son essence

jacques halbronn L'astrologie mondiale est saturnienne en son essence. Les intervalles de 7 et de 15 ans ne font sens qu'en référence au cycle de Saturne divisé par 4 ou par 2. L'intervalle de 15 ans correspond au temps que met Saturne pour parcourir une demie année, en passant d'un équinoxe à l'autre ou d'un solstice à l'autre., soit de la conjonction à l'opposition ou du premier au dernier quartier de la Lune, sur la base d'un jour pour un an. L'intervalle de 7 ans équivaut à l'aspect de quadrature; qui sépare les deux axes saisonniers. On ne peut prendre la mesure d'un cycle de 15 ans sans le découper en deux temps de 7 ans: thèse et antithèse. Un cycle a besoin de dualité pour exister. Ceux qui ont voulu remplacer les axes saisonniers fixes par des planétes, à la façon de Barbault, se sont fourvoyés et ceux qui auront tenté de traiter d'une période de 15 ans sans se référer à Saturne, à la façon de Roger Hecquet, n'ont pas compris que les 30 degrés d'un signe faisaient référence et renvoyaient nécessairement aux 30 jours de la Lune et aux 28 ans de Saturne. La régle d'or de la prévision astrologique est de respecter une périodisation de 7 ans en 7 ans, ce qui permet d'introduire une dialectique. L'astrologie se prouve en montrant que les phases se complétent mutuellement en l'espace de 7 ans et se confortent en l'espace de 14 ans. C'est ainsi que la Guerre de Kipour de 1973 est la contrepartie solsticiale de la Guerre des Six jours de 1967, marquée par l'équinoxialité. Ce sont là des données simples que chacun peut comprendre et observer dans le ciel avec Saturne, qui est visible à l'oeil nu à la différences des planétes situées au delà et inconnues des siècles durant. Le fait que la mythologie aura inspiré les modernes astronomes ne saurait dissimuler une solution de continuité. Le cycle de 7 ans est à échelle humaine et la sagesse veut que l'astrologue s'en tienne aux 15 ans qui se présentent ici et maintenant sans aller se projeter sur des périodes par trop éloignées comme lorsque Barbault en 1955 dans sa Défense et Illustration de l'Astrologie (Ed Grasset) pointe .....1989 et ne traite pas de ce qui se profile à l'horizon: Budapest 1956, le Traité de Rome 1957, la Ve République et le retour de De Gaulle (1958), la construction du mur de Berlin (1961), la crise de Cuba (1962). la Guerre des Six Jours (1967) Seule l'intéresse la mort de Staline en 1953. C'est pathétique!: Pour compenser ces carences, Barbault fera le pari à partir de 1967 d'une troisiéme guerre mondiale non advenue pour le début des années 80. Décidément, il y avait là un tropisme pour cette période proche de la fin d'un millénaire et de l'An 2000. Barbault n'a pas sur établir une typologie événementielle si bien que son pronostic pour 1989 ne précise aucunement quels en seront les effets et les conséquences. Quand 1989 arrive, il crie victoire comme s'il avait prédit autre chose qu'un moment marquant. En réalité, l'événement déterminant ne sera pas 1989 mais 1991.https://fr.rbth.com/histoire/82108-chute-urss-facteurs 1989 et 1991 s'inscrivent dans une synchronie et non dans une diachronie; c'est à dire que 1989 n'est pas la cause de 1991 et que de nos jours, 1989 apparait comme tout à fait secondaire par rapport à l'émancipation des Républiques de l'URSS par rapport à la Russie! JHB 22 10 22